Utilisateur:Hamilax

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
matthieu0397
Pseudo
Hamilax
Prénom IRL
Matthieu
Âge IRL
16




Hamilax

Description

Il se nomme Hamilax Theophanes de La Renardière.Il a 21ans et il est originaire de Caroggia à Huratelon. Il est issue d’une famille aisée. Il a 4 frères (Ykaris, Dragonis, Elionis, Ivaris).Il n'a jamais vu Ivaris de sa vie.

Compétences

Survie: Ayant passé ses journée dehors avec ses frères , il a développé une capacité à survivre seul ou en groupe. Créativité: Il a toujours aimé dans son enfance créer et inventer avec les moyens du bord. Force:L'entrainement acharné des combat lui a permis d'être fort. Minutie:La créativité de ses pièces à entrainé le développement d'une certaine minutie.

Talents

Une forte mentalité:suite à des évènement éprouvant lors de son enfance , il a su développer un caractère à toutes épreuves. Honnête:Il ne mentira jamais,il respecte ses convictions et assume toujours.De plus,il n'est pas voleur. Endurance : il peut rester a travailler une armure pendant des heures.

Défauts

Son honnêteté fait qu'il peut se montrer parfois trop direct(en restant poli),ce qui ne plait parfois pas du tout.

Intérêts culturels et goûts

Aime la bonne nourriture et le bon vin. Apprécie aller voir de temps à autres les combats ou duels. Aime passer du temps en silence à travailler ses création dans son atelier d'armurier.

Amis déclarés

Elionis Dragonis

Ennemis déclarés

Aucun

Histoire

« Ma vie d’avant »

Je suis Hamilax, l’avant dernier fils de la famille Theophanes de La Renardière. Je vis à la maison avec mes trois frères car l’ainé est parti il y a bien longtemps et nous ne connaissons de lui que son prénom : Ivaris. Nous sommes tous des adeptes des travaux de plein air dans la famille, on doit tenir ça de notre père, qui a toujours été fier de nous il faut dire. Nous reçûmes une solide éducation dès notre plus jeune âge et nous apprîmes à écrire, lire et à se battre pour un jour défendre notre cité comme nous l’a appris notre père. Nous pratiquons tous le culte de l’Arbitrion que je respecte. Notre grand frère (Ykaris) je l’ai toujours admiré car ce fut le premier à apprendre son métier. Je m’imaginais, moi, rêveur pratiquer mon métier d’armurier. L’envie d’être armurier me vint de mes deux petits frères qui passaient leur journée non loin de la maison à chercher des pierres brillantes qu’ils estimaient et me vendaient en échange de pierres travaillées : ils me fournissaient et je me débrouillais pour les tailler avec des bâtons et autres objets trouvés par terre qui me servait d’outils. J’ai toujours eu un esprit créatif comme ma mère me répétait toujours et c’est ce qui me permis d’inventer de nouvelles formes et de nouvelles techniques pour confectionner des outils et armes(elles n’étaient pas pour autant très solides…). Comme chaque matin, je fus réveillé à l’aurore par mes deux petits frères, qui couchaient dans la même chambre que moi, préparant l’expédition en quête de nouvelles pierres pour la journée. Ce jour la, Ykaris et moi décidons de les accompagner dans leur expéditions. Une fois arrivée sur le lieu de la fouille, Dragonis et Elionis s’engouffrèrent dans la grotte tandis qu’Ykaris m’entrainait aux techniques de combat : j’approchais la majorité et il fallait m’entrainer. Epuisé d’un intense entrainement, je décidais d’arrêter pour aujourd’hui. Assis sur un rocher on pouvait distinguer les voix de mes deux frères rivalisant de leurs trouvailles. Ykaris appela mes frères pour rentrer mais ils ne nous entendirent pas. Nous reprîmes deux, trois techniques d’esquive, rien de bien difficiles histoire de s’occuper et j’aperçus la tête d’Elionis noire de charbon sortir des grottes en m’appelant : « Hamilax vient nous aider à sortir ! » Je fus bien content de voir les cristaux que mes frères avaient ramenés : je pourrais enfin finir les décorations de mon plastron. Sur le chemin de la maison, mes deux frères avaient encore de l’énergie à revendre et essayez temps bien que mal de nous métriser moi et Ykaris. Je sentis de loin la bonne odeur du sanglier, à peine chassé par mon père, revenu dans des marrons : nous raffolions de ce plat. Nous allions encore divinement bien manger ce soir. Ceci fait, c’est rempli à ra-bord que nous regagnions nos lits respectifs pour dormir. Mais la nuit ne fut pas de tout repos : un groupe de brigands assassina mon père, enleva ma mère avant de bruler la maison. Ykaris et moi nous sommes battus toute la nuit pour protéger nos frères. Un coup bien porté sur notre tête nous mis hors de combat. Le lendemain j’étais seul, étalé dans la cour devant la maison encore fumante. Ou était mes frères ? Ma mère ? Je partis donc faire un long voyage à la recherche d’une vie, d’un travail, loin d’ici.



