Utilisateur:Faragoo

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
faragoo
Pseudo
faragoo
Prénom IRL
Vincent
Âge IRL
16




Faragoo

Avant blessure.jpg
Avant la chute.

Description

Faragoo est un chasseur des grandes steppes du nord.
Il a toujours son vieux pantalon bleu, signe de reconnaissance des siens, et son haut gris, parfait pour se camoufler dans la neige.
Jeune adulte de 26 ans, il parle peu de sa famille et de ses amis, car sa lui fait du mal de savoir qu'il ne les reverra sans doute jamais.
Il a perdu la moitié de son visage dans un accident, ainsi que deux doigts en se frottant à plus fort que lui.
Analphabète, il essaye cependant d'apprendre à lire.

Compétences

  • Survie: Les grandes steppes du nord sont un endroit hostile, les enfants apprennent donc très jeune à survire aux dangers.
  • Combat: Le métier de chasseur demande une certaine habilité aux armes, donc au combat.
  • Force: Dans le nord, la vie est rude, et la force viens toute seule, avec une vie pareille.
  • Endurance: Les chasseur doivent parfois chasser pendant des jours, dans des conditions dur, très dur, l'endurance est donc primordial.
  • Connaissance de la faune: Tué un cerf et et croire qu'on a tué un bison, c'est un peu idiot, surtout quand on a interdiction de tué les cerfs, une bonne connaissance de la faune est donc primordial.

Talents

  • Fort: Dans son métier et sa région d'origine, il est rare que l'on soit faible
  • Débrouillard: Dans les déserts gelé du nord, on doit parfois survivre avec quasiment rien.
  • Généreux: Dans son pays natal, le partage est au centre de la communauté.
  • Bonne mémoire: Bien que sélective, sa mémoire lui fait rarement défaut.
  • Défenseur: Il déteste par dessus tous que l'on fasse un quelconque mal à quelqu'un qui ne peut pas se défendre, et il prendra sa défense, au péril de sa vie s'il le faut.

Défauts

  • Impulsif: Il est assez facile de l'énerver qu'en on sais quoi dire (ou faire), mais cela reste dangereux.
  • Analphabète: Savoir lire est peu utile chez lui, mieux vaut savoir tenir une arme.
  • Peu d'attention: Bien que curieux, il a du mal à se concentrer.
  • Manque de tact: Il ne tourne jamais autour du pot, ne ménage pas les gens, il est direct, un peu trop, même.

Intérêts culturels et goûts

Possessions

A peut près rien.

Histoire

Les immenses steppes froides de Vahnamaa, pour beaucoup, c'est un désert glaciale , un endroit sans aucune vie, où s'aventurer seul reviens à s'enfoncer un poignard dans le ventre. Pour d'autres, comme moi, c'est toujours un endroit hostile, mais c'est aussi un gagne-pain, un endroit ou le gibier est fréquent, car rare sont les personnes qui se risquent à une partie de chasse par ici.
Moi, je suis un chasseur dans un petit village perdu, la vie est dure, mais elle est tranquille et simple: Je chasse, je bois, je rigole et je dors.
Alors évidemment, chasser, c'est parfois dangereux: Un sanglier qui charge, des loups qui attaquent, et j'en passe...Mais c'est quand même bien marrant, et surtout, sa maintiens la santé (ou pas en fait)!
Pour moi et mes amis, la chasse, c'est plus qu'un sport ou un métier, c'est une religion! On a créé des techniques super-sophistiquées! Et on sait même pas lire!
La première technique, c'est les vêtements: on a un haut gris très clair pour se fondre dans la neige, et un pantalon bleu, pour pas se faire tirer dessus par nos alliés, mais je vais pas m'étendre là-dessus.
Après, pour moi qui est les cheveux sombres, il me faut aussi une capuche, pour pas me faire repérer.
Ensuite, il faut un certain placement: les archers plutôt loin, pour tuer les bêtes qui s'échappent, les épéistes, comme moi, tous autour des bêtes, et des guetteurs, pour éviter les attaques de loup.
Cette technique marche plutôt bien, et elle nous permet de rapporter beaucoup de viande, pour aller les vendre au marché.
Allez au marché, c'est réservé aux hommes, au vrai, pas les jeunots comme nous, parce que c'est dangereux, très dangereux: En plus des loups, y a les bandits, on sais pas ce qu'ils veulent, mais ils attaquent les convois, sans tuer, sans voler les ressources, juste les hommes, on ne sait pas pourquoi, ni ou ils les amènent, mais ils reviennent jamais. Moi, ce sera bientôt mon tour, mais j'ai pas peur.

