Utilisateur:Plantigo

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
verbalbroo
Prénom IRL
Sébastien
Âge IRL
16ans





Plantigo

Description

Plantigo Arcus, jeune homme de 19ans, d'une taille de 1m66 pour 57Kg, n'a pas connus sa mère morte lors de sa naissance. A du travailler dès son plus jeune âge pour aider son père à vivre.


Compétences

-Créativité

-Sculpture

-Outillage

Talents

-Travailleur

-Dynamique

-Sociable

Défauts

-Egoïste

-Jaloux

-Impatient

Intérêts culturels et goûts

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Le commencement:

Je sentis l'air frais du vent sur mon visage en 494, à l'instant où ma défunte mère sentis son dernier avant de s'en aller pour un repos éternel. Dès mon plus jeune âge, je connus les hivers froid avec tout juste un maigre feux pour se réchauffer, une tente en guise de foyer et de la soupe rarement accompagnée de viande comme repas.

Mes parents étaient des nomades, des journées interminables de marche ne les effrayaient pas le moins du monde. D'ailleurs, c'est de justesse que cette vie ne fut pas la mienne. Mon père ayant décrété que sa chère femme monta au ciel suite à de trop longues heures de marche incessantes.

Alors que mon travail quotidien était de cueillir toute sorte de nourriture possible dans la forêt pour la revendre au marché noir, mon père quand à lui, se mit totalement dans l'artisanat du bois. Il avait alors quelques faibles connaissances au début. Mais des journées d'acharnements lui fit rapidement obtenir une petite renommée dans la ville.

C'est totalement lui, mon fabuleux père qui m'appris tout sur la vie. En passant de l'attitude à tenir face aux gens, à comment réaliser la moindre économie ne serait-ce que sur un maigre repas.


Une nouvelle alarmante:

Je grandis donc de façon simple, sans être allé à l'école, en travaillant tous les jours pour aider mon père à vivre. Il fit un jour, où mon père commença à m'apprendre les secrets de l’artisanat du bois. Et c'est maintenant moi qui allait au marché vendre nos fabrications. Mais les temps changent, et le une terrible épreuve nous attendait. Alors que je me trouvais au marché ;

-Plantigo:"Fabrications artisanales de qualités ! Vous cherchez des couverts, de l'immobilier ou toutes sortes de décorations intérieures ? Demandez aux Arcus et les Arcus vous le feront !

-Passante: Oh jeune homme, ne prenez plus la peine d'user votre voix et votre salive pour rien. Les gens ne vous achèteront pus rien dans les jours à venir .

-Plantigo: Pardon madame ? Ici les Arcus ont une grande renommée, les gens ne peuvent se priver de nos fabrications. Ils savent qu'ici c'est la qualité qui domine et qu'ils ne seront jamais déçus.

-Passante: Mais je vous l'accorde, je ne vous contredis pas. Je viens du sud, je suis une habitante d'Odense, et ma mission est de parcourir l'ancien monde pour mettre en garde les populations.

-Plantigo: Mettre en garde ? Mais sur quoi donc ?

-Passante: Il y a de cela 2 mois, un bateau remplis de marchandise accosta à Caroggia. Il était sensé approvisionner la ville de poissons et de crustacés venus d'îles lointaines. Le maire comptait être le premier de tout l'ancien monde à nourrir son peuple de ces nouvelles saveurs venus d'ailleurs. Il commit alors l'erreur la plus irréparable qu'il ne nous soit jamais arrivée. La nourriture a du pourrir durant le voyage, ou être contaminée, et tous les habitants de Caroggia furent envahis par une terrible épidémie !

-Plantigo: Une épidémie ? Mais quelle genre d'épidémie ?!

-Passante: Nous l’associons à la lèpre. Les gens se plaignaient d'atroces douleurs à l'estomac au début. Ils disaient avoir l’impression que des vers leur mangeaient les tripes. Comme si ils brulaient de l'intérieur. La folie en gagnait quelques uns d'entre eux, tellement qu'ils se donnaient eux même la mort. D'autres résistaient dans de terribles souffrances, et voyaient leur corps se décomposer à vu d'oeil. Des trous apparaissaient dans leur peau, et celle-ci s'arrachaient facilement.

-Plantigo: Mais c'est horrible ! Et les soigneurs alors ? Que font-ils ?

-Passante: Et bien figure toi que eux aussi ont été contaminés, et que le peu qui restaient en bonne santé se sont retrouvés immergé par le flux important de malade. Le seul moyen est alors d'envoyer ces pauvres gens dans des grottes souterraines, loin des gens encore non contaminé, et de les laisser mourir entre eux. C'est le seul moyens d'éviter une grave épidémie qui éradiquerait la vie humaine sur notre continent.

-Plantigo: Que devons nous faire alors ? Nous, pauvres gens ? Sommes nous condamnés à mourir nous aussi ?!

