Utilisateur:Raidriar

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Shrata
Pseudo
Shrata/Raidriar
Prénom IRL
Brieuc
Âge IRL
16 ans





Hors RolePlay :

Lien vers la page d'Emilie:
http://www.esperia-rp.net/wiki/index.php/Utilisateur:Emilie

Description

Raidriar est un jeune homme d'une vingtaine d'années. C'est un homme svelte faisant environ 1m 80 pour 70 kg. Il a les yeux verts, les cheveux et la barbe brune et la peau claire. WIP

Compétences

Survie : La vie en campagne et les longues journées de chasse lui ont paris à survivre en forêt.

Connaissances de la faune : Etant chasseur il connaît les animaux sauvages et sait prévoir leurs déplacements afin de les traquer.

Connaissances météorologiques : Il a connaissance des saisons et du terrain, pratique pour savoir où et quand chasser.

Endurance : Les longues marches en forêts à chasser ou à porter du bois lui ont conféré une certaine endurance physique.

Combat : Principalement contre des bêtes et avec un arc il a donc un niveau minable face à un réel combattant à l’épée.

Combat à mains nues : Amateur

Combat à l'arc: Amateur

Talents

WIP

Défauts

WIP

Intérêts culturels et goûts

WIP

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Lors d’une sortie en forêt :


Raidriar et son père marchaient simplement au milieu des arbres non loin de leur paisible village. Son père travaillait à la petite scierie qu’il s’y trouvait et sa mère était employée comme cuisinière à la taverne, on pouvait dire qu’ils vivaient une vie simple mais paisible rythmée par les saisons et les tournois de tir à l’arc. Ce jour-là, Raidriar venait d’avoir treize ans et reçut plus tôt dans la matinée un arc sculpté par un artisan du village dans un bois d’if sélectionné par son père. C’était un arc léger adapté à un novice, il était orné d’un œillet canatanais gravé sur le manche. Une fois arrivé à une clairière son père alla poser une cible fait d’un fin rondin de bois accroché par une corde.

-C’est ici que tu t’entraineras pour l’instant, la vue est bien dégagée et le vent ne passera pas à travers les arbres.

-Dit papa tu penses que je pourrais participer avec toi au prochain tournoi?

-Peut-être si tu t’entraines assez.

C’est donc dans un élan d’enthousiasme que Raidriar prit une flèche la mit maladroitement sur la corde en commença à bonder l’arc puis décocha rapidement sans à peine toucher la cible -Crotte ! Il prit une autre flèche et s’apprêta à refaire la même opération

-Ce n’est pas comme ça qu’il faut faire ; regarde.

Son père pris son arc, se dota d’une flèche bonda son arc jusqu’à sa joue, attendirent quelques instants puis tira

-Vois-tu il ne faut pas se précipiter, quand tu as le temps prend le pour te concentrer sur ta cible et bander ton arc jusqu’au bout.

Plusieurs heures passèrent, de nombreuses flèches fendirent le vent et là cible restait quasi intacte


Quelques années plus tard :


Le soleil n’était pas loin de se coucher, Raidriar avait la corde de son arc tendu, retenant sa respiration. Il décocha finalement une flèche qui toucha le lièvre qu’il suivait depuis un moment puis il alla dépecer sa cible. Il sortit son couteau de chasse pour délicatement découper la peau de l’animal, il en récupéra un petit morceau de fourrure qu’il plaça dans sa sacoche puis découpa la viande pour ne garder que les cuisses restées intactes. Voyant le soleil se coucher il prit le chemin du retour laissant les restes de la bête morte au charognard. Une fois rentré il se dirigea comme à son habitude vers la taverne où travaillait sa mère. Il vendit ses viandes au gérant de l’établissement puis alla voir sa mère au comptoir. Celle-ci était en train de servir deux voyageurs assez bruyants que Raidriar écouta d’une oreille attentive tout en buvant sa donnbeoir. L’un des deux hommes était cartographe, l’autre était son apprenti. Raidriar les observa en train de lire des cartes du monde, de parler de montagnes, de pleines enneigés et de la mer. Tout cela il avait du mal à se l’imaginer, il n’était jamais allé plus loin que les forêts autours de chez lui. Le lendemain, il pensait encore à tout cela il naissait en lui une envie de voyages d’aller voir ce qu’il y a à l’horizon. C’est donc le soir suivant qu’il en parla avec sa mère.

-Quoi !? Tu songes à partir t’aventurer dans le monde ?!

-C’est ce que je viens de te dire.

-Mais tu as perdu la tête, que fera tu pour vivre ?

-Je sais chasser je me débrouillerais tout seul.

