Utilisateur:Markus Kahemson

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
KmK542
Pseudo
Markus
Prénom IRL
Mike
Âge IRL
30





Documents des Registres d’état civil Markus Kahemson

Compétences:

  • Survie: "Ne pas faire face à la nature, mais lui faire corps".
  • Connaissance de la faune: Savoir différencier un lapin d'une chèvre est important pour devenir chasseur!
  • Combat: Il vaut mieux savoir manier l'arc quand on veut manger l'épée quand on fait face à un grizzly.
  • Endurance: Le meilleur moyen de survivre c'est bien de ne jamais abandonner.

Armes déclarées:

  • Arc: Arme adaptée pour la chasse, fabriqué à base de cuire, tendons et de bois.
  • Couteau de chasse: Lame affutée à l'extrême, utilisée pour survivre dans la nature et/ou achever l'animal s'il vit toujours.

Qualités:

  • Courageux: Il ne baissera pas les bras, même face à plus costaud que lui.
  • Ambitieux: Il cherche toujours l'occasion de se surpassé.
  • Opportuniste: Si je le peux, c'est que j'en ai le droit.

Défauts:

  • Naïf: Se laisse souvent baratiner, même si l'histoire paraît énorme.
  • Têtu: Malgré une certaine forme d’intelligence, il peut parfois ressembler à une mule.

Description physique:

Markus est un Catanais de 30ans. Son visage a été endurci par des années de solitude. Ses yeux sont bleus et il a les cheveux châtains foncés Il mesure un mètre quatre vingt cinq. L'homme peut peser jusqu'à 75kg pendant les périodes hivernales et jusqu'à 85kg pendant la bonne saison. Il n'a pas de cicatrices visibles. Il laisse toujours une barbe apparente de trois ou quatre jours, d'après son ami, ça lui donne un air plus dur, lui évitant ainsi quelques ennuis.

Description détaillée: Informations et Croyances

Markus est un chasseur hors paire et sait suivre la piste de son gibier pendant des jours. Il est né dans un petit village à côté de Breithe et à suivi le parcours traditionnel d'un enfant catalanais.

Cependant, ses parents l'ont envoyés au monastère de Breithe pour lui enseigner un minimum d'éducation. Il sait donc lire et écrire.

Le monastère lui à ouvert les yeux: "Aide ton prochain et Arbitrio te le rendra" Même s'il ne le fait pas pour être récompensé, il sait qu'un jour où l'autre, ses gestes seront vus par le tout puissant.

Pour lui, la chasse est un don et chaque créature "exécutée" est célébrée le soir, autour d'un feu. La nourriture étant le seul but de tuer un être vivant, il ne supporte ni les guerres, ni aucune sorte de violence. Sauf, bien-sûre s'il n'a pas d'autre choix. Il s'opposera systématiquement aux barbares et autres malfaiteurs venant troubler sa tranquillité. Ce qui risquerait de lui causer de sérieux ennuis.

Arrivée à Esperia

Voilà maintenant plusieurs jour que je suis dans cette cale de navire. J'essaye de savoir où nous allons mais la seule réponse que j'obtiens c'est: "La ferme" Il m'a semblé avoir entendu le mot "Esclave"! Génial... Si je revois ce vieux fou d'Enri, je jure qu'il me le paiera chère... Je m'assois sur un botte de paille, la seule qui semble sèche et on me jette un bol de pommes de terre mal cuites, ça sera mon seul repas de toute la traversée... J'essaye de fermer les yeux et penser à des jours meilleurs. Le voyage semble interminable et les entraves commencent à me brûler les poignets. J'ai perdu la notion du temps, je m'endors et me réveil en fonction des vagues qui font bouger le navire comme un vulgaire bouchon de liège.

