Utilisateur:Varko

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
alexispope
Pseudo
Varko
Prénom IRL
Alexis
Âge IRL
17 ans





Varko

Description

Jeune homme dans la force de l'âge, musclé mais pas trop. Il laisse pousser sa barbe, et est de cheveux brun. Il mesure 1.70m. Il ne porte pas de cicatrices. Il est toujours prêt à faire des effort contre rémunération, évidement. Il est éduqué mais ans plus. De plus, il a quelques difficulté de paroles dues à un bégaiement.

Compétences

Fort et endurant de part la vie difficile qu'il a vécu ne rechignera jamais pour un peu d'effort contre quelques pièces, évidement. Habitué aux effractions, aux vols et à la fabrique de crochets artisanal, il est devenu minutieux et doué en outillage.

Qualités

Joyeux, prêt à faire la fête, serviable contre un petit pécule, pas bête lorsqu'il s'agit d'argent.

Défauts

Bon buveur même un peu trop, quelques difficultés de parole et surtout un peu trop près de son argent.

Intérêts culturels et goûts

Son principales intérêt est l'argent et bien entendu le plaisir de la chair. Il aime lire même si ce n'est pas facile pour lui. Ses principale lecture concerne les histoires de tout types et aussi les encyclopédies scientifiques, il aime s'instruire.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Qui suis-je? Bonne question, tout d'abord je ne suis personne. Mes parents et moi vivions dans un village peu connu, installé au croisement de deux routes commerciales, en Royaume Central. Celui-ci était un point de passage où tous les voyageurs s'arrêtaient pour passer la nuit et pour rassasier leur faim et étancher leur soif. Le village se composait d'une auberge avec taverne, d'écuries pour accueillir les bêtes et d'un grand nombre de maisons. Le village était autonome, peuplé principalement de fermiers. Pendant le belle saison, Thermidor, le village était embellit par les arbres en fleurs et la chaleur du soleil.

J'étais encore petit garçon lorsque mes parents perdirent tout ce qu'il possédait à cause de la malchance selon eux. Mais c'était plutôt à cause des femmes du bordel que mon père allait voir assez souvent...C'était dur, on subsistait juste et on finissait le mois avec quelques croûtes de pain trouvées en mendiant ou celles dont les aubergistes ne voulaient plus. Ma mère et moi lui en voulions, mais nous lui avons pardonné au fil du temps. Nous devions travailler encore plus à la ferme pour rembourser nos dettes. Quand on arrivait en Brumaire, cela signifiait que mon calvaire commençait. Vu que les récoltes s'amenuisaient, je devais travailler aux mines ou aider les bûcherons et ce calvaire avait lieu aussi en Nivôse et ce, chaque année. Mes parents s'occupaient de moins en moins de moi, pour finir, ils ne savaient plus que j'existais. Ils n'avaient plus le temps, ils travaillaient trop parce que les dettes continuaient à s’accumuler à cause de mauvaises années de récolte. Un jour j'en ai eu assez et j'ai décidé de partir pour une meilleure vie, après tout une personne en moins c'est moins à payer pour la nourriture! J'avais 19 ans et avait entendu qu' à La Capitale la vie y était plus facile. J'emportai seulement un peu de nourriture et l'espoir grandissant en moi.

Je m'étais enfui à l'âge de 19 ans. Je fis donc route, sans un sou et le ventre vide, en direction de La Capitale où l'on disait que l'on pouvait y faire fortune. J'y arrivai après deux jours de route sous un soleil de plomb. Arrivé là-bas, surprise! Les abords de la ville étaient et sont encore toujours encombrés de malheureux , criminels et voleurs. Je les évitais et me dirigeais en ville pour trouver un emploi. Mais malheureusement on me refusait partout. J'ai essayé pendant plusieurs jours de me faire embaucher mais sans succès.Je rejoignis donc assez vite ceux que j'avais évité à l'entrée de la ville. J'ai vécu ainsi un ou deux ans, je me nourrissais en volant et en cambriolant avec d'autres "sans rien" comme on nous surnommait. Je pris l'habitude de crocheter les serrures et même de fabriquer mes propres crochets pour cambrioler et ensuite revendre mon butin pour pouvoir manger. Je vivais dans un petit taudis avec 4-5 autres personnes que je connaissais de mieux en mieux. On m'appelait "Le Bricoleur", à force de cambriolages, je fabriquais avec tout et n'importe quoi des crochets, et sans me vanter de bonne qualité!