-Il en est hors de question, le monde est beaucoup plus vaste que tu ne le pense.

-Mais…

- Pourquoi veux-tu partir ? La vie ici n’est-elle pas paisible ?

-Si mais parfois je m’ennuie ici…

-Bon j’ai une idée, dans deux mois c’est ton dix-huitième anniversaire, j’en parlerais avec ton père mais peut-être tu seras autorisé à aller à Breithe avec lui, d’accord ?

répondit elle calmement après avoir réfléchi quelques secondes

-Merci mère, c’est génial !

-Maintenant laisse-moi je dois saler ce que tu as ramené.


Quelques mois plus tard :


Comme à son habitude Raidriar rentrait de sa chasse, le sac rempli du gibier attrapé et soigneusement découpé. Il repensait à la promesse de ses parents de l’emmener à Breithe, son anniversaire est pour demain et ses parents n'en ont pas encore reparlé avec lui. *Peut-être veulent-ils me faire la surprise* se dit-il. En arrivant au village il remarqua que deux charrettes de bonnes factures attelées à des chevaux étaient là. Elles étaient gardées par deux hommes en armure de cuir, tous deux armés d’une lance. Raidriar passa son chemin et alla directement à la taverne. En entrant il vit deux autres hommes au comptoir, l’un vêtu de vêtement coloré, propre, orné de quelques dorures. *c’est un bourgeois de la capitale.* se demanda Raidriar. À côté de lui il y avait un autre homme en armure, plus imposant, il avait une épée à la ceinture. Apparemment ils venaient d’arriver, le bourgeois venait de négocier une chambre pour la nuit puis il demanda un repas à la mère de Raidriar. Celui-ci vint au comptoir à quelque mètre des deux hommes puis demanda à sa mère de cuire une partie de sa chasse pour le repas de ce monsieur. -Une viande fraiche ira surement mieux à ses messieurs.

-C’est bien aimable à toi chasseur

répondit-il d’un air hautain

Sa mère s’exécuta et Raidriar partis pendant que l’homme prenait son repas.

À peu près une heure plus tard le soleil était couché Raidriar dormais déjà tranquillement dans son lit. Un bruit venant de l’escalier le réveilla, ce bruit s’intensifiait, Raidriar se frotta doucement les yeux ce demandant ce que ça pourrait être puis il se dit que ça doit être une surprise. Le bruit s’arrêta devant sa porte, le silence revint quelques secondes puis la porte se brisa et les trois hommes en armures entrèrent et pointèrent leurs armes sur Raidriar. Puis l’homme, le bourgeois entra le visage pâle.

-C’est lui le salaud qui a essayé de m’empoisonner !

Un coup violent s’abatis derrière la tête du réveillé qui se rendormi aussi sec. Quand il se réveilla il faisait jour, il était attaché dans l’une des charrettes, celle-ci était en train d’avancer. Un des gardes était à côté de lui assis, il lui dit tout de suite de ne pas tenter de s’enfuir. Sur le moment Raidriar ne compris pas, ses pensées étaient floues. *Mais qu’est-ce qui s’est passé ?* Se dit-il paniqué. Quand il eut repris tous ses esprits il se remémora les événements de la soirée puis il s’écria :

-Mais ce n’est pas moi je n'ai rien fais !

Le garde lui mit un coup de poing au visage qui le fit tomber, Raidriar resta sur le plancher de la charrette. Il ne savait plus quoi penser, puis c’est en larmes qu’il se mit à prier Arbitrio. *Pourquoi mon Dieu, je voulais partir voir le monde mais pas comme ça, pas comme ça !*

Deux années passèrent durant lesquelles il servit comme esclaves à plusieurs personnes. Il fut d’abord vendu à un noble possédant des terres agricoles et cherchant de la main-d’œuvre, il passa un peu plus d’un an à son service à labourer la terre et porter des sacs remplis de blé. Puis passa dans les mains d’un homme qui l’avait gagné en jouant aux cartes avec son ancien propriétaire, celui-ci le vendu quelques jours plus tard contre quelques pièces. On le mit dans une charrette qui voyagea plusieurs jours, il ne savait plus où il était, il voyait les villes et les villages défiler puis il arriva à la Capitale. Ses yeux étaient remplis de peur mais aussi de fascination. Il vit pour la première fois la mer avant d’être enfermé dans la cale froide et humide d’un bateau avec d’autres esclaves. Quand l’un d'eux demanda où ils vont être emmenés un autre répondit :

Profitez du temps qu’il reste car on ne reverra jamais ce monde…c’est à Esperia qu’ils nous emmènent…

--Raidriar 1 juin 2014 à 12:29 (BST)