Aneth : Différence entre versions

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== Apparence ==
{{Ecrit}}'''"Ou comment passer d’un végétal à un consommable... "'''
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L'aneth possède des feuilles vert bleuté, finement divisées, semblables à celles du [[fenouil]]. Ce sont ses petites fleurs jaunes qui produisent en fin de saison des graines aromatiques de couleur brun clair.
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=='''Découverte'''==
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<br>'''Feuilles''' : Récoltez les feuilles régulièrement, avant la floraison, car ce sont elles qui parfument les plats cuisinés. Pour la conservation des feuilles, il est possible de les conserver séchées, mais elles perdent beaucoup de leur arôme. Dans ce dernier cas, rangez les feuilles dans un bocal ou une boîte hermétique après les avoir fait sécher à l'air libre et à l'ombre.
{{Ecrit}}[[Fichier:Croquisaneth.png|thumb|left|Croquis d'un plant d'Aneth.]]
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Une autre plante qui eut terminée dans le terreau de la Pépinière si la bedonnante rouquine n’avait pas insisté pour la faire perdurer. Cette plante trouvée alors qu’elle n’était qu’une prétendue élève à l’école du quartier Ouest, semblait laisser pantoise Leoplodine.  
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<br>'''Fleurs''' : Pour éviter les semis spontanés, coupez les fleurs au fur et à mesure de leur apparition.
Ne s’en souciant guère en utilité, elle laissa l’herbacée se développer tranquillement au coeur même de l’apothicairerie, là où la chaleur étouffante semblait redorer le feuillage filandreux de la plante...<br><br><br><br><br><br><br><br><br><br>
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{{\Ecrit}}
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<br>'''Graines''' : Les graines peuvent être récupérées, à l'automne, lorsqu'elles sont mûres et avant qu'elles ne tombent, pour faire d'autres semis. Elles gardent leurs facultés germinatives durant 3 ans environ. L'aneth se ressème également spontanément, car il est très prolifique. '''Les graines peuvent aussi être conservées séchées.''' Pour cela, coupez toute l'ombelle une fois les graines mûres (elles prennent alors une couleur beige) et suspendez-la, tête en bas, au-dessus d'un tissu pour récupérer les graines qui tombent en séchant.
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<br><blockquote>'''Etant donné que la plante n’a présenté que des débuts d’expérience hasardeux (peu d’apothicaires/soignants ont joué les RP), elle sera seulement utilisée en tant que plante condimentaire, lorsqu’elle est bien cuite avec son plat. Une mauvaise cuisson pourrait engendrer des problèmes de digestion légers.'''</blockquote>
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<blockquote>'''Cuisinier''' : Son arôme délicat [[anis|anisé]], mélange de [[fenouil]] sauvage et de [[menthe]], permet d'aromatiser les salades, les soupes, les légumes, les poissons et les crustacés, mais aussi les fromages frais. Enfin, les graines de l'aneth peuvent être utilisées pour aromatiser les liqueurs ou les confitures. On peut aussi les mélanger à la fleur de sel.
=='''Journal : Observation, expérimentation et résultat'''==  
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{{Ecrit}}[[Fichier:Plantaneth.png|thumb|left|Tige d'Aneth.]]
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<blockquote>'''Apothicaire''' : Toute recette est à découvrir par un [[Règles:Validation de découverte|rp découverte]], mais voici une liste de possibilités :
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*Une huile de digestion afin d’aider aux problèmes gastriques.
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*Des graines broyées et mélangées à du lait pour la mauvaise haleine.
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*Une huile essentielle pour soulager les menstruations difficiles.
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Les feuilles séchées de l'aneth parfument subtilement le linge dans vos armoires.
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</blockquote>
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<br>{{Ecrit}}== Découverte par [[Utilisateur:Leoplodine|Leoplodine Dewhell]]==
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<center>'''"Ou comment passer d’un végétal à un consommable... "'''
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Une autre plante qui eut terminée dans le terreau de la Pépinière si la bedonnante rouquine n’avait pas insisté pour la faire perdurer. Cette plante trouvée alors qu’elle n’était qu’une prétendue élève à l’école du quartier Ouest, semblait laisser pantoise Leoplodine.
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<br>Ne s’en souciant guère en utilité, elle laissa l’herbacée se développer tranquillement au coeur même de l’apothicairerie, là où la chaleur étouffante semblait redorer le feuillage filandreux de la plante...</center><br><br><br><br><br><br><br><br><br><br><center>[[Fichier:séparateur.png]]</center><br>
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==='''Journal : Observations, expérimentations et résultats'''===  
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'''Extraits des carnets de recherches de Leoplodine :'''
 
'''Extraits des carnets de recherches de Leoplodine :'''
  
'''01/07/513'''
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<br>'''01/07/513'''
  
 
Une étrange plante reposant dans un pot de terreau dans le laboratoire. Un collègue lui a dit que c'était de l'Aneth, une plante poussant aussi dans l'Ancien Monde.
 
