Utilisateur:Tyren : Différence entre versions
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+ | Nous somme dans la grande et belle citée d’Huratelon que la douceur de fin d’été enveloppe. C’est à cette époque qu’une famille de paysans voit naître un fils qu’ils appelèrent Tyren. Ce fils ne pouvant être nourrit il fut acheté par un médecin peu connu de la cité mais assez riche : Elizir. | ||
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+ | Celui-ci éleva Tyren comme un fils et lui enseigna les bonnes manières, la politesse et les plaisirs de la vie. Mais, outre les leçons de conduites, Tyren sortait en cachette dès la nuit tombée pour vagabonder sur les toits et regarder les étoiles. Il adorait ces escapades nocturnes sans vraiment l’expliquer… Comme tout d’ailleurs. En effet lorsque son « papa » lui demandait si une chose l’intéressait Tyren le regardait étrangement et disait : | ||
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+ | - Mais, père, ces choses n’ont pas besoin de m’intéresser pour que je les fasses, c’est ainsi je le fais point. Et il souriait replongeant sa tête dans son livre. | ||
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+ | Cette attitude n’effrayait pas Elizir, encore moins que les promenades sous l’astre blanc que faisait son fils et dont il avait parfaitement conscience. Il savait qu’il devait le laisser faire et un nouveau projet germais dans sa tête. | ||
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+ | Ce qu’ignorait Tyren c’est que son père adoptif n’était pas médecin à plein temps. Celui-ci menait une double vie et faisait parti d’un groupe très fermé, peu connu et qui ne compte que très peu de membres : Les assassins. Ce groupe était sollicité par des gens du beau monde (qui avaient de quoi payé) pour remplir des tâches illégales et assez « sale » , cependant ils n’acceptaient que si la cible n’était, selon eux, une mauvaise personne. Vision très anarchique dans laquelle Elizir ne voulait pas impliqué Tyren… Mais après l’avoir longuement observé, un rôle d’assassin lui allait parfaitement. | ||
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+ | Dès l’âge de 10 ans donc, Elizir commença son apprentissage. Tyren appris d’abord à nager, écrire, lire et il assimila un minimum de savoir sur le corps humain ce qui lui permettait de soigner, de paralyser, de provoquer une hémorragie… Puis, il appris à reconnaître les bons aliments des mauvais, puis à couper du bois, miner de la pierre et du fer et se construire un abris pour survivre. Ensuite il appris à se faire ses opinions sur les personnes qu’il rencontrait et bientôt sa vision des choses plût à son père. Enfin, à 14 ans, Tyren appris concrètement ce qu’il allait devenir et à la grande surprise d’Elizir, l’idée lui plût. | ||
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+ | C’était donc décidé, dans les années qui suivirent Tyren fut initié aux combat avec une l’épée, un bâton, ses mains nues, des couteaux et avec toute les autres armes légères (Aucune armes lourdes n’étaient nécessaires pour un assassin). Il maitrisa vite la furtivité et il se muscla dès la fin de sa croissance. Il développa ses sens et son attention. Il appris à voler, à escalader, à fuir, à se cacher, à brouiller les pistes et le plus important : A tuer. | ||
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+ | ==Un départ précipité pour Esperia== | ||
+ | Un poutre, du noir… Une lampe et une poutre, du noir… Une lampe allumée, un plafond de bois tenue par une poutre, du noir… Une salle qui bouge et un bruit de chaine lorsqu’il fait un mouvement du noir… Une odeur d’eau salée, des bruits de mouettes et de cordage… Tyren se leva et se frotta la tête. Il mit un temps avant de rouvrir les yeux et observer les alentours. Il était dans une salle en bois, avec une lampe accrocher au plafond qui bougeait de gauche à droite légèrement. Autour de lui il y avait des tonneaux et des mâles. Il voulut se lever mais un poids rendait la tâche difficile, un poids accroché à ses chaînes qui le retenais. Enchaîné dans un bateau ?? | ||
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+ | C’est alors que sa mémoire lui revenu. | ||
+ | C’était un mercredi, il rentrait du marché et lorsqu’il déboucha sur sa rue il vit, devant sa porte, un chevalier et deux gardes qui parlaient à son père adoptif. Tyren eu d’abord idée de se cacher rapidement mais lorsqu’il entendit le chevalier donner l’ordre de l’emmener il comprit. Il cria le nom de son père, prit un poignard et se prépara à le lancer de toutes ses forces contre le chevalier. Mais une main le retenu et l’obligea à lâcher prise. C’était deux gardes, qui étaient arrivés en renfort et qui lui attachèrent bientôt les mains. Le chevalier qui était tout à l’heure à la porte vint vers notre jeune homme (héros ?) et lui dit : | ||
