Utilisateur:Dadou38 : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
(m)
Ligne 85 : Ligne 85 :
 
==A la capitale==
 
==A la capitale==
  
 +
À son arrivée, en toute confiance, il se rendit dans la première taverne qu'il vit, et entra.
 +
Il demanda un plat, assurant qu'il pouvait payer. Le tavernier le crût, voyant ses poches bombées.
 +
Au moment de payer, tout simplement, il sortit de sa poche quelques doses de poudre, en demandant "c'est combien?". Le tavernier se dit que c'est une blague et lui répond "4 unités". Le gamin dépose sous les yeux ébahis du tavernier 4 doses de poudre rouge sur la table.
 +
Le tavernier trouve que le gamin dépasse les bornes, et commence à le rudoyer : "Oh les blagues c'est fini maintenant faut payer, c'est 4 pièces d'or! Comment tu t'appelles?" Le gamin ne comprend pas, insiste, ne peut pas dire son nom, il ne le connaît pas.
  
 +
Là, le tavernier entre dans une colère noire, lui colle une gifle monumentale qui rend le gamin amorphe. Il demande alors à ses employés de lui faire les poches pour payer et de lui donner une leçon pour qu'il comprenne qu'on ne se moque pas de cette taverne.
 +
Les employés le fouillent, ne trouvent que cette poudre rouge, commencent à prendre peur de ce que dira le patron à leur retour. Ils décident de payer à la place du gamin mais se défoulent allègrement sur lui pour lui faire payer physiquement ce qu'il n'a pas pu matériellement.
 +
 +
Quelques minutes plus tard, le gamin se réveille dans la ruelle derrière, de la poudre rouge étalée sur ses blessures. Terrorisé, il fuit la ville et se réfugie dans la campagne environnante. Il ne prend pas la peine de nettoyer ses blessures, qui cicatrisent avec la poudre rouge dans la peau.
 +
 +
Par la suite, il ne se rend qu'occasionnellement en ville, n'y allant que pour chercher des matériaux indispensables et introuvables par chapardage dans une ferme. Car bien entendu, il continue d'étudier et utiliser les multiples possibilités de cette si belle poudre. À force de ne parler à personne, et de vivre uniquement autour de cette poudre, il en vient à croire que c'est la seule chose précieuse au monde.
 +
En effet, dans les fermes, il trouve toujours quelques pièces d'or cachées dans les coffres ou les matelas, mais très rarement de la poudre, souvent bien mieux cachée, dans des malles au fond de grenier poussiéreux et difficile d'accès. Sa vision du monde se modifie peu à peu pour correspondre à ses croyances propres.
  
 
==Sur la route vers Esperia==
 
==Sur la route vers Esperia==

Version du 2 mars 2012 à 19:22


     inconnu
Informations RP
Nom
Année de naissance
Rang
Veuillez indiquer le rang


Famille


Quartier




Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
DaDou38
Pseudo
Dadou
Prénom IRL
Clément
Âge IRL
25 ans
Rôle







Résumé du Joueur

HRP

Pseudo minecraft.net : DaDou38

Prénom IRL : Clément

Age : 25 ans

Inscription à Esperia : novembre 2011

Rôle : Développeur (Java)

Personnage

Nom : inconnu

Alias : dadou, Ermite, Bonhomme rouge, ...

Famille : Tarkhane

Quartier : Rivelame

Caractéristiques

Talents

Il a un très bon esprit logique, ce qui le rend particulièrement fort pour l'utilisation de la poudre rouge ou pour les calculs.

Défauts

Il est particulièrement timide voire même craintif. En fait on peut même le qualifier de totalement asocial. Il évite tout contact avec les autres à moins que cela lui soit indispensable. Et même dans ces cas là, il réduit les dialogues au minimum requis. Les notions de politesse, rangs sociaux et autres lui sont totalement inconnues, il n'y voit pas le moindre intérêt. Il a une phobie tout particulièrement prononcée envers les femmes. Quel que soit le contexte il n'acceptera jamais de s’approcher de l'une d'elle, et encore moins de lui parler. En plus de tout cela il est dépendent à la poudre rouge. Cette dernière lui permet de prendre suffisamment de courage pour pouvoir, s'il y est obligé, interagir avec une autre personne.

Physique

Son corps est recouvert de traces rouges, beaucoup prennent ces taches pour des croûtes ensanglantées mais il n'en est rien. En réalité elles sont le résultat de sa grande consommation de poudre rouge.

Histoire

Son enfance

Sur l'île de Lig Ocolide, le petit Jean était le fils d'un couple de simples écumeurs, sa mère travaillant sur les docks dans un petit trafic de marchandise sans grand intérêt et son père comme matelot, toujours au même poste bien qu'il soit sur ce navire depuis plus de 10 ans. Il ne comprenait pas l'intérêt de ces parents pour cet argent vite gagné mais encore plus vite dépenser, et jamais disponible en quantité suffisante. Au début, il les avait accompagnés au port, mais très vite lassé par les minables marchandages de sa mère, il avait commencé à observer les très gros navires présents au port.

Sa mère n'appréciait vraiment pas ses escapades et le battait à chaque retour, l'humiliant même en public à la moindre occasion. Elle lui avait donné un nom, mais ne l'appelait jamais avec. Elle n'était même pas sur de s'en souvenir, et utilisait donc toujours des "gamin", "sale mioche", "moutard" voir plus simplement "hey toi". En bref, son fils ne l'intéressait que s'il pouvait l'aider à gagner plus de pièces dans ses marchandages. Alors que lui, il voulait gagner gros, quitte à se fatiguer, pour être tranquille. Au retour d'une de ses escapades, par vengeance, elle décida de le faire marcher cul nu tout le chemin du retour, avec "botter moi le cul" écrit dans le dos. De ce jour, il se mit à la détester du plus profond de son être. Et en grandissant, il voyait dans chaque femme aussi aimable soit elle, un reflet de sa mère.