Au bout du troisième jour, l'odeur de poisson et le cri des mouettes attirent fortement mon attention. Je me lève et j’essaie de voir à travers les hublots du bateau mais à ce moment précis, je ne reconnais absolument rien. J'essaye d'écouter les gens discuter entre eux. Rien à faire, je ne comprends pas un traitre mot de ce qu'ils se disent. Certains ne parlent pas ma langue. Où suis-je? Qu'est-ce qu'il m'arrive... Voilà qu'on vient me sortir de cette cage de bois pour m’amener face à une foule. J'ai entendu quelques mots qui se sont échappés jusque moi: Esclave, Esperia, Commerce... Cela confirme bien ce que je pensai: Ils me prennent pour un esclave, ils comptent me revendre à des espèces de faux nobles qui traitent leurs semblables comme des chiens! Que dis-je?! Les chiens sont bien nourris et ont une paillasse confortable pour dormir... Voilà, les enchères commencent. Je crois avoir entendu la mise à prix à 20pièces d'or... Je vois trois personnes qui se déchirent ma personne à coup de monnaie... Voilà que le prix monte en flèche! Il ne reste plus que deux personnes et ils ont l'air de savoir ce qu'il font. Ce n'est certainement pas la première fois qu'ils investissent de l'argent pour un être humain. Le marteau du président des enchères s'abat alors sur un rondin de bois et me voilà propriété de quelqu'un... Comment vais-je m'adapter? Que dois-je faire? Jouer le jeu? M'échapper? Cette dernière solution ne me plais guerre... Je n'ai pas fait tout cette route pour rebrousser chemin. Un esclave me glisse alors un ou deux conseils pour que tout se passe au mieux: "Mets-toi en boule lorsqu'ils te frapperont et fermes les poings pour que tes doigts de cassent pas. Surtout, ne parles pas tant qu'ils ne te posent pas de questions..." Je rejoins mon... Maitre avec ces quelques mots qui raisonnent dans ma tête. Il se présente, Merilio, il se dit chasseur, tout comme moi. Il me fait visiter avec deux autres personnes, la ville en me montrant où j'allais dormir. Voilà plusieurs heures passé avec Maitre Merilio et je n'ai toujours pas pris un seul coup. Aurais-je eu de la chance dans mon malheur? Il semble être quelqu'un de bon malgré sa carrure impressionnante. J'ai eu droit de me reposer un instant dans sa maison. Apparemment, nous avons des points communs: Nous prions le même Dieu et nous vivons de la nature. Je pense que ça ira, mes projets d'évasion attendront encore un moment. Maite Merilio est bon avec moi et tant que j'arrive à supporter ces chaines, je ne bougerai pas d'Esperia.

Ennemis déclarés

XXX

Amis déclarés

XXX

L'histoire de sa vie

Voilà maintenant trois jours que je traquais ce cerf. Ce qu'on peut dire c'est qu'il m'aura donné du fil à retordre! Je l'ai suivi à travers la boue et les ronces... C'est ma routine.

Je suis sur le chemin du retour, trainant la bête derrière moi. Je me fais déjà une joie de voir sur le visage des enfants le sourire qu'apportera cette masse de viande. J’aperçois enfin la fumée s'échappant du feu de la place centrale. Je croise un paysan avec son cheval et sa charrette, il me propose de m'aider à transporter mon trophée jusqu'au village. J’accepte, évidemment. Les habitants me connaissent ici, je me sens comme chez moi. On peut voir les gens s'affairer autour de l'animal. Il est emmené pour être découpé, travaillé... Je sais que dans quelques heures ils fêteront l'arrivée de toute cette viande et peau autour du feu de la place. L'alcool coulera et les hommes chanterons jusqu'à ne plus avoir de voix. Je n'ai qu'une envie, aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte... J'aspire à une nouvelle vie, après tout je sais lire et je pourrai très bien faire autre chose que gambader dans les bois...

