Utilisateur:Hypnis

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     Hypnis Ifoluar
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Atalin
Pseudo
Atalin
Prénom IRL
Alexandre
Âge IRL
17ans




Description

Description physique : Il est mince et ne possède pas la force et la carrure du peuple du Nord, Sa musculature est donc fine comme son visage, Il est habillé tout en marron et possède une balafre rouge à son œil, Il est grand (1m80) mais très léger (60 kg), Il est bègue

Description mentale : assez fougueux, Hypnis possède une grande curiosité, il aime apprendre même si sa soif ne peut être étanchée avec le peuple du nord, Il est malin débrouillard, mais aussi très timide, peureux et lâche… (Il est du coup bègue, puisque toujours effrayé) Il déteste la violence sous toutes ses formes et la déplore dans sa culture, il est assez arrogant, et aussi menteur (quand il ment il a tendance à mordre sa lèvre supérieure). Il est nul avec les femmes, qu’il vénère pourtant (il adore écouter les prêtresses de la déesse des 7 mers). C’est un personnage solitaire qui aime l’aventure et la découverte qui lui permettent d’affronter ces peurs. Seule la curiosité le fait rester en vie, c’est un personnage triste, déprimant et déprimé ! Qui méprise l’homme et sa superficialité C’est également un amoureux de l’art (tout du moins le peut qu’il est pu voire l’a intéressé) et surtout de la poésie et du chant qui lui permet d’oublier son handicape linguistique Culinairement parlant ,il adore les dobitchous (Il en vol à sa mère en secret^^)

Compétences

  • Minéralogie
  • Minutie
  • Créativité
  • Orfèvrerie

Talents

Fort dans la composition de parole et de poème

Intérêts culturels et goûts

Poésie, peinture, chant et musique

Histoire

Hypnis ne vient pas du nord, cela est certain, Il a été adopté quand il avait deux ans par une famille du peuple du nord, suite à l’abandon par un voyageur de celui-ci. Au nord ,il ne s’est jamais senti comme chez lui, On le surnommait le gringalet, il ne possédait ni la force ni violence caractéristique de ce peuple, en revanche il possédait une grande foi vis-à-vis du culte de la déesse aux sept mers et tous particulièrement à Lugnaròa, la sagesse qui par ces prières l’apaise. Son but est simple devenir érudit, Il est passionné par c'est explorateur, ces scientifiques qui ont parcouru le monde et découvert tant de chose, il adore ces héros de livres. Il était convaincu que retrouver son père l’aiderait peut-être, Il n’avait que pour seul souvenir de lui un parchemin ou il était inscrit son nom (la seule chose qu’il sait lire et écrire) et sa date de naissance le 1er septembre de l’an 496. Son père adoptif voulait qu’il devienne forgeron, lui voulait devenir autre chose, il voulait être important, il voulait être un changement, cela a été à l’origine de nombreuse tentions dans la famille, il considère d’ailleurs qu’il n’a pas eu de famille, qu’il est voué à la solitude c’est pourquoi il a fugué, … Il réussit à rentrer dans une petite boutique de bijou à Baenum Sigur à l’âge de 16 ans, sa passion étant de réparer d’anciennes montres à goussets. Sa vie a été paisible et monotone, peut-être trop pour lui, il n’a aucun ami et est tombé amoureux une seule fois quand il avait 10 ans (amour tragique la fille ayant succombé à un froid mordant à l’âge de 9 ans), sa fait maintenant un an qu’il y travaille dans ce magasin, un an qu’il a coupé tous les ponts avec sa famille adoptive qui le considérait comme un bon n'a rien. Sa vie ne lui suffit plus, il veut ses racines, il veut découvrir le monde et ses splendeurs, Il veut vivre


Samedi 01 /01/513

Hypnis: « La foret a une âme, je l’envie … »

