Utilisateur:Pyama du Clan Cirkla : Différence entre versions
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Version du 12 avril 2025 à 13:46
Physique
La première chose que l'on remarque chez toi, ce sont tes dents du bonheur, et pour cause : tu passes ton temps à sourire. Comme ça, sans raison, à pleines dents. De petites fossettes se creusent, et tes pommettes encore dodues se relèvent. Ton visage porte les traces d’une enfance choyée, toi qui n’as jamais manqué de rien. C’est pour cela que tu sembles si éclatante, ton regard si vif.
Parlons-en, d’ailleurs, de tes yeux. Tu as ceux de ta mère : un bleu tirant sur le gris. Tu observes le monde avec une curiosité dévorante, toi qui as encore tout à découvrir. Tout attire ton attention : un papillon, une feuille portée par le vent, un caillou, le soleil qui se reflète dans une vitre. L’eau qui bruisse, le chien qui jappe ou encore le chat qui saute de muret en muret. Et toi, tu restes là, silencieuse, à contempler ce monde immense, alors que tu n’es haute que comme trois pommes. De plus, tu aimes bien regarder les autres, droit dans les yeux, sans aucune gêne. On pourrait même croire que tu les juges, surtout quand tu plisses les yeux.
Tu as un petit nez que tes parents adorent pincer dès que tu es dans leurs bras, quand ils ne couvrent pas tes joues de baisers. Tes mains sont aussi égratignées que tes genoux, marquées par tes innombrables chutes. Il faut dire que tu ne maîtrises pas encore bien ton corps : tu te dandines plus que tu ne marches, et quand tu cours, soit un mur t’arrête, soit tu finis au sol au bout de quelques mètres. Mais tu ne pleures pas. Au contraire, ça t’amuse. Non pas que tu aimes avoir mal, mais tomber a quelque chose de drôle en soi.
Ta peau est claire, bien que mate, proche de l’écorce du teck, mais sans la rudesse du bois. Non, ta peau est lisse, douce. On voit que ta mère prend soin de toi et veille à ce que tu sois toujours propre. Tes cheveux sont d’un brun cacao, déjà épais pour ton âge, et tu as de jolies boucles. Il faut dire que ta mère en prend grand soin, et c’est d’ailleurs elle qui te coiffe chaque matin. Elle aime te tresser les cheveux et, même si tu ne tiens pas en place, tu te forces à être sage.
Ton visage est parsemé d’éphélides, sans doute le soleil qui aime, lui aussi, t’embrasser. Tes épaules en sont également couvertes, ainsi que ta clavicule. Tes sourcils sont fins, encore clairsemés à ton jeune âge, et tes lèvres sont gercées ; il faut dire que tu aimes les mordiller, tout comme la peau autour de tes doigts.
Pour ce qui est de tes vêtements, c’est ta mère qui les confectionne, veillant à ce que tu ressembles à une princesse. Ce n’est pas très pratique quand tu décides de jouer, de sauter et de courir dans tous les sens, mais tu fais avec !
Il est bon de savoir que tu as hérité de la dyslexie de ta mère. Les lettres te jouent des tours. Quand tu les regardes, elles se mélangent et bougent sous tes yeux. Parfois, tu ne sais plus si c’est un b ou un d, un p ou un q. Les mots te semblent compliqués, comme s’ils refusaient de rester en place. Ça ne t’aide pas à apprendre à lire, et encore moins à écrire, même si tu es encore loin d’être prête pour tenir un fusain entre le doigts.
Caractère
Tu es la personnification même de la curiosité. "Pourquoi Arbitrio ?" "Pourquoi la vie ?" "Pourquoi on parle ?" "Pourquoi on tombe ?" "Pourquoi on doit manger ?" "C'est quoi ça ?" "Pourquoi tonton Dip porte un bandeau ?" Et encore tant d’autres questions ! La liste est infinie, crois-moi, car une réponse en entraîne une autre, puis une autre... et ainsi de suite. Tu pourrais interroger le monde entier sans jamais t’arrêter, et crois-moi, on sera fatigué bien avant toi !
C’est ton père qui s’occupe principalement de ton éducation. Il a veillé à ce que tu fasses bien la différence entre un qadjaride (papa), un kharedji (les autres) et une dosat (maman). Il t’a aussi mise en garde contre l’ambition, la démesure, l’orgueil et... la détermination. Ce dernier point te laisse perplexe. Pourquoi la détermination serait-elle un vice ? Tu lui poses la question encore et encore, espérant une réponse qui te satisfera enfin.
Tu es spontanée, sincère... peut-être même un peu trop. Tu n’as aucun filtre. Tout ce qui te traverse l’esprit, tu es obligée de le dire. Tenir ta langue ? Impossible. La tourner sept fois dans ta bouche ? Encore moins. Ce qui t’amène parfois à dire des choses gênantes sans même t’en rendre compte.
