Utilisateur:Vindrac
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Sommaire
Description
Description physique : Vindrac mesures 1 m 75, pour 72 kilos. Il est blond cendré aux cheveux courts, il a les yeux verts, et est musclé mais d'une musculature longue et fine, pas de muscles énormes comme les nordiques, c'est un choix qu'il a fait pour garder une certaine agilité lors des combats.
Description mentale : Vindrac est une personne aimable, doté d'un grand humour, peut-être même trop. Il est très décontracté et prends la vie comme elle vient, sans se poser de questions, il aime les femmes mais il possèdes par dessus tout un grand sens de l'amitié, c'est une personne de confiance. Il a 22 ans.
Compétences
Combat: Ses 5 ans au service d'un noble en tant que garde du corps lui ont permis de devenir un combattant hors norme, c'est ce qu'il sait faire de mieux, il s'est d'ailleurs entrainé pour sa.
Agilité: A défaut d'être une masse musculaire, Vindrac est doté d'une musculature longue et fine, très développée, qui à défaut d'une force de frappe gigantesque, lui permets d'acquérir une certaine agilité.
Endurance : Encore une fois, ses 5 ans au service d'un noble en tant que garde rapproché n'ont pas été simples, il n'avait que très peu de temps de repos, il était souvent soit en service, soit à l'entraînement, il est devenu très endurant avec le temps.
Alphabétisation et calcul: Vindrac à eu de la chance d'avoir été éduqué jusqu'à ses 10 ans, puis pendant 3 ans sa mère à pris le relais pour peaufiner son savoir, il sait très bien lire, écrire et compter.
Talents
Séducteur, charismatique, humoristique, sens de l'amitié, franchise.
Défauts
Curiosité, fierté, taquineur, tendances paranoïaques.
Intérêts culturels et goûts
Il adores les femmes, passer de bons moments avec ses amis, et faire la fête. Il aimes la bière et les spécialités adaarionnes, comme le mont adaarion, les koiltska et par dessus tout la glace pilée. Sportif, il aimes pratiquer la musculation pour entretenir son corps.
Amis déclarés
Ennemis déclarés
Histoire
RolePlay :
Roleplay n°1 (Travail)
-Debout Vin', debout j'te dis !
-Raaaaaaah, vapauta !
-Aller flemmard, je sais qu'hier à été une dure journée, mais il est temps de se lever, je t'ai fait le déjeuner en plus.
La voix ouvres les rideaux, laissant la lumière entrer dans la chambre.
Après quelques murmures, je décidais enfin d'ouvrir les yeux.
-Bon, c'est le grand jour aujourd'hui hein ? -En effet...On doit être au top ! Je t'attends dehors, t'as 20 minutes.
Je me leves, fatigué, contemplant les montagnes depuis la fenêtre. Je me diriges vers la cuisine ou un petit déjeuner m'attendais.
-Ah, loistava !
Je m'asseois devant le plateau plein de koilstkas, et je me mis goulûment à les dévorer. 10 minutes plus tard, j'avais déjà tout manger, je me dirigeas donc vers l'armurerie pour enfiler mon armure de fer et brandir mon épée de fer également. Je la pris à deux mains et l'embrassa à la pointe, avant de la ranger dans son fourreau. Je sortis donc rejoindre mon ami.
-Ah te voila enfin Vin', allons y on va être en retard. -T'inquiètes pas marteau, rien ne presses ! -Arrêtes de m'appeler comme sa veux tu ? -Hum...ei ! -Pfff....
On se dirigeais donc vers notre destination, en haut d'une montage, ou un noble nordique devait rencontrer notre employeur, un noble adaarion, pour faire un échange de matériaux, une grande quantité de minerai contre du bois.
Nous arrivâmes en haut de la montagne, où notre employeur attendais, accompagné d'esclaves qui trainaient la marchandise.
-Au fait vin', tu sais pourquoi l'échange se fait en haut d'une montagne ? -Je crois que le noble avait fait une connerie, du coup il est privé de tout acte commercial durant un temps, mais bien évidemment il ne comptes pas respecter cet ordre, et on va dire que plus l'échange est discret mieux on se portes. -Notre employeur agit donc dans l'illégal lui aussi en faisant cela ? -Oui en quelque sorte.
Nous arrivions à destination.
