Utilisateur:Sebastian sulfr : Différence entre versions
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Version du 29 novembre 2015 à 00:27
RolePlay :
Sebastian Sulfr
¤Prénom : Sebastian
¤Age : 22 ans
¤Taille : 1m 67
¤Poids : 65 Kg
¤Cheveux : Brun
¤Yeux : Gris
¤Langue : Capitalin et Adaarion
¤Religion : Culte d'Arbitrio / MonachisteDescription
Sebastian est un homme moyen. Il possède une taille d’1 mètre 67 et pèse 65 Kg, ce qui lui donne un air quelque peu freluquet par rapport à d’autres Adaarions mieux disposé à lutter naturellement contre le froid. Malgré sa faible masse corporelle, il possède quelques muscles visibles, l’aidant a réussir à porter son propre poids a l’aide de ses bras dans ses nombreuses acrobaties. Car ce qui frappe chez lui, ce ne sont pas ses muscles, mais son agilité prononcée dans chacun de ses mouvements. Il sait se faire discret comme bruyant, bien qu’il ne possède pas de voix portante. Ses yeux gris sont vifs sans pour autant être curieux. Ses cheveux bruns forment un contraste avec sa peau adaarione, ce qui lui donne un air plus enfantin que son âge réel.
Sebastian reste un jeune homme vif et plein d’énergie. Son envie d’aller toujours plus haut donnerait souvent le vertige à autrui, et il semble être un peu « casse-cou ». Malgré son envie débordante de toujours faire plus que ce qu’il peut faire, il n’a en revanche aucune envie de devenir riche. Les bourges ne le dégoûtent pas, mais il ne veut pas devenir ainsi. Souvent le cœur sur la main, il se dit bon Adaarion d’aider son prochain dans le besoin. Sa vie de nomade et de pauvreté l’a forgé, et il se retrouvera plus souvent ami avec les pauvres des rues plutôt qu’avec des bourgeois. Néanmoins, son éducation lui permet d’avoir des discussions censées et de rester poli même en leur compagnie. Il semble particulièrement affectionner la musique, et a déjà appris à en jouer dans son enfance.
Relation
Histoire
RolePlay :
Né d’un père Adaarion, et d’une mère Adaarione, c’est en perpétuant la tradition de sa famille que Sebastian est née dans la capitale des montagnes glacées. Né dans un dispensaire de Golvandaar, le jeune bambin suivrait la route de ses parents, parmi les montagnes, les plaines et les vallées, parmi les années.
Né dans une famille de nomade, il vivait dans une grande famille de plusieurs caravanes. Chacun se connaissait et chacun avait pour tâche une mission. Aucun enfant n’avait son âge, mais quelque un semblaient plus âgées de quelques années seulement.
Chaque caravane avait son utilité. Il y avait trois caravanes pour les couchettes, une pour les travaux d’artisanat, une pour la cuisine et enfin la dernière servant d’entrepôt. La vie n’était pas des plus simple, mais Sebastian ne connaissait que cela.
Lorsqu’il atteint la cinquième année, le groupe se dirigea vers les montagnes Adaarione et y laissa Sebastian, dans un village possédant un monastère. Il y apprit les rudiments de la lecture, de l’écriture ainsi que ceux d’Arbitrio. Son esprit se forgea durant cinq ans, jusqu’à ses dix ans.
Plusieurs fois, le groupe passait, mais les années semblaient longues pour le jeune garçon. Et enfin lorsque sa dixième année fut atteinte, le groupe avait déjà prévu son retour, arrivé le même jour de sa naissance il y a dix ans de cela. On donna le choix à Sebastian, celui de rejoindre la troupe de nomades et de les accompagner dans leur périple, ou celui de devenir autonome et de rejoindre Golvandaar afin d’y trouver du travail.
Son choix fut rapide, et il décida d’accompagner la troupe, ses parents ainsi que sa famille. Rare étaient les garçons ou filles du groupe qui refusait de les accompagner une fois leur apprentissage fini. Ainsi, la troupe s’en alla à nouveau, passant parmi de nombreux villages montagnards avant de redescendre dans les plaines des marches, de l'Aon puis remontant sur le Greistal et enfin le Gyllendal pour retraverser les monts Adaarions.
