Utilisateur:Octyso

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     Octyso
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Octyso
Prénom IRL
Léo





Compétences

Minutie

Connaissances scientifique (sur le corps humain, mais elle reste assez faible)

Sens du goût

Oenologie

Navigation

Alphabétisation (pas de calcul)


Description

Visage ovale, cicatrice sur la joue gauche, teint clair mais bronzé, cheveux blond mal coiffés et mi-long. Habit décontracté dans les tons marrons, toujours sobre, mais pas excessivement luxueux. Corps musclé et équilibré, assez pour savoir se battre contre deux hommes de sa taille.

Qualités

Loyal, courageux, autonome, franc parler (mais poli), manuel, moyennement sociable, intelligent (dans le sens, pas « niais »), quelques connaissances en langue et philosophie (acquises à la bibliothèque de Lig Ocolide), sait se battre, connaît la cuisine par cœur.

Défauts

Brutal (situation de combat), paranoïaque, égoïste, rancunier, esprit pervers, pas beaucoup de tact, aucune connaissance de la technologie, des mathématiques, de l'astrologie, est solitaire, n'est pas habile avec des armes tranchantes.

Les recettes d'Octyso

Le Cuisinier Octyso prépare ses petites spécialités culinaires pour les clients les plus fortunés d'Esperia, et certains pauvres ouvriers cotisent toute une semaine pour s'offrir ces délicieuses merveilles. En voici quelques recettes...

Spécialités du Chef :

Poulet’o’ptit blanc arrosé au Rhum Roux, Poulet'oPtit Blanc.png Poulet'o'ptit Blanc

Morue du Capitaine au vin de Caroggia , Morue du Capitaine.png Morue du Capitaine

Border2px.png


Histoire

RolePlay :


Avant Esperia

Octyso

Il faisait froid, le bateau tanguait de bâbord à tribord, secoué par la houle incessante, par les vagues qui hautes d'au moins 10 mètres venaient s'abattre sur la coque en bois massif élimée par le temps et les intempéries. Sur le pont tout le monde s'activait, on criait des ordres, les matelots se tuaient à la tâche, les cordes, les voiles, le bois qui craquaient, c'était l'environnement préféré de tous ces Écumeurs qui aimaient leur patrie, leur équipage comme une deuxième famille pour eux, et surtout ils aimaient la mer. Octyso était de ces hommes là, mais lui n'opérait pas sur le pont du bateau, non. Il aimait à dire qu'il occupait un des postes les plus important et sans lequel, l'équipage ne pourrait vivre, il n'était pas un haut gradé comme un capitaine ou un lieutenant mais son travail était tout aussi utile. Les casseroles accrochées aux clous suspendues au murs, grinçaient dans leurs allées et venues au rythme de la tangue du bateau ; et les couteaux plantés dans le bois tendre d'une poutre passant au niveau de sa taille et coupant la petite pièce rectangulaire en longueur émettait un léger bruit sourd et strident très désagréable, mais Octyso était habitué. Tout dans cette pièce était bien fixé, accroché ou suspendu car dans ces moments critiques que vivait Octyso, en ce moment même, tout finirait par terre. Même si il y régnait un chaos assez impressionnant accentué par le houlement de la mer ce compartiment du bateau ressemblait vaguement à une cuisine. Un léger et doux fumet sortait de la cuisine, un homme grand et barbu qui se trouvait dans la pièce voisine y fit irruption- c'était le quartier maître-. Il brailla à Octyso, qui finissait la cuisson de son Poulet'o'ptit blanc, de se dépêcher car l'équipage avait durement travaillé aujourd'hui et que tout ces Écumeurs méritaient bien un repas digne de ce nom. Il obtempéra la tête baissée en répondant un simple « Oui monsieur ». Dès que le gradé fut reparti, Octyso pesta en se disant que sans lui il ne mangerait pas et il balança quelques injures à son encontre. La petite marmite posée sur le fourneau qui était alimenté par un feu de bois nourri, auquel le jeune cuisinier rajoutait quelques bûches de temps en temps, laissait échapper ces délicieuses odeurs à travers une fine fumée blanche emplie d'un doux parfum de lait de coco. Octyso y trempa une grande louche pour attraper les morceaux de poulet qui mijotaient dans cette sauce blanchâtre. Il déposa la viande et son jus de coco dans un bol en bois qu'il posa à son tour sur un grand plateau. Le jeune Écumeur envoya en salle les dernières rations et put enfin se reposer. Il se remplit un bol pour lui en raclant le fond de la marmite et s'assit sur un petit tabouret dans le fond de la pièce, relâcha la pression, et laissa son esprit vagabonder. Son rêve était d'avoir une taverne à Lig Ocolide, une taverne grandiose où se mêleraient bonne cuisine, prostituées de qualité et quelques bonnes bagarres comme il les aimaient, au moins se serait lui le patron et il pourrait mettre dehors qui il voudrait et à coup de poing si il le désirait. Ce serait un établissement prestigieux pour les matelots, quartier maîtres, et tout les Écumeurs qui voudraient venir. Il imaginait déjà la devanture, ornée de bois, stylisée comme un bateau, avec un énorme gouvernail au dessus de l'entrée. Par dessus lequel y serait accroché le nom de sa taverne taillé dans le bois par les meilleurs ébénistes. Ce sera « Au Bon Accueil des Écumeurs ». Comme tout le monde, il rêvait d'Esper de toutes sortes, mais pourvu qu'ils coulent à flot, dépensés par tous les ivrognes du coin, et du pourcentage qu'il toucherait en fonction des recettes de ses dames de joie. Il en avait envie, et quand il pensait à tout ça, une flamme s'allumait en lui. Mais jamais il ne pourrait acheter un tel établissement, il n'a pas les fonds suffisants et malgré les jobs qu'il enchaînent de bateau en bateau, et même quand il touche une prime pour les pillages qu'ils effectuent, la vie est dure une fois revenu à Lig Ocolide.