Une étrange plante reposant dans un pot de terreau dans le laboratoire. Un collègue lui a dit que c'était de l'Aneth, une plante poussant aussi dans l'Ancien Monde.
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'''ETAT :''' L'Aneth a perdue quelques feuilles et ne semble pas changer d'état pour le moment.
 
'''ETAT :''' L'Aneth a perdue quelques feuilles et ne semble pas changer d'état pour le moment.
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A l'intérieur du laboratoire, l'Aneth ne semblait pas avoir bougée si ce n'est que quelques petits débuts de feuille avaient fait leurs apparitions, montrant un renouveau de la plante.
 
A l'intérieur du laboratoire, l'Aneth ne semblait pas avoir bougée si ce n'est que quelques petits débuts de feuille avaient fait leurs apparitions, montrant un renouveau de la plante.
  
 
'''ETAT :''' L'Aneth semble renaitre. Espérons que cela va continuer...
 
'''ETAT :''' L'Aneth semble renaitre. Espérons que cela va continuer...
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A l'intérieur de l’apothicairerie, l'Aneth continuait de s'épanouir, ses feuilles et ses fleurs se multipliant paisiblement. La lumière du soleil semblait avoir fait du bien à cette dernière. La petite femme rajouta un peu d'eau et continua son tour.
 
A l'intérieur de l’apothicairerie, l'Aneth continuait de s'épanouir, ses feuilles et ses fleurs se multipliant paisiblement. La lumière du soleil semblait avoir fait du bien à cette dernière. La petite femme rajouta un peu d'eau et continua son tour.
  
 
'''ETAT :''' L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.  
 
'''ETAT :''' L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.  
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L'Aneth semble s'épanouir dans son pot. Ce dernier commençant à devenir trop grand.
 
L'Aneth semble s'épanouir dans son pot. Ce dernier commençant à devenir trop grand.
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'''ETAT :''' L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.  
 
'''ETAT :''' L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.  
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Ayant rempoté plusieurs Aneths, ces dernières fleurissaient paisiblement au rythme du soleil...
 
Ayant rempoté plusieurs Aneths, ces dernières fleurissaient paisiblement au rythme du soleil...
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'''ETAT :''' Plusieurs plants d'Aneth parsèment des pots dans le laboratoire.
 
'''ETAT :''' Plusieurs plants d'Aneth parsèment des pots dans le laboratoire.
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'''24/07/513 - 02/08/513'''
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S'étant décidée à faire quelques expériences par elle même sur des esclaves, elle conclua que cette dernière, possédait des fleurs et des feuilles toxiques ( un esclave en ayant fait les frais...) mais que les branches de ces dernières semblaient diminuer légèrement quelques maux comme le trouble de la bidasse.
 
S'étant décidée à faire quelques expériences par elle même sur des esclaves, elle conclua que cette dernière, possédait des fleurs et des feuilles toxiques ( un esclave en ayant fait les frais...) mais que les branches de ces dernières semblaient diminuer légèrement quelques maux comme le trouble de la bidasse.
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'''ETAT :''' Stabilisation du végétal. Leoplodine semble avoir trouvée quelque chose.
 
'''ETAT :''' Stabilisation du végétal. Leoplodine semble avoir trouvée quelque chose.
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Elle avait beau se repasser les mêmes pavés de lecture quotidienne dont elle s’octroyait, elle avait bien faire de noter et renoter les mêmes tracés et courbes à leur sujet, non, elle ne voyait point...
 
Reposant la plume à côté du bureau, elle joignit ses mains tout en regardant les croquis et diverses annotations entourant ces premières : plusieurs vues, plusieurs coupes, certaines vilaines tandis que d’autres, un tant soit plus coquettes venaient garnir le papier de flots que seul la petite rousse comprenait.
 
