Utilisateur:Izaac

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Compléments





Fonction
Fossoyeur



Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Getwick
Pseudo
Petrolette
Prénom IRL
Romain
Âge IRL
18












Description

Nom : Son nom est inconnu.

Prénom : Izaac.

Age : 31 ans.

Taille : 1m75.

Mentalité

Izaac est un grand très grand joueur, il a toujours eu de l’attirance envers les femmes de Lig mais après ce qui lui est arrivé dans son passée, il garde cependant une certaine méfiance avec les personnes qu’il côtoie. Il peut paraître normal, une personne sympathique, gentil, qui ne vous poignardera pas dans votre dos mais en réalité il vous écoutera pour mieux vous connaître et savoir vos fréquentations. A force de piller les morts ou des maisons, Izaac a un caractère assez différent des autres, il lui arrive parfois de parler tout seul ou même de parler avec les morts ou jouer avec eux. Il trouvera toujours quelque chose à faire au lieu de rester planter à rien faire.

Physique

Izaac est un homme âgé de la trentaine, 31 ans pour être exact et il fait un mètre soixante-quinze. Il possède des yeux bleus, des cheveux bruns mi longs. C’est un homme avec une carrure en V avec une musculature assez bien développé étant tailleur de pierre hormis qu’il est fossoyeur, il reste avec un atout qui lui sera bien utile le jour ou cela se montrera nécessaire. Avec son histoire, Izaac reste avec un visage froid, sombre, difficile pour lui de redonner sa confiance a qui que ce soi, il a aussi une barbe qui pour lui est ce qui fait un homme, il y tient beaucoup, l’entretient tous les jours et il ne sera pas prêt de la perdre. C’est un homme plutôt fière de lui, un beau visage, entretient son corps mais il restera toujours une marque de coup de fouet bien voyante et grande dans son dos, elle marquera son passée et ne pourra être oubliée.

Qualités

Déterminé, curieux, dynamique, opiniâtre, perfectionniste.

Défauts

Méfiant, curieux, naïf, obstiné.

Compétences

Outillage, Force/Sculpture, Crochetage, Combat.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Mon Histoire:

Izaac, Izaac, voilà comment je m’appelle. Ce nom m’a été donné par mon père, lui seul à eu cette idée de m'appeler ainsi. Un père qui m’aimait beaucoup, j’étais tout pour lui, il n’a jamais voulu me laisser dans la merde et a toujours tout fait pour m’aider jusqu’à l’âge de mes six ans. A sa mort, qui m’a bien attristé … J’avais tout perdu, tout. J’avais plus rien et vous croyez qu’il reste ma mère mais vous voulez que je vous dise quoi réellement ? A part qu’elle est morte, elle aussi, oui ,dès ma naissance, je n’ai jamais connu ma mère, comment elle pouvait être, son caractère mentale, rien.. Mon père me la décrivait physiquement, qu’elle était jolie, brune, que j’avais ses yeux bleus… J’aurai bien aimé la connaître mais Arbitrio ne l’a pas voulu. Mon père m’a éduqué pour être un bon écumeur, peut-être un capitaine d’un navire mais tout ceci ne fût qu’un rêve. Il m’apprit tout de même à lire et à écrire pour que je puisse lui envoyer des lettres quand je