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Version du 14 avril 2014 à 13:42


Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     Napalm
Informations RP
Nom
Année de naissance
Rang
Veuillez indiquer le rang


Famille






Métier
Compléments










Informations HRP
Login Minecraft
Napalm78
Pseudo
Napalm
Prénom IRL
Matthieu
Âge IRL
21 ans





Personnage

Histoire

Originaire d'un petit village proche de La Capitale et issus d'une famille de modestes travailleurs, j'ai été enrôlé dans la milice de ce dernier à l'age de 17 ans. Mon père était un employé agricole méritant à la ferme du vieux Picks et ma mère était musicienne à la taverne du village; elle jouait de n'importe quel instrument de la plus belle des manières. j'ai gardé cette sensibilité musicale malgré le peu de temps que j'ai passé sur un instrument.

La guerre qu'entrepris la Capitale contre ses voisins ne fut pas sans conséquences pour mon village : Un détachement de l'armée adverse, de passage dans ma contrée, eu la bonne idée de passer par chez nous avant leur étape finale. Le siège dura 1 mois, durant lequel les affrontements firent de nombreux morts dans nos rang, certains étaient mes amis. Je fut blessé par un chef de régiment lors de l'assaut final, dont la trace est encore visible sur mon visage. A bout d'énergie et de ressources, nous déclarâmes notre reddition totale après un combat acharné durant lequel aucuns renforts ne nous fut envoyé, malgré nos nombreux messagers ... Je fut pris prisonnier par l'ennemi, avec d'autres hommes de mon village. Le restant de la population fut exécuté pour ne laisser aucune trace de leur passage dans ces contrées. Je vis alors mes parents mourir brulés dans une grange où la moitié de mon village avait été enfermé.

Je fut envoyé aux mines pour y récolté le fer indispensable à l'adversaire pour fournir ses hommes. J'appris à miner par le fouet à le manque de nourriture, perdant les rondeurs qui faisaient les joies de ma mère. Mon visage se creusa et se durcit au fil des deux années passées dans la mine. Le quatrième jour de la deuxième année, un grondement se fit entendre jusque dans les entrailles de la terre. Nous comprimes que notre liberté était proche. En effet, l'immense et glorieuse armée de la Capitale était en marche vers les campement ennemi. Le combat fut bref : submergé, l'adversaire se rendit au bout de deux heures de combats, nous rendant par la même notre liberté tant espérée.

Je revins avec les bataillons dans la Capitale, cette immense ville qu je n'avais encore jamais vu. Je passais alors trois longs mois de galère, cherchant du travail dans tous les quartier, faisant certains jours la manche pour manger. L'annonce de l'expédition Espérienne fut pour moi une aubaine.

Lorsque le chef Onow me demanda à notre arrivée sur place ce que j'étais capable de faire pour aider notre campement, je lui avouais naturellement que je savais miner. Le temps que je passais alors à ramener des ressources pour la ville me rappela légèrement mon dur séjour de prisonnier, mais le but que je servais était tout autre et surtout dénué de fouets. Je devins au fil des jours de plus en plus habile à la taille, ce qui me permis après les débuts difficiles de la ville de devenir Tailleur de pierre et ainsi éviter les cavernes sombres pleines de monstres.

Lors d'une de mes descentes dans les mines, j'ai été attaqué par plusieurs araignées des cavernes. Leurs nombreuses morsures empoisonnées m'ont laissé à l'agonie après un combat acharné. à mon arrivé à la ville, je fut récupéré par les habitants. Trois jours de combat contre la mort s'ensuivirent, ponctués par des crises de démence et de fortes fièvres. Mon corps finit par assimiler le poison, ce qui ne fut pas sa meilleure idée, loin de là ... Je suis maintenant obligé de manger des yeux d'araignées régulièrement pour garder le contrôle sur les effets du poison qui coule encore dans mes veines.


Ma rencontre avec la mort

Border2px.png

Il faisait beau lorsque je me réveillai ce jour là, un soleil magnifique ... Mais je savais d'ors et déjà que je n'en profiterai guère longtemps, car je me devais de remplir mon devoir de mineur, particulièrement en ces temps d'importantes commandes et de chantiers.

Je pris donc sur moi ma belle pioche bleu, mon épée, quelques torches et de quoi manger et pris la direction de la mine comme tous les matins. Arrivé sur place, je descendais l'escalier jusqu'aux entrailles de la terre qui commençaient à devenir presque familières à mes yeux et entreprit de finir ce que j'avais arrêté la veille : L'exploration de la nouvelle galerie.

En effet, la veille, alors que la faim commençait à se faire sentir, j'avais néanmoins décidé de récolter un dernier filon de charbon lorsque soudain, le mur devant moi s’effondra, libérant à sa vue une large galerie. Je renonçai ce jour là pour mieux l'explorer le lendemain.

