Utilisateur:Liandri

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     Liandri
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Liandri64
Pseudo
Liandri
Prénom IRL
Alexandre
Âge IRL
21



Informations Diverses
Aime écrire, lire, les mathématiques (notamment l’arithmétique) ainsi que la philosophie.



Liandri est un personnage de Esperia, arrivé sur le serveur le 28/08/2012 avec un message RP pour l'inscription à la Whiteliste posté le 23/08/2012. Actuellement dans la ville de Esperia, il tente tant bien que mal à survivre dans le Nouveau Monde.


Personnage

Liandri à 40 ans, malgré qu'il ai encore tout ses cheveux d'une belle couleur brune. Ses yeux sont marron, et est en parfaite santé.

Ses habits viennent de La Capitale, brodés par un grand tailleur, et depuis les a toujours portés.

Liandri est actuellement un esclave, sous l'obéissance de Tenzo et de sa femme Myyrh habitant à Rivelame. Étant esclave, il vit dans le Sans-Fond.

Il sait lire et écrire, d'où son métier de libraire mais ne sait pas se battre.

Sur Esperia, contrairement sur l'Ancien Monde, Liandri est amical et sympathique, en tout cas pour le moment...


Religion

Depuis son arrivé à Esperia, Liandri a soudainement laissé tombé son athéisme pour tenter de rejoindre les Phalangistes. Il est actuellement en attente d'une réponse de l'Abbus pour savoir si il va devenir moine ou non. Selon certaines rumeurs, il s'est dit qu'il aurait vu Arbitrio, et qu'il aurait même discuté avec lui (d'où son revers religieux).


Vie Privée

Liandri à été acheté par son maître Tenzo pour la somme de 51eO.

Aime écrire, lire, les mathématiques (notamment l’arithmétique) ainsi que la philosophie.

Il semblerait qu'il ai un lien très étrange avec Mamoutha.


Liaison

Tenzo Kemaltar, son maître, il a été dit qu'ils s'entendent bien entre eux et que Tenzo est très gentil avec Liandri dans le sens où il l'aide régulièrement à Esperia.


Myyrh Frae Kemaltar, femme de Tenzo, maîtresse de Liandri, ils ne se sont pas souvent parlé.


Edval, a aidé Liandri à son arrivé sur Esperia, et est présent quand Liandri a besoin de lui.


Mamoutha, se sont rencontré au Sans-Fond, ils s'entendent très bien, et étrangement, il semblerait que quelque chose les unis.


Histoire

Tiré du message RP pour l'inscription à la Whiteliste, et qui a été validé : Page officielle


Lettre écrite à la main...


RolePlay :


Recommencer... Je dois tout recommencer... J'écris aujourd'hui sur un pauvre morceau de parchemin que j'avais réussi à garder caché dans mes misérables habits d'esclave que ces soi-disant mercenaires m'ont fourni, avec peu d'encre et une plume sur lesquels je préfère ne pas donner la manière dont je me les suis procuré à bord de ce maudit rafiot. Rafiot qui part en direction du nouveau monde, la terre des bannis comme je l'appelle. Ce même rafiot qui part de l'ancien monde dans lequel j'étais presque un Dieu...


15 ans... 15 ans pour lequel j'ai dût faire des sacrifices sur mon athéisme pour entrer dans cette stupide religion qui m'aura permis de monter jusqu'au titre de Grand Moine et ainsi profiter de toute la richesse que cette croyance inutile à pu m'apporter, de l'autorité quasi parfaite qu'elle m'accordait sur n'importe quel citoyen de cette maudite Capitale. J'avais le pouvoir divin : j'avais le pouvoir de la vie et de la mort sur quiconque ! Et cette religion pouvait notamment me servir de prétexte pour assouvir touts mes désirs, et personne ne pouvait mettre ma parole en doute. J'étais un Dieu ! Aujourd'hui comme le Dieu des morts je suis devenu un ange, déchu, détruit par ma propre avidité, tellement importante qu'elle aura finie par procurer ma perte.

Aurais-je dût faire un autre parcours ? Une autre vie ? J'avais tout pour faire ce que je voulais : fils d'une famille riche, vivant dans la Capitale depuis 7 générations, j'ai eu une éducation parfaite, savant lire et écrire. J'ai pu devenir un grand libraire, mais mon égo a su me ronger jusqu'au sang, au point de me faire croire que j'étais mieux que ça, au point de mentir sur mes croyances et entrer dans le cercle fermé de la religion. J'ai monté les échelons grâce à mes capacités jusqu'au titre permettant assez de puissance pour faire tout ce que je désirais. Dois-je regretter quelque chose ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Car aujourd'hui si j'ai été le plus puissant, je ne suis plus qu'un esclave bientôt vendu à n'importe qui. Quelle déchéance.


