Utilisateur:Rommayn

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
AlRom5
Pseudo
Rommayn
Prénom IRL
Romain
Âge IRL
17 ans





Description

Rommayn est un Capitalin. Il est né à La Capitale et y a passé sa vie, jusqu'à devenir esclave. Il est issue d'une mère Couturière et d'un père Chasseur, pour lui, son père était un héros, à toujours ramener à manger pour sa famille. C'est pour cela qu'il a voulu devenir Chasseur. C'était une famille avec bien peu de moyen, c'est pour cela qu'il s'occupait des tâches que ces parents ne pouvaient pas faire. Rommayn à 24 ans, mais son travail acharné pour aider ses parents durant sa jeunesse l'ont durci. Il fait plus que son âge. Rommayn est un homme robuste, il n'est ni trop maigre, ni trop gros. Il possède le juste milieu. Il ne possède pas de véritable muscle. La dureté de son travail et de la nature, lui ont fait avoir un visage rongé par de petites rides (Ce qui est choquant pour son âge). Il possède des mains solides et des jambes qu'on ne peux faire flancher. Il aime la nature, elle lui a appris plein de choses. Il est aussi très soupçonneux (après l'histoire qui est arrivé à son père) mais cela ne l'empêche pas d'être très curieux. Il est joyeux et toujours souriant, mais ne fait confiance qu'aux personnes qui l'ont réellement mérité. C'est aussi une personne honnête, et il dispose d'une joie de vivre inégalable. De plus, Rommayn est Phalangiste, mais de loin, c'est parent n'ont jamais prêté une trop grande attention à la religion. Donc, il pratique, mais peu.


Compétences

Endurance: Etant petit, Rommayn courait avec son père chaque semaine, cela lui as permis de développer son endurance et les relations qui l'entretien avec ce dernier.

Connaissances météorologiques: Une année, Allexendre (son père) l'as emmené à la chasse, mais au lieu de chasser, Allexendre as appris à Rommayn ce qui pouvait se produire avec tels et tels types de météo, ce qui lui vaut cette compétence.

Survie: Le fait de chasser avec son père, au moins, une fois chaque année, lui as permit de développer son instinct de survie.

Connaissance de la faune: Son père, durant les journées de chasse, lui as appris à chasser en fonction des animaux aux alentours, et de leur routine, mais aussi des faits inhabituels qu'ils peuvent avoir à certains moments.

Alphabétisation et Calcul: Durant son enfance, sa mère (Valérrye) lui faisait lire des livres qu'elle avait gardé de son enfance. De jours en jours, il apprit à lire et à écrire.


Talents

Rommayn possède divers talents:

-Robuste au froid

-Bon sens de l'orientation

-Assez beau

-Très résistant à l'alcool (c'est comme si il buvait de l'eau).

-Il adore les animaux...

Défauts

Mais comme tout homme, il possède des défauts:

-Très curieux

-Ne sais pas nager

-Très timide envers les femmes

-Vantard

-Il veut très souvent avoir le dernier mot

-Mais ne supporte pas les araignées

Intérêts culturels et goûts

Rommayn hait la politique, il ne peut pas supporter ça. A par cela, rien ne le dérange. Il aime le paranormal, et adore toutes les histoires que l'on raconte sur ce sujet. Il aime lire, mais ne pouvait que très peu s'exercer à la lecture. Il adore son lit et chaque matin, ne peux pas le quitter. Et s'il y a bien une chose qu'il aime plus que tous, c'est la tenue que lui a confectionné sa mère. Il adore, bien évidemment, ses parents.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Prologue

Rommayn avait ce jour là, 16 ans, la fleur de l'âge. Il était encore chez ses parents, son père avait 47 ans, sa mère en avait 45.


La Chasse

"Rommayn ?! Rommayn ?! Où es-tu ?!" cria le père de ce dernier.

-J'arrive, je suis dans ma chambre !

Cela faisait un an que Rommayn attendait ce moment, cette journée. Comme chaque année, le père de Rommayn l'emmenait à la chasse pour lui apprendre les rudiments du métier, mais ce n'était qu'une seule journée d'une interminable année. Il était prêt, il avait tout mis sur son lit, et était même dans sa tenue de "pisteur" que sa mère avait confectionné rien que pour lui. Il prit tout ce dont il avait besoin et se hâta de descendre rejoindre son père.

"Tu en as mis du temps, je croyais qu'on allait jamais partir." lui dit-il.

-Excuse-moi, j'attends cette journée avec tellement d'impatience que je ne voulais rien oublier.

