Utilisateur:Nada

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     Nada
Informations RP
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Genre
Asexué
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Esclave de







Métier
Métier
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Compétences

Connaissance de la Flore : être fille de fermier lui a appris beaucoup de chose sur la flore.

Minutie: Quand elle fait quelque chose, elle s’applique malgré sa maladresse. Le plus souvent ses ouvrages sont bien faits mais ses mains n’en sortent jamais intactes.

Créativité: Nada a beaucoup d’imagination et se perd souvent dans ses mondes imaginaires. Elle est aussi très imaginative pour trouver des alternatives aux outils classiques quand elle travail sans matériel.

Outillage: Après avoir pratiqué autant de métier différents qu’elle vous saurez manier beaucoup d’outils différents.


Intérêts culturels et goûts

Nada aime les choses simples comme faire des bulles en se baignant avec du savon, faire la sieste au soleil ou boire du lait juste sorti tu pis de la vache.

Elle adore la musique, surtout depuis qu’elle a entendu un Opéra grâce à son bienfaiteur. Elle a une préférence pour les Arias et autres chants romantiques.

Elle aime les arc en ciels, les étoiles et quand la lumière se reflète dans des objets en cristal ou dans les pierres précieuses.

Son plat préféré est la soupe de navet.

Sa couleur préféré est le gris sourie.

Son animal préféré est la vache.

Elle déteste les épices.

Elle hait les menteurs.

Elle a horreur de la couleur rouge.

Histoire

Bubulles!

Nada est née en plein brumaire d’un père et d’une mère tout deux paysans dans le Royaume Central. Entre ses six frères et sœurs, il y en avait du monde pour s’occuper des terres et du bétail et même si elle était mise à contribution, elle n’avait en général que peu à faire. “Bonne à rien et mauvaise en tout” lui disait son père sans arrêt. Enfant, elle faisait en effet pas mal de maladresse et passait son temps libre à se blesser ou à casser des choses par ce qu’elle les avait mal vu à cause de son strabisme. Comme toute la famille, elle ne sait ni lire ni écrire, ou du moins juste les bases comme écrire son prénom ou déchiffrer difficilement une pancarte. De toute manière, Nada a toujours préféré les dessins et les symboles pour lui désigner les choses. Petite, Nada aimait les choses simples comme quand son père offrait à la famille le luxe d’un bain au savon. Elle adorait faire des bulles avec et s’est faite battre nombre de fois pour avoir utilisé le savon familial pour son amusement personnel. Mais cela valait le coup. Elle aimait les fêtes du village non loin et assister à des spectacles, à la jonglerie et toutes ces choses. Quand elle accompagnait sa famille au marché, elle voyait parfois des commerçants avec des objets étranges et magnifiques qu’elle ne comprenait pas toujours et entendait parler de la Capitale tant d’histoire souvent romancés... tant de rêves et de beauté contés... Elle décida bien vite de devenir plus qu’une Provinciale mais une Capitaline, une vrai avec des vêtements colorés et doux et sentant le parfum et pouvant passer sa journée à faire des bulles de savon. Pour cela, elle parti à l’âge de quatorze ans pour cette grande ville tant rêvée avec sur elle juste ses vêtements de sermon et un baluchon avec quelques fruits pour le voyage. Sa mère a dit ce jour là qu’elle ne tiendrait pas trois jours, son père paria sur deux heures... Elle disparu pendant plus d’un an sans donner de nouvelle. Ces premiers pas dans la citée ne furent pas de tout repos. Elle eu froid, faim et du apprendre à se débrouiller quoi qu’il arrive même en acceptant les tâches les plus ingrates et les plus dégradantes. Quand elle revint chez ses parents, elle était encore plus maigre qu’avant et méconnaissable mais avait rapporté quelques économies pour aider sa famille. A quoi bon rentrer chez soi si on ,ne peux pas aider un peu. Ses parents ne lui en voulait pas de ne pas être revenue avant et firent même une petite fête pour elle. Déterminée à aider plus souvent les siens, Nada retourna à la Capitale et sa vie de misère et se mis à cumuler parfois trois travail pour payer où loger, de quoi manger et envoyait le reste à ses parents. Ce n’était pas une vie facile, ni une vie heureuse mais elle s’en contentait bien. Au moins elle était à la Capitale et comptait bien y rester.

