Utilisateur:Rorsharch

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Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
hurricanecarter
Pseudo
Rorsharch
Prénom IRL
Francois
Âge IRL
16





Rorsharch

Description

Rosharch porte un tissu marron (en général) sale et tâché, tenu par un chapeau beige, sale aussi. On peut tout de même voir ses yeux teintés de rouge, car du sang y afflue constamment. Ses lèvres, elles, sont en lambeaux. Rosharch porte une grande veste marron, sale, ainsi qu'un par-dessous gris. On peut voir les armoiries blanches et violettes de la famille Carlysle sur ses vêtements, ainsi que deux insignes rouges et oranges sur chacune de ses épaules, il ne fait cependant aucun commentaires sur ces deux insignes.

Compétences

  • Connaissance de la faune: Sa vie dans la campagne lui a permit de connaître les différents animaux du monde.
  • Connaissance de la flore: Sa vie dans la campagne lui a permit de connaître les différentes plantes du monde.
  • Dressage: Il a très tôt compris que les molosses et les loups lui seraient utiles dans la campagne, et ces braves bêtes lui vouent, de toute façon, une admiration sans égal, quand il est là, elles se soumettent.
  • Agilité: Il n'a jamais été très musclé, mais il a apprit à esquiver et à être rapide, cependant, il court rarement, et ne fait pas trop de gestes brusques.
  • Alphabétisation et calcul: Enfance dans le milieu Noble
  • Crochetage: Quasiment la première chose qu'on apprend aux membres de la Ligue...

Talents

Ses talents sont câchés, il ne cherche pas à les montrer.

Défauts

Il n'est pas vraiment socialisant, ni socialisé.

Intérêts culturels et goûts

Autrefois, les goûts de la noblesse Capitaline, mais désormais, plus rien.

Relations

Rosharch n'a ni amis, ni ennemis, juste des relations.

Scholwitz: Il a acheté Rorsharch pour 290 Eo, Rorsharch en conclu que Scholwitz a besoin de lui. C'est son maître, il lui obéit, en attendant patiemment d'être affranchi.

Alvilda: Première vraie rencontre à Esperia, Rosharch trouve qu'Alvilda est une personne bizarre, il ne comprends pas vraiment son intérêt pour lui. Il se doute que c'est une femme que les hommes aiment regarder, mais lui, ne peut plus apprécier de femmes...

Histoire

Le Déclenchement

Rorsharch était fatigué de marcher, la réception avait été longue, et il s'était ennuyé avec toutes ces grandes personnes. Les conversations ne portaient que sur la situation avec le Nord, les grandes réformes adaarionnes depuis la nomination d'un nouveau Sovitelija, et de pleins d'autres choses de ce type. Sa mère s'était aperçue que son petit de 14 ans en avait marre, alors il étaient parti. Ainsi, a l'entrée d'une ruelle menant au manoir, la famille Carlysle au complet discutait paisiblement de la soirée. On pouvait distinguer une silhouette au bout de la ruelle, silhouette qui était fort inquiétante. Les pas ralentirent petit à petit, jusqu'à s'arrêter complètement. En face, la silhouette était devenu un homme, et cet homme tenait plusieurs chiens d'apparence très féroce en laisse. Il demandait de l'argent. Monsieur Carlysle lui fit comprendre que ce n'était pas une solution, alors l'homme lâcha ses chiens. Une course effrénée s'ensuivit, mais la ruelle était longue. Madame Carlysle s'entrava sur une rigole, alors que son fils et son mari fuyaient. Ils ne s'apercurent qu'au bout d'un certain temps qu'il n'étaient plus poursuivis. Plus loin, les chiens finissaient de dévorer la seule femme de la famille Carlysle. Le résultat était si atroce qu'ils vomirent tout deux, à plusieurs reprises. les chiens étaient repartis vers leurs maître, qui s'en allait lui aussi, déçu de n'avoir rien récolté. On envoya Rorsharch chercher du secours. Monsieur Carlysle en profita pour prendre une grande lampée de rhum, chose qu'il n'avait pas fait depuis plusieurs années. Il répètera ce geste durant les 6 dernières années de vie qui lui restait. 6 années durant lesquelles Rorsharch allait croire de plus en plus fermement en l'Arbitrio, mais durant lesquelles son âme allait s'approcher de plus en plus proche du grand précipice. Il avait le sentiment qu'on l'avait puni d'avoir pu être un enfant heureux, mais il se raccrochait à la Foi pour éviter de sombrer. Son père mourut dans une taverne, au bout du 5eme verre, il provoqua un homme, sans trop de raison, malheureusement, l'homme se trouvait être un boucher dont la femme venait de le quitter, il déversa sa rage sur Carlysle, qui ne tint pas plus de quelques minutes. Observant le spectacle impuissant, Rorsharch fut finalement satisfait de la mort de son père, qui n'avait pas d'autre fonction que de le retenir à la Capitale. Cependant, le sentiment d'être puni ne le quittait pas, pire, il redoublait, alors il trouva une autre solution pour refouler ce sentiment: devenir celui qui punit.