-Ne t'inquiète pas, même si tu oublie quelque chose, je l'aurai sur moi... Bon, on y va ?

-Oui !

-C'est parti !

Et ils partirent en direction de l'Ouest. Le père de Rommayn se nommait Allexendre, c'était un homme de grande taille, avec une forte corpulence. Rommayn aimerait devenir comme lui. Allexendre avec remarqué, la veille, un pâturage non loin de chez eux, mais il devait comme même marcher un petit peu.

Après une quinzaine de minutes, ils arrivèrent sur les lieux, mais le pâturage n'était plus là.

-Tiens, le pâturage n'est plus là. Il se tourna vers Rommayn. C'est le moment où tu mets en pratique ce que tu as appris l'année dernière mon fils. Cherche dans les environs, des traces, qu'aurait pu laisser les animaux.

-Pas de problème.

Et il se mit à chercher. Tout d'abord, il examina les alentours. De là où il était, il pouvait peut-être apercevoir le troupeau. Mais aucun signe des animaux.

Puis, il huma l'air, voulant rechercher toutes odeurs correspondantes aux animaux recherchés. Mais il ne sentit rien, le vent devait sûrement aller dans le mauvais sens.

C'est à ce moment qu'il se souvint de la phrase de son père, l'année précédente:

"Chaque trace laissée par ta proie sont des indices primordiaux pour remonter jusqu’à elle."

Et c'est à ce moment là, qu'il se mit à chercher si le pâturage avait laissé des traces de son passage. Il chercha à la cime des arbres, près des rochers, mais ne trouva rien. Puis il regarda à ces pieds, et remarqua que les herbes avaient été foulées par des sabots. Rommayn continua sur cette piste, jusqu'à arriver à sa proie.

Fière de sa trouvaille, il retourna sur ses pas, et alla chercher son père.

-Je l'ai trouvé ! Il se trouve non loin d'ici.

-Ah...! Je suis fière de toi, et comment as-tu fait pour les retrouver ? demanda son père.

-Je me suis souvenu de la phrase importante qu'il fallait que je retienne et que tu m'as apprise l'année dernière. répondit-il.

-C'est très bien, maintenant, allons les voir.

Rommayn emmena son père jusqu'à l'emplacement du pâturage.

-C'est un beau groupe. dit Allexendre. Maintenant, je vais t'apprendre une autre leçon à retenir:

"L'ombre et le silence est ton ami, si le bruit vient te chercher, cache toi vite."

-Je retiens.

-Maintenant, approchons nous discrètement...Baisse toi ! Regarde à droite.

Rommayn fit ce que son père lui dit et il aperçut deux autres chasseurs venus pour le même pâturage.

-Fais chier ! D'autres chasseurs sur notre pâturage.

A ce moment là, le pâturage fut pris de panique et courut dans tous les sens. Un chasseur était sorti de sa cachette pour attaquer une proie.

-Quel idiot ! s'exclama Allexendre.

Le pâturage s'était dispersé.

-Bon, beh je suis désolé Rommayn, mais notre proie vient de s'échapper... Maintenant, on est plus bon qu'à rentrer à la maison. dit Allexendre sur un ton dépité.

Et ils prirent la direction de chez eux.

De cette journée, Rommayn n'en oubliera aucun moment, chaque fois qu'il chasse avec son père, c'est comme s'il change d'univers. L'univers où les animaux gouvernent et où la nature est maître.


La Taverne

Cela faisait déjà cinq semaines que le jour de la chasse avec son père était passé. Maintenant, il passait ses journées à se promener, à flâner, et à se souvenir des différentes leçons de chasse que son père lui avait appris. Un soir de la semaine, il rentra chez lui avec aucune idée en tête, il se disait qu'il venait de vivre encore une journée à ne rien faire, à "profiter de la vie", comme dirait sa mère.

Arrivé chez lui, il vit son père.

-Que fais-tu déjà là ? demanda Rommayn.

-Vois-tu, je me suis dis, tout en chassant, qu'il était temps pour toi, d'aller à la taverne, de découvrir le vrai milieu des hommes, là où la bière est maitresse, et où la bonne entente et le maitre mot.

-Mais, on y va quand ?... Rommayn réfléchit un instant. Tu veux qu'on y aille ce soir ?

-Bien entendu ! Allez, va préparer ton sac, on part dans quelques minutes.

Rommayn se hâta de monter dans sa chambre, sorti le sac qui était sous son lit et y méta les quelques affaires dont il avait besoin. Après avoir fait cela, il le mit sur son dos, et descendit en vitesse.