partirai naviguer sur un joli navire, mon rêve de jeune garçon. Il m’apprit aussi son métier qui est tailleur de pierre, pas très utile pour aller naviguer mais néanmoins j’aurai un métier possible si ce rêve est impossible. Il était un bon tailleur de pierre et il envisageait de sculpter ma mère en marbre pour qu’au moins je puisse voir à quoi elle ressemblait auparavant et finit de l’imaginer dans ma tête mais cette sculpture n’a pas été achevé voir commencé car mon paternel est mort par une crise cardiaque à mes six ans, six ans après la mort de ma mère … Que pouvais-je bien faire à l’âge de six ans ? Bah… J’essayais de faire de mon possible. Heureusement que mes amis étaient la pour me conseiller des choses à faire mais quelles choses ? Des choses que je n’imaginais pas faire mais qu’au final … J’ai volé des personnes, des maisons, des navires, tout ce qui pouvais me rapporter de l’argent et même le pire de tous c’était de profaner les morts. Pourquoi ? Parce que je n’étais qu’un gamin de six ans, je pouvais rien faire comme métier, rien donc j’ai trouvé une autre voie qui était pas forcément la meilleure mais elle fonctionnait. Bref, tout cela sous l’influence de mes amis mais un d’entre eux ma particulièrement bien plus, il se nommait, il se nomme car il est pas mort enfin je l’espère, Séverin, une andouille de bûcheron mais un bon ami qui se rendait utile si nécessaire. Un bon gars. Nous nous sommes rencontrés sur un navire, le moment de passage pour un enfant à devenir un homme selon la tradition des Ocolidiens. On se tapait plus les corvées du navire mais bon cela m’a permis de faire la connaissance de Séverin qui pour moi était comme mon frère, ma seul famille restante. Nous étions les plus jeunes du navire et on travaillait souvent sur le pont, pour cela que nous nous sommes vite liés d’une amitié au départ mais qui après n’a fait que se développé. Plus le temps défile et plus nous grandissons et on commençait à se demander quel était réellement notre but et il se savère qu’on avait le même c’est-à-dire de pouvoir former notre équipage et notre propre navire, on avait tout pour mais forcément il fallait tout de même payer l’architecte, l’artisan du bois … Séverin et moi-même, on trouvai chacun notre moyen pour se financer le navire. Moi qui est le tailleur de pierre mais aussi un bon voleur qui crochète les maisons, les navires et les morts avant qu’ils partent à la mer. Séverin connaissait un artisan du bois pour aider le travail requis pour le navire. Il a tout aussi disparu de tout Lig Ocolide, je ne sais pas du tout ou il se trouve, j’ai donc perdu mon ami, ma deuxième famille. J’ai abandonné le projet du navire e j’ai gaspillé le reste de ce que j’avais dans le rhum et les bordels avec qui auparavant je faisait la compétition avec Séverin pour savoir qui aura le plus de femme mais tout ceci est fini et j’espère retrouver ces moments. Je vous ai raconté mon passé car je n’ai rien d’autre à faire que penser à quelque chose pendant qu’une femme me donne des coups de fouet dans une taverne assez connu dans tout Lig avec mes amis.