Mais, Rosharch ne savait pas vraiment comment devenir "quelqu'un qui punit", son héritage lui permettait de vivre largement, mais, à force d'errer dans la Capitale, sa fortune fondait comme la neige du mont Adaar face au soleil de Caroggia. Il cherchait. Oui, il cherchait un signe, ou une idée, pour donner un sens à sa vie, son long périple dans la Capitale dura plus de 6 mois, et il aurait pu durer bien plus longtemps si Rorsharch ne s'était pas trouvé au bon endroit, au bon moment. C'était un 24 Decembre, en pleine Nivôse. Alors que les fêtes de la nouvelle année se préparaient rapidement, Rorsharch aperçut un homme avec une torche à la main. Cet homme semblait pressé, mais on pouvait noter une certaine "assurance" de sa part. Il le suivit, et repéra tout ce qui pouvait servir a retrouver cet homme plus tard. Sa grande veste marron cachant presque tout son corps, avait encore la marque du tailleur. Et puis, l'homme arriva enfin à son objectif. Le Marché. Il alluma le sol avec sa torche. C'est à ce moment que Rorsharch comprit que le sol était recouvert par une fine couche de graisse d'animal. Il comprit aussi qu'il se trouvait sur cette couche. Il eu le reflex de courir, mais il s'entrava dans une dalle mal placée, puis, son haut du corps prit feu, comme le reste du marché. Cependant, il eu le temps d'apercevoir quelque chose. L'homme avait dessiné quelque chose avec la graisse d'animal sur une des façades du marché. Lorsque tout prit feu, on pouvait le voir nettement. Ce n'était pas un dessin, mais un mot, et ce mot était "FIN". Lorsque ce qui ressemblait à des secours arrivèrent, il était trop tard, Rorsharch brûlait entièrement du visage, et le feu commençait à prendre sur le bas de son corps, le sternum étant déjà bien entamé, il perdit l'utilisation de ses parties génitales ce jour là. Mais, comme si l'Arbitrio avait souhaité prolonger sa peine sur ce monde, il survécut. On lui mit un drap pour étouffer le feu. Sa tête avait perdue toute harmonie, on ne pouvait voir que du sang et des lambeaux. Sa bouche n'était plus tout à fait une bouche, cependant, il avait pu garder la parole, même si il avait désormais une voix qui devenait fluette ou rauque en un instant, chef d’œuvre de la science. Ses yeux s'étaient teintés de rouge, le sang affluait constamment. Après s'être recouvert la tête avec un vulgaire draps, assez sale, il partit chez le tailleur dont il avait repéré le nom sur le vêtement de l'homme. Il entra dans la pièce, et s'étonna que le tailleur ne possédait qu'une seule collection. De grands vêtements marrons. Il expliqua sa situation au marchand, et en profita pour prendre un vêtement. L'homme fit une mine étrange, sans rien dire, et il donna une adresse sur un papier, avec un plan. Rorsharch prit un chapeau qu'il vissa sur son crâne pour cacher ses miettes de cheveux. Quelques jours plus tard, il entrait dans une sorte de repaire, où il aperçut l'homme du marché. Personne n'a jamais su ce qui s'était dit, mais Rorsharch prit la route de Lig Occolide une fois sorti.



L'Expiateur

Dans une taverne de Lig Occolide...

Rorsharch s'appelle désormais l'Expiateur, il est arrivé à destination, et il entre dans la Taverne du Coin pour s'informer et préparer son coup. Il alla s'asseoir à une table, la serveuse s'approcha de lui d'un air dédaigneux, un peu dégoutée par le style de Rorsharch.

-Qu'est ce qu'on t'sers? -Quelque chOse sAns acIde! Répondit Rorsharch de sa voie en constante mutation. -Humpf!