Imaginez vous maintenant, le bureau, avec notre cher Leoplodine assise derrière, les cheveux déphasés de part la fatigue, fixant un long parchemin garni de croquis et d’annotations. Devant ce tout, repose une petite plante en pot à moitié estropiée par de nombreuses coupes à la serpette. Ces morceaux, reposent ainsi découpés à côté du pot. Deux autres petites plantes déracinées semblent un peu à l’écart du tout, on reconnait une tige de Fenouil et un corps d’Anis.
 
Le nom était présent en somme, elle l’avait plusieurs fois faites confirmer par ces collègues horticulteurs semblant avoir des connaissances plus étendues sans pour autant s’étayer davantage sur l’herbacée... Après maintes recherches de la Dame et un visionnage compliqué de part les ratures, voici quelques bribes que vous pourriez décrypter :
 
  
Aneth, plante de la famille des Apiacées, de leur nom dérivé Ombellifères, leur appartenance à cette famille ne fait aucun doute, les caractéristiques des familles ne le détrompent point : tige creuse à silons dans une longitude évasive, feuilles alternes, sans stipules, avec la présence de quelques folioles à leur base, ces dernières remontant le long de la plante au fil de sa croissance, mais ce qui confirme mes dires sont la possession au niveau des fleurs, petites soient-elles, de très exactement cinq étamines et cinq pétales s’entrecroisant en une symétrie perpétuelle.
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<br>Elle avait beau se repasser les mêmes pavés de lecture quotidienne dont elle s’octroyait, elle avait bien faire de noter et renoter les mêmes tracés et courbes à leur sujet, non, elle ne voyait point...
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<br>Reposant la plume à côté du bureau, elle joignit ses mains tout en regardant les croquis et diverses annotations entourant ces premières : plusieurs vues, plusieurs coupes, certaines vilaines tandis que d’autres, un tant soit plus coquettes venaient garnir le papier de flots que seul la petite rousse comprenait.
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<br>Imaginez vous maintenant, le bureau, avec notre cher Leoplodine assise derrière, les cheveux déphasés de part la fatigue, fixant un long parchemin garni de croquis et d’annotations. Devant ce tout, repose une petite plante en pot à moitié estropiée par de nombreuses coupes à la serpette. Ces morceaux, reposent ainsi découpés à côté du pot. Deux autres petites plantes déracinées semblent un peu à l’écart du tout, on reconnait une tige de Fenouil et un corps d’Anis.
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<br>Le nom était présent en somme, elle l’avait plusieurs fois faites confirmer par ces collègues horticulteurs semblant avoir des connaissances plus étendues sans pour autant s’étayer davantage sur l’herbacée... Après maintes recherches de la Dame et un visionnage compliqué de part les ratures, voici quelques bribes que vous pourriez décrypter :
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<br>Aneth, plante de la famille des Apiacées, de leur nom dérivé Ombellifères, leur appartenance à cette famille ne fait aucun doute, les caractéristiques des familles ne le détrompent point : tige creuse à silons dans une longitude évasive, feuilles alternes, sans stipules, avec la présence de quelques folioles à leur base, ces dernières remontant le long de la plante au fil de sa croissance, mais ce qui confirme mes dires sont la possession au niveau des fleurs, petites soient-elles, de très exactement cinq étamines et cinq pétales s’entrecroisant en une symétrie perpétuelle.
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<br>Malgré ces termes bien technique, le reste de la feuille semble bien trop compliquée pour qu’un simple spectateur puisse comprendre quoi que ce soit, néanmoins en bas de page, diverses annotations semblent attirer l’oeil tel que « Parent à l’Anis ou encore Fenouil Puant... ». En faisant pivoter la feuille on distingue sur le côté, des descriptifs, tel que la taille ( quatre-vingt à cent-trente centimètres avec une évasion d’une trentaine de centimètres sur la tête), ou encore la forme des feuilles ( très découpées, légères et de conception filiformes, couleur vert bleuté), ... D’autres choses sont marquées mais elles restent illisible de part les nombreuses ratures.
  