Leur route était bien souvent la même, et dans chaque village, on les reconnaissait comme la troupe de joie. Sebastian avait appris à l’aide de deux jeunes hommes à utiliser son corps pour effectuer des acrobaties et c’est ainsi qu’il travaillait lorsqu’il avait atteint les villages. Il amusait les gens et récupérait de l’argent comme il pouvait.
Lors des déplacements, Sebastian était l’homme à tout faire de la troupe, mais il restait très bien traité. Il était le majordome de tout le monde, s’occupant des affaires, les lavant et rangeant tout ce qu’il trouvait. Il n’était pas seul à faire ce travail puisqu’une autre jeune fille l’accompagnait dans sa tâche.Cette jeune fille avait un an de moins que Sebastian, et malgré leur rapprochement par les liens de la troupe, se considérant comme membre de la même famille, Sebastian était tombé amoureux de la brunette.
Il ne fallut pas longtemps aux deux jeunes pour se trouver et ,depuis leur plus jeune âge, s’aimer.
Ainsi, ils étaient le couple de majordomes, effectuant leur tâche toujours correctement. Les quelques erreurs de l’un étaient rattrapées et corrigées par l’autre, et c’est ainsi qu’ils fonctionnaient tout deux.
RolePlay :
À quelques jours d’un village de l’Aon, entre Larrelier et Dontanelle, la troupe se portait bien. Sebastian qui avait dorénavant atteint la vingtaine, effectuait toujours le même travail en compagnie de Lilja, sa compagne.
Ce jour-là, il devait s’occuper de la caravane dortoir de tête, ou se logeait le dirigeant de la troupe, ainsi que de la caravane entrepôt, la tâche la plus longue.
Il démarra par la caravane dortoir, ou les lits de fortunes étaient défaits, et la caravane dans un état pitoyable. Malgré les secousses de la charrette en route, Sebastian replaçait les lits correctement et rangeait les affaires qui n’étaient pas à leur place. Une heure lui suffit afin de remettre tout en ordre, et lorsqu’il descendit de la caravane en marche, il salua le dirigeant de la troupe, d’un salut respectueux. Ce dernier le lui rendit et lui tendit un peu de foin de la main. Il lui demanda de nourrir rapidement les chevaux qui traînaient la caravane d’entrepôt, car l’un des deux était tombé malade il y a peu de temps.
Dans la troupe, les chevaux sont un atout aussi important que chacun des membres, et on prend soin d’eux comme un membre de sa famille. Lorsqu’un cheval perd la vie, on effectue une rapide cérémonie.
Si la mort a eu lieu en route, un groupe se détache de la troupe et se dirige vers la ville la plus proche pour acheter un nouveau cheval. Bien que cela représente une somme importante pour la troupe, elle est nécessaire.
Ainsi, Sebastian ralentit le pas, avant d’attendre la caravane entrepôt. Il salua le cocher, et discuta avec lui tout en nourrissant le cheval récemment malade. La discussion continua lorsque le jeune homme entra dans la caravane et commença son travail. Il devait ranger ce qui n’était pas à sa place et s’occuper de tout tenir en ordre.
Quelques longues heures s’écoulèrent, et à peine avait-il fini de ranger que le cortège de caravanes tout entier s’arrêta brusquement, alors que les cochers hurlaient aux montures de se braquer.
Sebastian sortit immédiatement de la caravane, en grimpant sur cette dernière pour mieux y voir. Le cocher demanda à Sebastian d’y aller au plus vite tandis que lui resterait ici en tenant la caravane en place.
Il s’y précipita, mais des hommes s’attelaient déjà au remplacement de la roue de bois. C’était un problème récurrent chez la troupe, et chacun savait ce qu’il avait à faire lors d’une telle situation. Sebastian lui s’occupa de briser le bois de la roue qui était dorénavant inutilisable et de le transformer en bois de chauffe. Il passa le reste de la journée à s’atteler à sa tâche, aidé de deux autres hommes.
Les discussions allaient toujours bon train, mais le dirigeant de la troupe semblait déçu. Ils auraient tous du retard dans leur trajet, car cette situation les obligea à s’arrêter plus tôt, afin de passer la nuit.
Les clair de lune sur les bords des chemins n’étaient pas tranquilles, mais Sebastian faisait entièrement confiance aux gardiens, des hommes qui se relayaient la nuit afin d’assurer la sécurité du camp, tous armé.
