Utilisateur:Tépéa
Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.
Chez lui, tout est bien proportionné.
D’ordinaire avare et insociable, il tente de faire des efforts pour s’intégrer facilement. Il possède par ailleurs, deux personnalités :
- Celle qui est la plus présente. Il est dans ce cas, très docile, sociable et met de côté presque tous les défauts qui pourraient le mener dans des situations non désirable.
- Et l’autre, celle qui lui permet de sortir au plus vite d’une situation ne l’avantageant en rien. Avare, colérique, entreprenant, sûr de lui. Très insociable, sauf lorsque que cela tourne en sa faveur, il aime la bagarre, boire à ne plus tenir debout. Et faire fleurir sont commerce par n’importe quel moyen.
- Choix 1:
Artisan du bois
Tépéa aime travailler le bois. Il a voulu en faire son gagne-pain sur l'achipel Ocolidien comme en Esperies.
- Choix 2:
Connaissance
Par ses ancêtres, il a appris beaucoup de choses sur les plantes, le bois et certaines techniques anciennes des Ocolidiens. Il connait beaucoup de choses, mais il aime apprendre de nouvelles choses jours après jours.
- Choix 3:
Education
Une éducation reçue de ses parents sur l'île. Il sait lire, mais en revanche, l'écriture est pour lui un exercice qu'il ne contrôle malheureusement que très peu.
- Généreux
- Minutieux
- Attentif
- Travailleur
- Curieux
- Un peu timide
- Franc parler
- Hautain par moment
Dans l'Archipel Ocolidien se tenait un homme aux cheveux brun, aux yeux bleu, robuste et dotée d'une grande force physique à en juger par son apparence. Il se tenait là, assis, d'un air pensif avec un sourire en coin. Il contemplait à travers la falaise où il se tenait, les étoiles. Il attendait là, comme vaincu par ses défauts. On lisait dans son regard son angoisse et sa crainte du monde extérieur. La peur de l’autre, la peur de se faire agresser. Une peur dont il ne pouvait se délecter, pour cela, il avait pour habitude de partir seul, en forêt, ou sur les falaises. Toutefois, aimant semer le bien autour de lui on pouvait facilement deviner que cet homme était empli d'une grande générosité, envers ses semblables, mais aussi envers les autres êtres vivants l’entourant. Son nom était Tépéa Il vivait entouré de sa famille sur l’île de l’Artole. Il faisait bon vivre avec eux, et il se sentait ravie. Les enfants n’aillant pas encore la force nécessaire aux tâches dites des adultes, s’amusaient comme ils le pouvaient. Trouvant des bâtons et fabriquant de fausses armes pour jouer aux écumeurs des mers. En lui sommeillait un grand explorateur, amoureux de la faune et la flore vivant sur l’île, il aimait grimper sur les falaises escarpées, prendre le temps de regarder les buissons, les animaux, et les fleurs qui l’entourait. Quelque fois, il les cueillait et les donna en retour à sa maman dont il était très proche. Le jour de ses 12 ans, son père lui demanda le métier qu’il voulait pratiquer. Son métier était pour lui déjà tout trouvé, il voulait tailler le bois, en faire des maisons, des meubles, des décorations et pourquoi pas devenir le meilleur d’entre eux ? Son père voulait qu’il découvre ce travail pour être absolument sûr que c’était ça, qu’il voulait faire. Il l’emmena donc chez un des artisans de l’île, un ami du père du Tépéa. Pendant quelque temps, Tépéa allait vivre avec lui. Apprenant les techniques, les ruses dont il aurait besoin s’il voulait devenir un artisan. Au terme de son, comme on pourrait l’appeler, apprentissage, Tépéa devait dire si oui ou non il souhaitait vraiment faire ce métier.
L’activité qu’il choisissait était bien évidement artisan du bois. Au vu de la finesse et la vivacité de son esprit, une force physique lui permettant de déplacer avec aisance des planches de bois, ce métier était fait pour lui. Très content de cette nouvelle, la famille au grand complet, célébrèrent l’évènement, une immense fête en l’honneur de Tépéa autour du feu de camp. Une douce nuit, bercé par des chansons, du rhum et des danses. Suite à ça, son père, entreprit de demander à l’artisan si Tépéa pouvait l’aider dans sa tâche. Sa réponse fut plus que rapide et positive. Ainsi Tépéa allait commencer à travailler à l’âge de 13 ans. Mais les jours suivant furent difficiles pour notre jeune Tépéa, le travail, et ses escapades l’avaient fatigué. Mais il était heureux. Heureux de se lever chaque matin, pour aller à l’atelier situé au bout du village, près de la crique. L’artisan ne négligeait en rien Tépéa. Il lui fit entreprendre de reconstruire cet atelier. Un vieil atelier fait de planche de bois mal ficelées, branlant de gauche à droite si les vents étaient en colère. Il y avait à l’intérieur des vieux outils en pierres, servant à gratter le bois pour en faire des ornements, d’autres outils, en forme de cône servant surement à créer des trous pour y passer les cordes servant à l’assemblage des différentes pièces.
Tépéa menait une vie bien tranquille et rythmé.