De ce jour, à chaque fois qu'elle partait, il partait aussi mais quelques minutes après. Il observa un jour un homme fabriquer une boussole. Il trouva cet objet assez amusant et intéressant. Il lui demanda donc comment c'était fait. L'homme n'avait pas envie de s'encombrer d'un gamin trop jeune pour naviguer, par jeu, il lui donna des matériaux de trop mauvaise qualité pour une boussole de haute mer et le mit au défi d'en faire une. Le lendemain matin, le jeune homme ramenait une boussole d'un montage parfait et fonctionnel, malgré la piètre qualité des matériaux. L'homme se dit que malgré tout le blanc bec pourrait peut être servir, et l'autorisa à rester à la boutique en tant que main d’œuvre pas cher, sans négociation possible.

Un jour, quelques temps plus tard, un important butin fut ramené à Lig Ocolide. De l'or, des joyaux, des métaux, des bois précieux, et une caisse d'une étrange poudre rouge que personne ne connaissait sur l'île. Le capitaine vint demander à l'artisan de nouveaux équipements de navigations, promettant de payer rubis sur l'ongle. Il offrait même la caisse de poudre. L'homme n'ayant rien à faire de celle ci la refila au gamin, ça lui évitait de le payer pour de vrai. Le gamin crut donc que cette poudre avait beaucoup de valeur. Surtout que durant la nuit, après quelques essais, il obtint des résultats très mais vraiment très intéressants avec elle.

Le lendemain, tout joyeux, il voulut aller raconter sa découverte à son patron, mais le trouvât saoul comme une barrique, ayant perdu tout son argent de la veille en alcool et jeu. Il ne comprenait pas : il avait eu de la poudre, il avait réussi à en faire des choses fort sympathiques et potentiellement rentables, alors que lui, il avait bu et jouer son argent si précieux, récoltant mal de tête et n'ayant plus rien d'autre. Il se dit que vraiment la poudre rouge était bien plus intéressante que l'or.

Il tenta de présenter ses trouvailles à de nombreuses personnes mais la réponse était toujours la même : "en quoi ça m'aide à naviguer tes bidules?". Un esclave qui partait pour la maison du gouverneur entendit la conversation et lui glissa "Je viens de la capitale, la-bas, la poudre rouge est courante, tout le monde s'en sert." Il était prisonnier, mais ce gamin pouvait le croire et partir pour le bourbier de malfrats de la capitale. C'était une petite vengeance, mais une vengeance quand même. Comme l'esclave l'avait prévu, le gamin le crût, et s'arrangea pour payer un aller avec ses maigres économies, se disant qu'avec de la poudre rouge plein les poches, il aurait vite de quoi manger.

A la capitale

À son arrivée, en toute confiance, il se rendit dans la première taverne qu'il vit, et entra. Il demanda un plat, assurant qu'il pouvait payer. Le tavernier le crût, voyant ses poches bombées. Au moment de payer, tout simplement, il sortit de sa poche quelques doses de poudre, en demandant "c'est combien?". Le tavernier se dit que c'est une blague et lui répond "4 unités". Le gamin dépose sous les yeux ébahis du tavernier 4 doses de poudre rouge sur la table. Le tavernier trouve que le gamin dépasse les bornes, et commence à le rudoyer : "Oh les blagues c'est fini maintenant faut payer, c'est 4 pièces d'or! Comment tu t'appelles?" Le gamin ne comprend pas, insiste, ne peut pas dire son nom, il ne le connaît pas.

Là, le tavernier entre dans une colère noire, lui colle une gifle monumentale qui rend le gamin amorphe. Il demande alors à ses employés de lui faire les poches pour payer et de lui donner une leçon pour qu'il comprenne qu'on ne se moque pas de cette taverne. Les employés le fouillent, ne trouvent que cette poudre rouge, commencent à prendre peur de ce que dira le patron à leur retour. Ils décident de payer à la place du gamin mais se défoulent allègrement sur lui pour lui faire payer physiquement ce qu'il n'a pas pu matériellement.

Quelques minutes plus tard, le gamin se réveille dans la ruelle derrière, de la poudre rouge étalée sur ses blessures. Terrorisé, il fuit la ville et se réfugie dans la campagne environnante. Il ne prend pas la peine de nettoyer ses blessures, qui cicatrisent avec la poudre rouge dans la peau.

Par la suite, il ne se rend qu'occasionnellement en ville, n'y allant que pour chercher des matériaux indispensables et introuvables par chapardage dans une ferme. Car bien entendu, il continue d'étudier et utiliser les multiples possibilités de cette si belle poudre. À force de ne parler à personne, et de vivre uniquement autour de cette poudre, il en vient à croire que c'est la seule chose précieuse au monde. En effet, dans les fermes, il trouve toujours quelques pièces d'or cachées dans les coffres ou les matelas, mais très rarement de la poudre, souvent bien mieux cachée, dans des malles au fond de grenier poussiéreux et difficile d'accès. Sa vision du monde se modifie peu à peu pour correspondre à ses croyances propres.

Sur la route vers Esperia

Esperia