-Passante: C'est maintenant à vous de choisir, des hommes venus de l'autre continent sont prêts à nous sauver. Nous seront alors accueillis sur leurs terres, et dire adieu à nos vies ici.

-Plantigo: Quels hommes ? Qui sont-ils ? Tout quitter si précipitamment ?

-Passante: Il s'agit des hommes d'Esperia. Tout quitter rapidement et être assuré de vivre, ou rester ici, dans l'espoir que cet épidémie se soigne dans les plus bref délais, sous peine de mourir dans le chaos le plus total.

-Plantigo: Merci madame de ces nouvelles alarmantes, mais ne faut-il pas prévenir tout le monde ?

-Passante: Elas il faudrait, mais réduites sont les places pour Esperia. Je dois donc informer quelques personnes dans les villes de l'Ancien monde. Les embarcations se trouvent à Uuroggia, pour une durée limité. Le temps t'est à présent compté. A toi de faire les bons choix. A présent je dois m'éclipser pour prévenir d'autres innocents, bonne chance à toi jeune artisan."

Je compris alors que j'étais un privilégié. Que le seigneur était avec moi. Je ne pouvais pas rester ici et mourir, la priorité étaient d'en informer mon père et de nous éclipser vers les embarcations.


Voyage vers l'inconnu :

Après avoir conter la situation alarmante à mon père, nous nous dirigions vers les fameuses embarcations. Sans cheval à notre disposition, nous prîmes le minimum pour ne pas nous encombrer. Et c'est en marchant que nous fîmes le chemin. Mon pauvre père s'essoufflait vite, son vieil âge l’encombrait énormément. Mais il réussit quand même à effectuer cette longue marche de six jours.

Nous voici alors, après six interminables jours de marche, aux embarcations d'Uuroggia. C'était alors l’incompréhension totale pour tout le monde. D'énormes bateaux Esperiens se succédaient. Pour chaque bateau, un homme, sans doute le capitaine était chargé de nous accueillir. Mais dans cette foule immense, un lourd bruit de trompette et de tambours se fit entendre, et fut taire la population. Un homme monta sur une estrade, et nous annonça ;

-Capitaine: "Ne vous affolez pas, chers habitants de l'ancien monde ! Nous, généreux Espériens sommes là pour vous sauver !! Vous pouvez apercevoir en face de vous, six fabuleux bateaux, avec tout le conforts dont vous avez besoin durant le voyage ! Les deux premiers navires accueillent les femmes de tout âge. Les deux suivants accueillent les homme âgés de plus de trente ans ! Et enfin, les deux derniers bateaux, les plus beaux à mon gout, accueillent les hommes âgés de moins de trente ans. Veuillez vous y rendre dans l'heure suivante ! Plus tôt vous partirez de ce continent, plus tôt vous serez en totale sécurité !"

Mon père et moi même laissions d'abord place à une certaine incompréhension. Pourquoi tous nous séparer ? Surement pour effectuer des test médicaux à bord des bateaux ? Aucune réelle réponse ne nous fut donnée, mais la peur de rester sur ce continent nous fit vite monter à bord de nos embarcations respectives. Se fut vite l'heure de nous dire au revoir, mais nous savions que nous nous retrouverions une fois arrivé à Esperia. Se fut de bref adieux pour ma part, bien que certains avaient énormément de mal à laisser partir leur famille.

Une fois monter à bord, l’atmosphère se changea radicalement. Dès que la navire commença à naviguer, le capitaine changea de ton. Nous avions été tous assis dans les soutes du bateaux, puis enchainer pour des raisons de sécurité. Cela nous semblait étrange aux premiers abord, certains refusaient et avaient été amené dans un coin isolé du bateau.. Je me retrouvais donc là, assis et enchainé. C'est alors que le capitaine nous annonça d'une voix méprisante et dure ;

-Capitaine: "Bienvenue à tous mes bon chères hommes ! Vous avez pus voir que nous vous avons séparé entre vous. Maintenant que cela est fait, je peux vous dire que les vieillards seront exécutés en terres secrètes, et que les femmes serviront de plaisir pour les plus riches d'Esperia ! Quand à vous ... Oui vous ! Vous voilà désormais esclaves pour Esperia. Vous nous devez bien ça non ? C'est la moindre des choses quand un gentil peuple se propose pour vous sauver d'une abominable épidémie !"

Tout le monde à bord du navire se mirent à hurler, à injurier ce capitaine de toute leurs forces. Mais tout le monde fut rapidement calmé par les coups de fouets de l'équipage. J'étais donc consigné, à être esclave pour un peuple au quel je connais seulement le nom. Mon père étant réduit à la mort, j'étais le seul survivant de la famille...

Papa, Maman, reposez en paix... Je m'adapterais à cette nouvelle épreuve que le seigneur m'impose. Je ferais connaitre les Arcus dans toutes les terres d'Esperia, j'en fais le serment...