La nuit passa, et l’Adaarion utilisa sa journée à ranger la caravane des artisans avec l’aide de sa compagne. Certains diront que la caravane était dans un état tel que la journée entière était nécessaire, d’autre que les deux tourtereaux ont passé beaucoup de temps à batifoler plutôt qu’à ranger, mais quoi qu’il en soit l’ambiance de la troupe restait toujours la même quoi qu’il arrive.
Et même si parfois le dirigeant était autoritaire, chacun le respectait assez pour que jamais dans l’histoire de la troupe, quel que soit le dirigeant, il n’y eut de mutinerie.
Le soleil se couchait tout juste lorsque la troupe arriva au village. Déjà, ces derniers avaient investi les rues et les tavernes afin d’égayer la nuit de nombreux villageois. C’est là que Sebastian semblait s’amuser le plus, gagnant quelques pièces et surtout énormément de sourire et de rire grâce à ses acrobaties et ses histoires.
Lorsqu’il allait se reposer, Sebastian le faisait toujours dans les bras de sa bien-aimée, avant que la journée ne recommence et qu’une histoire différente entraîne le jeune majordome.
RolePlay :
Sur la route, alors qu’il avait dorénavant 22 ans, Sebastian n’avait jamais changé de travail. Sa bien-aimée l’avait quitté, mais ils étaient resté tout deux amis. Ce qui n’avait que peu affecté le groupe pendant quelques semaines, avant que l’ambiance redevienne normale. Les deux se parlaient et se réconfortaient comme les meilleurs amis.
Cette journée, cependant, ne ressemblera jamais en aucun point à une autre. Alors qu’ils étaient sur la route de l’Aon, la troupe rencontra un autre groupe face à eux, semblant dérangé.
Le soleil n’était plus très haut dans le ciel et dans quelques heures, il faudrait installer un campement. La troupe face à eux n’était que des marchands de passage.
Alors que la troupe se rapprochait de ces derniers, l’un des cochers les interpella en leur expliquant la situation qui se déroulait plus loin.
Un groupe armé semblerait avoir installé ici un droit de passage, et qu’il faudrait les payer de la vie de chacun ou de leurs marchandises. Comme tout bon marchand tenant à leur vie, ils refusèrent les deux options et étaient en train de marchander avec les bandits.
À peine la discussion finit qu’on entendit des hurlement plus loin. En observant la scène, les bandits avaient commencé à tuer les marchands sans s’arrêter.
Le dirigeant de la troupe ordonna un départ immédiat, proposant à ceux qui courraient vers eux de les accompagner. C’est alors que les caravanes se mettaient en route que les mains se tendaient pour attraper ceux des marchands démunis.
Le cocher qui avait expliqué la situation avait grimpé sur sa propre caravane qui contenait ses marchandises et emporta quelques marchands avec lui alors qu’il suivit le reste de la troupe. La nuit tomba rapidement, alors que la troupe était toujours en fuite, et il fallut rapidement décider de s’arrêter ou de continuer à avancer dans l’obscurité.
Même si la troupe connaissait le chemin, le prenant depuis de nombreuses années dorénavant, il fallut s’arrêter lorsque la pénombre ne permettait plus d’y voir quoi que ce soit. Il fut fait le choix de ne créer aucun feu de camp pour la soirée ni d’allumer aucune torche.
Les gardiens étaient dorénavant bien plus nombreux qu’a l’habitude, certains ne savaient que très peu se battre. Sebastian n’en faisait pas partit. La nuit passa sans encombre, les bandits étaient passés sur le chemin sans les apercevoir, certains gardiens avaient entendu passer un convoi sans le voir, et en avait donc déduit que c’était les bandits.
Le jour se levait à peine que les mêmes bandits semblaient revenir sur leur pas. La troupe n’était pas prête à s’en aller, les quelques membres se réveillant à peine. Grâce au peu de luminosité, les bandits s’arrêtèrent en brandissant leurs armes, alors qu’un gardien avait déjà hurlé l’alerte.
Celui qui semblait être le chef des bandits se mit à parler a voix forte et portante. Il annonça, face aux hommes armés de toute part qu’ils tueraient tous ceux qui se mettraient en travers de leur chemin avec les marchands. Le dirigeant refusa de s’écarter du chemin, la banalité de la troupe se basant sur l’entraide. Or les marchands, ne voulant pas entraider qui que ce soit, prirent la fuite. Les bandits, n’ayant pas le courage de les rattraper, s’acharnèrent alors sur la troupe de voyage, agacé certainement d’avoir passé la nuit à les chercher. Ce qui était en avantage pour la troupe, bien que moins bien armé et moins bien préparé à se battre. Les gardiens prirent la défense de la troupe et se défendaient contre les truands.