Malgré ces termes bien technique, le reste de la feuille semble bien trop compliquée pour qu’un simple spectateur puisse comprendre quoi que ce soit, néanmoins en bas de page, diverses annotations semblent attirer l’oeil tel que « Parent à l’Anis ou encore Fenouil Puant... ». En faisant pivoter la feuille on distingue sur le côté, des descriptifs, tel que la taille ( quatre-vingt à cent-trente centimètres avec une évasion d’une trentaine de centimètres sur la tête), ou encore la forme des feuilles ( très découpées, légères et de conception filiformes, couleur vert bleuté), ... D’autres choses sont marquées mais elles restent illisible de part les nombreuses ratures.
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<br>Revenons maintenant à la scène, voulez-vous ? Leoplodine,contrariée de si peu de résultats, se leva et contourna le meuble pour aller se servir un verre dans la petite carafe d’argent posée à même la table basse du salon, quand plusieurs toquements de porte retentirent... Reposant le tout, elle se redressa et alla ouvrir au dit quatorzième inconnus de la journée qui venaient encore frapper à sa porte pour la déranger de broutilles intempestives.
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<br>A sa grande surprise, elle reconnue le visage, c’était le messer Andrea, un de ces cuisiniers, ce dernier tâché de parts et d’autres sur ses habits. Elle le fit entrer, ce dernier prétendant réclamer une boite de sel, cet épice semblant manquer à la taverne. Se frottant les yeux, elle descendit à sa cave de quoi satisfaire les expériences culinaires du dit jovial cuisinier. Lorsque Leoplodine remonta, une petite boite entre les mains crispées de tant de fatigue, elle surpris le messer en grande contemplation sur ses maintes recherches hasardeuses, ce dernier s’exclama en voyant la forte dame remonter.
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<br>Haussant un sourcil, elle mit un certain temps à comprendre ces faits, peut-être était-ce la fatigue, son accent douteux d’un enfant de campagne ou tout simplement que ces dires semblaient trop évidents mais continuant à acquiescer, l’esprit vague, elle laissa le messer filer, avec les dites herbacées. Regardant le bureau, puis le pot arraché de sa plante puis la porte d’entrée, elle s’empressa de la verrouiller avant de s’endormir, fort rapidement sur le canapé du salon.
  
Revenons maintenant à la scène, voulez-vous ? Leoplodine,contrariée de si peu de résultats, se leva et contourna le meuble pour aller se servir un verre dans la petite carafe d’argent posée à même la table basse du salon, quand plusieurs toquements de porte retentirent... Reposant le tout, elle se redressa et alla ouvrir au dit quatorzième inconnus de la journée qui venaient encore frapper à sa porte pour la déranger de broutilles intempestives.
+
<br>« L’DAME DEWHELL !, L’DAME DEWHELL ! J’VAIS R’SON ! »
A sa grande surprise, elle reconnue le visage, c’était le messer Andrea, un de ces cuisiniers, ce dernier tâché de parts et d’autres sur ses habits. Elle le fit entrer, ce dernier prétendant réclamer une boite de sel, cet épice semblant manquer à la taverne. Se frottant les yeux, elle descendit à sa cave de quoi satisfaire les expériences culinaires du dit jovial cuisinier. Lorsque Leoplodine remonta, une petite boite entre les mains crispées de tant de fatigue, elle surpris le messer en grande contemplation sur ses maintes recherches hasardeuses, ce dernier s’exclama en voyant la forte dame remonter.
 
Haussant un sourcil, elle mit un certain temps à comprendre ces faits, peut-être était-ce la fatigue, son accent douteux d’un enfant de campagne ou tout simplement que ces dires semblaient trop évidents mais continuant à acquiescer, l’esprit vague, elle laissa le messer filer, avec les dites herbacées. Regardant le bureau, puis le pot arraché de sa plante puis la porte d’entrée, elle s’empressa de la verrouiller avant de s’endormir, fort rapidement sur le canapé du salon.
 
