Utilisateur:Perin

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
periplasme
Pseudo
khrogos
Prénom IRL
julien
Âge IRL
21





Perin Plassima

Description

  • age : 25 ans
  • taille : 1m 85
  • poids: 80Kg
  • croyance : courant du libre-arbitrage
  • maitrise à l'arme : aucune, perin n'as jamais eu l'occasion de se battre.

Compétences

  • Connaissance scientifique : fils d'un ingénieur, perin à grandi entouré des circuits en poudre rouge de son père. D'abord la veilleuse pour l'aider à dormir, puis les jouets lumineux que sont père lui fabriquait, perin à créé son premier circuit à 11 ans, après avoir appris des moines les bases du calculs et de la lecture
  • dessin : Ressentant le besoin de s'évader des cours de théologies et de calcul, perin avait prit l'habitude de passer son temps libre à faire de petits dessins, une habitude qu'il n'as plus perdu en sortant du monastère.
  • Minutie : après ses premières expérimentation avec la poudre rouge, il as vite compris que si il ne devenait pas rigoureux, il se brulerai plus que les sourcils, la prochaine fois.
  • Alphabétisation et calcul : même si il n'as jamais réussi à avoir une écriture parfaite, avoir passer ses plus jeunes année entouré de moines lui as permis de savoir lire et comprendre certains textes qu'il n'aurait jamais eu l'occasion de lire autrement.


Talents

  • philosophe
  • créatif
  • docile
  • esprit scientifique
  • curieux

Défauts

  • TROP curieux par moments
  • un peu manipulateur
  • légère dislexie
  • frêle
  • maladroit

Intérêts culturels et goûts

Perin aime les jolis filles, on l'as cependant déjà prit à regarder quelques hommes ... Son petit vice caché : l'hydromel il as arrêter de fumer il y as peu.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire et arrivée à esperia

partie une : Frappons un grand coup !

"Patron ! ressert moi de cette hydromel ! mon gosier est aussi sec que l'entrejambe d'une vieille femme de joie" fjor, mon meilleur ami, parlait toujours comme ça, ça ne me plaisait pas tant que ça, mais ça avait le mérite de faire rire toute la taverne. Un rire gras et retentissant, qui se veut communicatif. à chaque fois que fjor demandait à ce qu'on aille boire ensemble, c'est qu'il avait une requête à me faire. "Je suppose que si tu m’emmène ici, ce n'est pas pour s'enivrer d'alcool ou de femme, fjor, alors qu'as-tu à me demander ?"

"Tu vois clair dans mon jeu, comme toujours. Tu est malin, perin, et c'est pour ça que j'ai besoin de toi." Il avait l'air sur de lui, trop sur de lui. "Tu n'es pas sans savoir que cette hydromel va me couter mes dernières pièces d'or, quitte à les dépenser, autant que ça soit dans la bonne humeur ! et je pense que tu es dans le même cas" Ma foi, il n'as pas tord, j'ai compté ce matin, j'ai juste assez pour subvenir 3 jours. "alors voila ce que je propose : toi, moi et mioln, on doit se serrer les coudes, et j'ai penser qu'on pourrait "obliger" quelques passants malchanceux à nous aider financièrement... " Je ne sait pas ce qui me choqua le plus : sa proposition, ou le fait que je ne l'ai pas rejeté tout de suite ?

Un long débat se passa : je trouvais des arguments pour le convaincre que c'était une mauvaise idée, et lui il trouvai toujours une réponse. Bigre, manipuler un aussi bon manipulateur que vous n'est pas chose aisé. Je finit par céder. "rendez-vous dans une semaine, Sur la route qui relis maailmanovi et golvandaar, on sera à environ 3000 blocs de la sortie de golvandaar, pas d'arme, juste du culot et de la chance."

partie deux : on récolte ce que l'on sème

"On récolte ce que l'on sème", jamais cette phrase n'avait était aussi vraie. Est-ce que ça en valait le coup ? C'est mioln et fjor, mes compagnons de classe avec qui j’étais resté en contact, qui en avait eu l'idée. Faire croire que notre charrette avait un soucis, et piller le premier malheureux qui nous viendrait en aide. Je n'aimais vraiment pas ce plan, mais le pain manquait, et après 2 jours sans manger, on ravale sa morale. Mon rôle, la dedans, c'était d'attirer les gens, et de leurs soustraire des renseignement, après tout, on aurait eu l'air fin de vandaliser un homme aussi pauvre que nous. il fallait d'abord vérifier que ça en valait la peine. Je devais aussi confectionner un petit piège, qui immobiliserait le malheureux et nous permettrait de prendre la fuite en cas de pépin.

Un homme arrive, sur son cheval. "A l'aide mon brave ! une roue de ma charrette s'est encastrer dans un trou, et plus moyen de l'en sortir !" L'homme avait l'air bon et son visage chaleureux mettait en confiance. Quelques part au fond de moi, je voulais lui dire de partir, il ne méritait pas le sort que mes compagnons lui préparait. Mais, presque heureusement je dirais, Il nous rit au nez et reparti sans autre forme de procès.

Mes amis hurlait contre lui, je ne le pouvait pas. Manipulateur oui, mais il me rester un peu de morale que la faim n'avait pas encore détruit.

Sur une route comme celle-ci, qui relie maailmanovi et golvandaar, on était sur de voir au moins un ou deux voyageurs par cycle ! donc quelque part, ça ne faisait que retarder l’inévitable.

Une seconde personne passait, vu le contenu de sa remorque, sans nul doute un artisan ou un bucheron. Je l'apostrophait de la même manière : "A l'aide mon brave ! une roue de ma charette s'est encastrer dans un trou, et plus moyen de l'en sortir !" Cette fois, il s'arrête, descend de sa charrette et s'approche, un balai à la main, sans doute pour faire levier. Il ne dit mot, mon cœur bat la chamade. mes amis, derrière moi, ont déjà retroussé leurs manches et se préparent à bondir.

Je n'ai pas eu le temps de réagir : mioln à sauter le premier, fjor le suivait de près. Le premier coup vole, horreur ! le passant l’arrête sec, assomme mioln avec son balai et sur son bras, une marque apparait : c'est un ancien soldat. Vite, fjor et moi battons en retraite, le piège devrait fermer le passage quand ce soldat au balai marcherai dessus, je cours vers l'échappatoire, mon ami, prit de panique, sprint furieusement, et ... chope dans le piége, la porte se referme avant que nous aillons eu le temps de passer, nous sommes coincé, à la merci du bougre et nous connaissons déjà la suite : la mort, ou l'esclavage. Je n’espère plus qu'une chose : que mon futur maitre soit indulgent avec moi.