Utilisateur:Pyama du Clan Cirkla

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Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
525
Rang
Famille



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Physique

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Portrait Pyama.png

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C’était la première chose qu’on remarquait chez toi : tes dents du bonheur. Ton grand sourire illuminait tout autour de toi. Mais depuis quelque temps, il s’est effacé, remplacé par une expression plus stoïque, presque absente. Il faut dire que si les premières années de ta vie furent douces, les suivantes ont peu à peu érodé ce qu’il restait de ton innocence. « Sois une enfant », disent-ils. Mais comment l’être, quand chaque petite chose semble peser un peu plus sur tes épaules ? Tu as des fossettes encore visibles, un visage qui s’est affiné avec le temps. Et même si tu portes toujours les marques de l’enfance, on sent bien qu’elle n’a plus rien de choyé.

Tu as hérité des yeux de ta mère : un bleu tirant sur le gris. Même si ton expression s’est figée avec le temps, tes yeux, eux, continuent de parler. Bien avant que ton corps ne réagisse, on peut y lire la colère, la joie, la frustration – tout y passe. Tu es peut-être devenue plus sage, plus posée, mais tout continue de te distraire. Et peut-être en sera-t-il ainsi encore longtemps. Tu aimes observer les autres, les fixer droit dans les yeux, sans la moindre gêne. Parfois, on pourrait croire que tu les juges – surtout quand tu plisses les yeux, comme pour mieux voir ce qu’ils cherchent à cacher.

Ton nez n’est plus si petit ; il s’est affirmé avec le temps. Droit, bien dessiné, il apporte à ton visage ce petit quelque chose en plus, une singularité qui te distingue. Ta peau est claire, mais mate, d’un ton proche de l’écorce de teck, sans en avoir la rugosité. Tes cheveux, d’un brun cacao profond, sont épais et forment de jolies boucles qui se dessinent encore davantage lorsqu’on te tresse. Tu as souvent de la terre sous les ongles – tu aimes creuser, fouiller la terre à la recherche d’insectes ou de mues de serpents. Mais malgré ça, tu restes soignée. Tu fais attention à ton apparence, à tes vêtements, et tu t’efforces de rester propre.

Ton visage est parsemé d’éphélides — sans doute le soleil qui, comme le reste de ta famille, aime t’embrasser à sa manière. Désormais, des motifs tracés à la peinture couvrent ta peau, en attendant le jour où un tatouage viendra les rendre permanents. Tes sourcils sont fins, tout comme tes lèvres, que tu mordilles encore, souvent, lorsque le stress t’envahit. Quant à tes vêtements, c’est ta mère qui les confectionne. Autrefois, tu ressemblais à une princesse. Aujourd’hui, tu affirmes ce que tu es afin que tous arrêtent de douter : une Qadjaride.

Il est bon de savoir que tu as hérité de la dyslexie de ta mère. Les lettres te jouent des tours. Quand tu les regardes, elles se mélangent et bougent sous tes yeux. Parfois, tu ne sais plus si c’est un b ou un d, un p ou un q. Les mots te semblent compliqués, comme s’ils refusaient de rester en place. Ça ne t’aide pas à apprendre à lire, et encore moins à écrire, même si tu es encore loin d’être prête pour tenir un fusain entre le doigts.

Caractère

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Tu es la personnification même de la curiosité. "Pourquoi Arbitrio ?" "Pourquoi la vie ?" "Pourquoi on parle ?" "Pourquoi on tombe ?" "Pourquoi on doit manger ?" "C'est quoi ça ?" "Pourquoi tonton Dip porte un bandeau ?" Et encore tant d’autres questions ! La liste est infinie, crois-moi, car une réponse en entraîne une autre, puis une autre... et ainsi de suite. Tu pourrais interroger le monde entier sans jamais t’arrêter, et crois-moi, on sera fatigué bien avant toi !

C’est ton père qui s’occupe principalement de ton éducation. Il a veillé à ce que tu fasses bien la différence entre un qadjaride (papa), un kharedji (les autres) et une dosat (maman). Il t’a aussi mise en garde contre l’ambition, la démesure, l’orgueil et... la détermination. Ce dernier point te laisse perplexe. Pourquoi la détermination serait-elle un vice ? Tu lui poses la question encore et encore, espérant une réponse qui te satisfera enfin.

Tu es spontanée, sincère... peut-être même un peu trop. Tu n’as aucun filtre. Tout ce qui te traverse l’esprit, tu es obligée de le dire. Tenir ta langue ? Impossible. La tourner sept fois dans ta bouche ? Encore moins. Ce qui t’amène parfois à dire des choses gênantes sans même t’en rendre compte.