  
« L’DAME DEWHELL !, L’DAME DEWHELL ! J’VAIS R’SON ! »
+
<br>Manquant de tomber du canapé de part un réveil aussi brutal qu'inattendue, la dame se leva en se massant les côtes, ouvrant d’un geste grognon, la porte d’entrée. Non, elle ne vit pas tout d’abord le cuisinier en pleine excitation, mais plutôt une assiette où reposait une gros tranche de lard enduite de crème, saupoudrée de quelques herbes... En terme habituelle, elle aurait été vexée d’un tel tirage de son sommeil, mais un plat ainsi tenu à nez vint retenir son attention lorsqu’elle le fit entrer.
 +
<br>Posant l’assiette et une fourchette, Fran expliqua qu’il connaissait cette plante, au du moins semblait la connaitre, prétendant que c’était un cousin du Fenouil et que son frère éthyliste avait été assez crétin pour l’utiliser avec de l’alcool, croyant que c’était de l’anis. Stoppant le cuistot passionné, elle se mit à comprendre et d’un geste gourmand, piqua la viande et l’enfourna en joie. Mastiquant et semblant se douter d’un autre condiment que le fenouil habituel dont le cuisinier garnissait ses plats, elle reconnue la dite plante, réduite en morceaux, à travers plusieurs couches de sauces, et son sourire s’agrandit davantage.
  
Manquant de tomber du canapé de part un réveil aussi brutal qu'inattendue, la dame se leva en se massant les côtes, ouvrant d’un geste grognon, la porte d’entrée. Non, elle ne vit pas tout d’abord le cuisinier en pleine excitation, mais plutôt une assiette où reposait une gros tranche de lard enduite de crème, saupoudrée de quelques herbes... En terme habituelle, elle aurait été vexée d’un tel tirage de son sommeil, mais un plat ainsi tenu à nez vint retenir son attention lorsqu’elle le fit entrer.
+
<br>« Messer Fran, comme je le dis souvent, merci encore. »
Posant l’assiette et une fourchette, Fran expliqua qu’il connaissait cette plante, au du moins semblait la connaitre, prétendant que c’était un cousin du Fenouil et que son frère éthyliste avait été assez crétin pour l’utiliser avec de l’alcool, croyant que c’était de l’anis. Stoppant le cuistot passionné, elle se mit à comprendre et d’un geste gourmand, piqua la viande et l’enfourna en joie. Mastiquant et semblant se douter d’un autre condiment que le fenouil habituel dont le cuisinier garnissait ses plats, elle reconnue la dite plante, réduite en morceaux, à travers plusieurs couches de sauces, et son sourire s’agrandit davantage.
 
« Messer Fran, comme je le dis souvent, merci encore. »
 
Se levant, elle s’empressa de retourner à son bureau, prenant une grande encyclopédie apparemment bien garnie, et s’en retourna compléter ces derniers acquis.{{\Ecrit}}
 
<br />
 
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<br />
 
{{Ecrit}}=='''Définition'''==
 
L’Aneth est une plante se récoltant en fin Brumaire et début Thermidor, seulement lorsque la saison se fait des plus chaudes et que les journées de récolte ne se font point nuageuses.
 
  
Etant donné que la plante n’a présenté que des débuts d’expériences hasardeuses ( peu ou pas d’apothicaires/soignants ont joué les rps), elle sera seulement utilisée en tant que plante condimentaire lorsqu’elle est bien cuite avec son plat. Une mauvaise cuisson pourrait engendrer des problèmes de digestion légers.
+
<br>Se levant, elle s’empressa de retourner à son bureau, prenant une grande encyclopédie apparemment bien garnie, et s’en retourna compléter ces derniers acquis.{{\Ecrit}}
<br />
 
<center>[[Fichier:séparateur.png]]</center>
 
<br />
 
Des ouvertures rps sont possibles si un rp découverte se joue et sont proposés par la suite à Octopus en présence d’apothicaires et soignants, tel que :
 
  
*Une huile de digestion afin d’aider aux problèmes gastriques.
 
*Des graines broyées et mélangées à du lait pour la mauvaise haleine.
 
*Une huile essentielle pour soulager les menstruations difficiles.{{\Ecrit}}
 
 
== Culture ==
 
== Culture ==
 
'''Besoin en eau :''' Moyen
 
'''Besoin en eau :''' Moyen
 
<br>'''Entretien :''' Facile
 
<br>'''Entretien :''' Facile
 
<br>'''Résistance au froid :''' Moyenne
 
<br>'''Résistance au froid :''' Moyenne
 
+
<br>'''Végétation :''' Annuelle (Plante qui vit moins d'un an.)
 +
<br>'''Feuillage :''' Caduc (La plante perd ses feuilles à l'automne.)
 
