Utilisateur:Siegfried wickel
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Sommaire
Description
Origine : Siegfried provient de la plèbe. Ses deux parents du nom de Harold et Hildegarde, décédés, possédaient une petite ferme dont était le seul héritage de Siegfried et de sa soeur Ingrid où les deux enfants y ont grandie. Il n'a jamais appris à lire ni à écrire dû au fait qu'il résidait la majorité de son temps aux champs et ainsi pendant toute sa vie à la ferme des Wickels.
Description physique : De courts cheveux noirs, deux yeux perçants de couleur brun, sa peau légèrement brunie par le soleil, un visage qui impose et qui à la foi semble sympathique, tel serait la description physique de Siegfried Wickel.
Description mentale : Au caractère amicale, Siegfried a connu peu d’évènements qui l’ont bouleversés seuls ses cinq longs jours où Siegfried a survécu à la sombre, terrifiante mais à la fois accueillante forêt l'ont perturbé. Il est excessivement sentimentale et de nombreuses fois, Siegfried s'est effondré en larmes lorsqu'un de ses proches l'a quitté. Siegfried connait le culte de Arbitrio mais ne l'exerce rarement ou parfois lorsqu'un proche le quitte. Siegfried se tourne vers la religion uniquement lorsqu'il se pose une question qui ne peut être répondu par personne.
Caractères
Qualités : Courtois envers ses supérieurs de même avec ses égaux, aimable, sympathique, protecteur
Défauts : Extrêmement borné, Siegfried cherchera par tous les moyens d'avoir le fin mot de l'histoire. Siegfried est excessivement colérique lorsqu'il se retrouve bredouille après une chasse ou une récolte. Siegfried est protecteur voire trop parfois.
Compétences
Endurance : Aux fils des années, Siegfried est devenu endurant à force de travailler dans les champs.
Connaissance de la flore : De ses deux parents, Siegfried en a appris long sur les plantes, sur les pousses et graines qui poussent en Grande Huratelon
Outillage : Son père a enseigné à Siegfried l'art qu'est l'agriculture, cet art étant le don de bêcher, d'irriguer, de planter ou voire même de creuser grâce aux différents outils qu'utilisent un agriculteur.
Survie : Un jour s'étant égaré en forêt, Siegfried a appris à survivre dans la forêt terrifiante et accueillante.
Talents
Siegfried est un homme qui impose le respect, sympathique, endurant, il sait manier l'art de l'agriculture et protégera par quelconque moyen ses proches.
Intérêts culturels et goûts
Ayant vécu dans un hameau, Siegfried ne connaît aucune référence culturel, c'est pourquoi il n'a aucun goût particulier pour la culture par contre, il est emporté par une passion pour la nature, la forêt, la flore et toute la faune.
Histoire
L'Enfance et La Mort
L'an 496 dans une ferme d'un village de la Grande Huratelon, une femme du nom de Hildegarde Wickel accouche d'un enfant qu'elle prénomme Siegfried, Siegfried Wickel, fils de Harold Wickel. La brave femme accouche alors deux ans plus tard d'un second enfant, une fille qu'elle nomme Ingrid.
A l'âge de cinq ans, les parents de Siegfried lui somment de les aider au travail des champs. Ils lui apprennent le labourage de la terre, l'utilisations des outils de travail ou l'irrigation des champs. En plusieurs années, Siegfried et Ingrid apprennent le travail au champ et peu à peu, ces deux enfants deviennent un homme et une femme.
Un jour de printemps, Siegfried et sa famille décident d'aller cueillir quelques champignons pour le repas du soir. C’est ce jour-là que Siegfried se perd en forêt. Il raconte parfois cette histoire à la taverne dont il se rappelle quelques fragments tel que le fait qu’il a dû se voir contraindre de construire un abri de fortune avec du feuillage, quelques branches qu’il a récolté, qu'il a dû ingurgiter diverses baies, champignons et autre plante dont ses parents lui ont appris leurs effets et qu'il a dû faire brûler différents animaux grâce au feu qu’il a été contraint de faire sans le traditionnel briquet. Cinq jours de bonheur mais aussi d’horreur décrit Siegfried de ces cinq longs jours où il a appris à devenir grand.