Je commençai donc à m'enfoncer dans la galerie en calant des torches de si de là dans les recoins des murs et arrivai très vite dans une partie de la galerie particulièrement riche en fer et en or. Heureux de ma découverte, j'empoignai joyeusement ma pioche et récoltai l'entièreté des ressources de la galerie. Arrivé devant le dernier filon d'or, la fatigue plein les bras, je donnai un coup mal mesuré qui fit s'effondrer une partie du mur. Celui ci libéra une nouvelle galerie qu'un immense bassin de lave illuminait.

En entrant dans cette nouvelle partie de la grotte, je remarquai de suite les reflets bleus qui recouvraient le bord du bassin : des diamants, des diamants et encore des diamants, posés là tels un cadeau, n'attendant qu'à être ramassés. J'entamai ma récolte gaiement lorsque mon regard se posa sur un énorme diamant incrusté dans un mur. Au bord de l’extase, j'empoignai de suite ma pioche et assénai un grand coup au mur. Un grondement sourd se fit entendre, le diamant sauta du mur et ce même mur s'effondra dans un fracas de roches brisées et de poussières. Une fois la poussière dispersée, je découvris à mon grand étonnement une caverne naturelle d'une taille gigantesque, aux milles cascades et bassins paradisiaques.

Émerveillé, je commençai à m'appuyer sur les décombres pour les escalader lorsque soudain ma main se posa sur une chose collante et poussiéreuse. Je tournai la tête pour la voir posée sur un énorme cocon d'araignée, dont la progéniture encore à l'intérieur frémissait à ce contact. Je fus soudain prit d'une peur que je savais à la hauteur de la situation : La caverne, aussi grande fut elle, était tapissée d'araignée d'un bleu dont les reflet se confondaient avec ceux de l'eau qui ruisselait des parois. Je commençai à me retourner très doucement en direction de la galerie d'où je venais pour constater avec effroi que celle ci s'était effondré derrière moi. Je se mis à chercher un refuge du regard dans un obscurité ambiante quasi totale. Lorsque mon regard croisa la pénombre d'un renfoncement rocheux, je me cru sauvé jusqu'au moment où une araignée tomba du plafond de la caverne, juste entre moi et ma sortie de secours.

Celle-ci me regarda fixement pendants quelques secondes qui me parurent des heures, puis commença à se dresser sur ses pattes velues, l'air menaçant, prête au combat. Je n’eus que quelques secondes pour réagir : Dans un même mouvement, je lâchai mon sac de minerais et brandissais son épée, me mettant en garde pour transpercer de par en par l'araignée qui me sautait dessus. Cette dernière mourut dans un long cri strident.

Les instants qui suivirent furent parmi les plus horribles que j'eus jamais vécu : Le plafond, que je croyais jusque là composé de pierre, commença à s'animer dans une valse macabre qui n'avait d'autre cible que ma position étroite et retranchée, de laquelle je savais que je ne tiendrait pas longtemps. J'empoignai mon sac de minerais et le balançai de toutes mes forces dans la cavité derrière la cascade, puis commençant à m'élancer en sa direction, posai le pied sur le cadavre de l'araignée que je venais de tuer, retirant du même coup mon épée. Mon élan fut bref : trois nouvelles créatures descendirent du plafond et m'entourèrent. Les deux premières connurent une mort rapide, mais je n'eus pas le temps de me retourner, et la dernière m'asséna un violent coup de mandibule avant que je n'ai eu le temps de la trancher en deux. La blessure commença à me brûler comme si on avait apposé à ma peau un longue barre de fer chauffée à blanc. Je reteins un cri de douleur et me remis à courir en direction de la cavité. Cette fois, le plafond entier s'effondra sur moi en une nuée sans fin d'araignée au bleu de la mort, armée apocalyptique que je pensai être ma dernière vision dans ce monde. J'en tuai deux d'un même mouvement, puis embrochai la troisième, mais celle ci, avant de mourir, me trancha le torse sur toute la longueur avec sa grande mandibule, y injectant le poison mortel qui emplissait déjà la plaie dans mon dos. Je donnai un violent coup de pied dans le corps pour le retirer de mon arme, puis dans un mouvement désespéré m'élançai à corps perdu dans la cavité, dans laquelle j'atterris avec une blessure supplémentaire dans le dos.

J'empoignai ma pioche avec toute la force qu'il me restai et frappai un grand coup dans le plafond de la cavité qui fit s'effondrer devant moi une grande partie de la cascade. J' étais enfin à l'abri, le corps meurtri et empoisonné. Je savais que si je restai là, je ne ferais pas long feu. J'avalai un steak d'une seule traite et rassemblai mes forces pour creuser la roche dans une direction que je pensai être la bonne. Je fis malheureusement un détour avant d'arriver dans une galerie de sa mine. Exténué, gravement blessé et empoisonné, je revins en rampant jusqu'à la surface, trainant mon sac de minerais que je ne lâchai plus, presque cousu à ma main. Après une heure, j'arrivai à la ville juste avant la tombée de la nuit, où je fus récupéré par les habitants et ramené chez moi.