== Données Importantes ==
 
== Données Importantes ==
'''Climat :''' Forêt Tropicale | Forêt Maritime
 
 
{{Culture
 
{{Culture
 
|Brumaire début = Plantation
 
|Brumaire début = Plantation
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|Nivôse fin =
 
|Nivôse fin =
 
}}
 
}}
*La récolte des feuilles doit s'effectuer avant la floraison.
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'''Climat :''' Forêt | Forêt Maritime | Forêt Tropicale | Montagne | Plaine | Prairie
 
== Information(s) complémentaire(s) ==
 
== Information(s) complémentaire(s) ==
* Au moyen-âge, une branche d’Aneth était portée autour du cou comme talisman pour éloigner le mauvais-sort.
+
L'aneth repousse les pucerons. Il est donc indiqué d'en planter près de vos plantes qui souffrent des attaques de pucerons.
* Repousse les pucerons.
 
 
 
 
[[Category:Flore]]
 
[[Category:Flore]]
 
{{\Ecrit}}
 
{{\Ecrit}}

Version du 20 mai 2017 à 01:44

Aneth

Tulipe}}

Informations RP
Type Plante
Saison Brumaire
Biomes
Forêt
Forêt Maritime
Forêt Tropicale
Montagne
Plaine
Prairie
















Aneth.jpg

Apparence

L'aneth possède des feuilles vert bleuté, finement divisées, semblables à celles du fenouil. Ce sont ses petites fleurs jaunes qui produisent en fin de saison des graines aromatiques de couleur brun clair.


Feuilles : Récoltez les feuilles régulièrement, avant la floraison, car ce sont elles qui parfument les plats cuisinés. Pour la conservation des feuilles, il est possible de les conserver séchées, mais elles perdent beaucoup de leur arôme. Dans ce dernier cas, rangez les feuilles dans un bocal ou une boîte hermétique après les avoir fait sécher à l'air libre et à l'ombre.


Fleurs : Pour éviter les semis spontanés, coupez les fleurs au fur et à mesure de leur apparition.


Graines : Les graines peuvent être récupérées, à l'automne, lorsqu'elles sont mûres et avant qu'elles ne tombent, pour faire d'autres semis. Elles gardent leurs facultés germinatives durant 3 ans environ. L'aneth se ressème également spontanément, car il est très prolifique. Les graines peuvent aussi être conservées séchées. Pour cela, coupez toute l'ombelle une fois les graines mûres (elles prennent alors une couleur beige) et suspendez-la, tête en bas, au-dessus d'un tissu pour récupérer les graines qui tombent en séchant.


Etant donné que la plante n’a présenté que des débuts d’expérience hasardeux (peu d’apothicaires/soignants ont joué les RP), elle sera seulement utilisée en tant que plante condimentaire, lorsqu’elle est bien cuite avec son plat. Une mauvaise cuisson pourrait engendrer des problèmes de digestion légers.

Cuisinier : Son arôme délicat anisé, mélange de fenouil sauvage et de menthe, permet d'aromatiser les salades, les soupes, les légumes, les poissons et les crustacés, mais aussi les fromages frais. Enfin, les graines de l'aneth peuvent être utilisées pour aromatiser les liqueurs ou les confitures. On peut aussi les mélanger à la fleur de sel.

Apothicaire : Toute recette est à découvrir par un rp découverte, mais voici une liste de possibilités :

  • Une huile de digestion afin d’aider aux problèmes gastriques.
  • Des graines broyées et mélangées à du lait pour la mauvaise haleine.
  • Une huile essentielle pour soulager les menstruations difficiles.

Les feuilles séchées de l'aneth parfument subtilement le linge dans vos armoires.


Découverte par Leoplodine Dewhell

"Ou comment passer d’un végétal à un consommable... "
Croquis d'un plant d'Aneth.

Une autre plante qui eut terminée dans le terreau de la Pépinière si la bedonnante rouquine n’avait pas insisté pour la faire perdurer. Cette plante trouvée alors qu’elle n’était qu’une prétendue élève à l’école du quartier Ouest, semblait laisser pantoise Leoplodine.


Ne s’en souciant guère en utilité, elle laissa l’herbacée se développer tranquillement au coeur même de l’apothicairerie, là où la chaleur étouffante semblait redorer le feuillage filandreux de la plante...










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Journal : Observations, expérimentations et résultats

Tige d'Aneth.