Un jour, sa vie changea du tout au tout. Cette vie éphémère reste gravée dans sa mémoire comme étant les jours les plus beaux de sa vie même si cela ne dura qu’une petite semaine. Elle était dans une rue où se baladait ces personnes de la haute société qui sentent bon le savon et le parfum. Quelqu’un l’avait payée pour garder une place sur un banc. C’était le genre de travail ridicule qu’on lui donnait à faire parfois et elle s’attendait très bien avec son strabisme à ce que quelqu’un vienne et appel les Sers et Dames à lui lancer des tomates ou elle ne savait quoi à la figure. Ce n’était pas la première fois et sans doute pas la dernière non plus mais au moins elle était assise et on l’avait payé d’avance une belle pièce d’argent. Quoi qu’il en soit, ce qui devait arriver arriva et bientôt la pauvrette fut couverte de fruits et légumes pourris. Après quelques temps de maltraitance, un gamin voulut lui lancer une pierre en disant que cela lui ferait sans doute remettre son œil en place, visant la tête. Fermant les yeux, s’attendant à une vive douleur, la jeune femme ne sentis rien mais entendit une voix masculine souffler, comme si on lui avait coupé le souffle. Elle ouvrit les yeux et le vit alors. Un homme aux cheveux grisonnants s’était mis entre elle et la pierre. Elle se souviens qu’il était imposant, bien plus grand qu’elle et qu’il sentait bon la menthe poivrée. Ses vêtements étaient faits de la meilleure étoffe et présentait quelques dorures aux coins des manches. “Laissez donc cette pauvre petite en paix Sers et Dames avant que je n’appel la garde” dit-il.

La foule resta silencieuse un instant, toisant son sauveur avant de partir. Il se tourna alors vers elle et lui fit un sourire paternel en lui tendant la main. Elle ne sais pas trop ce qu’il s’était passé par la tête mais cet homme en plus de l’aider, l’invita à le rejoindre pour se décrasser. S’attendant à devoir lui faire des faveurs en échange d’argent, Nada resta méfiante avec lui au début. Mais cet homme était en faite un homme de bien, un Noble Gentilhomme qui voulait simplement aider sans rien demander en retour. C’était un médecin, un Docteur. Le Docteur Emelius Houe.
Nada prête pour une soirée à l’Opéra