Tu es une véritable tornade d’énergie, une source de chaos à toi toute seule. Tu cours, tu grimpes, tu sautes, tu parles, et souvent... tu casses quelque chose par mégarde. Tes parents doivent avoir des nerfs d’acier pour ne pas soupirer à chaque bruit suspect. Pourtant, malgré tes maladresses, tu es une enfant sociable. Tu vas vers les autres sans crainte, prête à leur parler... et surtout, à leur poser des questions. Trop de questions. Parfois si étranges qu’elles semblent n’avoir de sens que pour toi.

Et surtout, tu es têtue. Terriblement têtue. D’autant plus que tu es entrée dans cette fameuse période où le "non" est roi. Et tu adores dire non. Pourquoi ? Aucune idée. Le mot sonne bien à tes oreilles. Tu n'es pas prêteuse, du moins, pas encore. C’est une notion que tu ne comprends pas encore entièrement. Tu gardes tes jouets et tes peluches jalousement, comme de véritables trésors. Impossible de t’en séparer, même pour quelques secondes. Si quelqu’un ose te les prendre, ne serait-ce que pour les regarder, c’est la catastrophe. Tes bras se referment dessus comme une forteresse, ton regard se fait méfiant, et si on insiste… les larmes montent aussitôt.

Et quand il faut les laisser derrière toi ? Quand on te dit que tu ne peux pas emmener ta peluche préférée partout avec toi ? Alors là, c’est le drame. Les larmes coulent à flots, les sanglots secouent ton petit corps, et rien ne semble pouvoir consoler ton chagrin.

Mais au fond, ce n’est pas juste un jouet que tu refuses d’abandonner. C’est une part de toi. Un repère, un bout de ton monde qui te suis depuis ta naissance.

Une autre notion encore abstraite pour toi : l'autorité et la hiérarchie.

Tu ne comprends pas vraiment ce que c’est, pourquoi ça existe, ni à quoi ça sert. Pourquoi certaines personnes ont-elles plus d'importance que d'autres ? Tu sais que tes parents comptent, qu’ils sont au sommet de ton petit monde, mais les autres ? Pourquoi faudrait-il leur obéir alors qu’ils ne sont rien pour toi ?

Tu es obéissante… parfois. Dans tes bons jours. Et surtout envers tes parents. Les autres, en revanche ? Ils n’ont aucun poids à tes yeux. Ce n’est pas par défiance ni par manque de respect, mais simplement parce que ça n’a pas de sens pour toi. Pourquoi écouter un inconnu qui n’a rien à voir avec ta famille ? Pourquoi lui donner une autorité qu’il n’a pas gagnée ?

Ta famille, c’est tout. Papa, maman, ils sont ton univers. Quand tu n’es pas nichée dans leurs bras, tu as tendance à t’accrocher à eux, à leur jambe, à leur main, à leur vêtement. Et quand ils disparaissent de ton champ de vision ? L’angoisse monte aussitôt, et tu les réclames sans relâche, jusqu’à ce qu’ils reviennent.

Ta journée est rythmée par des habitudes bien ancrées, un quotidien réglé comme une horloge.

Quand quelque chose te tracasse—un problème, une inquiétude, ou simplement une avalanche de questions qui tourbillonnent dans ta tête—tu as un réflexe immuable : tu attrapes la manche de ta mère et la tires jusqu’au canapé. Là, installée contre elle, pendant qu’elle démêle tes cheveux et les tresse avec patience, tu lui racontes tout. Absolument tout. Tes pensées sautent du coq à l’âne, entre vérités profondes et bavardages insensés.

Mais parfois, ce ne sont pas de simples inquiétudes qui t’occupent l’esprit. Parfois, l’angoisse te noue le ventre, te fait trembler, t’arrache presque des larmes. Dans ces moments-là, ta mère te tend sa peluche lapin. Aussitôt, tu l’écrases contre toi, enfouissant ton visage dans son pelage doux et réconfortant. Son odeur t’apaise. Te réchauffe. Te protège. Mais tu ne la gardes jamais longtemps. Car tu as remarqué une chose : sans son lapin, c’est maman qui semble perdue. Alors, après quelques minutes, tu lui rends sans protester.

Le soir, c’est papa qui te couche, et c’est un moment que tu chéris. Vous vous installez ensemble, et il t’entraîne dans ses histoires, celles qu’il semble toujours garder en réserve rien que pour toi. Sa voix t’enveloppe, berce ton esprit fatigué… Mais il n’a jamais le temps de finir. Avant même la dernière phrase, tu t’endors déjà. Pouce dans la bouche, doudou serré contre ton cœur, blottie dans ta couette, en toute sécurité.

Relation

Clan Grahinavam


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Qadjaride


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Kharedjis


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Disparue


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Ancien personnage

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