Extraits des carnets de recherches de Leoplodine :


01/07/513

Une étrange plante reposant dans un pot de terreau dans le laboratoire. Un collègue lui a dit que c'était de l'Aneth, une plante poussant aussi dans l'Ancien Monde. Elle ne fit rien si ce n'est que de couper quelques feuilles trop fanées et de rajouter un peu d'eau, passant au reste.

ETAT : L'Aneth a perdue quelques feuilles et ne semble pas changer d'état pour le moment.


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02/07/513

A l'intérieur du laboratoire, l'Aneth ne semblait pas avoir bougée si ce n'est que quelques petits débuts de feuille avaient fait leurs apparitions, montrant un renouveau de la plante.

ETAT : L'Aneth semble renaitre. Espérons que cela va continuer...


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03/07/513 - 05/07/513

A l'intérieur de l’apothicairerie, l'Aneth continuait de s'épanouir, ses feuilles et ses fleurs se multipliant paisiblement. La lumière du soleil semblait avoir fait du bien à cette dernière. La petite femme rajouta un peu d'eau et continua son tour.

ETAT : L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.


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06/07/513 - 11/07/513

L'Aneth semble s'épanouir dans son pot. Ce dernier commençant à devenir trop grand. La petite rousse semble commencer à réfléchir d'un moyen de reproduire cette plante.

ETAT : L'Aneth semble s'épanouir dans ce milieu chaud. Elle ne semble pas demander beaucoup d'eau.


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12/07/513 - 23/07/513

Ayant rempoté plusieurs Aneths, ces dernières fleurissaient paisiblement au rythme du soleil... Elle se demandait ce que les apothicaires faisaient et pourquoi ils n'avaient pas encore cherché à comprendre le sens de cette étrange plante...

ETAT : Plusieurs plants d'Aneth parsèment des pots dans le laboratoire.


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24/07/513 - 02/08/513

S'étant décidée à faire quelques expériences par elle même sur des esclaves, elle conclua que cette dernière, possédait des fleurs et des feuilles toxiques ( un esclave en ayant fait les frais...) mais que les branches de ces dernières semblaient diminuer légèrement quelques maux comme le trouble de la bidasse. Recoupant des branches dépassant d'un des plants, elle se mise à approfondir ces recherches.

ETAT : Stabilisation du végétal. Leoplodine semble avoir trouvée quelque chose.


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Elle avait beau se repasser les mêmes pavés de lecture quotidienne dont elle s’octroyait, elle avait bien faire de noter et renoter les mêmes tracés et courbes à leur sujet, non, elle ne voyait point...
Reposant la plume à côté du bureau, elle joignit ses mains tout en regardant les croquis et diverses annotations entourant ces premières : plusieurs vues, plusieurs coupes, certaines vilaines tandis que d’autres, un tant soit plus coquettes venaient garnir le papier de flots que seul la petite rousse comprenait.
Imaginez vous maintenant, le bureau, avec notre cher Leoplodine assise derrière, les cheveux déphasés de part la fatigue, fixant un long parchemin garni de croquis et d’annotations. Devant ce tout, repose une petite plante en pot à moitié estropiée par de nombreuses coupes à la serpette. Ces morceaux, reposent ainsi découpés à côté du pot. Deux autres petites plantes déracinées semblent un peu à l’écart du tout, on reconnait une tige de Fenouil et un corps d’Anis.
Le nom était présent en somme, elle l’avait plusieurs fois faites confirmer par ces collègues horticulteurs semblant avoir des connaissances plus étendues sans pour autant s’étayer davantage sur l’herbacée... Après maintes recherches de la Dame et un visionnage compliqué de part les ratures, voici quelques bribes que vous pourriez décrypter :


Aneth, plante de la famille des Apiacées, de leur nom dérivé Ombellifères, leur appartenance à cette famille ne fait aucun doute, les caractéristiques des familles ne le détrompent point : tige creuse à silons dans une longitude évasive, feuilles alternes, sans stipules, avec la présence de quelques folioles à leur base, ces dernières remontant le long de la plante au fil de sa croissance, mais ce qui confirme mes dires sont la possession au niveau des fleurs, petites soient-elles, de très exactement cinq étamines et cinq pétales s’entrecroisant en une symétrie perpétuelle.


