Utilisateur:Alagor
Sommaire
Caractéristiques physiques
Age: 17 ans
Taille: 1 mètre 79
Poids: 62 KG
Couleur des yeux: Vert
Carrure: Maigre, mais musclé
Visage: Fin, doux
Qualités
• Rapide
• Discret
• Intelligent
• Observateur
• Connait la nature mieux qu'un oiseau connait les airs.
Défauts
• Met du temps à s'attacher à quelqu'un.
• Pense trop souvent à sa famille.
• Aime voir les personnes plus fortes que lui se faire mal
• N'aime pas se battre. Il essaiera toujours de fuir face au danger.
Ses compétences
Intérêts
• Le travail du bois
• Les bonnes rencontres
• Les promenades en forêt
Description
Alagor vivait depuis son premier jour, il y a 17 années, proche de la ville Indubal. C'est son arrière-grand-père qui a été le premier de sa famille à s'installer dans cette ville. Intelligent, il réfléchit avant de faire quoi que ce soit. Ses parents n'ont pas pu le mettre à l'école comme ses camarades faute d'argent, mais il a réussi à s'instruire en écoutant le murmure de la ville. Durant sa jeunesse, il a donc aidé son père dans son travail: il était Artisan du bois, métier qui se passe de père en fils.
Alagor est physiquement fin, d'où son surnom "le bâton", mais a tout de même une grande force, due au sciage des troncs. C'est un garçon blond, certain le qualifie de "rouquin", tandis que les membres de sa famille sont bruns depuis des générations, et qui a des yeux d'un vert profond. Il sait courir très vite, ce qui lui permettait très souvent d'échapper aux costauds de la ville. Il est très réservé, et n'avait qu'un seul ami: un loup sauvage. Il passait de longues heures dans la forêt avec le loup, d'où lui est venu ce sens de la survie très développé. Il s'était fait un petit repaire, entièrement fait de bois, des murs jusqu'à l'encrier.
La religion familiale est l'Arbitrio. Alagor a donc suivi cette voie, mais n'est pas un pratiquant fanatique.
Avant son esclavage...
Au travail
C'était la cinquantième cuillères qu'Alagor sculptait pour un client pressé. Enfin la dernière. Sa petite soeur Aladria le regardait avec ses grands yeux marrons, assises sur l'atelier. Elle partit en courant, et revint avec une gobelet d'eau, qu'Alagor but d'un trait. Sans un mot, il prit les cuillères, les mis dans un sac, et embrassa sa soeur. Il allai prévenir son père, et parti sur le sentier de terre menant à la ville d'Indubal.
Une heure plus tard, il atteint les portes de la ville, et évita le regard des gardes, de peur qu'ils ne l'interpellent. Il traversait les ruelles qu'il connaissait par coeur, passa devant l'entrepôt de bois, et vit qu'une charrette pleine de bûches à son nom attendait. C'était celle qu'il devait ramener chez lui au retour, à la force de ses bras. Il soupira et reprit sa marche. Arrivé devant une maison fleurie et luxueuse, il frappa à la porte. Un esclave ouvrit la porte, regarda Alagor, puis le sac qu'il tendait, le prit et ferma la porte. Avant d'aller à l'entrepôt de bois, il passa devant le restaurant scolaire, salua le cuisinier, et empocha le gâteau promis.
Douce soirée
Alors que le soleil atteignait la terre, Alagor entra dans sa maison, ruisselant de sueur. Sa mère avait encore une fois réussi à obtenir les ingrédients nécessaires pour faire son fameux poulet au fromage. Les épices leur avait été données par un ermite, voyageant de ville en ville, et que la famille avait accueilli pour manger la soupe du soir. Cela redonna le sourire à Alagor. Sa soeur arriva en compagnie de son père, et la famille s'installa pour déguster le repas, avec une ambiance détendue. Alagor et son père discutèrent du travail, et Aladria et sa mère discutèrent de la préparation du plat. Une fois tous repus, tous allèrent se coucher, les parents dans l'unique chambre, et Alagor et Aladria sous les combles de la bâtisse. Le jeune homme attendit que sa soeur s'endormit, puis se leva, enfila son gilet de laine et courut vers la forêt, en direction du Grand Chêne, dans la Clairière.
L'air était bon, le ciel épuré. Alagor s'assied au pied du Grand Chêne, et attendit. Tout à coup, il vit deux yeux dans les fourrés. Le garçon ne bougea pas, resta serein. Les yeux s'éclipsèrent, et réapparurent au milieu d'une tête d'une bête féroce, en pleine course vers Alagor ! Il se jeta sur l'adolescent, et... lui lécha la figure. Alagor était heureux ! Il était venu, son meilleur ami, son unique ami ! Il caressa le loup qui s'était jeté sur lui. Durant toute la soirée, il joua avec lui, se battirent... Ils formaient deux complices très attachés. Tous les jours, Alagor craignait de ne pas le voir apparaitre,de peur que les chasseur ne l'ait pris.
