Utilisateur:Zuzu
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Sommaire
Caractéristiques
Description
Jules Trigon vient d'une famille bourgeoise d'Huratelon, son surnom « Zuzu » le suit depuis sa plus tendre enfance. Ses cheveux blancs et ses vieux os témoignent de ses expériences, ses muscles sont aujourd'hui fatigués mais il peut toujours frapper le marteau sur son enclume et manier l'épée comme la hache. Sa famille n'étant pas très pieuse, Zuzu ne croit que moyennement en l'Arbitrio, une entité supérieur le laisse septique. Sa vieillesse l'a rendu plutôt bougon et solitaire, la cicatrice qu'il porte sur l’œil gauche le rend assez reconnaissable.
Talents
- Sait lire et compter moyennement
- Manie l'épée et la hache à bon niveau
- faible maîtrise des autres armes
- Excellent forgeron
- Bonne carrure
Compétences
- Force:Frapper sur le métal et se battre a permis à Zuzu de développer sa masse musculaire. Il peut maintenant porter des charges plutôt lourdes mais la vieillesse commence à se faire sentir...
- Minéralogie:Zuzu choisi lui même ses minerais. Il les tâte, les sous-pèse lui même. Il n'est pas le meilleur en la matière, mais il n'est pas un débutant non plus.
- Créativité: Zuzu a créé des centaines d'armes, il leur donné à chacune un caractère et une prise en main différente pour leur propriétaire.
- Orfèvrerie:Plus d'une vingtaine d'année à frapper sur une enclume, ça entraîne. Zuzu est passé maître dans les finitions et les gravures.
- Combat: Il sait manier l'épée et la hache à bon niveau, le marteau ne lui sert qu'à frapper sur l'enclume et la dague a une subtilité d'utilisation qui ne lui est pas accessible
Défauts
- Vieillesse
- Bougon
- Froid
- Menteur
Histoire
Avant Esperia
Je m'appelle Jules. Mais tous m'appellent Zuzu à cause d'une difficulté de prononciation dans mon enfance. J'ai grandit dans un milieu bourgeois à Huratelon jusqu'à mes quinze ans. Je m'en rappelle encore. Mon père venait d'entamer un grand chantier, il était toujours architecte à cette époque. Je commençais à me diriger vers la médecine, je voulais devenir chirurgien dans l'armée. Un matin, deux soldats vinrent frapper à notre porte, emmenant mon père avec eux. Le soir venu, nous vîmes mon père rentrer, dépité. Le roi, notre souverain tant aimé, que mon père sert depuis bientôt trente ans venait de l'accuser de trahison. Notre disgrâce grandissait en même temps que notre ruine. Le seul lieu où je me sentait encore bien était le lycée, j'y avais un grand ami, il se nommait Elizir. Lui seul me regardait encore souriant, lui seul m'adressait la parole et lui seul me croyait lorsque je clamait l'innocence de ma famille.
Mais à peine un an avait passé que mon père me retirait du lycée, je coutais trop cher à la famille et on ne me regardait que d'un œil noir... Mes rêves furent ruinés en une matinée. Seul me restait mon ami, avec lequel nous recherchions des preuves de l'innocence de mon père. Mais je devais apprendre un métier, mon père me confia à un forgeron en qui il avait confiance, je sus vite forger une lame digne de ce nom.
Ma famille ruinée, j'ai décidé de prendre contact avec la pègre et de m'emparer de quelques informations sur notre « bon » roi. J'appris beaucoup sur ses conseillers. Plusieurs affaires seraient commanditées uniquement par eux. Et tout cela avec l'accord du roi. Cela ne me coûta que les plans de la banque fraîchement rénovée en échange.
Je suis allé voir Elizir, lui révélant ce que j'avais appris. Il ne nous restait plus qu'à faire justice par nous même. Nous avons commencé avec des vols de bien public, et leur revente au marché noir. Du moment que le roi paie, ne serait ce qu'une petite pièce nous faisait sourire. Nos activités s'intensifièrent, nous graissions la pâte de nos fiers gardes pour qu'il nous confie quelques pièces à conviction falsifiées. Mais un jour, lorsque nous avions 18 ans, un homme nous demanda un service très spécial contre une grande somme d'argent. Nous devions menacer un faux témoin dans une affaire similaire à celle de mon père.