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+ | - Voilà ce qui arrive lorsqu’on tue des gens haut placés, ton père sera pendu haut et court dès l’aube demain ! Quant à ton sort j’ai déjà une idée, ce serait bête de gâcher tes forces… Quel âge as-tu ? | ||
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+ | Tyren lui cracha au visage : | ||
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+ | - Espèce de lâche, détache moi et bas toi en duel ! Cria-t-il, et le chevalier éclata de rire. | ||
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+ | Tyren se débattait et réussi à se libérer, mais le chevalier lui administra un violent coup de poing au visage avant qu’il puisse l’attaquer. Tyren tomba par terre. Il entendit son père lui crier que tout allait bien se passer, qu’il devait survivre et ne jamais l’oublier et que quoi qu’il ferait il serait fier de lui… Puis Tyren ne se souvenait plus de rien. | ||
+ | Il restait perplexe fasse à ces images qui lui revenaient comme un boomerang. Et il ne prêta pas attention à la larme qui s’échappa de son œil… Tout à coup, la porte de l’autre côté de la cale s’ouvra et un matelot apparut tenant une assiette dans les mains. | ||
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+ | - Tiens, réveillé ? Ahah ! Bonjour alors, moi c’est Elliot, je suis un matelot qui se charge des esclaves qu’on transporte. Dit-il. | ||
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+ | - Esclave ? Demanda Tyren abasourdit. | ||
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+ | - Binh oui, tu as eu de la chance, à ce qu’il paraît des chevaliers ont longuement hésité sur ton sort… Je ne sais pas ce que tu as fais mais ça ne doit pas être glorieux. | ||
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+ | Tyren sourit | ||
+ | - Ça l’est. Mais emmener vers où ? | ||
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+ | - Vers Esperia pardi ! Et fois de merlan nous y seront dans 12 jours ! C’est que cela fait 2 semaines que tu dors ! On te croyais mort. Tiens mange. Il posa l’assiette | ||
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+ | - Non merci. | ||
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+ | - Je te la laisse la au cas où. | ||
+ | |||
+ | Tyren le regarda sortir… L’idée d’arriver dans le nouveau monde le fascinait et l’effrayait…. Il était peut être temps de se repentir, il n’était qu’une machine à tuer après tout… Il sentit alors son canif fétiche dans sa botte… | ||
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+ | - Ces idiots ne l’ont même pas trouvé…. Et un sourire narquois se format sur ses lèvres. | ||
+ | ==Premier Jour== |
Version du 2 mars 2012 à 16:43
Sommaire
Description
Talents
Défauts
Histoire
Nous somme dans la grande et belle citée d’Huratelon que la douceur de fin d’été enveloppe. C’est à cette époque qu’une famille de paysans voit naître un fils qu’ils appelèrent Tyren. Ce fils ne pouvant être nourrit il fut acheté par un médecin peu connu de la cité mais assez riche : Elizir.
Celui-ci éleva Tyren comme un fils et lui enseigna les bonnes manières, la politesse et les plaisirs de la vie. Mais, outre les leçons de conduites, Tyren sortait en cachette dès la nuit tombée pour vagabonder sur les toits et regarder les étoiles. Il adorait ces escapades nocturnes sans vraiment l’expliquer… Comme tout d’ailleurs. En effet lorsque son « papa » lui demandait si une chose l’intéressait Tyren le regardait étrangement et disait :
- Mais, père, ces choses n’ont pas besoin de m’intéresser pour que je les fasses, c’est ainsi je le fais point. Et il souriait replongeant sa tête dans son livre.
Cette attitude n’effrayait pas Elizir, encore moins que les promenades sous l’astre blanc que faisait son fils et dont il avait parfaitement conscience. Il savait qu’il devait le laisser faire et un nouveau projet germais dans sa tête.
Ce qu’ignorait Tyren c’est que son père adoptif n’était pas médecin à plein temps. Celui-ci menait une double vie et faisait parti d’un groupe très fermé, peu connu et qui ne compte que très peu de membres : Les assassins. Ce groupe était sollicité par des gens du beau monde (qui avaient de quoi payé) pour remplir des tâches illégales et assez « sale » , cependant ils n’acceptaient que si la cible n’était, selon eux, une mauvaise personne. Vision très anarchique dans laquelle Elizir ne voulait pas impliqué Tyren… Mais après l’avoir longuement observé, un rôle d’assassin lui allait parfaitement.