Une partie de chasse, pour certains, c'est une boucherie, pour d'autres, c'est une nécessité, mais pour nous, villageois du nord, c'est un art.
Tout d'abord, on s'habille pas n'importe comment: haut gris clair et pantalon bleu, la couleur du pantalon est faite pour être vu par les alliés, et si c'est lui et pas le haut qui a cette couleur, c'est simplement qu'il est plus simple de cacher ses jambes dans la neige, et c'est pour ça que le haut est de cette couleur: pour se fondre dans le décor.
Ensuite, les armes: Légères, efficace et surtout, en bon état, car on se doute qu'une dague qui cassé est peu utile contre un sanglier de presque 200 Kg.
Parmi les meilleures armes on retrouve: La dague, la dague longue, et aussi l'arc, qui est de plus en plus utilisé.
Moi, je préfère la dague longue qui est, de mon avis, l'arme la plus polyvalente, car elle a une bonne portée, frappe fort et elle est légère.
Pour la technique de chasse, c'est aussi complexe:
Les archers se placent à bonne distance des animaux, pour pouvoir les abattre s'ils tente de fuir, ou si sa tourne mal.
Ceux qui ont les dagues longues se placent derrière ce qui ont une dague courte, car ils ont une plus grande portée, et ils peuvent les couvrir.
Enfin, ce qui ont une dague courte sont en première ligne, car ils ont peut de chances de ce blessé en chargent.
Et puis, une expédition a aussi ses annexes pas si annexe:
Le soigneur et son assistant.
Deux brancardiers.
Le cuisinier.
La charrue et deux porteurs, pour la viande et les peaux.
À la fin d'une campagne de chasse, on rentre au village, et on fait la fête toute la nuit, et le lendemain, on fait nos adieux à ce qui vont au marché, puis on fait la fête en leur honneur.
S'ils reviennent, on refait la fête, et s'ils disparaissent, on célèbre leur courage...en fessant la fête.
Bref, vous l'aurez compris, chez nous, sang et alcool coulent à flots.

Cette fois, c'est la grosse fête: Je suis enfin un homme! Et cette fois, pas de saison de chasse pour moi: je suis sélectionné pour le voyage jusqu'au marché!
J'ai passé la saison terrée dans ma tente, mais le moment est venue, je vais y allez. Pour fêter notre départ, on s'est bien saoulé, et on est patrie!
Pendant la fête j'ai sympathisé avec un vétéran, et après il m'a expliqué comment le voyage allez se passer.
-Au début, c'est tranquille, les bandits et les loups ne s'approchent pas du village. Argumenta-t-il
-Et à quel moment sa devient dangereux?
-Quand on va passer dans les bois.
-Et avant, on ne risque rien? Lui demande ai-je.
-Non, nous somme nombreux, nous attaquer en plaine serait de la pure folie.
-Mouais, et sinon, on transporte pour combien de pièces?
-Pour beaucoup, mais la valeur change d'une fois sur l'autre, donc je ne sais pas exactement. -Ah, et qu'est que se vend le plus cher, les peaux ou la viande?
-Les peaux, elles sont de bonne qualité, ça peut valoir parfois plusieurs pièces d'Or.
-Ah oui, ça a de la valeur.
-Oui, mais arrêtons de parler, regarde, une charrue ces coincer dans la neige, allons aider.
Pendant que nous sortions la charrue, je me rendis compte que l'idée de mourir ne me tourmenter plus, sans doute que la présence de vétérans me rassuraient.
Après avoir ramassé les peaux qui étaient tombées pendant l'accident, nous somme repartie, mais l'ambiance me semblait plus froide, plus dur.
-Y a un problème? Ai-je demandé.
-Oui, les bois sont plus très loin, c'est là que ça va vraiment commencer.
Il disait vrai, quelques heures plus tard, les premiers arbres sont apparu, majestueux et menaçant.
Au début, c'était plutôt tranquille, et malgré une attaque de loups, le convoi a continué.
La sortie du bois était en vue, la fin de l'enfer!
Mais, à la sortie, une charrue retomba dans un trou.
-Pfff...Encore.
-Non, cette fois ce n'es...
Il ne termina pas sa phrase que des bandits surgir de partout, la neige se soulever, les arbres pleuvaient des bandits.
Les tués n'étaient pas durs: Il cherchait à nous avoir intactes.
J'en ai tué un, puis blessé un second, mais en voulant l'achever, j'ai reçu un coup dans la tête.
Tous à bougé, et je suis tombé, dans la neige froide, réchauffé par le sang.
Encore conscient, j'entendis un cri: Celui de mon ami, trop coriace, les bandits venaient de le tué.
-Non. Dis-je avant de sombrer dans inconscience.
À mon réveil, J'avais mal partout, mais surtout à la tête.
Le temps de reprendre mes esprits, et je me rendis compte que j'étais dans une prison!
-Gardien! Crie ai-je.
-Oui?
-Qu'est que je fais ici?
-Tu as été vendu comme esclave. Et maintenant mange, tu dois être en bonne santé pour la vente.
Vendu! Voilà donc ce que les bandits fessaient des miens, ils les vendaient!
Résigné, seul, je m'assis au fond de ma cellule, et, en pleurant je mangeais mon pain, sans penser à mon devenir.