Pendant toute son enfance, Siegfried apprend chaque jour de plus en plus le travail de la terre. Peu à peu, Siegfried se fait des connaissances dont l'une d'entre elles sera son ami le plus cher, Léonhard Grosswald. Une amitié d'or se forgea entre ces deux compères qui ne se séparèrent plus jamais et ainsi lorsque Léonhard partira pour une année loin de Huratelon, Siegfried désespéra pendant de nombreux mois de ne plus jamais le revoir.
Quelques années plus tard, un jour de l'année 508, Harold, vêtu de son habit de travail, vint voir Siegfried. Sa voix était calme mais tremblante :
- Fils ... ta mère ... tu sais ... elle est malade et ...
- Oui père et ?
- Ta ... m ...
- Oui mère est ? Peu à peu, son père aperçoit les larmes montées aux yeux de Siegfried.
- Elle est partie ... lâche finalement Harold à présent veuf alors que son fils est âgé de douze ans.
Siegfried s'écroule en larmes, s'agenouillant. Décisivement il demande à son père :
- Pourquoi ? Pourquoi nous ... papa ?
Harold lui répond, lui aussi, en larmes :
- Je ne sais pourquoi Siegfried, je ne sais pourquoi ...
La Belle
Douze longues années se sont déroulées après le décès de Hildegarde, son fils, à présent qui s'occupe de la ferme des Wickels avec sa soeur, a connu de nombreux autres événements qui l'ont perturbé notamment le décès de son père à qui il tenait énormément.
Son meilleur ami Léonhard Grosswald, qui était revenu habiter avec sa femme il y a de nombreuses années de cela, lui propose un jour de venir siroter un coup à la taverne avec sa soeur à la taverne, qui au fil du temps était devenu une femme ravissante, splendide et d'une beauté que nul homme peut oublier.
Siegfried et Ingrid rejoignirent Léonhard qui était en train de siroter un bière. Siegfried fit de même et but jusqu'à son gosier soit enflammé. Ingrid se rejoint aux danseurs et danseuses valsant au centre de la pièce. L'alcool ruisselait sur les tables, sur les mentons et sur le bar, l'or coulait à flot, le tavernier était aux anges et soudain un homme aux cheveux d'un noir intense, deux yeux bleus perçants la chair, portant une cape brune, mouillée par la pluie qui se déverse au dehors, que l'aubergiste se hâta de lui enlever et une chemise bleue, pénétra l'auberge ; on pouvait discerner diverses cicatrices sur son visage, sa barbe mal rasée lui donnait un air de mauvais bougre. Il sembla marmonner un moment dans sa barbe et finalement il beugla :
- Hep, vous m'avez pas attendu pour fêter ! Bordel ! Qui vous a dit d'commencer sans moi ? Hein ? J'fais la loi ici ! J'veux du spectacle, hep toi ... lança-t-il à Ingrid, qui se trouvait au côté de Léonhard.
- Donne-moi du plaisir ... danse pour moi ...
Ingrid avança d'un pas, semblant obéir, Siegfried l'arrêta et s'écria à son tour :
- T'ose parler à ma soeur comme ça ? Tu sais qui je suis ?
- Non, j'en ai foutrement aucune idée. Et franchement ... je m'en fouts complètement ... ici c'est moi qui fait la loi ici. J'suis garde et si tu veux pas qu'j'te fracasse la gueule sur le bar, j't'ordonne de te casser.
- D'accord ... viens, on va régler ça au corps à corps ...
- Attends, t'ose m'défier, t'as du culot mon gars ! Quel âge t'as déjà ?