Cet homme lui fit vivre un conte de fée dés l’instant où elle entra dans sa demeure. Il fut appeler des servants et des esclaves tous vêtus de vêtements assortis pour qu’il la conduise à la salle d’eau et pour l’aider à retirer la crasse de sa peau et ses cheveux. Sortie toute propre, ne fut-elle pas étonnée de voir les serviteurs lui donner une magnifique robe digne des plus grandes Dames pour se vêtir au lieu de ses haillons, ces derniers ayant été jetés au feu par souci d’hygiène. Elle fut alors conduite dans le Grand Salon du Ser qui l’attendait devant un repas qui avait du coûté chère étant donné la famine ambiante. Que des mets qu’elle ne connaissait pas et des pâtisserie qu’elle avait vu sans jamais les goûter le tout présenté dans des plats d’argent et des verres de cristal étincelant.. Ce repas était pour elle, enfin pour eux deux. Ils se mirent à table et firent enfin connaissance. Elle appris que cet homme était veuf et avait perdu sa seule fille quelques années plus tôt, emportée par une terrible maladie. Sa fille qui était douce, innocente et qui ressemblait presque trait pour trait à Nada. Il n’était pas Originaire de la Capitale, il ne dit pas où exactement et restait très secret sur le sujet. Il était en ville pour peur de temps et quand il avait vu Nada, s’était dit qu’il se sentirais moins seul s’il aidait une jeune fille semblant si charmante à s’en sortir... pour un temps. Il l’invita à rester à ses côtés ce qu’elle accepta, sentant la solitude de ce brave homme. Elle vécu avec lui une semaine magique. Il lui fit découvrir de nombreuses chose qu’elle n’avait jusqu'à présent qu’imaginé. L’Opéra, les danses de salon, le parfum et toutes ces choses qu’une modeste fille de fermier comme elle n’aurait jamais connu. Ils devinrent vite amis mais le destin les rattrapa. Emelius devait repartir. Il lui proposa de partir avec lui, de l’adopter et de faire d’elle la Grande Dame qu’elle voulait devenir depuis si longtemps. Mais Nada refusa. Elle adorait cet homme et avait trouvé cette semaine merveilleuse mais ce monde n’était décidément pas le sien. Elle avait bien vu le regard de ces Gens de la Haute quand elle avait été présentée à eux et avait entendu leurs moqueries quand à ses manières et sa façon de parler. Elle laissa Emelius, sans même acceptée l’aide financière qu’il lui proposait. Elle avait trop peur qu’on lui vole cet argent une fois rentré chez elle. Après le rêve il était temps de revenir à la réalité pour elle. Elle resta dans sa vie de misère pendant des années, gardant de l’argent de côté pour aider sa famille et un jour partir à la recherche de son bienfaiteur pour lui faire une surprise. Même si elle ne savait pas où le trouver, elle était persuadée de réussir si elle le cherchait assez fort. Mais tout bascula quand elle eut 18 ans. Le roi était devenu fou, les phalangistres courraient après les Nordiques partout dans le pays. Effrayée par le spectacle qu’elle voyait parfois dans les rues de la capitale, Nada retourna chez ses parents dans la campagne profonde. Les récoltes avaient été mauvaises cette année là, encore pire que les précédentes et son père était tombé malade. Beaucoup de ses frères et sœurs vivaient ailleurs désormais et ne pouvait pas aider les parents car ils avaient leurs propres ennuis. Un de ses frère avait épousé une Nordique par exemple... Elle s’inquiétait pour lui. Elle pris un travail de couturière, ayant pris l’habitude de rapiécer ses vêtements à la capitale avec ce qu’elle pouvait trouvé, elle avait appris sur le tas à coudre assez correctement pour que les morceau tiennent ensembles et arrivait même a rendre quelques loques pas trop moches. L’important de toute manière était que ça tienne. Mais dans son village, les clients se faisaient rares et payait avec du poulet ou d’autres denrées comestibles... mais il fallait de l’argent pour que le père puisse voir un docteur. Nada pris alors une grande décision. Elle décida de se vendre à un Esclavagiste pour que sa mère puisse payer un médecin. C’était une décision difficile que de laisser tomber sa liberté mais c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. Et puis même si elle tentait de les aidées, elle était une bouche à nourrir de plus pour ses parents. Elle parti donc avec sa mère et fut vendue à bon prix pour ses talents de couturière, elle avait bien pris soin de cacher son mauvais œil avec ses cheveux. Adieu la liberté, adieu sa mère, Nada se vit mettre des chaînes aux poignets et aux pieds. Elle fut emmené loin de tout sans avoir la chance de dire au revoir. Elle n’était pas triste, elle avait fait quelque chose de bien et puis... être esclave ne devrait pas être aussi difficile que de vivre seule à la Capitale. Du moins elle l'espérait.

Arrivée à Esperia, Nada est vendue pour 1eD sans vraiment comprendre à quel point c'est un prix élevé pour une esclave comme elle. Les habitant la regarde bizarrement et comme toujours certains se demande même si elle est humaine dans le fond. Mais Nada ignorait qu'en elle se trouvait deux petit miracles qui n'attendait qu'à pointer le bout de leur nez. Tout se passait bien. Son travail lui rapportait bien, elle s'était fait ce qui lui semblait être des amis de confiance et personne ne lui avait encore jeté d’œuf ou de cailloux dans la tête... Juste parfois mal au ventre. Après une longue journée à avoir de plus en plus mal au ventre, Nada mourut en accouchant de deux petite filles: Aria et Crystal.