-Ah, te voila. lui dit son père

-Je suis près.

-J'espère que tu n'as pas pris trop de choses, Allexendre lui chuchota à l'oreille, parfois, certaines soirées dégénèrent et se transforment en bagarre. Il se releva. Bon, allons-y.

-Faites attention à vous mes chéris. dit Vallérye, la mère de Rommayn et femme d'Allexendre.

-Ne t'inquiète pas, je veillerais à ce qu'il revienne en un seul morceau. rétorqua Allexendre.

Et ils prirent la direction de la taverne.

Le soleil commençait déjà à se coucher et ses lueurs orangées traversaient les feuilles des arbres. La taverne ne se situait non loin de chez eux, ils n'avaient qu'à parcourir un petit sentier pendant environ vingt minutes, et ils y étaient. Après ces vingt minutes, ils aperçurent une grande maison, cette dernière était dotée d'une façade jonchée par de belles fleurs, et d'une enseigne indiquant le nom de la taverne: "Taverne oubliée". Ce nom était tout à fait bien trouvé, car cette taverne se situait à une heure de la ville la plus proche, c'est à dire, La Capitale.

-Bon, je rentre en premier et tu me suis. dit Allexendre à Rommayn.

Allexendre poussa la porte de la taverne, et entra. Rommayn le suivait de près.

-Ah ! Mais qui voila ! C'est notre bon vieux Allexendre le chasseur ! Allez viens avec nous, boire un petit verre ! dit une personne étrangère à Rommayn.

-C'est gentil, mais je suis accompagné aujourd'hui. rétorqua Allexendre.

-Ah bon ?! De qui ça ?! Une donzelle, ta femme, ou encore ta mère ?! demanda avec humour la même personne étrangère.

Et toute la salle se mit à pouffer de rire.

Rommayn avait envie de vomir, la taverne était emplie d'une odeur nauséabonde. Un mélange entre la bière, la sueur et la transpiration des personnes rentrant juste du travail.

-De mon fils. répondit froidement Allexendre.

Rommayn, qui était pour l'instant invisible aux yeux des autres, se fit automatiquement remarquer.

-Ah, tu es venu avec ton fils... la personne étrangère se tourna vers Rommayn. Rommayn, c'est ça ? Ce dernier acquiesça. Enchantée, moi c'est Frédérryck.

-Enchantée. répondit sèchement Rommayn.

Frédérryck se tourna de nouveau vers Allexendre:

-Et beh, il n'est pas très joyeux ton fils... Bon, allez, je vous offre un verre.

Allexendre et Rommayn se rapprochèrent du bar et s'installèrent à côté de Frédérryck.

-Comprends le, c'est tout nouveau pour lui, il est encore un peu timide. rétorqua Allexendre

-Quoi qu'il en soit, barman, filé leur une collation, c'est moi qui paye. (A Allexendre et Rommayn), Prenez ce que vous voulez.

-Une Capitale, pour moi. dit Allexendre.

-La même chose pour moi. dit à son tour Rommayn.

Après quelques secondes d'attente, le barman leur servit leur breuvage.

Frédérryck se tourna vers Rommayn:

-Fais gaffe petit, c'est de la bière de mauvaise qualité qui a peu de goût, à part celui de l’orge macéré, mais c'est la seul que l'ont peut se payer.

Rommayn regarda un petit moment le liquide, et ce dernier ne lui inspirait pas confiance, mais il décida comme même de le boire. Il rapprocha doucement la choppe de sa bouche et but une gorgée. Cette dernière ressortit aussi vite qu'elle était rentrée.

-Mais c'est immonde. s'exclama Rommayn.

-Je t'avais prévenu, petit.

Et Frédérryck se tourna vers Allexendre pour discuter.

Rommayn ne prit même pas la peine de finir sa chope. Il s'en alla du bar et partit se mettre dans un coin de la taverne. C'était un assez grand endroit. Et comme l'avait dit son père, la joie et la bonne humeur était partout, c'était comme si, tout ce qu'ils avaient enduré durant la journée, s'était envolé. Chaque petit groupe était dans sa discussion. Rommayn pouvait en discerner quelques unes. A sa gauche, un homme parlait de sa fille juste née. A sa droite, un homme costaud, ayant des poteaux à la place des bras parlait de son travail à la mine et du fait qu'il y avait eu un accident. En face de lui, deux jeunes hommes trinquaient et chantaient une chanson.