La veille du procès, Elizir et moi entrâmes dans la demeure de cet individu encapuchonné avec une corde, un gourdin et un coutelas. J'assommai le menteur d'un geste maladroit pendant que Elizir préparait une chaise bien solide. A son réveil, il se retrouva ligoté et bailloné. Il nous regarda, l'air suppliant. Nous lui expliquions « gentiment » la situation et Elizir ajouta qu'au moindre mensonge il se retrouverait avec un joli trou dans la cervelle. Cela fit son effet, et l'homme ne pu s'empêcher de pleurer. Je l'assommai une seconde fois le temps de le ligoter et de fuir.
Le lendemain nous étions tous deux dans la salle du procès, attendant de voir la réaction de notre homme. Il regardait partout autour de lui, et lorsqu'on l'appela à la barre il clama: -Cet homme... Est doublement coupable! Premièrement de trahison, pour avoir vendu nos secret aux bandits et deuxièmement pour menace! Tes amis ne me font pas peur, vaurien! La nuit dernière deux hommes pénétrèrent dans ma maison me menaçant de mort si je témoignais! Nous étions fait, moi et Elizir. Nous devions rattraper cette erreur. L'homme fut condamné aux galères. Nous ne pouvions nous pardonner.
Nous avons retrouvé notre homme dans sa maison une semaine plus tard, il nous regarda et ouvrit grand la bouche pour crier. Mais trop tard. Elizir était déjà sur lui, la main contre sa bouche. Il le regarda noir et plongea la lame dans le ventre du malhonnête. Nous avions reçu une leçon, nous ne pouvions les faire taire que d'une seule manière. Qu'ils se taisent à jamais. Nous avions compris notre mission, nous devions arracher à ce monde toutes ses épines. Les aigles noirs venait de prendre leur premier envol.
Arrivée à Esperia
Après avoir assassiné un noble et blessé son fils, Zuzu se retrouve emprisonné, attendant son jugement.
Je me réveille dans une cellule. Une heure passe. Puis deux. Quand soudain un garde frappe à la porte. Il me dit « Tu es un homme très apprécié. Beaucoup de gens sont venus témoigner en ta faveur, dont quelques chevaliers et nobles. Leurs paroles ont été entendu, tu échappes à la mort, mais tu es exilé. Tu seras demain conduis à un navire qui t'amèneras à Esperia où tu seras vendu en tant qu'esclave. Prépares toi à devenir quelqu'un de servile ou c'est la-bas que tu trouveras la mort... »
Premier Jour
Lorsque Zuzu arriva au bâteau, il eu d'abord du mal à trouver ses chaînes. Après son arrivé dans la cale lui et les autres se présentèrent, il fit la connaissance de Mamoutha, de Sike, de Wyvern, de Dooby ainsi que d'autres.
Une fois arrivé à Esperia, lui et ses compagnons d'infortune durent nager. Il était épuisé et ses vieux os lui faisaient mal. Zuzu se retrouva donc enfermé dans une sorte de cage face à une estrade. Il reconnut un visage, celui de son filleul. Il fut étonné et furieux de le voir. Mais au moins lui ne semblait pas l'avoir reconnu.
Le vieil homme alla se cacher derrière un pilier pour avoir le temps de s'asseoir et de se reposer. Il vit son filleul qui portait une énorme armure lui dire de sortir de la où il était. Il n'en fit rien, il était épuisé, au bord de l'inconscience. Il s'assoupit...
Lorsqu'il s'éveilla, presque tout les esclaves avaient été vendu. Il ne restait que lui et Dooby, qui cria où il était. Mais quel gros malin soupira Zuzu. Il dû sortir et Il fit face à l'esclavagiste qui finit son affaire puis lui demanda mon métier. Il lui répondit "Forgeron", elle l'annonça puis lui demanda sa ville natale, je lui répondit "Huratelon" Lorsqu'elle cria "Un forgeron de Lig Ocolide!". Zuzu ne fit rien remarquer à l'esclavagiste, il s'en fichait. Il vit les enchères monter beaucoup plus haut que précédemment lorsqu'il chuchota le sourire aux lèvres:"Vous les arnaquer, je ne suis qu'un vieillard..." -Je n'en ai rien à faire, me répondit elle."
Les enchères prirent fins et Il fut vendu à 47 Esper d'or à un certain Valef qui l’emmena à mon nouveau chez lui. Il lui donna un bâton qu'il garde précieusement ainsi que du raisin pour se nourrir.
Il entra alors dans le sans-fond...
Lui et les nouveaux furent mis dos au mur. Un homme fort nommé Eraclys leur expliqua les règles ici bas. Il demanda qui était le plus fort ici, Zuzu fût désigné. Il proteste, ce qui lui valu un passage à tabac à l'aide d'une masse. Suite à cette altercation il devint plus sur ses gardes... Il avait fait ces premiers pas à Esperia.