La serveuse revint quelques minutes plus tard, un grand verre de jus d'orange à la main, il faut dire qu'elle n'avait pas été recrutée pour ses qualités intellectuelles. Rorsharch ne le comprit que lorsqu'il porta le verre à ses lèvres en lambeaux. Il donna un grand coup sur la table, et se retint de ne pas crier. Mais il laissa tout de même échapper un petit "Humpf". Il ne s'était pas rendu compte qu'il était observé. Deux hommes discutaient accoudés sur le comptoir. L'un avait l'apparence d'un voyageur, et l'autre d'un noble de Lig Occolide. Leur discussion portait sur l'homme en grande veste marron seul à sa table. Mais, personne n'a pu entendre le début de leurs conversation.

-Vraiment, c'en est un? -Oui, j'ai voyagé avec lui jusqu'ici, on m'avait chargé d'en espionner un il y a longtemps, ils ont tous le même manteau. -Ce ne sont que des légendes, ils ne sont pas plus dangereux que de vulgaires bandits de route. -Pourquoi pense-tu ça? -Ils font ça pour l'argent, ou pour une cause, ça revient au même, et c'est le point faible de tout les bandits. -Tu sais, quand j'en ai espionné un, il y a longtemps, on était vers les Marches je crois, il avait un jour d'avance sur moi à cheval, mais je le pistait. A un moment, je passe dans un petit bourg, celui ci avait été réduit en cendres, ou du moins, la plus grande partie, notamment le quartier marchand. Tout avait été pillé, et sans argent, le bourg était devenu un lieu de discorde où l'ordre avait disparu. Je poursuis mon chemin en toute hâte, et je croise un petit enfant. Ce dernier est en possession d'une bourse de cent écus. Plus loin, des tonnes de pièces était disséminées le long de la route. -Ça change quoi? -Et bien, je pense que ces gens ne sont pas comme les autres, ils n'ont pas de but logique, on ne peut ni les acheter, ni négocier avec eux, ni les raisonner, ni les intimider, ces gens veulent juste voir le monde brûler.

Rorshach ne portait pas vraiment d'attention aux deux hommes, il réfléchissait à la manière dont il réussirait sa mission. Lorsqu'il avait été recruté, on lui avait donné le nom de "L'Expiateur", celui qui punit. Or, Lig Ocolide était la ville du vice, il n'y avait donc aucune raison d'y semer le trouble et le chaos. Mais, étant considéré comme un apprenti, la mission de Rosharch était plus un "entrainement". Il n'avait aucune idée de par où commencer. Même si on lui avait donné plusieurs contacts en ville, il ne voyait pas vraiment quoi faire.LE regard vide dans le verre d'eau qu'on venait de lui amener, il pensait inlassablement... C'est alors qu'une bagarre démarra a l’intérieur de la taverne, Rorsharch arrêta de penser. Son père était mort dans un incident du genre. Son père ivrogne qui l'avait abandonné. C'est alors qu'il comprit que réfléchir n'était pas ce qu'on lui demandait. Il se déplaca vers une table où se trouvait des verres d'alcool, et les renversa, personne ne pût le remarquer car la bagarre attirait déjà trop de regards. Il fit de même pour presque toutes les tables à proximité, puis, dans un geste serein, cassa une des lanternes accrochées au mur, et la jeta par terre. Il sortit tandis que la taverne brûlait, déterminé a remplir la tâche qu'on lui avait confié: Répandre le Chaos.

Après une petite marche dans la ville, Rorsharch arriva devant la première Abbaye de Lig Ocolide. Abbaye déjà délabrée par le faible entretient que lui faisaient les habitants de la Cité. Il entra. Conter tout ses gestes a l'interieur des murs de cette Abbaye serait inutile. Le fait est qu'il ressortit quelques minutes avant qu'elle parte en fumée. Le feu grégeois lui sembla être une arme depuis ce jour.


