Utilisateur:Amar

De Wiki'speria
Révision datée du 24 septembre 2014 à 12:29 par Hirad (discussion | contributions)
Aller à : navigation, rechercher



Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     200.png
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
klajemite
Pseudo
Klajémite
Prénom IRL
Arnaud
Âge IRL
15 ans



Informations Diverses
Arrivé le 04/03/513



Description

RolePlay :


Amar sait un peu lire le capitalin et ne sait pas du tout écrire.

Il a 19 ans et est né le 3 Février 494 .Il mesure 1m80 pour 75 kilogrammes et a une corpulence normale. Il a la peau mate, et des long cheveux noirs coiffés en queue de cheval. Ses yeux sont bruns foncés. Il a un tatouage à l'avant bras gauche qui représente son clan dans l'ancien monde: "La Lampe des nuits"
Fichier:Tatouage.png
Tatouage du clan "La Lampe des nuits"

Il est sympathique, serviable et persévérant. Il prend du temps pour réfléchir et est plutôt naïf, lui négocier des objets a bas prix et simplissime. Parfois, il se pose quelque part, ferme les yeux et reflechie. Une insulte d'un Kharedjis sur les Qadjarides le mettra hors de lui interieurement, mais son caractere le fera rester calme a l'exterieur.

Aptitudes

Classe

Artisan

Langues

Capitalin
Qadjari

Talents

Création du verre et moulage. A beaucoup d'idée.
Une des créations type du clan.

Défauts

Sens des affaires très mauvais. Trop travailleur.

Intérêts culturels et goûts

Intérêt pour l'histoire des Qadjarides.

  • Goûts: Plats épicés, Dattes confites, Gailetak, Madyam (seul alcool qu'il aime)Untelemnes, Josk, Pasteque(decouvert sur Esperia). Son clan a une spécialité culinaire a base de chaire de tatou tronqué, grillée. C'est le plat préféré d'Amar.
  • Loisirs: Jeux de sociétés (Djo'Bazi, Amar se débrouille bien a ce jeu)
  • Musique: son oncle paternel, le Rais, jouaient régulièrement du Charango.

Il aprecie les danses, meme si il n'aime pas trop danser lui meme.

Histoire

RolePlay :


Desert de Dione

Je suis né dans un clan de nomades, toute mon enfance n'a été que déplacements permanents. La chaleur du désert est pour moi normale. Dans ma famille, nous sommes verriers, et nous sommes ce qui a fait, en partie, la renommée du clan, "La Lampe des nuits". Un petit clan en fait. Il est né de la réunion de la famille de mon père et de celle de ma mère. Ils n'ont donné qu'un fils, moi. Mon clan comportait 10 personnes : Mes deux grands pères. L'un verrier, l'autre Chabbod. Mon oncle maternel (le Rais) et sa femme( Leurs fille est morte à l'age de 6 ans et nous étions très proches). Il y a aussi ma tante maternelle et son mari, mon oncle paternel (le Telesmbod) et, mon père et ma mère. Le clan "La Lampe des nuits"

Je me souviens très bien, la nuit, le contraste entre l'air glacé du désert et la chaleur du four a verre de mon père. Il en sortait de magnifiques vases et flasques... Moi, j'aimais le regarder, sortir le verre chaud, le former.
Une gravure du pere d'Amar

J'était aussi fasciné par l'arme de mon grand père. Une cimeterre magnifique. Le jour, pendant la marche, il me parlait des exploits de nos ancêtres Qadjaride et il me promettais toujours que quand je serait devenu un grand guerrier comme lui, il me la remettrait. Le jour de mes huit ans, on me fit passer l'examen de passage à l'age adulte, que je réussit avec succès. On me tatoua le signe de mon clan sur l'avant bras gauche. Etant le seul héritier du clan, une grande dispute éclata au sujet de mon avenir et de l'enseignement que j'allait suivre. Mon père voulait que je devienne verrier et mon grand père voulait m'apprendre l'art du combat. Mes deux passions confrontés. Le Rais décida finalement, pour l'avenir économique de la caravane, que j'allait devenir verrier comme mon père et mon grand père. Je n'ai pas assisté a la réunion, mais le lendemain, mon père avait le menton entaillé, et mon grand père ne me parla plus des exploit guerriers de nos ancêtres.

