Utilisateur:Ednôr friet

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     Ednôr Friet
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Xeazer
Pseudo
Xeazer
Prénom IRL
Xavier Dupuis
Âge IRL
13 ans





Ednôr

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  • Prénom : Ednôr
  • Nom : Friet
  • Naissance : Inconnu
  • Âge : 17 ans
  • Taille : 1 mètre 60
  • Poid : 57 kilogrammes
  • Cheveux : Brun foncé
  • Yeux : Bleu
  • Religion :Monachiste
  • Langues parlées : Capitalin
  • Ville d'origine : La Moussue
  • Rang social : Habitant
Aptitudes

Grille Laine Blanche.pngCouture
Grille Bocal Vide.pngConnaissances (sens du goût)
Grille Livre et Plume.pngEducation


Ednor1.jpg


Description physique

Ednôr est un jeune homme arborant le mètre quarante-cinq, plutôt maigrelet, il ne dépasse pas cinquante kilos.
Son teint pâle fait ressortir ses cheveux bruns foncés tombant jusqu'à ses frêles épaules.
Son iris d'un bleu pur est surplombé par deux sourcils d'un brun semblable à celui de sa chevelure.

Description morale

Ednôr est un jeune homme timide et réservé. Gêné à chaque remarque, ses pommettes se teinte de rouge presque à chaque instant.

Talents

Ednôr étant cuisinier, il sait manier les ustensiles de cuisine avec une certaine habilitée.
Il est aussi très bon pour reconnaître des ingrédients par leurs goûts.

Intérêts culturels et goûts

Grille Chocolat.png : Les choses sucrées
Grille Livre.png : Les histoires
Grille Raisin.png : Les fruits
Grille Mouton en Peluche.png : Les animaux
Grille Pousse de Sapin.png : La nature

Histoire

Chapitre 1.

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Assis dans ma minuscule chambre j'entendais mes parents se disputer pour savoir ce qu'il allait faire de moi. Bien sûr âgé de deux ans je ne compris là pas grand-chose. Mais ils discutaient de mon avenir … Mon père voulait que je fasse la profession de pêcheur comme le reste de mes frères …. Ma mère quand t'a elle voulait que je me fasse éduquer dans un ermitage près du village. Mon père était très en colère et un de mes frères rentra dans la maison au moment où mon père frappa ma mère. Apeuré par la scène mon frère s'enfuit le plus vite possible. Quelques minutes plus tard mon frère revint avec le mari de la voisine pour tenter de séparer mon père de ma mère. Oubliée grâce au combat des 2 hommes, ma mère monta dans ma chambre me prit dans ses bras et sortit par la porte d'en arrière. Essayant de ne pas se faire remarquer elle se dirigea vers l'ermitage du village de La moussue, me déposa contre la porte, cogna trois grands coup et quitta la route à grande enjambées.C'est ainsi que je fus élevé par les moines monachiste. Ils m'apprirent à parler, écrire, lire et même à me consacrer au culte d'arbitrio. Mais mon histoire commença vraiment a l'âge de 13 ans quand les moines décidèrent de me confier à un cuisinier. C'est ainsi que je rencontrai mon maître.Nous nous rendions souvent sur le bord de la mer pour récolter du sel et c'est pendant ces récolte qu'il m'enseignait la théorie de la cuisine pour ensuite pratiqué quand nous revenions à la cuisine.Passant toutes mes journées avec mon maître, j'appris beaucoup la cuisine et mon sens du goût fût nettement améliorer. Quand je mettais trop d'épice sur mes plats il me disait de faire attention car les épices coûtent cher.Un bon jour il m'offrit une valise en cuir contenant un ensemble de couteau. C'est alors que je me suis souvenu que c'était ma fête. Mon maître, le lendemain, décida qu'il était temps pour moi de prendre les choses en main. Sur cette phrase il me confia les clefs de sa cuisine. Il me dit : « Je pars pendant deux semaines à La Capitale, alors tu dois gérer en mon absence ».Tout se passa très bien jusqu'à ce jour où un ivrogne lança son assiette au visage d'un client. J'offris alors au client visé, son repas gratuitement. Mais l'ivrogne lui fou de rage me plongea dessus. Mais pendant son vol plané il se cogna le front contre la table. Attiré par tout se tapage, deux gardes arrivèrent. L'ivrogne, avec le sourire en coin, affirma aux gardes que je lui avais sauté dessus. Le garde réfléchit quelques instants et me dit «Je te laisse une chance mais la prochaine fois , je suis sûr que des paysans aimeraient bien un jeune homme comme toi ». Je suppose que mon maître en fût averti car quand il arriva il avait l'air très en colère. Il me criait dessus j'essayai tant bien que mal de le convaincre que je n'avais rien fait mais il refusait de me croire selon lui la parole d'un adulte est moins mensongère que celle d'un enfant.