-Ah, vous voilà enfin, je me sens plus en sécurité maintenant. -A votre service mestari. Le nordique n'est pas encore là ? -Regarder au loin, c'est lui sur un le charriot, contenant la marchandise. -Très bien, vous vous êtes couverts pour cet échange ? -J'ai de très bonnes relations Vindrac, ne l'oublies pas. -Bien évidemment.
30 minutes plus tard, le nordique arrives enfin devant nous, entouré de quelques gardes et d'esclaves.
-Salutations, l'ami ! Désolé du retard, tu sais ces esclaves ne vont pas toujours vite. -Je sais, Marfric, bien faisons sa vite et bien, comme d'habitude ! -Oui, je vois que tu as tout le minerai avec toi ! -Exact, et toi le bois dans le charriot n'est ce pas ? -Bien évidemment, va vérifier si tu veux ! -Minôr, Vindrac, aller voir la marchandise. -A vos ordres mestari.
Nous nous dirigions donc a l'arrière du charriot, quand soudain...
-Yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!! -Paska Vindrac écartes toi !
Des hommes bondirent du charriot, au moins une dizaine, qui se ruèrent sur Minôr et moi.
-Que faites vous marfric !!! -Je susi IN-TER-DIT de commerce, je te l'ai déjà dit ! Mais j'ai besoin de minerai, pour fabriquer mes armes et les revendre, tu sais l'économie tout sa... -Mais enfin, depuis le temps qu'on se connaît comment oses tu ! Je croyais que les nordiques attaquaient seulement en cas de rivalité ou de trahison, mais la ce n'est pas ton cas ! -Ah ah ah...mon pauvre, comme si tout les nordiques étaient les mêmes, c'est pas bien de faire des généralités tu sais ? Mais je ne vais pas me contenter de ton minerai, je veux ton coffre ! Et tu vas me donner le code maintenant sinon.... -Sinon quoi, tu vas me tuer ? Je n'ai pas peur de la mort, et tu n'obtiendras pas le code en me tuant l'ami. -Bon, dans ce cas.....Grades ! Amenez moi les.
Les gardes me trainèrent avec mon ami, nous étions en sang, les nordiques nous avaient massacrés, et nos compétences au combat n'ont rien pu y faire.
-Soit tu me donnes ton coffre, soit je décapites ta garde personnelle, alors ? -Ah ! Tu peux y aller, ces deux individus ne prennent aucune place dans mon cœur. -Quoi ? Depuis 5 ans qu'on vous protège, kuinka kethaat ? Pavlovammat en enfer, sac à paska ! -Bon dans ce cas...
Le nordique nous regarda dans les yeux, puis esquissa un sourire.
-Je ne vais pas vous tuer, je vais vous emmener, vous pouvez encore m'être utile, quand à toi tu vas venir avec nous, attrapez le !
Notre ancien maitre essayais de s'enfuir, mais il fût vite rattrapé par les gardes, ligoté et enfermé dans le charriot, à nos cotés, entouré des gardes.
RolePlay :
Roleplay n°2 (Libre)
Nous fixions notre ancien maître qui baissait le regard. Comment avait-il pu faire sa, alors que nous étions ses gardes depuis 5 longues années ? Le chemin était long et j'étais fatigué, je mis la tête sur l'épaule de mon camarade et je commença à m'endormir et à repenser au passé, pour oublier l'avenir.
