Utilisateur:Gerwald

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     Gerwald
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
jerem571
Pseudo
Jerem
Prénom IRL
Jérémy
Âge IRL
17 ans





Description

Gerwald Arasur a toujours vécu dans la capitale. Il naquit au sein d'une famille aisée, son père marchand et sa mère libraire lui permirent de vivre une enfance sereine et agréable dans la cité en plein effervescence. Les aptitudes et les connaissances de ses parents lui permit d'apprendre les mathématiques, l'écriture et le dessin.

Durant ses nombreuses promenades dans la Capitale, il s'émerveillait devant les grandes bâtisses et les fortins, c'est ainsi qu'il se découvrit une passion pour l'architecture et l'élaboration de bâtiments, de ponts, de forts ou de remparts.

Il fut donc confié à un vénérable maître d'oeuvre en tant que disciple qui le forma à l'architecture et aux techniques de construction pendant une dizaine d'année pour qu'il puisse à son tour devenir maître d'oeuvre.


Gerwald Arasur à ses 32 ans n'est pas bien imposant du haut de ses 5 pieds et demi et de ses 60 kg. Ses yeux verts foncé, ses cheveux bruns et sa barbiche cachant son menton carré lui donne un air plutôt renfrogné.

Néanmoins, outre son physique, il est plutôt aimable. Perfectionniste dans ses tâches, il aime le travail bien fait, ce qui lui donne parfois quelques tracas avec ses ouvriers ou d'autres maîtres d'ouvrage, il sait se montrer créatif et ingénieux dans l'élaboration de bâtiments et sa capacité à faire des plans détaillé lui évite bien des erreurs durant les constructions. De nature grippe-sous, il aime vivre aisément sans avoir à de manquer d'argent. Croyant Monarchiste, la théologie l'as toujours inspiré dans sa vie quotidienne. Il a un goût prononcé pour la lecture qu'il tient sans nul doute de sa mère, il se fit une véritable petite collection de livre de philosophe, historiens ou de fabulistes.


Peinture portrait en pied par un peintre de la Capitale

Aptitudes

  • Encrier001.png Alphabétisation
  • Calcul.png Calcul

Talents

  • Croyant : Monarchiste
  • Cultivé, apprécie beaucoup les arts, l'écriture et la peinture
  • Possède une réel passion pour l'architecture, les bastions, les forts, les ponts, les remparts ...
  • Raisonnable : Gerwald s'efforce d'avoir un comportement rationnel et réfléchi
  • Poli

Défauts

  • Perd ses moyens dans les situations d'urgences.
  • Très perfectionniste, lui causant quelques problèmes avec ses ouvriers ou avec d'autres maîtres d'ouvrage.
  • Parcimonieux .... quelque peu.
  • Peu habile en maniement des armes.
  • Aucun sens de l'orientation.
  • Quelque peu ambitieux ... qui ne l'ai pas ?

Intérêts culturels et goûts

Gerwald aime beaucoup découvrir de nouveaux paysages et de nouvelles architectures.

Histoire


Chapitre 1:


La matinée était baigné dans la quotidienne rosée. L'atmosphère était fraîche et l'on pouvait apercevoir le soleil à travers la brume qui napper la ville. Des bruits commencèrent à surgir des maisons, des marchés et des forges annonçant le réveil tumultueux de la Capitale. Pourtant Gerwald était déjà levé depuis l'aurore et se hâtait d'achever tous les préparatifs pour son départ.

Il emporta avec lui de l'encre, des plumes, du papier, des instruments de mesures, des livres, des vivres tel que du vins, du porc salé et du pain pour le voyage. Il prit la précaution de correctement fermer à double tour chaque pièce et à fermer les volets, on n'ai jamais trop prudent,de nombreux malheureux ont vu leur maisons vides de retour d'un petit voyage au delà de la Capitale. Il descendit au rez de chaussé où des caisses empilé les uns sur les autres étaient jonché par ci par là. Il regarda un moment se Capharnaüm avant de demandé à son cocher de ramener ses affaires sous la bâche de la carriole, ses dernières avait soigneusement entreposé dans de larges caisses de bois pour évité une quelconque dégradations durant le trajet.

"Plus vite ! Cela fait un moment que je t'ai demandé de ranger tout cela, non ? je ne te paye pas à rien faire ! Nous devons être partit avant la mi-journée !" pressa-t-il.