Chaque jours, mon père et mon grand-père m'apprirent tout ce qu'ils savaient de leurs métier. Mon grand-père Chabbod, lui, m’entraînait quand j'avais du temps libre a la cimeterre, et je ne restait jamais sans rien faire. Et cela, pendant 10 ans, au rythme des marches dans le désert, des escales dans les villes et les oasis, et des repas la nuit autours du feu.

C'était la maladie du désert. Celle qui a tué ma cousine et qui était revenue pour ma famille. Presque tout le monde était touché et j'était le seul à pouvoir encore souffler le verre. Mes créations ne valaient largement pas celles de mon père ou de mon grand père, mais c'était mieux que rien. Car il me fallait de l'argent, rapidement. Il fallait trouver un traitement pour ma famille, et il était cher. Après maints efforts, nous étions arrivés a Haizeberoa. Nous avions décidés que ceux de ma famille encore valide resteraient auprès des malades pendant que j'irais seul a la ville tenter de vendre ma cargaison de verreries a la sauvette. Je traînais d'abord dans le centre-ville, mais les Carrogians me chassèrent et j'erra, dans les rues étouffantes des quartiers mal famés de la ville. Peut de monde étaient dans la rue, et ceux que interpellait m'ignorèrent ou m'ordonnèrent sèchement de les laisser tranquilles. Les yeux abîmés par la poussière, je ne le distingua pas tout de suite nettement. C'était un homme vêtu d'une longue veste en tissu brune et de grosses bottes en cuir sombre. Sa figure m’inspira tout de suite confiance. Malheureusement. Il était jeune, environ la trentaine, et il avait une certaine prestance. Il avait les yeux gris, un nez fin et un bouc blond et des cheveux courts, tout allait bien ensemble, et, malgré le contexte, on aurais dit un bourgeois, comme j'en ai vu parfois sur les marchés. J’alla vers lui pour lui vendre ma marchandise. Il me regarda puis me demanda comment je m'appelait. Je lui répondit puis je lui montra ma marchandise. Nous discutâmes puis il fut convenus, comme par un coup de chance, qu'il m’achèterais tout, et que je devais le livrer a sa caravane un peu plus tard.

A sa caravane, regroupement de chariots partants vers la route du sud, je le retrouvais. Il était cette fois ci, accompagné de ses hommes, robustes personnages bâtis comme des montagnes.

Il me salua puis me demanda de ranger ma marchandise dans un chariot qu'il me montra et qu'il paierait quand tout y serait.
Behrad, le Rais de la lampe des nuits

J'en était à la moité quand je sentis de puissantes mains me prendre et me jeter dans le chariot! Je me cognas la tête contre le bois du sol, puis, je me rendis compte que j'était prisonnier! Ils avaient fermés les portes et verrouillé le tout! je les entendis parler, avec ce que je n'avais pas reconnu, un accent Carrogien! Ma colère était immense, ce qui n'arrive pas souvent.

Je criait, tapais contre les cloisons, mais en vain... Quelques minutes plus tard, ou quelques heures (le notion du temps est perdu dans ce chariot sombre et malodorant) je sentis que l'on démarrait. Je venais a ce moment, de comprendre, que j'avais été trompé, et que l'on ne me parierait jamais. Que ma famille était condamnée.

Par les jours qui suivirent, on me donna régulièrement à manger et a boire, mais jamais on ne me laissa sortir. Ma vie était dénué de sens, j'était seul, et je ne savais pas vraiment ce qui allait se passer. Dans l'obscure chariot, je priais, c'est tout ce qu'il me restais.

A l'arrivé, on me fit sortir. Je n'avais pas la force de m'échapper, même si j'en avais profondément envie. On me mis des chaines puis on me fit rejoindre un groupe de prisonniers, comme moi. Après nous avoir pris nos objets personnels, on nous embarqua dans, ce qu'ils appelaient un navire. Je n'en avais jamais vu, mais dans ses histoires, mon grand père ( du coté de ma mère) m'en avait parlé. Et la mer. Des étendues d'eau a perte de vue...

Amar sur esperia

  • Acheté 70eo par les Qadjarides
  • commence a travailler comme verrier, son atelier est au sans fond, et il vend ses produits a l'ancien comptoir qadjaride.
  • maladie d'Amar, il est cloué au lit pendant plus ou moins un mois
  • va mieux et reprend son travail de verrier
  • 17/07 : Expedition au météore
  • 05/08 : Départ pour la Dione dans l'espoir de revoir son clan.