Il était seul, Hypnis attendait sur un rocher, Il était seul… Et il attendait ainsi au bord d’une rivière. Qu’attendait-il ? La mort, le temps ou bien l’avenir, Il attendait et c’est la chose essentielle ! Dans cette forêt de pins sombres, couronné d’une brume blanchâtre et spectrale, Hypnis restait assit, il pensait, il pleurait… Il faisait nuit, Il n’y avait aucun bruit mis à part le souffle du vent frais, Il n’avait pas froid, dessous de ses peaux tannées par le temps… Il pleurait, de légers flocons commencèrent à le recouvrir ! Mais déjà ses sanglots se tarissaient, il regarda la lune qui était ce soir à son apogée… Il pria la déesse des 7 mers, en regardant cet astre resplendissant de beauté… Il la pria et il chanta pour elle ! Il chanta une de ses chansons, une qu’il avait écrite lors de sa fugue :


Je suis là

Las
Auprès de cette falaise
A genou face à l'étendue
J'attends là

Las
Que mon cri de malaise
Veuille sortir de mon âme vaincue
Je pleure là

Las
Tous les vices de destiné
Je hurle ma douleur
J'entends là

Las
Les échos, les regrets
Vous m'arrachez le cœur
Mais je reste là

Las
Fatigué de partir
De faire semblant
Je suis las
Las

Je ne souhaite plus vivre
J'envie le firmament
Je demeure las

Las
Je m'approche du bord
Tombe ma vie, tombe mon corps
Je suis las

Tellement las
Un pas, et j'enlace la mort

Il chanta jusqu’à ce que la fatigue l’enlace, jusqu’à ce que le sommeil l’étreigne…Il ne pouvait pas dormir ici alors il se leva, se dirigea vers la ville Baenum Sigur, son nouveau chez lui, reprit son masque de joie et de vie, Il se promit d’oublié ce soir, comme il en n’avait déjà oublié tant d’autre … Ce soir était à lui, ce soir il ne sut pas que sa prière allé être entendu


« Un Jour… Une conversation … Un destin »

On était dimanche aujourd’hui, le magasin étais forcé d’ouvrir, les clients étaient rare…Qui voulait bien acheter des bijoux ou des montres à Baenum Sigur, Voilà une question que le Vieillard Ambrissone ne c’était pas posé, à dire vrai il était sur le point de mettre clé sous la porte avant l’arrivée du petit... . Les affaires allaient si mal, il se faisait si vieux. Un beau jour un jeune était venu dans son magasin, par un froid mordant, Avec son âme charitable il l’avait accueilli. Il apprit plus tard en discutant avec lui qu’il s’appelait Hypnis et qu’il avait fugué. Que pouvait-il bien faire ? Il le prit sous son aile, et lui apprit son art de joaillier comme un père. Hypnis excellait dans le domaine, il était épanouis et le vieillard à la barbe plus longue que l’éloquence décida de retarder sa retraite pour le bonheur du petit. Un soir, il vi Hypnis pleurer dans le débarras qui lui sert de chambre. Il ne lui dit rien, mais il voyait bien que cet enfant qui aurait pu être son fils n’était pas heureux. Il reprit ses esprits : « Hypnis ! Tu as réparé la montre de Mme Dulfogua ? Elle vient se soir… penses y !quel rêveur tu fais….
- Je m’en occupe tout …tout… tout de suite, pour les engrenages or ou…ou…ou argent ?
- Or, mon petit, or, on lui mais le paquet ! » Au même moment Deux farouches personnages rentrèrent dans le magasin étroit et sombre, emplit de nombreuses babioles et à la présence humaine quasi nulle. Il n’avait pas la tête de clients ! Le plus robuste des deux lança un Ecu sur le comptoir et dit
« On cherche de la tranquillité, vous comprenez ? Votre magasin nous parait parfait pour cela ; Et si vous nous laissiez »
Mr Ambrissone ne leur répondit même pas, prit l’Ecu, de l’argent restait de l’argent, et partit dans la réserve. C’était courant que son magasin serve de lieu de conversation, de transaction, il était tellement vide ! Il fit signe a Hypnis de le suivre et ils s’enfermèrent tous les deux dans la réserve. Le vieil homme dit à Hypnis de réparer la montre de Mme Dulfogua, et de ne faire rien d’autre que cela ! Sur ces mots il partit dans sa chambre pour récupérer son poignard dans le cas d’une éventuelle affaire, comme à son habitude. Oui mais voilà Hypnis bien embêté, la montre était restée sur le comptoir, il décida de si glisser discrètement pour la récupérer. Mais cela ne pouvait se faire sans compter sa curiosité légendaire ! Hypnis ne put fermer ses oreilles : «
-La caravane par quand ?
- Pour l’ile ?
- Oui
- On part après demain On charge les esclaves demain soir, on arrive à fort lointain dans un petit moi et on embarque….pour "l'espoir"
- On a combien de tête ?
- Une dizaine
- Il va nous en manquer, il nous en faut d’autre…