Le cocher à la carrure imposante et au regard benêt du nom de Asgeir se mit à bredouillé : "Oui ! Hum ! Excusez moi ! ça n'se reproduira plus" avant d'attraper les boîtes qu'il fit violemment tombé au sol se qui énerva quelque peu Gerwald.

"Par Arbitrtio ! Mais quel crétin me l'a refilé celui-là ? c'est n'est pas comme si j'ai deux semaine de route avec lui" lâcha-t-il avant de monter dans le chariot posté devant à la maison en face de la porte d'entrée. il considéra celle ci un moment en ayant en tête qu'il ne l"ouvrira pas avant quelques temps.

C'était la première fois qu'il devait mener à terme un chantier aussi loin de la capitale et cela le rendait quelque peu nerveux. Il devait se rendre à Odense où il aura la charge de bâtir avec deux autres maîtres d'oeuvre de la capitale de nouvelles fortifications et d'en renforcer celles qui seront jugé trop vieille ou en piteuse état. En fait, il ne savait pas vraiment pourquoi il avait accepter d'aller travaillé là bas si loin de son chez lui... peut-être la lassitude d'une vie un peu monotone dans la capitale ? L'envie de découvrir de nouveaux paysages, de nouvelles architectures, de nouvelles remparts. Dans tout les cas il avait accepté et il était le dernier à partir de la capital, un fait qui semblait l’horripilé, lui qui avait horreur d'être en retard.

"Hia !" s'écria Asgeir.

Le claquement de fouet fit sortir le maître d'oeuvre de ses pensées, les deux chevaux attachés au véhicule se mirent alors dans un puissant hennissement à faire avancer le chariot au rythme de leurs sabots frappant le pavé tandis que le cocher tenait fermement les rennes pour conduire Gerwald et ses petites affaires en direction des portes de la ville. Tout doucement, la capitale rétrécissait à mesure que le soleil exécuter dans le ciel son éternelle ronde. Quand l'astre poursuivit sa route d'un rouge profond à poursuivre à travers l'horizon pour finalement disparaître au regard des voyageurs, la Capitale n'était plus qu'un amas lointain de remparts et de maisons fumantes. Le maître d'oeuvre ballotté de droite à gauche par les aspérités de la route sombra dans un sommeil sans rêve, fatigué de cette journée et curieux de celle à venir.


Chapitre 2:


Cela faisait une semaine que Gerwald et son cocher Asgeir se dirigeaient vers Odense, les douces et fraîches plaines vertes avaient laissé place à des plateaux au climat plus froid et sec, à la gauche du chariot, on put la Scudana, long fleuve tranquille continuant de serpenter vers l'amont loin derrière l'horizon permettant ainsi aux voyageurs de ne pas perdre dans les vastes contrées du royaume. La carriole s'arrêta dans un petit village, les quelques habitants passant par là lancèrent des regards inquisiteurs à ses nouveaux étrangers.

"Faut que les chevaux s'repose" fit Asgeir.

Les deux équidés continués leur lente course à travers les rues boueuses du petit bourg.

-Ne pourrions nous pas attendre le prochain village ?" répondit Gerwald qui n'avait aucune envie de séjourné ici.

Il considéra un moment les chevaux puis les maisons autour d'eux.

-Une village ? il y en aura pas avant un bout de chemins, on n'a plus rien en nourriture et ici tous les villages s'ressemble ici.

-Bon ! Trouvons alors au moins une auberge soupira Gerwald.

Une grande battisse sur deux étages avec mansardes attira l'attention de la carriole, un écriteau de bois sur lequel était dessiné une chope de bière et un lit indiqué une auberge.

Asgeir détacha les chevaux pour les mettre dans un enclot accolé à l'auberge, Gerwald préféra ne pas l'attendre et alla directement à l'intérieur de l'auberge pour réserver une chambre.

Une forte odeur de bière et de lard emplissait le rez de chaussé, des hommes qui riaient et buvaient était assis sur des tables éloignés de l'entrée, des femmes étaient également assisse sur leurs genoux, habillé avec le larges décolletés, certainement des prostituées qu'ils payeront pour la nuit. Gerwald regarda la table d'un mauvais yeux, avant de se diriger vers le comptoir disposé au fond de la salle mal-éclairé. Ayant lu de nombreux ouvrage de théologiens, il était assez pieux et n'apprécier pas l'idée de payer des femmes pour coucher avec comme si elle n'était qu'un objet.