L’humiliation:

Le Forban Aveugle, c’est quoi ? C’est une taverne assez bien réputée pour les femmes qui s’y trouvent, la qualité du rhum et bien sûr l’ambiance qui peut avoir. Séverin, mon ami… Mon ami ? Pitoyable comme mot, c’était mon frère, voilà un mot qui définirai l’importance qu’il a pour moi mais maintenant je dois vivre sans lui. Bref, cette taverne qui se trouve sur l’île principale de Lig Ocolide ou tout le monde venait prendre sa petite bouteille pour se remplir le gosier. On pouvait tout trouver dans cette bâtisse, des capitaines, des Nantis, de simples écumeurs, tout l’équipage quoi et même des Qadjarides … Enfin, moi et mes amis étions à l’étage de ce bâtiment. -“Izaac ! T’nous l’ramène s’te b’teille d’rhum ?!” me dit-il, Kasar, l’artisan du bois avec qui on travaillait pour faire notre navire et celui qui m’a raconté que Séverin avait disparu de la circulation depuis un moment, qu’il avait donné aucun signe de vie. Séverin avait beaucoup de commande mais bon … On ne disparaît pas comme ça, je me demande s’il lui est pas arrivé un truc. Et si je continue de raconter mon moment passé à la taverne ? -”Une seule ?! T’fous d’moi, poh p’ssible là…” “T’en f’drai au minimum deux ou trouas.” je lui répondis. Cette taverne faisait un boucan pas possible, on pouvait s’entendre mais fallait crier comme des chiens pour y arriver et encore … Il y avait pas de chicane pour donner plus d’ambiance. Le tavernier me ramène mes quatre bouteilles, oui, j’en ai pris une de plus… Nous étions quatre, c’est-à-dire une bouteille chacun. Avant de rejoindre le reste du groupe à l’étage, je vis une femme, une belle femme. Elle devait avoir la vingtaine d’année et moi je me tapais la trentaine mais en s’en fout en réalité, non ? Je me suis pas tout de suite attiré vers elle pour l’aborder mais je l’ai tout de même regarder ce beau morceau de viande de haut en bas jusqu’à voir son magnifique regard. Je me demandais si elle essayait pas d’attirer de plus en plus mon attention pour que je vienne. Pas pour le moment pour ma part, je préfère me fendre la gueule avant de commencer mes oeuvres. Vous croyez que je vais rejoindre mon groupe là ? Bien sûr que non, cette taverne est très réputée et on tombe toujours sur les personnes qu’on veut surtout pas voir… Un capitaine, ce putain de capitaine qui m’a fait travailler comme un chien sur son navire, ce vieux marin d’eau douce qui m’a fait passer en homme selon la tradition. Il me voit et me dit d’un ton amusé : -”Tiens tiens mais qu’vois je en’s’bonne soirée ?” “Mon p’tit écumeur, Izaac.” “Il est poh ‘vec toi s’t’andouille d’Séverin ?” -“D’mmage pour vous mais vous n’verez plus ensemble p’dant un mohment” -”C’bien dommage, en ‘ffet mais j’ai une surprise p’toi” Je réponds pas à sa phrase, j’avais nullement envie de savoir qu’est-ce qui me préparer pour finir sa soirée en beauté donc je rejoins mon groupe ou ils étaient tous déprimés de pas avoir leurs bouteilles. -”P’tain ‘Zaac, t’en a mis d’temps !” -”Zack ? J’m’appelle I-Zaac vieux crétin et tiens, prend ta sal’pe d’b’teille” Je donne la bouteille à chacun d’entre nous, quatre bouteilles, quatre personnes. On retire le bouchon de notre bouteille et la fête commence. On parle de tout et de rien pour prendre le temps de savourer le rhum et après ? On fait quoi ? Bah … Tout le petit groupe va dans son petit coin pour se choper une femme bien entendu mais tenez vous encore à carreau car la suite risque d’être exceptionnelle… Tout d’abord, pour ma part, je reste assis à la table pour admirer un peu les alentours avec la tête dans le cul. Je vois chaque membre de mon groupe, chacun avait trouvé sa compagne de chambre pour la nuit mais parfois c’était dur pour certain. Par exemple, Kasar, notre artisan qui s’est mangé une torgnole au visage, je peux vous assurer que ça fait mal mais c’est marrant à voir. Bref, pour moi, je revois cette femme, oui, celle là, celle qui avait même pas la trentaine, ce beau morceau de viande, vous vous rappelez ? Et bah, la revoilà et elle me lâche pas d’une seconde. Elle rejoint ma table toute souriante et assez bien dragueuse. Je n’en demandais pas moins mais le seul truc et que j’avais vraiment la tête ailleurs avec cette bouteille. On parle, on parle pour commencer à faire connaissance, j’aime bien savoir comment sont les femmes avant de … Vous voyez ce que je m'apprêtais à vous dire. Je la regarde bien aussi, j’admire, une brune aux yeux bleus comme moi, une poitrine correcte, mince avec une ceinture étrange ou je reste bloqué deux secondes dessus mais je continue à la suite ou j’ai pas besoin de vous décrire. Elle se lève et vient s’asseoir sur mes genoux tout sourire, je disais pas non. J’ai la chance d’utiliser un de mes cinq sens, le toucher. Je touche à tout, à tout jusqu’à ce que je me rende compte qu’elle porte un fouet dans le dos, un fouet mais pourquoi ? Cette femme était la surprise du capitaine, il a payé cette putain pour m’humilier devant tout le monde, comment elle le fait ? Bah, c’est simple, le fouet sert qu’à une chose c’est-à-dire me fouetter. Putain, je suis trop faible, aucune force, rien à part être comme un mort sur la table en train de se faire défoncer le dos. Je sens aucune douleur, c’est pour quoi je vous raconte ce qui s’est passé avant que je suis ici, il fallait que je passe le temps. Les autres passèrent leurs temps en se foutent de mon cas, mes amis sont à l’étage à faire joujou avec leurs compagnes et moi, je pisse le sang. Mon dos prend un sale coup, une longue cicatrice restera gravée pour ce moment. Le capitaine rie mais il rie comme si il en crevait, on dirait qu’il s’étouffe avec sa vieille catin à coté de lui… Putain, il prend son pied celui là. Bref, ma soirée est génial, vous ne trouvez pas ?


Un vole qui tourne mal:

Tout d’abord, après la magnifique soirée que je viens d’avoir, je subis. Je sens la douleur que j’ai esquivé la nuit dernière. J’étais en train de chialer comme une fillette dans une ruelle qui pue la mort, heureusement pour moi, elle m’en a pas donné plus sinon je pense pas pouvoir vous raconter mon histoire. J’ai besoin de quelques jours de repos et de reprendre goût à la vie donc pour dire qu’il y a pas qu’une seule taverne ici et les femmes prêtent à tout, il y en a à tous les coins de rue mais je vous avoue que je suis très méfiant. Bon, je vous laisse, je vais profiter de mon repos. A plus tard. [...] Me revoilà, comme neuf et je reprends le travail mais avant tout, j’ai des petites choses à régler. Je veux dire par là que je vais pas me laisser faire par ce capitaine et je compte bien le voler, lui ruiner son navire et pour cela, il me faut une bonne tenue, une tenue digne d’un haut rang de Lig pour se faufiler sur ce vaisseau de merde que je connais magnifique bien vu que j’ai travailler sur celui-ci pendant un an. Bref, me faut une tenue pour ne point être dérangé. Je ne vais pas vous raconter comment j’ai eu la tenue car sinon demain, je suis encore là avec vous. Ce connard de marin n’est pas présent sur son navire, ce qui me réjouie parce que cela veut dire que la cabine est vide, personne, pas un seul être vivant dans cette pièce. Donc, je monte à bord, je fais semblant de rien, svelte avec des manières de haut rang, ce qui me réussi pas trop mais ça passe doucement et l’équipage ne fait pas trop attention. Ils se préoccupent plus de nettoyer le pont, je vous jure, je les plains. Je continue, direction la cabine, un endroit confortable apparemment … Je trouve tout, des objets de valeur, des papiers, des plans, plein de babioles inutiles aussi et un papier avec la signature d’un Nanti disant que ce navire part tout droit pour Caroggia pour y vendre les esclaves qui se trouvent dans la cale. Vous croyez que c’est pas important ? Mais en réalité ça l’est. Pourquoi ? Car ce rafiot vient tout juste de partir du quai avec moi à l'intérieur, c’est-à-dire je suis dans la merde. La seule chose que je puisse encore faire est de fuir mais part ou ? La fenêtre ? Non, je suis pas agile, je n’ai pas acquis cette compétence, c’est dommage d’ailleurs. Donc, il me reste la porte si j’ai bien compris ? Avant même d’arrivée à la porte, je tombe sur ce marin d’eau douce qui a tout de suite le sourire en voyant une présence sur son vaisseau. Je suis un con, je me retrouve dans une sale situation. Pourquoi m’avoir laissé faire cette connerie ? Vous savez pas me dire que c’est une mauvais idée, non ? Bah non … Forcément, quand on peut voir un homme se faire détruire, c’est sûr, c’est plus rigolos que l’entendre dire de la merde. Je dois être fou, pourquoi ? Parce que je parle tout seul en réalité, je parle à moi-même et le pire c’est que quand je parle tout seul, cela libère ma conscience, je me sens mieux et … Je vais continuer à parler tout seul. Nous reprenons là ou nous étions, je crois que j’étais sur le point de me faire défoncer. Je disais, ah oui, le capitaine souriant de me voir dans son rafiot. Il me dit : -”Que fais-tu ‘ci, s’mon bâteau et j’tais j’mais vu dans l’équipage” Il me regarde de haut en bas pour bien voir à quoi je ressemble et là se fût la surprise pour lui. “Izaac ? Uhhh… L’soirée d’hier t’poh suffit ?” Je réponds pas, je préfère garder ma salive pour vous racontez mon histoire, si je suis encore en vie d’ici là. “T’crois poh t’es dans l’merde là ‘vec s’t’accoutrement, il te r’ssemble tiens”. Il se retourne et appelle ses camarades pour me foutre dans la cale ou il y a tous les esclaves, il y a au moins dix esclaves sur ce bateau avec moi, cela fait que nous sommes onze prêts à être vendu. Ma prochaine direction est Caroggia, Iona pour être plus exacte. Le voyage fût très long pour y arriver mais ce n’est pas fini de vivre comma ça. Une fois vendu à Iona, je repris la route pour Fort lointain, je ne connais pas du tout ce fort mais bon, au moins je vogue sur la mer, j’ai un équipage, lequel ? Les esclaves enfin si je peux appeler ça un équipage. Les conditions de vie sont pitoyables, beaucoup d’entre nous sont morts durant le trajet jusqu’à Fort lointain, ça pue la mort mais on s’y habitue vite, croyez moi. Arrivée à Fort lointain, c’est la rencontre d’une femme, Gwylonna je crois … Capitaine de navire apparemment, une femme qui commande ? J’ai jamais vu ça auparavant et c’est pas moi qui resterai d’être sous ses ordres mais il faut tout de même que je me fasse petit sinon je suis dans le pétrin, ça changera pas de mon habitude vous me direz. Bref, elle raconte que nous allons tout droit pour Esperia. Esperia ? Mais c’est quoi ce nom ? Personne que je connais depuis ma naissance en a parlé de cette, cette quoi exactement ? … Je sais même pas ce que c’est. Il y a quoi là-bas ?