Utilisateur:LouiseDeCourtis

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
EmbRCentral.png


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     Louise-Joséphine de Courtis
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments


Finance-Economie





Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
ChoupiNeko
Pseudo
Pwanda


Âge IRL
19




Louise-Josphine de Courtis transparent.png

Description physique

Louise est grande pour une femme, elle fait 1m73. Elle est mince et frêle, ses jambes, ses bras ainsi que ses doigts sont fins et longs. Son ventre est peu large, donnant à son corps la forme d’un sablier. La peau de son corps en dehors de son visage est parsemée de petits grains de beautés. Elle a une légère pilosité sur les bras et les jambes et, bien qu’elle soit brune, ces poils sont quasiment transparents.

Son visage est triangulaire, avec un menton bien visible. Ses joues sont légèrement rosées. Sa bouche n’est pas très large, ses lèvres sont pulpeuses. Son nez est fin et vient se terminer par une légère forme de trompette. Elle a de grands yeux bleus, bien tracés. L’iris de son œil droit est légèrement coloré en marron clair en bas à gauche. Ses sourcils sont marqués et pointus. Elle a des oreilles normales. Enfin, ses cheveux sont bruns foncés et légèrement ondulés sur toute la longueur.

Elle a une démarche droite et féminine, signe d’un long apprentissage. Elle se maquille légèrement quand elle le peut. Louise est atteinte d’hémophilie, son père étant atteint et sa mère est porteuse saine. La maladie est connue dans sa famille, plusieurs membres en sont décédés, notamment un de ses jeunes frères.

SéparateurLouise.png

Description mentale

Louise est une fille pourrie gâtée venant d’une famille de patriciens très riches ayant réussi à tirer leurs meilleures cartes du jeu. Elle est encore très immature mais, a des moments de lucidité où elle peut-être beaucoup plus sérieuse. La jeune fille a eu grâce à ses parents une éducation très poussée et rigoureuse qui l’ont exaspérée au plus au point.

Elle est en quête de liberté, voyant la majorité du temps le monde de façon enfantine, elle veut se défaire de l’autorité de ses parents. Elle est néanmoins très précoce sur certains sujets comme la politique, l’économie ainsi que sur son côté maternel. Pour la politique, ses parents en parlaient très souvent et à force d’écouter, elle a fini par s’y intéresser. Aussi, les différents événements survenus à La Capitale durant la Guerre de Succession Capitale, qu’elle ait été touchée directement ou indirectement l’ont amenée à s’intéresser de près à ce sujet pour ne pas être perdue et comprendre ce qu’il se passe.

Elle aime l’argent, c’en est presque une obsession pour elle. Elle a, depuis le début de son adolescence été intéressée par l’économie, la finance, en voyant cela, ses parents ont demandé à autre précepteur de lui enseigner ce qu’il savait. Aussi, son oncle travaille dans à Caroggia, dans une banque Caroggianne et elle a déjà voyagé là-bas pour en apprendre et la base du métier, que ses parents voulaient qu’elle fasse pour s’assurer une bonne stabilité financière. Enfin, son côté maternel vient du fait qu’elle adore les enfants, de tous âges. Issue d’une famille nombreuse, troisième enfant d’une fratrie de 5 enfants. Elle s’en est particulièrement occupé pendant ses temps libres pour délester sa mère de cette tâche épuisante et éprouvante.

Pure Capitalarde de souche, Louise est très fière de ses origines, à part les Caroggians et les Adaarions, elle considère les autres étrangers comme des sous-hommes même quand ceux-ci ont un rang social qui s’approche du sien. Et même, elle ne manque pas de se moquer des provinciaux. En général, elle ne manque pas de faire remarquer aux gens qu’ils ont un rang inférieur au sien pour essayer de se mettre en position de force. En revanche, elle se montre docile envers les gens ayant un rang supérieur au sien, n’hésitant pas à jouer à la jeune fille parfaite.

Elle aime en particulier certains animaux comme les chiens, les chats, les chevaux et les lapins. Louise a eu de nombreux animaux de compagnie dans sa maison avec ses frères et sœurs. Très douce avec eux, elle ne leur fera jamais fait de mal. Elle montre bien plus d’empathie envers eux qu’envers les humains. Il lui est arrivé de dire à voix haute à des plébéiens qu’ils valent moins qu’un de ses lapins ou de ses chiens.