Départ vers Esperia,


Un bruit désagréable de charrette se fit entendre, Octyso leva fébrilement une paupière et regarda sa chambre, éclairée par la faible lueur du soleil matinal, qui filtrait à travers des rideaux miteux, tombant en lambeaux par-ci par-là. Une pièce spartiate, un plancher en bois rongé et d'où on pouvait quelques fois apercevoir d'étranges petites bestioles rentrer et sortir par de minuscule trous. Les murs étaient faits d'un mélange de terre et de paille, qui s'effritait très facilement, donnant un aspect de cave abandonnée à la petite chambre. Le jeune homme leva la couverture à la propreté douteuse sous laquelle il s'était emmitouflé et ramassa son pantalon au pied du lit pour le mettre. Il alla d'un pas vacillant prêt de la fenêtre et fouilla dans son petit sac de cuir posé à même une table ronde bancale. Il tâta et sentit du bout de ses doigts un objet carré en bois, sa boussole. C'est un des objets les plus importants pour tout Écumeur, arrivé à un âge de maturité, tout bon citoyen de Lig Ocolide se doit d'en posséder une. Il l'avait trouvée récemment, il y a quelques jours en revenant de son dernier pillage sur le bateau où il avait été embauché, elle appartenait à une famille de Noble de la Capitale, mais Octyso voulait en savoir plus sur cette boussole. Elle n'était pas spécialement jolie ou ornée de diamant et d'or. Non, c'était ce qu'il y avait de plus classique, en bois et avec un clapet pour protéger le précieux système qui se trouvait à l'intérieur... Mais elle avait quelque chose de très particulier. Il essaya alors de se souvenir de ce qu'il avait fait la veille, mais le jeune cuisinier avait une sacrée gueule de bois. Son haleine empestait l'alcool et sa tête allait bientôt exploser. Nauséeux, il se dirigea vers le fond de la petite chambre et s'agenouilla devant la bassine remplie d'eau crasseuse. Il en prit dans ses mains et la projeta violemment contre son visage, comme si le contenu de la bassine allait le laver de tous les maux dont il souffrait. Octyso leva la tête et s'aperçut dans l'éclat de miroir posé en équilibre contre le mur. Un visage ovale, avec une barbe de quelques jours, des cheveux blonds gras et crasseux taillés au couteau lui arrivant dans le cou et une grosse cicatrice sur la joue lui donnaient cet aspect propre aux Écumeurs. Sa poitrine musclée et ses bras imposants dissuadaient quiconque voulant se frotter au jeune homme. Son corps se finissait par de grandes et musculeuses jambes couvertes d'un pantalon en toile grossière et de bottes de cuir traversées par une boucle de fer au niveau de la cheville. Il finit de se nettoyer et enfila une large chemise sur laquelle il passa une veste de cuir marron lui arrivant aux cuisses et enfin, en bandoulière, son sabre rangé dans son fourreau métallique . Déterminé à savoir ce que cette boussole cachait, le jeune homme quitta sa chambre et descendit l'escalier menant à la salle de la Taverne, déserte. Là se trouvaient déjà quelques prostituées bavardant entre elles pour faire passer le temps, jusqu'à ce que les Écumeurs reviennent de leurs excursions en haute mer. À sa vue, ces jolies jeunes filles accostèrent Octyso, il en reconnut quelques-unes qu'il avait déjà fréquentées, mais il n'avait pas le temps au flirt. Il se dirigea vers le comptoir derrière lequel le patron essuyait des verres puis les posait un par un sur une étagère. Octyso l'accosta :

« - Hum... Salut vieux... dit, je cherche quelqu'un qui pourrait m'en dire plus sur cette boussole, en la lui montrant, -Octyso préféra ne pas trop en dire, les rumeurs vont bon train ici- Tu ne connaîtrais pas quelqu'un ?