Famille

Devant la découverte miraculeuse que fut la mine d'or, je ne peux que croire en la présence d'une entité supérieure. Étant donné qu'Abbsinthe et Scholwitz y croyait aussi, cela nous fit un point commun qui m'incita à rejoindre les Spiritueux. De notre famille est né le Quartier Ouest, majestueux symbole de notre richesse. Aujourd'hui, alors que notre amitié n'en est que plus forte et que le nombre de nouveaux membres dans notre famille ne cesse d'augmenter, je me lie d'avantage à Valiya et Abbsinthe qu'au reste des Spiritueux, eux qui ont tant fait pour moi.

Malgré le récent et douloureux départ de mon ami Abbsinthe pour Golvandaar, J'ai trouvé en Ilesa la femme que j'ai tant cherché. Elle que je connu encore esclave à l'abbaye, je lui fit ma demande en mariage à la suite de son affranchissement par le défunt Abbus Renault, demande qui ne manqua pas d'être acceptée. Je vis aujourd'hui les plus beaux jours de ma vie à ses côtés.

Capacités

Je sais me servir de tout type de pioches mais ma préférée reste celle en diamant, pour son efficacité et ça précision ! Par ailleurs, j'ai également appris à me servir d'outils de tailleur de pierre pour parfaire la précision de ma taille. Le marteau et le burin sont donc également de la partie.

Je me sers également des épées en fer, reste de mon passé de soldat. Elles sont très utiles dans les mines contre ces saletés de Zombies ...

J'ai appris à me servir de l'arc lors du "Campement". C'est assez utile contre les Creepers ou pour débusquer les voleurs sur les toits ...

Depuis que j'ai trouvé ces espèces de pièces qui font du bruit, je me suis rappelé de ma mère les utilisant pour faire de la musique. Je me suis dis que leur présence dans la taverne devait être une idée venue de la capitale. Je me suis donc débrouillé pour en obtenir une petite douzaine (et oui rien que ça) Et maintenant j'y passe tout mon temps libre !

J'étais particulièrement agile et rapide avant d'être empoisonné par ces araignées des cavernes. Maintenant, le poison me pompe la plupart de mon énergie; néanmoins, lorsque ses effets refont surface, je possède une rare force, presque surhumaine, et mes plaies guérissent à une vitesse hallucinante. Le temps passé dans les mines a par ailleurs amélioré mes réflexes et mon équilibre de manière considérable. Je peux de ce fait marcher sur à peu près n'importe qu'elle sol ou construction, ce qui fait de moi un bâtisseur de haute volée.

Traits de caractère

Je suis d'un naturel avenant et sympathique, mais les expériences de la vie et les douleurs de la guerre m'ont rendu quelque peu irritable avec le temps, ce qui en fonction des jours peut me rendre particulièrement désagréable pour ceux qui ne me connaissent pas. Je suis impartial dans mes jugements, je ne prend parti qu'en dernier recourt, si la situation est telle qu'il m'est impossible de le rester sous risque de perdre un être cher.

Je suis très attaché à mes amis et ma famille. Si l'un d'eux est menacé, je n’hésiterais pas à tuer quiconque tentant de leur faire du mal. Je n'hésiterais également pas à me sacrifier pour mes proches, matériellement ou physiquement si tel doit être le cas.

Mes aptitudes au combat et mon expérience des monstres limite mes peurs à des événements plus abstraits que des personnes ou des objets,comme la perte d'un être cher. Je n'ai de ce fait pas spécialement peur de la torture, de la prison, d'un quelconque mauvais traitement ou même d'un supérieur hiérarchique. Cette grande fierté peut malheureusement me mener à manquer d'humanité en face de certains événements.

J'ai toujours voulu être un artiste et cultive ma culture de la langue et de la musique. Je n'ai malheureusement pas les connaissances nécessaires pour rivaliser avec des écrivains ou des musiciens professionnels. J'aime l'alcool de bonne qualité et suis grand amateur de vin. j'en fais d'ailleurs la collection dans mon sous-sol, possédant déjà quatre bouteilles de grande qualité, dont deux ne sont pas de la ville : deux bouteilles de Petrusperia venant de la cave de Maximus, une bouteille de Clare venant de l'éthylerie du Monastère, une bouteille de vin de pirate que m'a cédé Led Gris ansi qu'une bouteille de vin de la Capitale m'ayant été donné par Markus lors de notre dernière rencontre.

Je bois également énormément de Rhum, particulièrement le Rhum Ambré de Maximus, tant et si bien que je me suis fait souffler une bouteille personnalisée pleine de gravures par les verrières de notre quartier. Je l'ai quasiment constamment sur moi, buvant une gorgée de si de là pour me nettoyer le gosier. Ilesa ne manque pas de faire quelques petites mais magnifiques grimaces lorsque je l'embrasse avec une haleine de Spiritueux.