Dès l’âge de 10 ans donc, Elizir commença son apprentissage. Tyren appris d’abord à nager, écrire, lire et il assimila un minimum de savoir sur le corps humain ce qui lui permettait de soigner, de paralyser, de provoquer une hémorragie… Puis, il appris à reconnaître les bons aliments des mauvais, puis à couper du bois, miner de la pierre et du fer et se construire un abris pour survivre. Ensuite il appris à se faire ses opinions sur les personnes qu’il rencontrait et bientôt sa vision des choses plût à son père. Enfin, à 14 ans, Tyren appris concrètement ce qu’il allait devenir et à la grande surprise d’Elizir, l’idée lui plût.
C’était donc décidé, dans les années qui suivirent Tyren fut initié aux combat avec une l’épée, un bâton, ses mains nues, des couteaux et avec toute les autres armes légères (Aucune armes lourdes n’étaient nécessaires pour un assassin). Il maitrisa vite la furtivité et il se muscla dès la fin de sa croissance. Il développa ses sens et son attention. Il appris à voler, à escalader, à fuir, à se cacher, à brouiller les pistes et le plus important : A tuer.
Un départ précipité pour Esperia
Un poutre, du noir… Une lampe et une poutre, du noir… Une lampe allumée, un plafond de bois tenue par une poutre, du noir… Une salle qui bouge et un bruit de chaine lorsqu’il fait un mouvement du noir… Une odeur d’eau salée, des bruits de mouettes et de cordage… Tyren se leva et se frotta la tête. Il mit un temps avant de rouvrir les yeux et observer les alentours. Il était dans une salle en bois, avec une lampe accrocher au plafond qui bougeait de gauche à droite légèrement. Autour de lui il y avait des tonneaux et des mâles. Il voulut se lever mais un poids rendait la tâche difficile, un poids accroché à ses chaînes qui le retenais. Enchaîné dans un bateau ??
C’est alors que sa mémoire lui revenu. C’était un mercredi, il rentrait du marché et lorsqu’il déboucha sur sa rue il vit, devant sa porte, un chevalier et deux gardes qui parlaient à son père adoptif. Tyren eu d’abord idée de se cacher rapidement mais lorsqu’il entendit le chevalier donner l’ordre de l’emmener il comprit. Il cria le nom de son père, prit un poignard et se prépara à le lancer de toutes ses forces contre le chevalier. Mais une main le retenu et l’obligea à lâcher prise. C’était deux gardes, qui étaient arrivés en renfort et qui lui attachèrent bientôt les mains. Le chevalier qui était tout à l’heure à la porte vint vers notre jeune homme (héros ?) et lui dit :
- Voilà ce qui arrive lorsqu’on tue des gens haut placés, ton père sera pendu haut et court dès l’aube demain ! Quant à ton sort j’ai déjà une idée, ce serait bête de gâcher tes forces… Quel âge as-tu ?
Tyren lui cracha au visage :
- Espèce de lâche, détache moi et bas toi en duel ! Cria-t-il, et le chevalier éclata de rire.
Tyren se débattait et réussi à se libérer, mais le chevalier lui administra un violent coup de poing au visage avant qu’il puisse l’attaquer. Tyren tomba par terre. Il entendit son père lui crier que tout allait bien se passer, qu’il devait survivre et ne jamais l’oublier et que quoi qu’il ferait il serait fier de lui… Puis Tyren ne se souvenait plus de rien. Il restait perplexe fasse à ces images qui lui revenaient comme un boomerang. Et il ne prêta pas attention à la larme qui s’échappa de son œil… Tout à coup, la porte de l’autre côté de la cale s’ouvra et un matelot apparut tenant une assiette dans les mains.
- Tiens, réveillé ? Ahah ! Bonjour alors, moi c’est Elliot, je suis un matelot qui se charge des esclaves qu’on transporte. Dit-il.
- Esclave ? Demanda Tyren abasourdit.
- Binh oui, tu as eu de la chance, à ce qu’il paraît des chevaliers ont longuement hésité sur ton sort… Je ne sais pas ce que tu as fais mais ça ne doit pas être glorieux.
Tyren sourit - Ça l’est. Mais emmener vers où ?
- Vers Esperia pardi ! Et fois de merlan nous y seront dans 12 jours ! C’est que cela fait 2 semaines que tu dors ! On te croyais mort. Tiens mange. Il posa l’assiette
- Non merci.
- Je te la laisse la au cas où.
Tyren le regarda sortir… L’idée d’arriver dans le nouveau monde le fascinait et l’effrayait…. Il était peut être temps de se repentir, il n’était qu’une machine à tuer après tout… Il sentit alors son canif fétiche dans sa botte…
- Ces idiots ne l’ont même pas trouvé…. Et un sourire narquois se format sur ses lèvres.