-Ha ! Octyso... Ça fait 3 nuits que t'loues ma chambre, et j'ai t'jours pas vu les Espers que tu m' dois !

-Tu sais bien que c'est difficile pour moi ! J'ai plus beaucoup d'argent, avec hier soir  … !

-C'pas mon problème, paye les 3 nuits et j'pourrais ptet t'aider... 

Contraint le jeune Écumeur sortit 10 Esper d'or, le Tavernier les recompta et lui fit un large sourire

-Approche p'tit, dit le Tavernier en se penchant par dessus son bar, il commença à parler à voix basse, j'connais quelqu'un à Lig Ocolide qui pourrait ptet te dépanner... Il est un peu vieux, et fou, mais à c'qui paraît il répare très bien ce genre de truc là...

Octyso écoutait avec attention, il lui demanda à son tour a voix basse, où est-ce qu'il pourrait le trouver.

-J'y viens J'y viens … Apparemment, il est sur l'point d'quitter la ville, déjà plusieurs personnes l'ont fait, d'après les rumeurs, ils vont vers de nouvelles terres, où se trouve une mine d'or incroyable !

Le tavernier avait fini par hausser le ton, et les dames de joie qui se trouvaient à quelques mètres de là, n'en avaient raté aucune miette, le tavernier reprit son air sombre et mystérieux et à voix basse dit à Octyso :

-Va à son atelier, ptet qu't'auras d'la chance, et qu'il est pas encore parti ! Mais d'pêche toi ! Tiens v'là son adresse.

Le Tavernier prit un vieux morceau de papier de dessous son bar et griffonna quelques lettres à l'aide de sa plume.


Octyso avait suivi les instructions du Tavernier, il lui avait fallu traverser tout Lig Ocolide pour trouver la demeure du « vieux fou » . Il n'était à présent qu'à quelques pâtés de maison du lieu indiqué. Il ne venait pas souvent dans ces quartiers là, c'était les quartiers « chics » de la ville, ici ne vivait qu'une certaine classe de personnes, entre autre les Nantis et les Capitaines parfois possédaient des villas gigantesques ; l'horloger chez qui il allait devait être sacrément riche pour avoir une maison par ici, se dit le jeune cuisinier. Il fouilla alors dans sa poche et attrapa le bout de papier froissé que lui avait donné le Tavernier. Y était inscrit « 58 rue d'la boussole », bien trouvé comme nom, sourit-il. Il prit alors rue de la boussole, et tomba sur le 58, belle bâtisse, ancienne et dans un style propre à Lig Ocolide. La porte était ouverte et devant la maison étaient entassés moult valises et sacs de voyage, ainsi que de nombreux et volumineux livres, et plans d'objets que Octyso ne reconnaissait pas. Il décida de s'approcher et de frapper à la porte. Personne ne vînt l’accueillir. Il entra alors par la grande entrée de pierre de taille, la porte grande ouverte, il ne se gêna pas. Il arriva dans un long et large couloir, desservant diverses pièces de la maison, éclairé par la lumière du jour passant par les vitres fraîchement nettoyées avec au moins cinq ou six mètres de hauteur de plafond, le tout richement décoré. Et des fleurs disposées un peu partout. Un tapis avait été mis tout le long pour protéger le plancher de bois précieux. Mais il n'y avait plus aucun meuble, ni chaise, ni table, il n'y avait personne non plus. Étrange se dit Octyso, de laisser sa maison ouverte comme ça. Il jeta un dernier coup d’œil vague et se retourna pour sortir. À peine avait-il eu le temps de se retourner qu'il reçut un violent coup sur la tête. Il retomba lourdement, sur le tapis qu'il avait contemplé quelques minutes auparavant. Il eut besoin de plusieurs minutes d'adaptation, ce coup lui avait retourné le cerveau. Il avait l'impression de voir à l'envers et sa vue était constellée d'étoiles blanches, comme des flashs. Il se releva tant bien que mal, ignorant toujours où se trouvait son agresseur, il se tourna et vit dans l'entrée une silhouette recourbée tenant fermement à deux mains une cane, prêt à frapper à nouveau, mais il n'en eut pas besoin, le jeune cuisinier s’évanouit retombant au pied de la mystérieuse silhouette. Octyso ouvrit les yeux lentement, il se trouvait dans une pièce sombre, le seul éclairage qui s'y trouvait était une petite torche située au dessus d'un bureau, sur lequel travaillait une silhouette, recourbée... Mais ! C'était son agresseur ! Ni une ni deux le jeune homme décida d'un plan. Il n'était pas attaché et plusieurs objets autour de lui, comme ce vieux balais ,pourraient faire office d'arme, son sabre n'étant plus dans son fourreau. Il se leva délicatement, prit le balais, se dirigea vers la silhouette prêt à frapper.