Je me permet un petit repos à la taverne du coin avant de rentrer chez moi. C'est là la seule chose qui me permet de casser la routine de ma vie. Je pénètre dans le bâtiment, il y a très peu de monde ce soir. Ils sont tous occupés avec le cerf: découpé, vider, tanner etc... Je m'assois donc au fond de la salle, histoire de ne déranger personne. Je commande une Donnbeoir, la bière locale. Je pense l'avoir bien mérité... Je ne pense qu'à une seule chose: Dormir. Je m'empresse donc de finir ma choppe. Mais voilà que je surprends une conversation qui à lieue quelques tables plus loin. Je n'entends pas tout seulement quelques bribes de phrases: Découverte, continent, colons, Louis, Maximus... Esperia... Voilà, encore une fois des gens se mettent à parler d'Esperia. Où est-ce? Qu'est ce qu'il s'y passe? Comment s'y rendre... Voilà bien des questions qui raisonnaient en moi. Depuis le temps que je souhaite partir et visiter d'autres contrées. Je me lève et je paye prestement le tavernier. Je me dirige maintenant vers la maison du pêcheur, Enri. Il a voguer sur les mers de l'ouest du continent... Maintenant, il pose sa ligne dans la petite rivière qui contourne le village. Si quelqu'un a entendu parler d'une autre terre, ce sera forcement lui. Je le trouve assis devant sa maison, en train de mordiller sa pipe. Je le salue et j’amène le nom d'Esperia tout de suite en centre de la conversation. Il me regarde alors d'un air étonné se demandant comment j'ai eu vent de ce nom. Mon silence était alors la seule réponse qu'il aurait. J'étais alors naïf de croire que ce voyage allait être de tout repos. Enri comprit alors ma détermination et m'envoya rencontrer des passeurs à la Capitale. Le seul moyens pour une personne comme moi d'y arriver, serait par la clandestinité...

J'ai donc préparer un sac avec le strict minimum et me voilà en route pour La Capitale. Un endroit qui ne m'inspire vraiment pas... Enri m'avait donné une adresse. Cependant il m'a prévenu de ne faire confiance à personne, ni même au gens qu'il comptait me faire rencontrer. Pour moi, c'était la seule chance de quitter cet endroit que j'ai vu chaque jour depuis ma naissance. Je voulais autre chose, Esperia est une ville qui me fait rêver! Un autre paysan allait faire la route jusque là bas et je compte bien profiter de ses chevaux et sa charrette. Après un long voyage, j'arrive enfin à destination. Je remercie avec quelques pièces mon conducteur et je m'empresse de me trouver une auberge. j'ai besoin de me laver et de me restaurer. Serte, mon impatience risquait de m'emmener loin, mais quand je vit tout ce monde grouiller devant moi, j'étais comme paralyser. J'attendais donc la nuit pour rencontrer les deux personnes qui allaient peut-être changer ma vie. Il s'agissait de deux frères. Je me suis donc dirigé vers l'endroit indiqué par Enri. Il s'agissait en faite d'une maison proche du grand port, à l’extérieur de la ville. J'entrais sans frapper, le sentiment d'impatience me gagnait de plus en plus. J’avançais dans une obscurité écartelée par une simple lanterne à huile Soudain, une lame se glissait sur ma gorge. Une voix m'ordonnait de révéler mon identité. Je m’exécute et leur révèle le but de ma venue et je cite Enri.

Enri... Ce vieux fou! Il aurait pu me prévenir qu'il avait des dettes envers ces personnes! Voilà que mon voyage commence peu à peu à se transformer en cauchemars... Je suis conduit dans le sous-sol de cette lugubre demeure. Après plusieurs heures dans le noir, un homme fait irruption dans cette cave humide en ordonnant de mettre plus de lumière. Il s'agissait d'un docteur, peut-être un apothicaire, je n'en sait rien. Il se mis à m'observer sous toutes les coutures, me demandant de me déshabiller. Les deux frères armés ne me laissèrent guère le choix. J'obéis... "Il sera parfait" Lança le médecin. "Emmenez-le dans la cale, il part pour Esperia!!" Ordonna t'il en me tournant le dos et quittant ce cachot.

Me voilà avec les fers au poignets et entravé par des chaines solides au fond d'un bateau... Je n'opposais aucune résistance. Je ne sais pas si c'est parce que j'allais enfin récolter ce que j'ai souhaité, ou si c'était la peur de mourir égorgé... Toutefois, je souhaitais Esperia, apparemment c'est Esperia qui m'attendait...