Utilisateur:Félix perrone

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Félix Perrone 15/08/496-19/11/517 Amant, ami, fiancé

Description

Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Félix Perrone
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Morrgann
Pseudo
Morrgann
Prénom IRL
Morgan
Âge IRL
16 ans




Félix Perrone est un jeune Capitalin d'une vingtaine d'années, aux traits pourtant plus proches des peuples du sud. Il possède un teint naturellement halé, les cheveux noirs, épais, et mis longs dont certaines mèches fougueuses ont tendances à tomber pour cacher son front. Sa pilosité faciale est assez entretenue, et fournie. Il n'est pas divinement beau mais reste plutôt agréable à regarder, surtout quand son sourire habituel lui fend le visage.
Pour ce qui est du reste du corps il fait plus ou moins 80 kg pour environ 1m70, plutôt athlétique sans pour autant être une bête de sport. Il est à noter que son corps est parsemé de petites cicatrices çà et là dues à ses aventures dans les quartiers mal famés de la capitale. Une cependant se démarque sur son flanc gauche, plus profonde et grande que les autres. En matière d’habillement il aime ce qui est sobre mais distingué. Il aime à porter un ensemble chemise pantalon bottes en cuire avec si possible un par-dessus assez ample, de couleur bleu nuit ou marine, étant l’ensemble qu’il portait avant de se faire évincer de la Capitale.

Pour ce qui est de sa personnalité, il est assez évident que Félix est un bon camarade. Toujours la note pour rire et faire sourire l’audience, il se complait dans les soirées agitées et tumultueuses. Il aime beaucoup se divertir, que ça soit dans la boisson, les jeux ou les femmes et passer de bons moments. Il aime également beaucoup l’argent, et sera du genre à se démener pour peu que le jeu en vaille la chandelle. Il a un peu de mal avec l’autorité et part du postulat que si ça ne fait pas vraiment de mal à qui que ce soit, ou que ça n’est que justice, alors ça ne le dérange pas.


Choix

Choix 1 : Grille Sirop de Canne.png Ethlyiste, en effet Félix a été formé très jeune à cette profession qu’il affectionne et dans laquelle il se débrouille plutôt bien, surtout en matière d'alcools forts.

Talents

Félix est un très bon acteur, qui est habitué à jouer des scènes pour attirer l’attention. Il est assez beau parleur et tient bien les conversations. Il sait aussi assez bien s’occuper de ses comptes et de son argent. De plus, il est assez imaginatif.

Défauts

Félix a tendance à se complaire dans le plaisir de façon maladive, que ça soit la boisson ou autre, tant que ça l’amuse, il y ira. Il peut aussi être un peu lunatique, tantôt joyeux, tantôt triste. Il est un peu orgueilleux, et a du mal avec la notion de fidélité. Il cherchera souvent à faire les choses avec panache, souvent trop.

Intérêts

Félix est étrangement intéressé par l’art de l’escrime, que son père maitrisait bien mieux que lui, ainsi qu’aux stratégies militaires. Il croit beaucoup au surnaturel, et aux légendes, et adorera qu’on lui en raconte. Il porte également un certain intérêt à la cuisine, l’architecture ainsi que la science, domaines dans lesquels il est parfaitement incompétent.

Histoire

[Alors que vous embarquez dans un navire esclavagiste, vous croisez une loque, un homme qui croupit dans un coin, dans de beaux habits, il semble avoir passé la nuit à se remettre d’une soirée trop arrosée , les cheveux luisants, et il pue l’alcool, alors que vous vous approchez, il surgit de sa torpeur]