- 24 ans ...
- 24 ans ... hep ... écoutez les gars, 24 ans, l'mec ose défier la loi ? T'es fou mon gars, t'es fou ... bon vas-y, j'm'tape ta soeur si je gagne sinon j'm'casse d'là et tu m'reverras plus.
Les deux hommes se serrèrent la main et se positionnèrent à chaque coin de la pièce. Siegfried frappa au menton le garde, ce dernier répondit alors par un coup au ventre, Siegfried essaya vainement de se protéger le ventre mais échoua. Il dégaina un magnifique uppercut et frappa avec une magnifique droite le garde, celui-ci sortit alors une dague qu'il pointa vers Siegfried et s'écrae :
- Maintenant tu fais moins l'malin ? Hein ? Hein ? T'as cru avoir l'pauv'Norman ? Faut pas croire ça ... l'pauv'Norman est l'meilleur, maintenant, tu m'fais l'plaisir de déguerpir de "ma" taverne !
Siegfried, la tête basse, et son ami Léonhard tapotant son épaule sortirent sur le champ. Ingrid essaya de se hâter de sortir de la taverne mais Norman retint Ingrid par le bras et vocifèra :
- Hep, toi, l'24 ans, j'garde ta soeur, elle m'donnera du plaisir en plus elle est très mignonne. J'l'engagerai bien comme femme de joie ! Siegfried, fou de rage à ces mots, se retourna et dégaina un coup de pied magistrale qui se diriga droit vers la mâchoire du garde qui lâcha Ingrid, tituba et finalement s'écroula dans la flaque de rhum qui ruisselait dans les fentes des planches de bois.
Léonhard et Siegfried le prirent et l'éjectèrent promptement de la taverne dont le propriétaire les remercia pour le spectacle mais aussi pour avoir éviter d'engendrer des rumeurs qui auraient pu aggravées son enseigne. Tous les trois sortirent de la taverne d'où sortent encore quelques phrases perverses "flattant" Ingrid provenant d'hommes qui étaient sous l'effet de l'alcool.
"Esclave à jamais ..."
Âgé à présent de 28 ans, Siegfried possède une immense ferme, cela fait de nombreuses années que l'incident à cette taverne s'est déroulé, sa sœur vient de connaître l'amour, amour du nom de Karl Windelk, et se marie ce 22 Février 514. Siegfried porte ses meilleurs habits, une chemise sobre, blanche, peu tâchée qui a appartenu à son père, Siegfried verse une petite larme en sortant cette chemise, un pantalon noir, des chaussures qu'il a commandés au cordonnier récemment et un veston quant à lui brun avec divers boutons à la couleur dorée.
La journée était magnifique, quoiqu'un peu nuageuse mais le soleil semblait rayonner en ce jour où Siegfried allait certainement pouvoir verser des larmes de joie. Il descendit promptement les marches de la ferme des Wickels et rejoint rapidement le petit jardin aménagé à cette occasion et loué par Siegfried qui grâce à ses dures années de travail, avait réussi à instaurer un petit empire au sein des villages alentours. Des fleurs rouges, bleues, blanches pullulaient le jardin, les rayons du soleil traversaient le feuillage, au centre de ce jardin aménagé se trouvait les deux mariés qui attendaient impatiemment qu'on les unisse à jamais.
Ainsi Siegfried, Ingrid, Karl et d'autres convives bavardèrent longuement pendant deux longues heures jusqu'à qu'un homme en tenue bleue entra dans le jardin et s'écria :
- Je recherche Wickel Siegfried, est-ce-qu'un certain Wickel Siegfried est présent ici ?
Siegfried s'écria à son tour :
- Oui moi ? Pour quel dérangement ?