Capricieuse et matérialiste, la jeune fille déteste qu’on lui dise « non », allant même jusqu’à faire des crises de larmes en plein magasin pour une nouvelle robe, bijou ou n’importe quoi en général jusqu’à ce qu’on lui dise « oui ». Louise peut aussi avoir des accès de rage pour des raisons parfois futiles. Elle est aussi sujette à des émotions très fortes lorsqu’elle est fatiguée ou a ses règles ce qui la pousse à passer en un rien de temps de la joie et la bonne humeur à la rage et aux larmes.

Fidèle à la décadence de la Capitale, elle se vante d’avoir eu de nombreuses relations sexuelles avec des membres de sa caste ou des castes supérieures. En réalité, elle n’en a pas tant eu que cela dû à son jeune âge. Ouvertement bisexuelle, elle invitait souvent des « amis » pour se « détendre ». Usant et abusant de la chose, elle s’est souvent fait réprimander par son précepteur adaarion, non pas choqué par la décadence capitalarde dont il a pris l’habitude mais par le jeune âge de la fille et son côté très précoce.

Du côté gastronomique, elle aime à peu près tout tant que ça contient du poisson ou de la viande en bonne quantité. Son plat préféré est le confit de canard. Elle n’aime pas l’alcool, préférant boire de l’eau, de l’eau gazeuse caroggianne lorsqu’il y en avait ou du lait à table, ce qui lui valut nombre de moqueries de ses aînés et beaucoup de crises de rage et de larme.

Louise a peur de certaines choses comme les insectes, notamment ceux volants. On raconte même qu’elle fut retrouvée un jour dans un coin de sa chambre en pleurant à chaude larmes car selon elle, « Un scarabée m’a foncé dessus pour me faire du mal ». La jeune fille a aussi très peur du noir, s’endormant avec une bougie ou une petite lanterne allumée.

Elle parle couramment capitalin et adaarion grâce à son précepteur adaarion qui lui enseigne cette langue depuis ses 5 ans car celui-ci espérait à l’origine qu’elle intègre une université adaarionne. Elle est toutefois très religieuse, ne manquant que très rarement un événement monachiste et prie parfois plusieurs fois par jour, main droite sur le cœur.

SéparateurLouise.png

Chronologie

489 : Philippe de Courtis et Marie-Louise de Boiset se marient. Les deux sont jeunes, Philippe est âgé de 20 ans et Marie-Louise de 19 ans. Ils se sont rencontrés à un bal et sont tombés amoureux l’un de l’autre un an auparavant. Le mariage se passe très bien, les deux sont ravis de se marier avec quelqu’un qu’ils aiment réellement et qui n’a pas été choisi par leurs parents. Philippe est architecte et Marie-Louise joaillère. Ils se mettent tous deux au service du même noble.

490 : Naissance de Louis de Courtis, premier d’une longue fratrie.

493 : Naissance de Julie de Courtis, première fille de la fratrie.

501 : Après une longue période d’infertilité, Marie-Louise met au monde une nouvelle fille, Louise. Louis a de son côté suivi les traces de son père en étant apprenti architecte et en se débrouillant assez bien. Julie quant à elle se passionne pour les animaux. Les deux premiers enfants ont reçu l’éducation d’un précepteur adaarion assez jeune qui restera travailler avec la famille pendant longtemps.

506 : Naissance d’Adrien.

507 : Louise commence à recevoir une éducation intellectuelle, de manières et religieuse très stricte par son précepteur adaarion. Celui-ci apprécie la pieuté, les capacités et les bonnes manières de la petite qui n’ose pas montrer ses mauvais côtés en sa présence pour l’instant.

512 : La nuit rouge pris par surprise la famille qui n’était pas chez eux, dans le quartier du Réservoir mais chez des amis. Ils furent heureusement escortés par leurs gardes du corps ainsi que ceux de leurs amis pour rentrer chez eux en toute sécurité. Bien qu’ils évitèrent le plus possible les rues et avenues les plus larges, ils furent à plusieurs reprises bloqués par des combats ou des cris venant d’allées sombres. La vue de certains incendies détruisant de grands bâtiments terrifia la petite Louise, tenant constamment la main à son père, lui-même surveillé constamment par les gardes. La vue d’une femme ayant été poignardée à de nombreuses reprises puis décapitée glaça le sang de la petite un bref instant avant qu’un des gardes lui mette la main devant les yeux pour la couper de cette vue ainsi que de celle du reste de la ruelle, où une dizaine de corps étaient présents dans des états divers.