« Armurier, un métier d’exception ! »

Voilà 5ans que j’eu fini ma formation d’armurier et que je n’avais pas revu les miens : suite à l’assassinat de mon père et l’enlèvement de ma mère, nous fûmes obligés de quitter le foyer et de nous séparer pour vivre chacun notre vie. Nous ne sommes jamais rentrés en contact depuis ce jour. J’étais désormais à mon compte loin de la cité des Huratelons et je formais mon propre apprenti. Il me ressemblait, j’étais pareil à son âge. J’ai réussi ma nouvelle intégration : je suis reconnu dans la ville entière pour la minutie et la finesse de mes créations. De plus, mes équipements sont très utilisés lors des parades militaires et autres manifestations publiques car les armures sont d’une grande richesse. Je suis invité régulièrement par les riches familles de la ville pour exposer mes nouvelles dagues, épées et autres armes de guerre. Ils sont très attirés par mes créations car je leur grave la personnalisation de leur choix sur le produit qu’ils achètent. Je suis le seul à proposer un tel choix. Mais bon, cela ne fait pas pour autant mon bonheur. La ville dans laquelle je me situe est proche d’une carrière de pierres précieuses. Mes deux frères auraient surement beaucoup aimé sortir des caisses de pierres chaque jour et de me les amener pour que je les travaille. J’aurais aimé exercer mon travail entouré des miens, comme une petite entreprise en quelques sortes. J’aime mon métier, je crée chaque jour de nouvelles pièces et transmet ma passion à de nombreux apprentis. Mon apprenti actuel est le fils d’une des familles la plus riche et la plus puissante de la ville : c’est le fils du secrétaire du gouverneur. Il n’a pas souhaité s’engager dans la politique mais a préféré le côté manuel du travail ce que son père n’a pas réfuté. Il est bientôt prêt a se lancer dans sa propre boutique, je pense finir sa formation au prochain marché : il ne lui manque plus qu’à prouver qu’il est bon en affaire. Nous forgeons donc les nouveaux casques incrustés d’émeraude qui se vendent à plusieurs Espers de diamants. C’est le produit le plus haut de gamme que je forge, et aussi le plus dur : la moindre erreur pourrait abimer l’émeraude et me faire perdre de l’argent ainsi que de la réputation. Armurier, quel beau métier !


«Un jugement injuste, esclave d’Huratelon »

Nous voici aux alentours de deux heures du matin, la route est longue, il nous faut donc nous lever très tôt pour espérer arriver au marché peu après l’aube. Nous rangeâmes délicatement le matériel dans des coffres. Nous les chargeâmes sur la charrette. Le temps de me rendre chez un ami qui me prête ses bœufs pour tirer la charrette, lui payer la location de ses deux bêtes et de les atteler, nous sommes prêts. En pleine forêt mon apprenti fixait l’horizon et crut apercevoir quelque chose. Je lui répondis que ce devait être un animal et qu’un chasseur serait content de le trouver. Mais ce n’était pas un animal et nous le vîmes à quelque lieu d’ici. Un groupe de brigands pillait les commerçants qui passaient par ici pour rejoindre le marché. Ils arrêtèrent les bœufs et ils nous ordonnèrent de leur remettre l’intégralité de la charrette. Cette charrette représentait un mois de travail et d’investissement pour enfin vendre notre matériel. Je regardais mon apprenti et lui fis comprendre que nous n’abandonnerions pas cette charrette. Je pris mon épée et lui la sienne et nous nous engageâmes dans un combat en pleine forêt contre ces brigands. Hélas ils étaient trop nombreux et ils prirent le dessus sur nous mais pas sans peine. Une fois de plus, un brigand m’assomma… En me réveillant, je vis le soleil assez bat dans le ciel ce qui m’indiqua que cela faisait bien longtemps que j’étais endormi. J’étais attaché à un arbre incapable de bouger. Je repris mes esprits tous doucement et là, je vis mon apprenti gisant au sol dans une marre de sang. Je ne savais que faire, je ne pouvais pas bouger et je ne pouvais pas crier. Nous sommes trop loin de la ville, qui m’entendrait ? Après une très longue attente, un commerçant revenu du marché, passant par ici, vit mon apprenti mort .Il fut prit de panique et rebroussa chemin, surement pour alerter la garde. Une patrouille arriva, me vit attaché à l’arbre et elle comprit que je ne pouvais donc pas avoir tué l’apprenti. Elle me ramena en ville et là, le secrétaire du gouverneur me fit mettre en geôle. Je lui demandai pour quel motif et là, furieux, il me répondit que si j’avais laissé les brigands s’emparer de ma charrette son fils ne serait pas mort. Le jour du procès arriva. Il ne fut pas du tout en ma faveur, le secrétaire du gouverneur s’arrangea pour que j’écope d’une lourde peine : je fus condamné à être offert avec un groupe d’esclaves. Je ne savais pas où mais j’appris à la fin de mon procès que je serai esclave dans une contré lointaine : Esperia.