"Qu'est ce que les hommes sont joyeux en venant ici" pensa Rommayn.

A ce moment là, il entendit une petite querelle se créée.

-Pourquoi tu me regarde comme ça, toi ?!

-Oh, tu vas te calmer tout de suite, je t'ai rien fait !

-Si, tu me dévisage constamment !

-Et alors ?!

Le destinataire de la question ne pris même pas le temps de répondre et mis un coup de poing à son interlocuteur. Allexendre entendit la querelle et vit la bagarre commencer. Il se leva de son tabouret et alla chercher Rommayn.

-Viens, on y va.

Rommayn n'eut pas le temps de répondre que son père le tira par le bras, droit vers la sortie.

-Eloignons-nous...tiens, allons nous mettre là bas, sous les arbres.

Allexendre et Rommayn se mirent assez loin de la taverne pour ne plus entendre les bruits de fracas de chaises ou les vitres se casser.

Ils s'allongèrent sous les arbres comme prévu et Allexendre engagea la discussion:

-Alors, comment as-tu trouvé l'ambiance de la taverne ?

-Je sais pas, c'est pas fait pour moi, l'odeur de la bière mélangée à l'odeur de la transpiration, le gout de la bière et les bagarres...

-Ah mon garçon, tu verras, quand tes journées de travail seront longues, et que tu auras envie de passer du bon temps, la taverne sera ton "refuge".

-Mouais...

Et ils passèrent le reste de la soirée à discuter. Rommayn lui demanda comment c'était passé sa journée de chasse, et Allexendre répondit qu'elle avait été bonne.

De ce jour là, Rommayn ne se rappela pas du passage à la taverne, mais se rappela de la discussion avec son père. Il le trouvait si parfait, qu'il avait envie de devenir comme lui. Allexendre était avant tout son père, mais plus que tout, il était son meilleur ami.


Un esclave de plus

Rommayn: -Vous croyez que les esclaves sont d'anciens prisonniers qui payent leurs dettes, ou encore des personnes enlevées par des bandits ?. Détrompez-vous, les esclaves sont des personnes comme vous et moi, victime d'un malentendu ou encore de corruption. Et c'est ce qui m'est arrivé...Voici comment je suis devenu esclave.

(Ce n'est plus Rommayn qui parle mais un narrateur omniscient).

Rommayn a eu 24 ans, il y a peu, sa mère, avait organisé une petite fête surprise avec son père et Frédérryck, l'ami de son père (Rommayn avait appris à le connaître durant son adolescence). Il était très content de cette fête et remercia très fort ces parents. Mais là n'est pas le sujet de l'histoire. Nous sommes dix-huit jours après l'anniversaire de Rommayn. Son anniversaire avait couté cher à sa famille et la misère commençait à arriver chez eux. Il n'avait plus un sou en poche et devait se nourrir uniquement des prises de la journée d'Allexendre.

Ce jour-là:

-Tu ne mange pas ton agneau ? demanda la mère de Rommayn à ce dernier.

-J'en ai marre de manger toujours la même chose, c'est toujours de l'agneau ou du lapin...c'est agaçant au bout d'un moment.... lui répondit Rommayn.

-Je suis désolé mon chéri mais là, si tu ne la pas encore remarqué, c'est la misère. Estime-toi heureux d'avoir quelque chose dans ton assiette. Dis-toi qu'il y a des familles, non loin d'ici, qui meurent de faim et elles n'ont personnes pour les aidé... Heureusement que tu as un père chasseur parce que sinon, je pense que tu serais entrain de manger l'herbe à l'heure qu'il est tellement que tu aurais faim.

-C'est vrai, excuse moi. dit Rommayn sur un air de soumission.

-Non, ne t'excuse pas, c'est moi, je suis un peu à cran en ce moment. lui répondit sa mère avec un ton désolé.

-Quoi qu'il en soit... voulut commencer son père.

TOC TOC TOC

-Qui ça peut bien être ? se demanda Vallérye.

-J'y vais. répondit Allexandre.

Il se leva en faisant grincer sa chaise sur le plancher. Il arriva à la porte et l'ouvrit en vitesse.

-Qui y a t'il ? dit-il sur un ton de reproche.

-Bonjour Monsieur. Je suis là pour vous aider. Vous êtes surement au courant que la misère toque à nos portes.

Nous sommes là pour la renvoyer chez eux.

-Et qu'est ce que cela peux me faire ?