Tout ce fit rapidement, tout ce fit à cause d'un simple disciple, tout ce fit ainsi : Un matin pas comme les autres, je prit mon cheval, escorté par ma garde personnelle que j'avais moi même employée afin de partir à la rencontre d'un chevalier voulant me voir personnellement pour plusieurs meurtres dont il me considérait comme coupable, ce qui était le cas. Il m'attendait dans la coure du monastère, lui même suivit par ses hommes. Les premiers mots mirent directement dans la situation. Il me cria "Alors c'est toi Liandri, le Grand Moine ?", "Que me veux-tu chevalier, je n'ai pas de temps à perdre" lui avais-je répondu d'un ton sec. "Je sais que c'est toi qui est à l'origine de meurtres aux quels tu te caches derrières ta religion pour dire qu'il ne s'agit que de l’œuvre de ton Seigneur, mais j'ai ici des homicides que tu ne pourras pas excuser, venant de ta propre main" avait t-il affirmé, "Mensonges que tu lances là, je n'ai rien à me reprocher et ne suis en aucun cas un meurtrier comme tu sembles tant le percevoir" lui avais-je répondu. "C'est ce que nous verrons" fit-il avec un sourire. Il retourna son cheval et parti de la coure dans laquelle nous nous tenions. Il fallait que je réagisse, je sentais qu'il allait engendrer ma perte.

Le soir même je pris les services d'un mercenaire très connu des hommes de ma trempe qui pouvait éliminer ce maudit chevalier. "Un homme de ce niveau vous coutera chère mon père" me dit-il avec un rire, "Ne m’appelez pas mon père mercenaire, nous ne sommes pas devant une de ces agglutinations de mendiants cherchant un sauveteur pour les sortir de leur misérable vie de paysan. Et vous savez que ce nom me donne de l'urticaire", "Vous me ferez toujours autant rire Liandri" me répondit-il en partant. Le soir même, ce maudit chevalier fût empoisonné et mourut dans d'atroces souffrances, comme je l'avais tant espérer. Rien de m’arrêtait.

Malheureusement suite à ce petit rendez-vous, un bruit attira mon attention dans le placard. En m'en approchant lentement, j'entendis quelqu'un respirer, lentement, cherchant à ce faire le plus discret possible. J'ouvris le placard d'un coup sec, découvrant le visage horrifié de mon disciple dont les moines inférieurs m'avaient donnés la garde, stupide tradition d'avoir toujours un disciple ! Je me souvins alors que je lui avait donné l'ordre de faire du rangement dans mon bureau, mais ce cafard m’était complétement sorti de l'esprit et me voila avec un témoin sur les bras. Le tuer serait trop difficile et approcherait trop de soupçon sur moi. "Que fais-tu ici misérable !" lui avais-je crié, "Maître, maître, ne m'en voulez pas, je ne dirais rien, je vous le promets", répondit-il en pleurant. "Chien, tu vas le regretter, je te ferais torturer en affirmant que tu voulais me dérober !" Malheureusement celui ci prit tellement peur qu'il se débattit au point de m'arracher ma robe en tombant. Dans une colère noire et en perdant le contrôle de mon corps, ma main parti d'un coup sec dans un revers phénoménal, si bien que ma chevalière lui arracha une partie de la joue dans une giclée de sang. Je compris alors mon erreur, la marque de la chevalière était parfaitement reconnaissable sur son piètre visage. Immobilisé par ma propre bêtise, me rendant compte de mon erreur, celui ci prit la fuite avant que je ne puisse réagir. "Reviens !" hurlais-je, "REVIENS !!!" mais mes cries résonnaient déjà dans les enceintes vide de la tour du monastère. J’étais fini...

Le soir même, j’étais arrêté avant même que je ne puisse m’enfuir, et les preuves étaient accablantes. Le disciple me désigna pour le meurtre du chevalier, et ainsi se colla à ma peau touts les morts que j'avais commis. Les uns après les autres. J’étais fini... Trouvant que la mort serait trop belle pour moi, la sentence fut la cage, puis l'esclavage, et finalement l'exile. Je suis fini...


Et là, dans ce bateau, je vois d'autres gens. Ont-ils connu une histoire semblable à la mienne ou sont-ils de simples mendiants dont la Capitale à voulu se débarrasser ? Quelle importance... Le garde du bateau hurle sur chacun de nous à plein poumons, à tel point que ça en devient ridicule, les esclaves se créer des liens entre eux, et me regardent comme un pestiféré... c'est alors que je comprends ! Je sais écrire, et ça n’étais pas courant sur l'ancien monde, ça risque d’être aussi le cas sur le nouveau. finalement je ne suis pas encore fini. Moi Liandri je vais me refaire, et alors que des esclaves sont en train de prendre des coups de fouet, moi dans mon coin je sens la vengeance, le pouvoir à nouveau affluer dans mes veines. Si je regrette ma vie ? Jamais, et je n’hésiterais pas à la refaire, et même en pire, en vengeance à ce que je subit maintenant. J'écris ce parchemin car c'est mon pouvoir le plus puissant en cette situation, et quand je me serais débarrassé de mon futur maître, il me permettra de redevenir aussi puissant qu'avant, si ce n'est plus. J'écris ce parchemin car c'est mon pouvoir le plus puissant en cette situation, et il me redonne la force de vaincre. Ce nouveau monde, sera mon nouvel aire de jeu, et je promet d'y refaire couler le sang ! Je ne serais plus Liandri, mais désormais Liandri...l'Omniscient!