Lorsque le loup commença à avoir faim, le garçon et l'animal se dirent au revoir, et il parti chasser. Alagor, quant à lui, monta dans le Grand Chêne, et, à quinze mètres de hauteurs, il entra dans son repaire. Il s'installa sur une chaise, et but un sirop de canne. Il sortit un cahier, et trempa sa plume dans son encrier, et rédigea sa journée sous la lumière faiblarde de sa bougie. Les heures passèrent. Alagor fini par rentrer chez lui, et se recoucha dans son lit, aux côtés d'Aladria, qu'il embrassa sur le front.
La course
L'aube pointait, et la famille se réveilla. Aladria parti à l'école, sa mère allai vendre des objets sur le marché d'Indubal, et Alagor et son père commencèrent leur travail avec une commande reçue le matin même, devant être livrée en fin de journée. Cette commande consistait à faire un trône, pour une fête d'anniversaire, de plusieurs bois différents, avec de nombreux détails très minutieux à faire. Le père s'occupa de prendre les pièces de bois dans les bûches, et Alagor les sculptait. Vers quatorze heures, il ne restait plus qu'à assembler les pièces. Il fallait ajuster la tailles des encoches, et lorsque le travail était fini, il était seize heures. Il était temps de partir amener la commande chez le client. Alagor était affamé, il n'avait pas déjeuné. Il parti, le trône dans une charrette à bras, et dit à ses parents de manger sans lui.
Enfin, Alagor était dans les temps. Le client le remercia en insistant tellement à ce que le jeune homme mange une part de gâteau qu'Alagor se retrouva tout troublé: sa timidité avait pris le dessus. Il parti de la ville, en direction de sa maison. Arrivé aux portes de la ville, il vit de la fumée au loin, dans la direction de son chez lui. Pour une fois, il ne réfléchis même pas, et courut le plus vite qu'il ne le put.
Il arriva à la source de cette fumée: son logis, qui partait en flamme. Il voulut crier, mais il vit alors trois hommes rigoler en enflammant les dernières poutres non enflammées. Il eut terriblement peur, se retourna, et vit sa soeur qui pleurait derrière lui. Il était en partie soulagé. Aladria cria le nom de son frère, et les trois hommes se retournèrent. Ils aperçurent Alagor et sa soeur, et coururent vers eux. Le garçon cria à sa soeur de courir, mais elle était pétrifiée par la peur, elle ne put pas bouger. Il criait de plus belle, mais elle fixait un des hommes, qui abattit sur elle un lourd sabre. La petit fille tomba.
Alagor, horrifié, resta sur place une seconde, et se retourna et courut vers un endroit qu'il connaissait bien: Le Grand Chêne. Il pria pour y retrouver le loup. Une fois dans la clairière, Alagor avait la tête qui tournait, mais réussis à voir une masse, étendues au sol. Il courut vers elle, et reconnu son ami depuis toujours: le loup. Il avait subit le même sort qu'Aladria, un sort sans pitié. Alagor se leva, regarda vers le ciel, le visage ruisselant de larmes, et il cria. Il tombait dans le désespoir. Toute les personnes qu'il aimait, avaient disparu... Tout à coup, tout devint sombre.
Capturé
Alagor ouvrit les yeux. Il sut qu'il était dans un navire, au bruit, et à la sensation de balancement. Un homme était assis à ses côtés. Alagor se souvint de tout, et ne put retenir ses larmes. Il demanda après un long moment à l'homme que faisaient-ils là. Pour l'homme, c'était simple. Ils étaient capturés, et seraient vendus comme esclaves. Il lui dit aussi qu'il avait réussis à obtenir des informations sur sa capture en écoutant les discussions des hommes sanguinaires.
Les trois hommes sont entrés dans la maison d'Alagor, et ont tenté de capturer les parents, qui se défendirent, mais ils n'étaient pas armés, et n'ont rien put faire contre les sabres hormis dire calmement à Aladria "Cours.". La fillette était donc parti, et les hommes ont mit feu à la maison, jusqu'à ce qu'ils entendent un jeune homme et la fille. Ils tuèrent la fillette, car elle ne leur aurait servis à rien, puis coururent après le garçon, et le retrouvèrent pleurant au dessus du loup qu'ils avaient tué à leur arrivée, pour se défouler. Ils l'assommèrent.
Alagor, après ce récit difficile à écouter, s'écroula sur ses jambes. Il entendit au loin "Terre !", vit l'homme faire une grimace, et s'évanouit
Ses amis
Fran: Cuisinier vendu lors de la même vente, Alagor s'entend très bien avec lui.