Ses mots suffirent, Hypnis y voyait la réponse à sa prière, à celle de changer de vie ! Le moyen de quitter cet endroit terrible qu’est le Nord ! Il se leva et les deux hommes le regardèrent, un air étrange brillaient dans leurs yeux.


« La vie est un départ, je suis sur le chemin du retour… »

Il se leva et les deux hommes le regardèrent, un air étrange brillaient dans leurs yeux. « 
-Un petit fouineur, et bien voyons.
-Je …je…je ne fouinais pas déjà …
-Oh ! Le pauvre petit, Il a du mal parlé ?
- Je…Je vous demande d’arr…arrêter
-Ou sinon ?
-Et bien…. écoutez-moi…moi…moi d’abord
-Quoi ?
-Ecoutez-moi ! criât-il énervé !
-Oh mais calme toi mon petit… on t’écoute pas de problème. Tu veux quoi ? Allez dit nous tous, répondit le costaud d’un ton moqueur.
-Je…Je veux venir avec vous, Je v…v…veux être esclave, prenait moi, je…je…je ne suis pas libre de toute façons ici… Je… je vous en pr...pr...Prit … ?
-Quoi ? Ils avaient un air hébéter
-Vou…Vou…Vous avez très bien comprit ! Je me porte volontaire, et si vous ne me prenait pas je vous suivrez !
-Bravo ! Et bien tu vois-tu sais parler quand tu veux mon petit.Mais on ne peut pas te prendre comme sa même si ce n’est pas l’envie et le besoin qui me manque, tu as pensé à ton père ?Qui vas l'aider?
-Il n’est pas mon père, personne ne m’a jamais voulu ! Je n’ai pas de famille, il n’est rien pour moi ! »


Le Viel homme attiré par le bruit rentra dans son magasin, Il attendit ces mots, se fut comme un coup, violant, ils sonnaient si vrai, c’était la première fois qui l’entendais dire une phrase sans bégayer.


« - Alors voilà, c’est ce que je suis pour toi ? Rien ? Les larmes montaient.
-Mais non ! Ce…ce n’étais pas ce qu…que je voulais dire….
-Rien ne sert de me répondre. Et bien vas-y part, je ne t’empêche pas ! Tu es libre tu sais ……Bien plus que tu ne le pense…
-Tu m’expulse ?
-Non, pas besoins, tu es parti tout seul…voilà un mot qui te vas à merveille, seul, tu cherches toujours la solitude, et bien voilà tu l’as trouvé, tu ne vois même pas ce que tu as devant toi. Des gens qui t’aiment, une vie simple, mais une vie !
-Et bien dac…dac…d’accord puisque c’est ainsi, je pars, et je…je ne reviendrais jamais dans ce pays, Vous me prenez-vous ??
-C’est-à-dire que ce n’était pas dans nos plans….c’est pas comme ça que ça se passe
-Alors ?
-D’accord, si tu nous ne ralentis pas et que tu dis à personne que tu étais volontaire, c’est d’accord ! Mais tu rentres dans une sacré aventure, tu empreintes un drôle de chemin petit…
-Je…je…je sais. Ca sera mon chemin, celui du retour…. »


Ce fut ainsi que la vie d’Hypnis changea à nouveau… Il récupéra le peu d’affaire qu’il possédait, Ne dit même pas adieu à Mr Ambrissone, il partit sans se retourner avec ses marchands d’esclaves sans nom pour un long voyage jusqu’à la capitale.Un voyage fais de regret