J'ai pensé à plusieurs reprises a fuir mais je ne saurais pas où aller. Alors je continuai à apprendre l'art de la cuisine et du goût jour après jour. Passant du sel au piment, je mémorisai la saveur de chaque ingrédient que je goûtais. J'apprenais des recettes par cœur et je l'ai récitait par cœur à mon maître. Jours après jours, semaines après semaines, le temps passait. À chaque semaine mon maître m'envoyait à Saillonne acheté des épices.

Chapitre 2.

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Deux ans plus tard à l'âge de 16 ans mon maître m'envoya comme à l'habitude acheter des épices et des vivres à Saillonne non loin de La moussue. Je partis donc vers Saillonne, quelques heures après mon départ je m'arrêtai récolter des champignons bruns dans une petite grotte non loin du sentier. Ces champignons n'étaient pas les plus bons car ils avaient un goût terreux mais bon il faut bien s'alimenter pour vivre … La lueur du soleil commençais déjà a faiblir quand je décidai de m'arrêter pour la nuit. Je m'étendis alors auprès de ma valise de cuir que je traînais toujours avec moi. Fatigué par mon voyage, je sombrai comme dans un gouffre sans fond dans un sommeil profond.

Le lendemain matin je partis après avoir mangé une soupe de poisson concocter par moi-même Je poursuivis mon chemin. Arrivé a Saillonne, je me rendis à la place marchande et j’achetai diverses épices et vivres. Je dépensai tout les Royes que mon maître m'avait donné. En rentrant à La moussue je refis halte au même endroit que la nuit précédente. En arrivant au village, un groupe de jeune voyous m'intercepta. Celui qui avait l'air d'être le chef me fixait droit dans les yeux. Je leur demandai alors ce qu'ils voulaient. Comme pour répondre le “Chef” essaya de me voler mes épice. Je lui demandai pourquoi et il me répondit que des épices valait cher sur le marché de contrebande. Alors je sortis un couteau en acier que je traînais toujours dans mes poches depuis que mon maître me l'avait offert et je poignardai le jeune qui me retenait par les épaules. Sous le choc le chef laissa tombé les épices et se sauva en hurlant de terreur. Paralysé par ce que je venais de faire, j'entendais déjà les gardes arrivés derrière moi. Quand ils m'empoignèrent par les épaules j'avais déjà lâché le couteau. Soudainement je reçus un coup sur le crâne et je tombai à la renverse. Quand je me réveillai j'avais des chaînes aux mains et aux pieds. J'étais assis dans une charrette avec d'autre voyou. S’arrêtant devant la maison de mon maître, les garde m'attrapèrent pour se diriger vers la maison. Un des garde toqua a la porte et quand mon maître ouvrit la porte il me regarda d'un air interrogateur . Réponse au regard , le garde lui expliqua que j’avais attaqué le jeune homme sans défense avec un couteau et que le garçon avait répliquer par la suite . Bien sûr le garde avait probablement reçu un pot de vin de la part de l'entourage du garçon car il n'avait pas parlé des épices et des voyous . Mais soudainement le deuxième garde s'exclama :«Mais attend je le connais! C'est lui qui a fait éclater une bagarre dans un restaurant du village !  » . C'est à ce moment que deux autres gardes arrivèrent et m'attrapèrent pour me remettre dans la charrette . J'essayai de lutter mais ils étaient trop forts .

Le trajet dura plusieurs jours, je ne sais pas précisément combien car j'étais désorienter. J'étais étendu sur le sol de la charrette avec un bandeau sur les yeux. J'entendis plusieurs mots comme :Esclave, vente, bateau et j'entendis le nom de Fort-Lointain, ce mot piquai ma curiosité je savais que j'avais déjà entendu ce nom quelque part mais je ne savais où. Puis un jour, quelqu'un me souleva mais puisque je n'y voyais rien sous ce tissu je ne savais pas où ils m'amenaient. La seule chose que je savais c'était que nous étions au bord de la mer car j'étais habitué à l'odeur de la mer. Je reçus un autre coup sur la tête et quand je me réveillai j'étais à bord d'un navire attaché avec d'autre gens. Probablement en direction de ce fameux mot Fort-Lointain.