Utilisateur:Inseri
Sommaire
Description
Inseri Haïka (Ou Ins’ pour ses connaissances ou Inseri Wihelmina Elga Haïka sur son état civil) est une jeune fille de 16 ans issue d’un père nordique et d’une mère caroggianne. Elle a donc hérité physiquement de la finesse de gabarit (Un petit 52 kgs) et de la couleur de cheveux de sa mère et de la grande taille (1m67, ce qui est déjà grand pour une fille de 16 ans et en sachant que sa mère "culminait" à 1m53), de la couleur des yeux (Un rouge plutôt inhabituel) et de la pâleur de teint de son père.
Signe particulier : Pour une fille de 16 ans, Inseri possède une poitrine plutôt peu développée ...
Compétences
- Alphabétisation et calculs (Etant issue d’une famille cultivée, Inseri ne pouvait ne pas savoir ni lire ni écrire)
- Connaissances scientifiques (Ayant passé de nombreuses années dans la librairie de son père à s’occuper de la gestion et à écrire des livres scientifiques, Inseri a prit goût pour l’art des Mathématiques)
- Minutie (Durant son enfance, elle a longuement observé son père dans la confection de livres, leur fabrication n’a plus un seul secret pour elle. De plus, lorsqu’elle écrit un document, elle s’applique au plus haut point.)
- Créativité (Inseri est particulièrement douée pour réaliser de beaux ouvrages mais également pour écrire des romans d’aventures.)
- Outillage (La confection d’un livre n’a plus de secrets pour elle, elle est capable de reconnaître un bon travail d’un mauvais du premier coup d’œil et elle manie les outils avec une aisance particulière. Elle a pour habitude de « signer » les livres qu’elle fabrique, en effet, elle appose sur chacun d’entre eux une petite couture en croix sur la quatrième de couverture)
- Dessin (Ayant appris cette compétence de manière autodidacte, Inseri utilise cette capacité pour réaliser les illustrations et autres schémas techniques sur ses ouvrages)
Qualités
- Calme
- Posée
- Travailleuse
- Patiente
- Docile
- Sociable
Défauts
- Perfectionniste
- Peut être très timide voir craintive dans certaines situations (dans les cas les plus extrêmes, cela peut aller jusqu'à des pleurs)
Intérêt culturels et goûts
Ce qu'elle apprécie
- Le silence des bibliothèques
- Les livres
Ce qu'elle n'apprécie pas
- Les alcools (elle trouve que ça a un goût horrible)
- Les insectes (surtout lorsque ceci sont plutôt visqueux (larves))
- Le feu (C'est plus de la méfiance que du réel dégoût, ses parents ayant été tués lors d'un incendie, elle reste sur ses gardes quand un feu est allumé)
Son Histoire
Son enfance
Inseri est née le 15 décembre 496 dans la ville d’Uuroggia d’un père nordique et d’une mère caroggianne.
Elle passa le clair de son enfance dans la maison familiale dans le vieil Uuroggia. C’était une vieille bâtisse de 2 étages faites de pierres de taille saumonée, de bois et aux petites fenêtres colorées. Au rez-de-chaussée se trouvait la librairie ainsi que les imprimeries de son père, au premier se trouvait la bibliothèque ainsi que le bureau où sa mère travaillait. Enfin, la petite famille vivait au dernier dans un appartement, bien qu’étant ni le plus immense, ni le plus beau de la ville, était toutefois plutôt confortable et décoré avec goût.
La fillette passait la majeure partie de son temps dans la boutique de son père à l’aider à s’occuper de la boutique et d’apprendre les ficelles du métier de libraire bien que, régulièrement, elle se trouvait avec sa mère à étudier les subtilités de l’écriture et de la théologie.
Ce fut une enfance plutôt ordinaire et sans histoires … jusqu’à ce sombre jour de juillet 511. Inseri avait 14 ans et, comme depuis ces deux dernières années, son père lui faisait faire les livraisons pour de riches clients, le tempérament doux de la jeune fille mettant les clients rapidement en confiance. Ins’ sortit de la maison d’un riche marchant, avec une petite bourse contenant l’argent de la commande de ce dernier ainsi que celles des autres de la journée. Elle se trouvait sur le chemin du retour lorsqu’elle se fit bousculer par deux hommes qui criaient qu’il y avait le feu dans la vieille ville. En effet, de la fumée noire s’élevait déjà dans le ciel. Elle courut le plus vite qu’elle pouvait en direction du foyer de l’incendie. Une fois sur place, elle constata avec horreur que la maison qui brûlait, c’était la sienne ! Les flammes étaient déjà en train d’embraser le dernier étage de la bâtisse, sortant par les vitres brisées. Des gardes avaient déjà cerclé l’endroit et d’autres hommes tentaient d’éteindre l’incendie. Inseri essayait d’appeler ses parents … en vain. Soudainement, un homme dit : « Les murs se fissurent, ça va s’effondrer ! Il faut s’éloigner !». Effectivement, de nombreuses lézardes commençaient à apparaître sur les murs de pierres. Vingt secondes plus tard, la toiture s’effondra sur elle-même, projetant des flammes, des débris et de la poussière en dehors par les fenêtres brisées. Inseri tenta de forcer afin de pénétrer à l’intérieur mais un des gardes la retint en lui expliquant que c’était dangereux. La jeune fille se mit à pleurer à chaudes larmes, appelant ses parents, encore dans les bras du soldat. Un homme se mit à hurler que la maison est en train de s’effondrer. La bâtisse s’écroula sur elle-même, dégageant un immense nuage de poussières dans un fracas assourdissant. Pendant que des hommes finissaient de maîtriser le sinistre, Inseri était toujours en larmes dans les bras du garde. Un second garde se demandait ce qu’on allait faire d’elle. Un homme plutôt âgé s’approcha et dit : « Vous pouvez me la confier, j’étais un ami de ses parents et je la connais bien cette petite ! _ Dans ce cas, prenez-là ! Je pense que ce sera mieux pour elle que de finir dans l’orphelinat ou dans les rues ! »
Le vieil homme, dénommé Mr Cazziani, prit Inseri dans ses bras et dit qu’elle allait dorénavant vivre avec lui. Cet homme fut un employé du père d’Inseri jusqu’au jour où il décida d’ouvrir sa propre librairie. Il vivait un peu plus loin dans une petite maison qui faisait également office de boutique. Bien que durant le temps de son deuil elle restait prostrée sur le lit de sa chambre, elle finit par sortir et à aider celui qui l’a recueillie dans les tâches du magasin. L’homme s’occupait bien d’elle, lui apprenait à parfaire ses techniques d’écriture et d’assemblage de livres.