-Je vous explique clairement, nous sommes là pour présenter un contrat. En gros, vous devez faire un travail pour moi et vous serez payé en conséquence. Ne vous inquiétez, ce n'est pas une petite somme. Assez pour que vous surmontiez la misère pendant les dix prochaines années.

-Entrer. On verra à l'intérieur.

L'inconnu entra et exposa la situation à toute la famille.

-Mais, vous me dites que je dois faire un travail pour vous, mais quelle sorte de travail ? demanda Allexendre à l'inconnu.

-Ah mais c'est tout simple, vous avez juste à aller chasser un loup pour moi. Leur fourrure est très convoitée, vous voyez, et elle se vend très chère.

-Vous êtes malade ! Vous voulez que je mette ma vie en danger, juste pour votre bonheur ? s'exclama Allexendre.

-Ce n'est pas juste pour mon bonheur, c'est aussi pour le vôtre. Souvenez-vous, une grosse somme est en récompense. Sur ce, je vais y aller, je vois que vous n'êtes pas très récepteur. Et l'inconnu se leva pour s'en aller.

-Attendez ! cria Allexendre.

-Tu ne vas pas accepter ? lui demanda sa femme à part.

-On pourra surmonter la misère grâce à cet argent. Fais-moi confiance.

Allexendre se tourna vers l'inconnu.

-Filez-moi le contrat, je vais vous le signer.

L'inconnu revint à la table et donna le contrat plus un stylo à Allexendre.

-Lisez les petites écritures. conseilla l'inconnu.

Mais Allexendre ne prit pas le temps de les lire et signa instinctivement.

-Bon, j'ai combien de temps ? demande Allexandre.

-Une semaine, je reviendrais la semaine prochaine, muni de l'argent.

-Pas de problème.

Sur ce fait, l'inconnu partit avec le contrat signé, en poche. Tout les soirs de la semaine, Allexendre partait à la chasse dans l'idée qu'il allait ramener un loup chez eux. Et un soir, alors qu'il se disait qu'il n'en trouverait jamais, un loup pointa son nez en plein milieu de la forêt.

Allexendre se cacha instinctivement derrière un arbre et attendit le bon moment. Au moment où le loup était de dos, il sortit de sa cachette et avança prudemment vers sa cible. Mais Allexendre marcha sur une branche et le loup se retourna, puis en voyant le chasseur, pris la fuite.

-Putin ! fit Allexendre à lui même.

Mais il ne se découragea pas. Il avait vu la direction qu'avait prise le loup et le suivit. Après quelques minutes de pistage intensif. Il aperçut le loup. Il refit la même technique que tout à l'heure et s'approcha prudemment du loup quand il a eu le dos tourné. Arrivé à environ deux mètres de lui, il lui sauta dessus et le tua d'un coup de couteau dans le cœur.

-Pauvre bête, je suis désolé. Il prit le loup sur ses épaules et rentra chez lui, fière.

Le soi-disant jour arriva. Allexendre et sa famille attendirent toute la journée avant que l'inconnu ou le marchand, comme il avait été surnommé dans la famille, arriva.

TOC TOC TOC

-J'arrive. cria Allexendre.

Il se dépêcha d'aller ouvrir la porte. Devant lui, se dressait "le marchand", mais il n'était pas seul. Il était accompagné de quatre personnes portant une armure.

-Bonjour, je viens chercher le loup.

-Je vous le ramène tout de suite.

Allexendre partit chercher le loup et le ramena aussi vite qu'il était parti.

-Le voila.

Et il leur lança.

-C'est bien.

Le marchand se tourna vers les personnes en armure.

-Emmenez-les.

La personne se situant à la droite du marchand, une personne énormément musclé, s'approcha d'Allexendre et le prit par la taille.

-Qu'est ce que vous faites ?!

-Vous, allez chercher sa famille, on les emmène aussi.

Et les autres personnes entrèrent dans la maison et assommèrent Rommayn et Vallérye.

-Mais qu'est ce que vous faîtes à ma famille, et notre argent ? On a signé un contrat ! Vous n'avez pas le droit de nous faire ça !

-Bien au contraire mon cher. Je vous avais dit de lire les petites écritures, mais vous ne m'avez pas écouté, vous avez signé bien signé un contrat disant que vous alliez me ramener un loup mais aussi qu'après votre travail, vous acceptez de devenir un esclave, vous et votre famille.

-Que..comment !

-Assommez-le, il m'énerve !

Et les personnes munies d'armure ne se firent pas priées.

(Rommayn reprend la parole)

-Vous voyez, je suis devenu esclave, à cause d'un menteur.