HEIN ? Quoi ?.... Oh je vois… [L’homme se redresse péniblement, se tenant le ventre, regardant vaguement autour de lui.]Laissez-moi devinez, je suis à bord d’un navire esclavagiste ? Je m’en doutais un peu… Je me présente, FélixPerrone… [Vous vous présentez en vitesse, interrogeant l’homme sur ce qui a pu le mener si bas.] Comment j’ai fini ici ? Ah ! [Il ricane] C’est une longue histoire… Mais je suppose que c’est un long voyage qui nous attend ! Je suis né de deux parents issus de familles marchandes dans la Capitale, dans le Quartier des Municon, il y a de ça vingt ans. Ils avaient beaucoup d’argent, et ils voulaient que leur petit Félix soit bien éduqué. Jusqu’à mes 12 ans j’ai reçu une éducation très intensive. Mais « Dans la famille, que des gens utiles ». [Il ricane en prenant une voix qui sonne exagérément désagréable.] Alors on m’a envoyé apprendre le métier d’Ethyliste. Un beau métier s’il en est ! Cependant j’aime aussi bien boire l’alcool que le produire et le vendre… J’aime même peut être mieux le boire que le vendre. [Il lâche un petit rire secouant la tête.] Donc à 16 ans, je suis sorti de chez mon formateur, je savais faire de l’alcool. Mon père était très content de moi, oui, il l’a été à ce moment, pour la dernière fois. Il a tenu à achever ma formation de « Bon Perrone ». Cela veut essentiellement dire que jusqu’à mes 18 ans il m’a appris les bonnes manières, comment faire un bon duelliste, ce genre de choses. Et le reste du temps ? [Il lâche un rire plus profond en poursuivant sa phrase.] Et bien le reste du temps, je trainais avec la pègre locale, un gendre de « frappes à barres », mais en moins exterminé, si ça vous évoque quoi que ce soit, on était un petit groupe, on organisait des combats clandestins et on faisait payer ceux qui avaient des dettes. Je couchais avec des femmes, je buvais, toujours fourrés dans les pires endroits, mon vagabondet se vidant et se remplissant à un rythme incroyable ! Car c’est ainsi que la vie me plait ! [Il se redresse, titubant.] Agitée et hasardeuse ! Bon… inutile de préciser qu’une fois ma formation achevée, mon père m’a donné de l’argent pour que je monte une affaire. Une brasserie ou je ne sais trop quoi… Et moi j’ai dépensé l’argent dans la luxure et les affaires obscures, j’ai gagné gros et perdu beaucoup ! Jusqu’au jour où je suis rentré avec ça. [L’homme soulève sa chemise déjà toute débraillée, montrant une profonde entaille sur son flanc.] Il a bien vu que quelque chose clochait. J’ai dû lui expliquer. Il l’a très mal pris. [L’homme s’approche d’une ouverture dans la coque, humant l’air marin.] Alors il a dit qu’il me soutenait car j’étais son fils, mais que j’étais un déshonneur pour la famille, que j’étais une bête, à peine digne d’avoir été créé par Arbitrio … Et moi je tentais vainement de me justifier. J’ai continué deux ans, m’enfonçant toujours plus dans ma décadence, tandis que je me faisais une réputation dans les coins mal famés. Et puis… je suppose que ce qui devait arriver arriva. Que ça soit ma famille ou des grosses têtes de la rue, quelqu’un a cru bon que je quitte la capitale. Hier j’étais, comme à mon habitude, dans une taverne, à festoyer entre deux charmantes créatures… Et puis j’ai dû en suivre une ou l’autre, ou quelqu’un d’autre… Ma mémoire me fait défaut. Je me souviens juste avoir un sac sur la tête et m’être pris un grand coup de pied dans le dos qui me fit tomber dans une barque. Et me voici ici ! [Intrigué par la bonne humeur du jeune homme, vous lui demandez ce qui provoque cette joie, suite à quoi il vous répond après un long soupire rompant la bonne humeur.] Je profite quelques instants encore de pouvoir faire semblant d’être joyeux. Je pense que bientôt ma vie sera à la limite du supportable, et je pense que c’est une façon pour moi de compenser mon passé. [Il lance un petit anneau à l’eau, l’air troublé.] Il est temps que je devienne un homme.