Le 10 février, sans dire mot, le noble qui protégeait jusque-là la famille pris la fuite avec la sienne. Les parents de Louise étaient entre la confusion et la panique lorsqu’ils apprirent la nouvelle. Durant quasiment toute la guerre de succession, la famille ne sort pas de chez elle. Elle envoie leurs esclaves ou leurs domestiques chercher de quoi se nourrir, s’habiller, etc. Louise s’intéresse à la chose mais est bien trop jeune pour tout comprendre.

513 : Louise est une fille assez grande pour son âge qui montre de bonnes facultés intellectuelles, compensées en quelque sorte par son mauvais caractère qui a tendance à exaspérer son précepteur et sa mère mais qui n’osent pas dire grand-chose à cause de son père très papa poule avec sa « chouchou de la famille », ce qui a tendance à aussi énerver ses deux aînés qui ne manquent pas une occasion de se moquer d’elle et jouer avec ses nerfs. Décès d’Adrien, une mauvaise chute créa une sévère hémorragie interne qui le tua à petit feu, Louise assista aux derniers instants de son frère, impuissante et consciente qu’elle pouvait mourir de la même façon.

514 : Naissance de Margot. Louise s’occupe souvent de sa nouvelle petite sœur pour laisser sa mère se reposer et car elle aime être en présence du bébé. Les tensions avec sa mère ont tendance à diminuer.

515 : Louise se rend à Caroggia pour rencontrer son oncle qui travaille dans une banque de la cité. Le voyage qui devait simplement être pour le divertissement et des « vacances » se transforme en un sorte de début d’apprentissage, Louise demandant à son oncle en quoi consistait son travail et de lui montrer.

517 : Louise commence à se politiser, développe un esprit patriotique dû à sa passion pour l’histoire et lit de nombreux livres lui permettant de comprendre ce qu’il s’est passé exactement ce qu’il s’est passé durant la guerre de Succession.

518 : Les parents de Louise n’ont pas réussi à trouver un noble qui accepterait de les « protéger » à cause de la mauvaise réputation de leur précédent protecteur. Les affaires sont dures pour les deux parents qui s’endettent encore plus qu’ils ne l’étaient déjà pour continuer à vivre à leur niveau.

519 : Un bâtiment qu’avait conçu le père de Louise après la guerre de Succession s’effondre après des travaux d’agrandissement pour gagner deux étages, les fondations ainsi que les poutres n’ont pas résisté au poids en plus. Trois familles de patriciens de richesse moyenne y perdent la vie ainsi que la fille unique d’un noble relativement puissant qui était le protecteur des dites familles et de leurs entreprises. Le noble demande de fortes réparations en échange, ce que la famille de Louise ne peut pas faire, vivant déjà largement aux dessus de leurs moyens grâce aux dettes accumulées. L’esclavage pour la famille est alors demandé par le noble. Les frères et sœurs de Louise quittent alors la capitale pour la Nation Adaarionne pour aller s’y réfugier.

Louise quant à elle part en bateau vers Caroggia pour y retrouver son oncle. Elle prend avec elle une robe simple, une bourse peu remplie mais son père lui donne un bon de change d’une banque Caroggianne pour qu’elle puisse retirer la somme une fois arrivée à Caroggia sans se faire trop remarquer pendant le voyage.

En passant près des côtes de la Medeva, le navire se fait accoster par des écumeurs qui capturent les marins ainsi que les passagers tout en les réduisant en esclavage illégalement. Louise tente bien d’acheter sa liberté grâce au bon de change mais l’écumeur à qui elle le propose lui rit à la figure et lance le bon à la mer.

Après une courte traversée, elle est échangée à une esclavagiste du nom de Gwylonna. La traversée s’avère très éprouvante pour elle physiquement et mentalement parlant, se demandant ce qu’elle avait fait pour mériter cela et priant pour que ses parents viennent la chercher.

SéparateurLouise.png

Métier et compétences

Grille Mouton en Peluche.pngMétier: Aucun

Grille Selle.pngÉquitation

Grille Couteau en Acier.pngCuisine

EmbNAdaarion.pngLangue: Adaarion

EpervieOr1.pngConnaissance: Economie-Finance