Un jour un groupe de quelques hommes en cape grises et noires nous rendirent visite. On me dit qu'ils faisaient partie de "La Guilde". J'en avais déjà entendu parler, ce sont des professionnels discrets et expérimentés dans l'art du vol. Certains partirent avec eux, je préférais rester et continuer mon commerce. Je vis beaucoup d'amis partir avec eux suivant les promesses des hommes en cape.

À force, je ne devais plus pratiquer de larcins, je fabriquais des crochets et les revendais à ceux que je considérais comme ma nouvelle famille qui achetaient mes crochets réputés pour être solides et durables. Bientôt d'autres voleurs et cambrioleurs vinrent m'en acheter, ils venaient de l'autre côté de la ville. Ce temps ne fût pas glorieux pour moi. Je repensais souvent à mes parents, je me demandais si je leur manquais et ce qu'ils étaient devenus. Un jour j'eus engrangé assez de bénéfices grâce à mes crochets et je décidai de partir loin de cette ville sans avenir pour moi. Je partis une nuit sans dire au revoir.

Après trois jours de voyage avec une caravane marchande d'une cinquantaine d'hommes, où je servais de guetteur et parfois de cuisinier, j'atteignis une petite bourgade de 200 âmes. Je remerciai les caravaniers de m'avoir embarqué et les laissai continuer sans moi. Je trouvais cette bourgade agréable et j'y trouvai une taverne fort bruyante et décidai d'y entrer pour y louer une chambre. Je me souviens encore du prix 15 Espers! Donc une fois louée la chambre, je passai la nuit fort bruyante de bruits de chanson de beuverie. Une fois le matin, je pris la décision de m'installer ici, dans cette bourgade.

Donc Je m'installai dans cette bourgade d'abord comme secondes mains pour les champs et pour finir, je pus acheter ma propre ferme avec ces propres champs et un pâturage. Ce n'était pas une ferme, mais plutôt une ruine que je rénovai petit à petit. J'y appris à lire et à écrire grâce à une charmante dame âgée que je considérais comme ma mère.

Je ne remarquai pas d'abord que c'était un bourg de mineurs, il y avait sous le bourg un riche gisement d'or qui courait sur plusieurs kilomètres. j'entendis cette révélation à la taverne, où mon problème commença. Après chaque journée de labeur, j'allais à la taverne boire un coup puis deux, trois,... Je rencontrai des personnes et ils devinrent mes compagnons de beuverie.Je devins alcoolique mais je ne voulais pas le reconnaître. Par tous les moyens, j'essayais de ne pas trop pousser sur la bière mais je n'y arrivais pas.

Je me souviens un jour, un inconnu entra à la taverne. Il était sous une cape et à chaque pas, on entendait les cliquetis de son épée du fait qu'il boitait. Le fourreau était maculé de taches rouges. Il donnait la chair de poule, on ne voyait pas son visage, il portait des gants maillés. Il était bien vêtu et avait une posture comme les nobles adoptent face au peuple qui nous donnait l'impression qu'il était de sang noble, bleu et on le laissa tranquille. La soirée continua tard. L'inconnu était toujours à une table du fond avec une chopine de bière qu'il avait à peine entamée. Soudain il se leva et sortit en laissant 50 Espers! Le tavernier n'eut pas le temps de le rattraper pour lui rendre le surplus que l’étranger avait disparu. Le lendemain un groupe de réfugiés arriva et dit qu'un puissant seigneur déchu était recherché par un autre tout aussi puissant. Ce dernier avait rasé leur village à la recherche du seigneur déchu. La guerre arriva à ma bourgade et j'ai dû fuir, perdant tout.

La fin de mon aventure se termina par une marche incessante qui se calculait en mois. Je ne sus plus m’intégrer à aucune communauté à cause de mon alcoolisme. Les dettes s’entassèrent à chaque taverne. Je me fis rattraper par ces dettes lorsque je ne pus réussir à partir à temps de la taverne où je ne pouvais pas payer. L'aubergiste furieux appela des gardes et ils m’enfermèrent en prison. Pour rembourser mes dettes on me vendit à bon prix à des esclavagistes. Je fus nourri juste pour me maintenir en vie le temps de me vendre à des marchés d'esclaves. J'ai cru que c'en était fini pour moi.Le bon côté de cette situation est que je ne touche plus à une goutte d’alcool! Maintenant je suis dans navire, direction inconnue. On m'a dit que je pourrais m'y refaire une nouvelle vie si je suis docile avec celui qui m’achètera. Je ne sais pas où mes maîtres m’emmènent et à qui ils me vendront...