Utilisateur:Aaghie
Sommaire
Ebauche
Nom : Solen.
Âge : Tâte la vingtaine, aspect très jeune.
Nation : Canatanaise.
Culte : Monachiste.
Métier : Verrière.
Taille : 1m61.
Poids : Valse entre 47 et 49kg.
Silhouette : Fine, un peu agile.
Yeux : Bleu saphir percutant.
Cheveux : Marron écorce, boucles sauvages.
Portrait
Dissimulée derrière une crinière sauvage, la frimousse d’Aaghie attire l’attention. Son visage, peint par un pinceau féminin, livre une impression de douceur. Quelques taches de rousseur le ponctuent discrètement. Un parfum de curiosité s’échappe de la jeune femme : intriguée par ce qui l’entoure, elle aime se plonger dans le havre de l’inconnu pour satisfaire sa soif de savoir. Elle ne réalise pas toujours dans quel ruisseau elle s’engage, même si cela l’emmène dans le carcan d’une tempête dont elle devient prisonnière. La Canatanaise goûte le sucre de la vie à pleines dents. L’énergie qu’elle dégage se reflète par son faciès très expressif. Ses sourcils charnus donnent du caractère à sa figure et rendent plus vifs ses yeux dont la couleur vogue entre l’azur et le saphir profond. Son regard habituellement doux est le plus enclin à être frappé par les émotions qui l’habitent -ou la rongent. Ceux qui l’observent consciencieusement peuvent voir les tourments qu’elle abrite au fond d’elle. Ils tranchent avec la délicatesse de ses sourires. Ses lèvres en arc de cupidon sont souvent importunées par sa chevelure épaisse, faite d’un marron prononcé, qui flamboie sous la caresse du soleil. Certaines mèches sont plus claires et ont une teinte mordorée. Ses boucles et ondulations emmêlées s’échouent au centre de sa colonne vertébrale. Si Aaghie peut sembler docile quelquefois, elle est pourtant aussi insoumise que sa crinière. Son humeur terre-à-terre contraste avec une volonté de vouloir discerner le bien dans ce monde. Toutefois, elle a conscience que ces attraits peuvent la déchirer un jour. Petite, la jeune femme mesure 1m61. Elle a un corps élancé de 50 kg. Sa carrure mince, aux courbes marquées, montre le bout de femme qu’elle est devenue. Elle donne physiquement un air jeune, trompé cependant par sa maturité et sa faculté à manier les mots. Les stigmates d’une vie ébranlée apparaissent sous ses étoffes en maintes cicatrices. Une première dévore le tour du bas de sa cuisse droite : une marque mauve l’enrobe et s’y incruste, en preuve déroutante d’une brûlure grave. Une trace discrète creuse une ligne de travers sur le devant de son épaule gauche, petite, fine et blanchâtre. Autrement, le reste de ses balafres semble se blottir à l’intérieur d’elle-même.
Depuis sa fraîche arrivée sur l'île, la jeune femme subit moult changements. L'absence de repas réguliers l'amincit plus qu'elle ne l'est déjà, et les efforts perpétuels renforcent ses muscles. Les situations où cette nouvelle vie la flanque la forcent à arborer une détermination plus accentuée qu'autrefois. Sans perdre sa douceur, elle paraît plus farouche, comme une chatte méfiante qui recule lorsqu'on l'approche trop. La curiosité qui brûle dans ses yeux, comme des flammes dansant dans une âtre, l'engage à découvrir toujours davantage ce qui l'entoure. Et sa bienveillance, loin d'être ternie, bouscule avec violence ses valeurs. Nul doute que ses choix ne la laisseront pas intacte.
Compléments
Premiers soins
La jeune femme sait stabiliser une vie jusqu'à l'arrivée d'un soignant, et assister un médicastre. Nouer des bandages et utiliser des médicaments sont dans ses compétences. Toutefois, si l'urgence de la situation impose d'improviser, elle se débrouillera. Ses connaissances restent néanmoins assez limitées et n'excèdent pas celles d'un véritable soignant. Dorénavant, Aaghie s'épanouit de plus en plus dans la fonction d'aide-soignante. Cependant le savoir lui manque, alors elle tâche de s'en procurer plus que nécessaire, si bien qu'elle songe à changer de métier.
Art du piano
Aaghie ne se sent vraiment vivre que lorsqu'elle compose au piano. Elle aime se réfugier dans le cocon de la musique pour exprimer ses émotions enfouies. Ses nombreuses années d'apprentissage lui permettent d'écrire des morceaux, de les mémoriser et d'avoir une certaine aisance de jeu. La passion de ses humeurs prend forme au gré des sons de l'instrument. La musique est véritablement le seul art, avec la lecture, qui sache la canaliser.
Connaissance de la littérature
Embrassée depuis toujours par l'amour de l'écriture, Aaghie est attirée par les secrets des différents genres littéraires. Elle en connaît les maniements et se plaît à les étudier. Selon elle, la littérature est le miroir de soi. Elle ne pourrait certainement pas vivre si elle ne pouvait pas écrire. Aaghie est capable d'utiliser n'importe quel support pour déposer l'encre de son imagination.