J'étais né d'un père que je n'ai pas connu, apparemment adaarion comme ma mère de ce qu'elle m'as raconté, elle m'as élevé seule, nous n'étions pas riches mais pas pauvres non plus, elle était fermière et nous menions une vie tranquille. J'ai eu la chance d'être éduqué jusqu'à mes 10 ans, par la suite c'est ma mère qui as peaufiner mon savoir, elle à été mon professeur pour ainsi dire, jusqu'à 13 ans, pour bien savoir lire, écrire et compter. Par la suite je ne l'ai pas aidé à la ferme, sa ne m'intéressais pas alors je passais mes jours à m'entrainer au combat, pour la protéger des bandits qui pouvaient venir, souvent attirés par le bétail, je me suis entrain jusqu'à mes 16 ans , ou ce jour terrible arriva. Lors de mon anniversaire, nous étions tout les 2 en train de manger le mont adaar qu'elle avait achetée. Des bandits sont entrés en force et ont commencé à lui demander de l'argent, ils étaient trois. Elle leur as donné le peu qu'elle avait, mais ils ont également voulus la kidnapper pour lui faire je ne sais quoi, il y avait 2 hommes de taille normale et une grosse brute, ils ont commencés à la frapper alors je les ai attaqués. J'ai sauté sur un des trois et lui ai fracassé le crane avec une bouteille en verre, il fût neutraliser dierctement et omba par terre, le deuxième me saute dessus pendant que la brute violentait ma mère, il me frappa au visage mais j'esquiva de justesse et riposta directement avec un crochet du droit en pleine mâchoire, puis un crochet du gauche, avant de finir par un coup de tête en plein nez, il s'écroula également par terre. Le troisième, étonnée que quelqu'un de si jeune neutralise ses deux compagnons, pris au cou ma mère et me dit de reculer, sinon il lui craquerait le cou d'un coup sec. J'exécuta ses ordres et me mis en arrière, lui demandant ce qu'il voulait. Il me répondit qu'il la voulait elle et que c'était soit sa, soit sa mort. Je ne savais pas quoi faire, je regardais autour de moi mais rien n'aurait pu me permettre de l'attaquer à distance. Il recula, puis pris ma mère sur ses épaules et commença à s'en aller, elle criait à l'aide. Je me mis à lui courrir après, pendant au moins 5 minutes lorsqu'il tomba sur un cul de sac. Je lui sauta dessus, le frappant aux parties génitales, pris de douleur il lâcha ma mère et je le frappa au visage d'un coup de pied sec, lui brisant le nez pour l'achever. Je sauta dans les bras de ma mère, qui pleurait.
-Achèves le maman, il te voulait du mal. -Tu as raison mon chéri...ATTEN
Je me retournais mais il était déjà trop tard, les deux complices de tout à l'heure nous avais poursuivis de loin et ils me bondirent dessus me neutralisant. Ma mère essaya de les repousser pendant qu'il me battaient, mais la brute se releva, furieux, et la plaqua. Complètement sonné et à bout de forces , les deux hommes me tenaient et je ne pouvais que contempler la scène, impuissant.
-Alors comme sa on a voulu jouer au plus malin gamin hein ? Regardes ta mère souffrir.
Il la colla par terre et la viola devant mes yeux, complètement en pleurs, j'essayais de me débattre mais n'y arrivais pas, il la viola pendant bien vingt minutes devant mes yeux, alors qu'elle pleurait et criait également. J'appelais à l'aide mais personne ne nous entendais, nous vivions en effet un peu reculés de la ville.
Après avoir fini son massacre la brute me regarda, fit un sourire démoniaque et me dit doucement :
-C'est fini...pour elle.
Il la prit à deux mains et la retourna, et d'un violent coup de coude lui brisa la nuque.
Je cria de désespoir, mais sa ne changerait rien, elle était bel et bien morte.
J'avais beau me débattre de toutes mes forces rien n'y faisait, la brute me fonça dessus et me mis un puissant coup dans la tête, ce qui m'assomma net.
Lorsque je me réveillais il faisait presque nuit, son corps était devant moi, sans vie. Je la blottis contre moi, en pleurs et l'embrassa sur le front. Je la transporta à la ferme, ou je pris la décision de l'enterrer. Les jours qui suivent furent terribles, j'arrêtais de manger et de boire, je n'avais plus goût à la vie.
Un matin, alors que j'étais en train de me laisser mourir, un jeune homme passa devant la maison et regarda par la fenêtre. Il me voyait blessé, seul, étalé contre la table. Il essaya de me parler mais je n'avais même plus la force de répondre, il décida alors d'entrer, la porte était ouverte.
-Hé, que fais tu ici l'ami ! Tu as besoin d'aide. -Il me pris sur ses épaules et m'emmena chez lui, où ses parents s'occupèrent de moi pendant un temps, le temps que je me remettes sur pied. Je leur expliqua toute mon histoire, et ils décidèrent de m'héberger, vu que je m'entendais très bien avec mon sauveur, j'accepta et j'essayais de reprendre goût à la vie. Pendant un an, j'ai vécu avec lui et ses parents, il était devenu un ami, le meilleur même et je reprenais peu à peu goût à la vie. Un jour, il m'as dit qu'il voulait devenir garde, étant très entrainé au combat je décida de l'aider, je le forma du mieux que j'ai pu, et un beau jour il me dit qu'un ami à ses parents, un noble, cherchait deux gardes pour l'escorter où qu'il ailles. Il me dit qu'il allait enfin pouvoir réaliser son rêve, et il me proposa de venir avec lui, j'acceptas évidemment, sa serait l'occasion de mettre mon talent à l'épreuve et de faire quelque chose de ma vie.