L'homme sort un papier de sa poche et lut à haute voix :
- Au nom de la loi, je demande que le présent Siegfried Wickel soit arrêté pour avoir attaquer un homme de la loi et l'avoir traité comme une bête. Son complice est Léonhard Grosswald, sa prime est la même que celle de Siegfried Wickel, il est demandé de capturer vivant Siegfried Wickel, la prime sera supérieure si celui-ci est arrêté pendant le mariage de sa soeur Ingrid Wickel. Je remercie aussi toute personne ayant quelconques informations sur ce personnage.
- Gardes ! Menottez-le ! Nous devons l'amener vivant à Norman.
Siegfried est tétanisé, l'un de ses seuls jours où la journée aurait dû être splendide devient peu à peu un véritable cauchemar. Ingrid quant à elle essaye de bousculer les gardes qui capturent son frère, l'un d'entre eux lui dit semblant la reconnaître :
- Hep ... j'me rappelle d'toi ... t'étais la soeur d'celui-ci ! T'étais toi aussi à la taverne, t'as pas arrêté ton frère pour qu'il frappe pas notre pote.
Le second garde brailla en direction de l'homme à la tunique bleue : - On doit pas l'arrêter celle-ci aussi, capitaine ?
L'homme à la tunique bleue sort de nouveau le papier pour confirmer les propos du soldat, lut rapidement puis lut à haute voix :
- Je rajoute une bourse d'argent si la splendide Ingrid Wickel qui est une femme de joie soit capturé elle aussi. Je ne tolère pas que cette femme pratique ce "travail". Je vous somme de l'emmener dans mes quartiers, quiconque osera arrêter cette capture sera pendu pour avoir été complice.
- Menottez-la elle aussi ! Vous deux !
Deux gardes en retrait s'avancèrent et dirent en coeur :
- Oui capitaine ?
- Vous allez m'faire l'plaisir d'l'emmener dans les quartiers de Norman, vous avez entendu ?
- Bien capitaine ! Ingrid proféra tout en essayant de se démener de ces deux soldats :
- Non, je n'ai rien fait ! Sieg ...
Les gardes qui entouraient Siegfried l'emmènerent et il ne put entendre la fin de la phrase. Il se retourna de nouveau pour voir une dernière fois sa soeur qui se débattait. Les gardes lui crachaient au visage, le malmenaient en le poussant et finalement Siegfried arrive devant cet homme, Norman.
- Vaurien de 24 ans ...tu te rappelles de moi ?
- Oui je me rappelle de toi ... grince Siegfried.
Norman le gifle et s' écrie :
- T'oses me tutoyer ! Normalement j'devrais t'mettre dans une cellule et te laisser cr'ver d'dans mais j' préfère t'voir c'r'ver par le travail. C'est pour ça que tu vas finir esclave à jamais ...
- Non !
Un garde donne un fouet à Norman qui fouette Siegfried tout en lui vociférant :
- J't'ai permis d'parler ? Alors tu t'la fermes esclave !
On emmena Siegfried de force dans un navire après cet entretien. Dépourvu de tous ses biens,
menotté, son dos souffrant le martyre par les vingt coups donnés par Norman. Siegfried s'écroule de fatigue et pleure ainsi au milieu de cette foule d'Hommes qui comme lui sont esclaves, pensant à sa vengeance mais surtout à sa sœur Ingrid qu'il ne peut plus protéger. Après s'être calmé, Siegfried demande à un autre esclave :
- Où nous nous dirigeons-nous ?
- Quoi vous savez pas ? Mais mon gars, nous allons à ...
Esperia.
Amis
Aucun
Connaissances
Kenesha Silmäpyhä : Kenesha est la maîtresse qui a acheté Siegfried.
Illina Signaro : Illina est une demoiselle qu'a présenté Kenesha.
Stelio Volturno : Stelio est un homme qu'a connu Siegfried lors d'une réunion de la famille Erenthis.
Natalya : Natalya est une autre esclave au service de Kenesha, elle lui a fait visiter la ville de l'espoir.
Ennemis
Aucun