Un vieil homme le reçu :

-Oui ?! C'est pourquoi ? Fit l'aubergiste d'une voix rauque et violente, ce qui déplut quelque peu à Gerwald, lui qui ne côtoyer de tel lieux très rarement.

-Bonsoir, je voudrais une chambre, demanda-t-il, j'ai suffisamment de quoi payer.

-Mais j'en doute pas mon bon monsieur ! Je vais vous trouvez ça, répondit alors l'aubergiste d'une voix mielleuse et guindé, vous voulez autre chose ?

-Oui ! une bière, merci.

Non pas qu'il ne buvait jamais d'alcool, mais il préférait être sobre durant ses heures de travail et ... il travaillait souvent. Il alla s'asseoir à une table opposée à celle du groupe d'hommes avinés. Asgeir après avoir terminé de s'occuper des chevaux vint s'asseoir à son tour à table et commanda également une chope de bière.

Gerwald se sentait mal à l'aise, il se sentait observé du coin de l'oeil. Quand soudainement, un des hommes du groupe vinrent les abordé:

-B'nsoir ! J'vous est jamais vu ici ! Vous z'êtes en voyage ?

-Oui, nous ne faisons que passait ici

-Ah bon ! Vous allez où ?

Gerwald le regarda un moment, il lâcha un regard derrière, des hommes le fixa également, il n'osa pas tourné son regard vers Asgeir, il n'aimait vraiment pas l'aspect intrusif de celui-ci:

-Nous allons vers le Sud, j'ai de la famille de la bas, menti Gerwald, espérant avoir été suffisamment convaincant.

L'Homme continua de la fixer, il scruta un instant son regard avant de lacher:

-J'offre une tournée pour moi et mes bons amis s'écria-t-il sans détourner ses yeux, le groupe quant à lui poussa un cri de joie à leur compère qui leur offrait si généreusement de la bière.

La soirée passa, asgeir alla dormir dans la carriole pour ne pas risquer de ce faire voler. Et Gerwald monta à l'étage où une chambre lui avait été préparé. Il dormit mal.


Chapitre 3:


ils repartirent le matin suivant, ils avaient acheté la nourriture des boissons pour la route. En descendant au rez-de-chaussée, Gerwald ne trouva personne. Il marche jusqu'au comptoir puis il frappa à grands coups sur la planche de bois. Il regarde un moment autour de lui puis après quelques secondes d'attente, une silhouette émergea de la porte qui se trouvait derrière le comptoir. Le vieil homme de la veille regarda un moment Gerwald :

-Oui ? Qu'voulez-vous ? Fit l'homme d'un ton peu joviale.

-Je désire payer la nuit et la nourriture. Répondit sèchement Gerwald.

Il sortit sa bourse et déposa quelques pièces d'or sur le comptoir, l'aubergiste les saisir puis après les avoir inspecté, les mirent dans sa poche.


Quand Gerwald sortie de l'auberge, Asgeir l'attendait à l'intérieur de la carriole déjà prête à reprendre le chemin. Gerwald n'était pas mécontent de quitter ce petit bourg sinistre. Ils continuèrent leur route vers Odense. Le ciel se couvrit et une fine pluie se mit à tapoter sur le tissu du chariot. Après quelques heures de route, sur le chemin boueux et sale.

Asgeir aperçu une silhouette loin. À une vingtaine de mètres seulement, Gerwald reconnu avec stupeur le visage de l'homme qui avait désormais ôté sa capuche. C'était l'homme de la taverne, un frisson parcourut alors le dos de Gerwald qui est pu qu'avoir un mauvais pressentiment.

-Eh bien ! Le monde est p'tit !

Asgeir qui tenait alors les rênes attrapa dans son dos une hache qu'il sera fort dans sa main qu'il s'efforça de dissimuler à la vue de l'étrange individu.

-Les routes n'sont pas sûres vous savez, on peut tomber sur des brigands ... voir pire.

Gerwald put alors discerner un rictus sur la face de l'homme aux allures de plus en plus menaçantes qui se rapprochai doucement de la carriole.