RolePlay : Une Nouvelle Mission

Cela devait faire 5 années que L'Expiateur n'avait pas été aperçu sur le continent. Depuis l'épisode de la peste d'Odense, plus personne n'avait entendu parler de ce dernier. Il avait presque 34 ans désormais, et il vivait dans la campagne, quelque part entre les Marches et la Capitale. Il avait réquisitionné à sa manière une cabane, très cosy. Il avait acquis une grande habilité à l'arc, en chassant les perdrix, sangliers, et autres animaux rapides. Il essayait chaque matin un moyen de dissimuler les brûlures sur son visage, mais sans jamais trouver. Etant seul, il n'était pas obligé de porter une cagoule ou un masque. Mais l'action le manquait, seulement, il n'avait plus été contacté. Cela devait être dû à la guerre contre le Nord, une réquisition d'armes avaient dû être effectuée dans le Royaume Central, et le repaire de la Capitale avait dû être découvert. Seulement, il ne savait pas, il ne savait rien, et s'attendait à ne jamais savoir. Alors qu'il étudiait les livres et cartes pouvant lui donner un indice sur un quelconque lieu à "redresser", il partit chasser pour son repas. La plaine s'étendait à perte de vue, un oiseau, seul, approchait. Il semblait se dépêcher, et suivait une trajectoire linéaire. Il banda son arc au maximum, l'oiseau se trouvant assez haut. Chose extraordinaire, il tira largement devant l'oiseau, croyant l'avoir loupé, il banda a nouveau son arc, mais en réalité, la flèche avait touchée l'oiseau lorsqu'elle était retombée. Il s'approcha du cadavre, et s'aperçut alors que ce dernier était un pigeon voyageur. Il transmettait un message. Il lut très rapidement le début en répétant "Blablabla..." et fut plus attentif à la fin de la lettre.

Hors RolePlay : lettre n°2 (Odense)

Il releva lentement la tête, et esquissa un petit sourire. -Esperia, hein? Ça me semble correct, faudra juste traverser l'eau... C'est ainsi que L'Expiateur prit son balluchon, en ne prenant que le strict nécessaire, de toute façon, il ne s'attachait jamais aux choses. En quelques semaines de marches, il arriva à La Moussue. Il mit un certain temps à trouver un marchand d'esclave. N'ayant pas d'argent, être transporté comme esclave était le seul moyen de rejoindre sa destination. Il tendit très sereinement ses mains au marchand en précisant la condition: Esperia, et le plus rapidement se dit qu'il n'avait pas envie d'aimer l'attitude du marchand, il prit une torche à proximité, et prit ensuite le marchand contre un mur:

-Sais-tu pourquoi mes yeux sont nimbés de rouge? -Euh...non, non, lâchez moi! -Vois-tu, je marchais dans la rue, quand j'ai bousculé un chien, son maître n'a pas aimé, le chien devait être très beau, car le maître n'était vraiment pas content. Il a sortit une petite allumette, et l'a approchée de mes yeux, après l'avoir allumée bien sûr. C'était, évidemment, un mensonge. -Ce... c'est pas possible, on ne peut pas faire ça! -En es-tu si certain?

A ces mots, Rorsharch L'Expiateur enfonça sa torche dans l'oeil du marchand, la réaction ne fût pas celle souhaitée, le marchand s'écroula en criant, et mourut. Il dût donc trouver un nouveau moyen d'accéder à Esperia. Ses capacités de navigateur restaient maigres, alors il dût trouver un homme assez naïf pour l'emmener jusqu'à la nouvelle terre. Il ne lui fallut pas longtemps pour en trouver un. En moins de 5 jours, il avait dégotté un dénommé "Lorvic", celui-ci était un petit pécheur, mais son bateau restait convenable. Rorsharch lui proposa de l'or et la fortune si ils réussissaient à rejoindre Esperia. Le lendemain, ils étaient partis pour leurs longue traversée. Ils affrontèrent d'énormes vagues, des tempêtes monstrueuses, même un maelström s'était formé non loin de leurs position. Mais, étrangement, quelque chose semblait vouloir garder le bateau sur l'eau, et celui ci résistait sauvagement aux attaques de l'océan. Rorsharch n'avait pas prit en compte que Lorvic n'était qu'un pécheur, et un pécheur n'est pas un as en ce qui concerne l'orientation. Le bateau avait lentement dérivé de plus en plus vers le sud. Un jour, ils aperçurent la terre, une île même, si petite soit elle, elle pouvait correspondre à Esperia, au bout d'un certain temps, lorsque les vagues suffisaient à elles seules à amener le bateau vers l'île, Lorvic se mit à crier

-A nous la richesse! a nous la fortune!

Sur cette remarque candide, L'Expiateur envoya Lorvic par le fond, heureux de sa réussite. Il n'avait même pas fini esclave, et sa tâche n'en serait que plus rapide à effectuer. Il débarqua sur l'une des rares plages de sable de l'île, qui semblait nettement moins accueillante que prévue, le fort la dominant était effrayant. Il comprit trop tard son erreur, l'île n'était en aucun cas Esperia, mais Fort Lointain. Une femme aux cheveux rouges s'avança vers lui tandis qu'il rentrait dans le fort.

-Les gars' y'n a un nouveau qu'vient d'arriver, j'le réserve!