Tu es une véritable tornade d’énergie, une source de chaos à toi toute seule. Tu cours, tu grimpes, tu sautes, tu parles, et souvent... tu casses quelque chose par mégarde. Tes parents doivent avoir des nerfs d’acier pour ne pas soupirer à chaque bruit suspect. Pourtant, malgré tes maladresses, tu es une enfant sociable. Tu vas vers les autres sans crainte, prête à leur parler... et surtout, à leur poser des questions. Trop de questions. Parfois si étranges qu’elles semblent n’avoir de sens que pour toi.
Et surtout, tu es têtue. Terriblement têtue. D’autant plus que tu es entrée dans cette fameuse période où le "non" est roi. Et tu adores dire non. Pourquoi ? Aucune idée. Le mot sonne bien à tes oreilles. Tu n'es pas prêteuse, du moins, pas encore. C’est une notion que tu ne comprends pas encore entièrement. Tu gardes tes jouets et tes peluches jalousement, comme de véritables trésors. Impossible de t’en séparer, même pour quelques secondes. Si quelqu’un ose te les prendre, ne serait-ce que pour les regarder, c’est la catastrophe. Tes bras se referment dessus comme une forteresse, ton regard se fait méfiant, et si on insiste… les larmes montent aussitôt.
Et quand il faut les laisser derrière toi ? Quand on te dit que tu ne peux pas emmener ta peluche préférée partout avec toi ? Alors là, c’est le drame. Les larmes coulent à flots, les sanglots secouent ton petit corps, et rien ne semble pouvoir consoler ton chagrin.
Mais au fond, ce n’est pas juste un jouet que tu refuses d’abandonner. C’est une part de toi. Un repère, un bout de ton monde qui te suis depuis ta naissance.
Une autre notion encore abstraite pour toi : l'autorité et la hiérarchie.
Tu ne comprends pas vraiment ce que c’est, pourquoi ça existe, ni à quoi ça sert. Pourquoi certaines personnes ont-elles plus d'importance que d'autres ? Tu sais que tes parents comptent, qu’ils sont au sommet de ton petit monde, mais les autres ? Pourquoi faudrait-il leur obéir alors qu’ils ne sont rien pour toi ?
Tu es obéissante… parfois. Dans tes bons jours. Et surtout envers tes parents. Les autres, en revanche ? Ils n’ont aucun poids à tes yeux. Ce n’est pas par défiance ni par manque de respect, mais simplement parce que ça n’a pas de sens pour toi. Pourquoi écouter un inconnu qui n’a rien à voir avec ta famille ? Pourquoi lui donner une autorité qu’il n’a pas gagnée ?
Ta famille, c’est tout. Papa, maman, ils sont ton univers. Quand tu n’es pas nichée dans leurs bras, tu as tendance à t’accrocher à eux, à leur jambe, à leur main, à leur vêtement. Et quand ils disparaissent de ton champ de vision ? L’angoisse monte aussitôt, et tu les réclames sans relâche, jusqu’à ce qu’ils reviennent.
Ta journée est rythmée par des habitudes bien ancrées, un quotidien réglé comme une horloge.
Quand quelque chose te tracasse—un problème, une inquiétude, ou simplement une avalanche de questions qui tourbillonnent dans ta tête—tu as un réflexe immuable : tu attrapes la manche de ta mère et la tires jusqu’au canapé. Là, installée contre elle, pendant qu’elle démêle tes cheveux et les tresse avec patience, tu lui racontes tout. Absolument tout. Tes pensées sautent du coq à l’âne, entre vérités profondes et bavardages insensés.
Mais parfois, ce ne sont pas de simples inquiétudes qui t’occupent l’esprit. Parfois, l’angoisse te noue le ventre, te fait trembler, t’arrache presque des larmes. Dans ces moments-là, ta mère te tend sa peluche lapin. Aussitôt, tu l’écrases contre toi, enfouissant ton visage dans son pelage doux et réconfortant. Son odeur t’apaise. Te réchauffe. Te protège. Mais tu ne la gardes jamais longtemps. Car tu as remarqué une chose : sans son lapin, c’est maman qui semble perdue. Alors, après quelques minutes, tu lui rends sans protester.
Le soir, c’est papa qui te couche, et c’est un moment que tu chéris. Vous vous installez ensemble, et il t’entraîne dans ses histoires, celles qu’il semble toujours garder en réserve rien que pour toi. Sa voix t’enveloppe, berce ton esprit fatigué… Mais il n’a jamais le temps de finir. Avant même la dernière phrase, tu t’endors déjà. Pouce dans la bouche, doudou serré contre ton cœur, blottie dans ta couette, en toute sécurité.
Relation
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Ancien personnage
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