Des bruits se fit alors entendre derrière les arbres et les buissons avoisinants la route. Gerwald comprît qu'ils avaient été suivi depuis leur départ du village et les intentions de l'homme qu'il avait en face de lui il était encore inconnu même s'il savait qu'il n'était point là juste pour juste leur tenir compagnie. L'homme fourra alors sa main sous sa cape et un bruit métallique se fit entendre. Ce son résonna dans la tête de Gerwald annonçant un sinistre événement. Tout se passa alors très vite, asgeir dans un élan de courage et très certainement peur sauta de la carriole et fonça sur l'individu avec sa hache. Gerwald écarquilla les yeux, que faisait cet abruti ? Quand soudainement, un bruit de lame fendit l'air et un son atroce parvint à Gerwald. Une lame ensanglanté traversa l'abdomen du cocher lui arrachant à l'occasion un long et douloureux râle. Asgeir s'étala au sol, son sang commençait déjà à se déverser dans une flaque boueuse et pourpre. Désormais, l'abominable individu enjamba la pauvre cocher. Une dizaine d'hommes sortirent des fourrés et qui s'approcha à grands pas du chariot, attrapant les rennes des chevaux avant que Gerwald puisse faire quoique se soit. Il était alors révulsé, apeuré et traumatisé devant l'horreur de cette situation que une multitude d'émotions lui traversa en un instant l'esprit, c'était la première fois qu'il voyait quelqu'un mourir devant ses yeux, tué par la main d'un homme. C'est alors qu'il sauta de la carriole. Il n'aurait pu dire la raison de cette réaction qui pourrait sembler à première vue insensée, il aurait pu resté là tétanisé à l'idée du sort que l'on pourrait lui infliger, c'est peut-être l'instinct de survie qui prit le pas sur les émotions de terreur, lui faisant accomplir des actes insensés.

Il courut en direction des fourrés, déjà des bruits des pas et des cris retentirent derrière lui.

Le sol mouilllé et le dénivelé le fit dérapa, il tomba violemment sur une pierre.


...Noir...


.... Sa tête lui faisait atrocement mal. Il se rendit soudain compte qu'il n'était plus sur la route, il faisait noir, humide et un bruit d'eau parcourait parcourait les mur de bois. Le plancher tanguer, bouger de droite à gauche. Il ne comprenait rien. Où était-il ? Que faisait-t-il ici ? Où était sa carriole ? Où était son cocher ? Ses affaires ? Il ouvrit grand les yeux ... Il se souvint. Mais pourquoi avait-il des chaînes autour des poignets et des pieds.

Ses yeux s'habitua tout doucement à la pénombre. L'odeur était insupportable, il faillit vomir, d'autres personnes était là, autour de lui, des gémissements était perceptible, il ne parvenait pas à distingué leurs visages, au-dessus d'eux, une grille et des voix hurlaient. Il était dans un bateau.

Après un certain temps. Un homme vint l'amener sur le pont avec d'autres prisonniers qu'il aligna en rang. Un autre homme apparut, à son accoutrement c'était certainement le capitaine, celui-ci les examina, le navire où se trouver Gerwald était encore amarré à un quai. Sur celui se trouvait qui avait tué Asgeir, son cocher, Gerwald n'en pouvait plus et explosa:

-ENFLURE ! TU L'AS TUE ! S'écria-t-il, bien qu'il n'avait jamais vraiment apprécié son cocher, la mort de celui-ci lui était insupportable, il ne méritait par un destin aussi tragique et sur le coups il se sentit coupable de l'avoir par la force des choses amené à cela.

L'homme lui sourit et celui qui l'avait fait monter sur le pont lui flanqua un coup de poing dans le ventre, le faisant tombé. Le capitaine s'approche de lui:

-Tu sais lire et écrire, il y'avait des livres et des plans dans ta charrette !

Gerwald se releva doucement, essoufflé par la douleur et par la colère, le capitaine continuer à le fixer.

-J'pense que je pourrais en tirer un bon prix, sourit le capitaine qui commanda qu'on le ramène dans la cale avec les autres.

Et après un moment d'absence, son visage devint livide, il venait de saisir qu'il allait être vendu esclave et qu'à cet instant il ne pouvait s'en remettre qu'à Dieu.