Sebastian attrapa lui aussi une arme, mais ne sachant pas s’en servir, il ne s’avançait pas. Beaucoup de bandits tombaient, mais bien trop de gardiens suivirent, donnant finalement l’avantage au peu de bandits restant.
Quelques minutes suffirent à terrasser tous les gardiens alors que seul quelques bandits semblaient rester encore debout, armé, avançant vers le reste du groupe, la rage dans les yeux. Certains tentaient de se battre pour défendre le reste, tandis que le dirigeant ordonna aux femmes et aux enfants de s’enfuir et de rejoindre la ville précédente au plus vite, sans s’arrêter. Il ordonna aussi a trois hommes, dont Sebastian, de les protéger durant leur voyage. Sebastian, terrorisé, ne semblait en aucun cas vouloir abandonner ses semblables, observant la boucherie, impuissant. Alors qu’il voulait rester, le dirigeant l’attrapa par les épaules et lui demanda de faire vite, sans les femmes et enfants à l’abris, il ne pouvait ordonner la retraite au reste de la troupe.
Le jeune Adaarion acquiesça et partit en courant, hurlant à toutes les femmes et tous les enfants de les suivre en courant. La caravane entrepôt, toujours derrière, fut immédiatement débarrassée de toute la marchandise alors que l’on faisait grimper quelques blessés et des enfants ne pouvant courir. L’une des femmes, trop âgée, fut aussi transportée dans la caravane.
Le cortège s’enfuyait rapidement, laissant le reste de la troupe à elle-même. Pendant que les enfants pleuraient, les femmes soignaient les blessés et le second homme faisait le cocher. Sebastian quant à lui, ne sachant que peu faire, restait prêt à aider pour quoi que ce soit. En attendant il tentait de réconforter les deux enfants qui n’avait de cesse de pleurer. Par la suite alors que chacun semblait terrorisé, il se passa un temps où rien n’arrivait, personnes ne parlait.
Sebastian s’avançait vers chacune des femmes et des enfants, venant les rassurer et tenter de leur remonter le moral. En dernier, il rendit visite au cocher, s’asseyant à ses côtés. Ils discutèrent tout deux longtemps. Ce dernier était bien plus âgé, ayant connu l’adaarion alors qu’il était tout enfant. Ils parlèrent déjà du futur de la troupe, avant que quelque chose vienne les interpeller, des bruits de galops qui les suivaient.
En se tournant, chacun pouvait apercevoir les bandits, aux galops, plus rapide qu’eux. Alors que les enfants se remettaient à pleurer, il fut trouvé une dernière idée. La plus jeune des femmes, Lilja, grimperait sur un cheval et s’enfuirait avec les deux enfants en direction de la ville.
D’abord réticente, cette dernière accepta sous la promesse de l’Adaarion de se revoir un jour. Bien que peu pouvait y croire, elle voulait accepter cette réalité. Ainsi elle grimpa sur l’un des cheval, portant les deux enfants, et le cheval couru droit devant lui, sans s’arrêter.
Le second cheval, blessé, ne pourrait pas aller bien loin, on fit donc arrêter sur le côté la caravane de fortune, dorénavant transformé en carcasse, abîmé sous la précipitation du départ.
Personne ne tenta de s’enfuir seul, et chacun se plaçait autour du blessé et de la femme âgée, les protégeant, en cercle, alors que les bandits commençaient à tourner en rond, riant, les armées pleines de sang.
On pouvait les compter sur les doigts de deux mains, mais la troupe n’était pas plus nombreuses et n’avait que deux armes, possédé par les deux seul hommes de la troupe. Très vite, ils furent désarmé, et tout le monde fut placé au sol.
Les bandits les ligotèrent et s’en prirent aux femmes. Chacun tenta de se révolter, mais les deux hommes furent assommé, la veille dame fut emmené plus loin et tuée.
La suite pour Sebastian se déroule dans un port, vendu en tant qu’esclave, sonné, ou on le jeta dans la cale d'un navire, avant que ce dernier ne prenne le large, en direction de Fort Lointain.