« -Jeune homme ! Venez voir, vous tombez à pic ! dit la silhouette d'une voix chevrotante, sans même se retourner

Octyso, surpris, n' en revenait pas. Il s'approcha prudemment du bureau où était installé ce qui semblait être un vieillard, le balais toujours en main.

-Venez, venez, n'ayez pas peur ! Je ne mords pas ! Huhu, rétorqua le vieillard

Le jeune homme s'approcha de biais, et put voir ce que le vieillard fabriquait sur ce bureau, il tourna la tête vers lui, il avait des cheveux blancs de chaque côté du crâne, et des vêtements sommaires. Mais il avait de bien étranges lunettes, avec comme une petite longue vue sur chaque verre.

-Que me voulez-vous ?! rétorqua sèchement Octyso

-Mais enfin, approchez, je vais vous montrer quelque chose que j'ai découvert, c'est absolument incroyable ! Une boussole si banale, et pourtant, elle n'a pas l'air d'obéir aux lois de...  Le vieillard paraissait se perdre dans ses pensées

Octyso comprit qu'il était en train d'examiner sa boussole, et que cette personne devant lui n'était autre que … « le vieux fou » !

-Mais c'est ma boussole ! Et vous m'avez frappé ! dit le jeune homme indigné

-Mmh oui c'est bien possible, je ne m'en souviens plus … Le vieillard paraissait toujours perdu dans ses pensées, Ça y est ! Eurêka ! Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ! Regardez jeune homme ! C'est une boussole très ancienne, qui obéissait aux lois magnétiques de notre monde, mais une anomalie a été glissée dans le système, peut-être est-ce voulu, ou peut-être que l'horloger qui l'a construit voulait en fait revenir sur des théories qui étaient développées il y a bien longtemps... ! Hum, je me perds, que disais-je ? Ha oui, les lois magnétiques, cette boussole n’indique ni le nord ni le sud, elle indique un point précis ! Oui c'est exactement ça !

Le vieillard écarta ce qu'il y avait sur la table et sortit une carte du monde, sous le regard ahuri d' Octyso, il y avait été rajouté à l'Ouest, un nouveau continent où y était inscrit le nom « Esperia ».

-Mais ce continent n’existe pas ! dit le jeune cuisinier en le montrant du bout du doigt.

-Eh bien figure toi que si, bonhomme ! Héhé, c'était d’ailleurs ma prochaine destination, et je viens de vendre cette maison, ce qui me fait penser que je t'ai pris pour l'acheteur, et... Enfin bref cela fait un moment que ce territoire a été découvert, mais la simple populace ne le sait pas forcément ! Et regarde donc, le vieillard positionna la boussole au centre de la carte, l'aiguille vacilla et pointa vers le nouveau continent. Tu vois bien ! Le champ magnétique de cette boussole nous indique qu'une grande quantité de minerais fait dévier l'aiguille, et cela à cause... d'un petit roulement en moins !

-Mais c'est génial ! Alors si c'est de l'or on pourrait devenir riche ! S'empressa de dire Octyso, excité.

-C'est effectivement une mine d'or, mais elle a déjà été découverte, puisque c'est pour cela que tout le monde va à « Esperia », rétorqua le vieillard, la mine embarrassée.

-Mais alors... Ce n'est pas une découverte …

Octyso s'assit dans sur une vielle chaise de bois non loin de là, il se prit la tête-qui le faisait encore souffrir- et posa ses coudes sur ses genoux.

-...Tout cela n'a servi à rien au final, dit le jeune cuisinier

-Et bien peut-être que si, descendons, il fait trop sombre ici, je finirai de tout t'expliquer en bas, au fait, comment t'appelles-tu ?


Épilogue

Le vieillard et Octyso décidèrent de partir à la découverte de ce nouveau monde. À l'aide de la boussole bricolée par le vieux, ils pourraient peut-être trouver d'importante source de minerai précieux. Le jeune homme était partant, il s'était dit que ce serait peut-être mieux que sa vie ici, qu'il pourrait peut-être faire fortune en ouvrant sa Taverne sur ce nouveau monde ! Le vieillard ayant mis toutes ses économies dans ce voyage fort coûteux, il ne pouvait se permettre de payer celui d'Octyso. Le vieux fou était alors parti en premier, et le jeune cuisinier le rejoindrait quelques semaines plus tard. Octyso s'était alors rendu chez Markus qu'il connaissait bien pour lui avoir livré des esclaves qu'ils ramenaient de pillage de villes. Mais cette fois c'était pour devenir esclave lui même, lui permettant d'être transporté gratuitement vers le nouveau continent...

ESPERIA !

Premier Jour