Malgré ces termes bien technique, le reste de la feuille semble bien trop compliquée pour qu’un simple spectateur puisse comprendre quoi que ce soit, néanmoins en bas de page, diverses annotations semblent attirer l’oeil tel que « Parent à l’Anis ou encore Fenouil Puant... ». En faisant pivoter la feuille on distingue sur le côté, des descriptifs, tel que la taille ( quatre-vingt à cent-trente centimètres avec une évasion d’une trentaine de centimètres sur la tête), ou encore la forme des feuilles ( très découpées, légères et de conception filiformes, couleur vert bleuté), ... D’autres choses sont marquées mais elles restent illisible de part les nombreuses ratures.


Revenons maintenant à la scène, voulez-vous ? Leoplodine,contrariée de si peu de résultats, se leva et contourna le meuble pour aller se servir un verre dans la petite carafe d’argent posée à même la table basse du salon, quand plusieurs toquements de porte retentirent... Reposant le tout, elle se redressa et alla ouvrir au dit quatorzième inconnus de la journée qui venaient encore frapper à sa porte pour la déranger de broutilles intempestives.
A sa grande surprise, elle reconnue le visage, c’était le messer Andrea, un de ces cuisiniers, ce dernier tâché de parts et d’autres sur ses habits. Elle le fit entrer, ce dernier prétendant réclamer une boite de sel, cet épice semblant manquer à la taverne. Se frottant les yeux, elle descendit à sa cave de quoi satisfaire les expériences culinaires du dit jovial cuisinier. Lorsque Leoplodine remonta, une petite boite entre les mains crispées de tant de fatigue, elle surpris le messer en grande contemplation sur ses maintes recherches hasardeuses, ce dernier s’exclama en voyant la forte dame remonter.
Haussant un sourcil, elle mit un certain temps à comprendre ces faits, peut-être était-ce la fatigue, son accent douteux d’un enfant de campagne ou tout simplement que ces dires semblaient trop évidents mais continuant à acquiescer, l’esprit vague, elle laissa le messer filer, avec les dites herbacées. Regardant le bureau, puis le pot arraché de sa plante puis la porte d’entrée, elle s’empressa de la verrouiller avant de s’endormir, fort rapidement sur le canapé du salon.


« L’DAME DEWHELL !, L’DAME DEWHELL ! J’VAIS R’SON ! »


Manquant de tomber du canapé de part un réveil aussi brutal qu'inattendue, la dame se leva en se massant les côtes, ouvrant d’un geste grognon, la porte d’entrée. Non, elle ne vit pas tout d’abord le cuisinier en pleine excitation, mais plutôt une assiette où reposait une gros tranche de lard enduite de crème, saupoudrée de quelques herbes... En terme habituelle, elle aurait été vexée d’un tel tirage de son sommeil, mais un plat ainsi tenu à nez vint retenir son attention lorsqu’elle le fit entrer.
Posant l’assiette et une fourchette, Fran expliqua qu’il connaissait cette plante, au du moins semblait la connaitre, prétendant que c’était un cousin du Fenouil et que son frère éthyliste avait été assez crétin pour l’utiliser avec de l’alcool, croyant que c’était de l’anis. Stoppant le cuistot passionné, elle se mit à comprendre et d’un geste gourmand, piqua la viande et l’enfourna en joie. Mastiquant et semblant se douter d’un autre condiment que le fenouil habituel dont le cuisinier garnissait ses plats, elle reconnue la dite plante, réduite en morceaux, à travers plusieurs couches de sauces, et son sourire s’agrandit davantage.


« Messer Fran, comme je le dis souvent, merci encore. »


Se levant, elle s’empressa de retourner à son bureau, prenant une grande encyclopédie apparemment bien garnie, et s’en retourna compléter ces derniers acquis.

Culture

Besoin en eau : Moyen
Entretien : Facile
Résistance au froid : Moyenne
Végétation : Annuelle (Plante qui vit moins d'un an.)
Feuillage : Caduc (La plante perd ses feuilles à l'automne.)

Données Importantes

Floréal
Floréal
Thermidor
Thermidor
Brumaire
Brumaire
Nivôse
Nivôse
Début Milieu Fin Début Milieu Fin Début Milieu Fin Début Milieu Fin
Récolte Floraison Floraison Plantation Plantation Récolte


Climat : Forêt | Forêt Maritime | Forêt Tropicale | Montagne | Plaine | Prairie

Information(s) complémentaire(s)

L'aneth repousse les pucerons. Il est donc indiqué d'en planter près de vos plantes qui souffrent des attaques de pucerons.