Et durant 5 ans, nous protégeâmes le noble, lui sauva la vie quelques fois, le protégeant d'autres et le conseillèrent dans certaines situations. Il était pour nous quelqu'un de proche, donc quand il nous as dit que nous n'étions rien pour lui, on voyait bien rouge.
-Hé, Vin' réveilles toi on est arrivés.
-Hein ?
-On est arrivés.
Les gardes nous firent descendre du charriot, nous étions devant une belle villa, ils nous dirigèrent dans une sorte de cellule qui était situé en dessous de la maison.
RolePlay :
Roleplay n°3 (Esclavagisme)
-Tu penses qu'il va cracher le morceau ?
-Bien sur, c'est un faible, et en tout cas j'espères que le nordique lui réserves un sombre destin.
-Et un destin moins sombre nous concernant.
-Bien évidemment...
-Marteau ?
-Arrêts de m'appeler comme sa ! Quoi ?
-Tu es ma seule famille...
-Je sais vin'....tu es comme un frère pour moi.
-Toi aussi, j'espères que rien ne nous sépareras.
Soudainement, la porte s'ouvris. C'était le noble nordique.
-Il a craché le morceau, enfin, je vais vérifier qu'il ne m'est pas menti, et quand j'aurais pris la totalité de sa richesse, il mourras, quant à vous.... -Vous allez nous tuer aussi, hein ? -Hum, je vais y réfléchir, dormez, demain vous connaîtrez votre destinée, voici votre repas.
Il nous fit passer deux cuisses de poulet et quelques patates.
-Bon bah....bon appétit, à notre dernier repas l'ami. -A notre dernier repas, mourir aussi jeune quand même, c'est triste. -On est pas morts puceaux, c'est déjà sa ! -Ahah, oui on aura bien profiter à ce point là c'est vrai. -Tu penses qu'il va nous exécuter comment ? -Je sais pas, par pendaison je pense, ou non mieux, par décapitation. -Tant qu'on souffres pas sa va, on sera morts côte à côte au moins !
Après le repas, nous décidâmes de nous raconter nos histoires, avant notre destin funeste, puis pris de fatigue, on s'endormit.
Le lendemain matin....
-Debout les affreux, debout ! -Raah, Hiljaisuus, sac a paska ! -Allez levez vous, vous allez connaitre le verdict. -J'ai hâte. -Moi aussi....
Les gardes nous conduisirent devant le noble, déjà prêt à nous annoncer le verdict.
-Très bien ! Après mûre réflexion, j'ai décidé que votre mort ne m'apporterais rien, en conséquence, j'ai un ami qui a besoin d'un esclave pour l'épauler à la ferme, toi par exemple, comment tu t'appelles déjà ? -Minôr. -Voilà, tu iras avec lui, quand à toi, et bien tu iras avec mon lot d'esclaves habituels, sur le bateau en destination d'Esperia, ou on t'achèteras en tant qu'esclave. -Tah ! Alors c'est comme sa... -Oui, et le départ c'est aujourd'hui, alors du balai, gardes emmenez le ! -ATTENDEZ ! Laissez moi dire au revoir à mon ami !
Le nordique répondit d'un éclat de rire :
-Ton ami ! Si sa peut te faire plaisir.
-Minôr....nos routes se séparent ici. -Oui il semble bien, bonne chance pour ton futur, nous ne nous reverrons sans doute jamais. -C'est fort possible...c'est mieux que la mort on va dire ! -On va voir... -Bon... -Ouais....
Nous nous enlaçâmes une dernière fois, avant que nos routes se séparent à jamais.
-Adieu veli, je ne t'oublierais jamais. -Adieu veli, moi non plus je ne t'oublierais jamais. -Allez, fini les adieux, en route esclave !
Et les gardes me traînèrent jusqu'au port, ou j'embarqua dans le bateau, entouré d'esclaves que je ne connaissais pas. Je me mis dans un coin et observa les nuages, me questionnant sur mon avenir incertain.
