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{{Fiche Personnage
 
{{Fiche Personnage
|Nom= Boubek
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|Nom= d'Hersatz
|Prénom= Yahn
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|Prénom= Boubek
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|LoginMinecraft= MrBoubek
 
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|Nom_IRL= Yanis
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|Divers= Grumpf !
 
|Divers= Grumpf !
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'''Ancien personnage d'Esperia, histoire en court réécriture.
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=Caractéristiques=
 
=Caractéristiques=
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==Description==
 
==Description==
Yahn Boubek est un homme d'une trentaine d'années; on peut le reconnaitre grâce à ses cheveux noirs et son nez cassé. Cependant il ne fait pas très peur, surement à cause de sa finesse et sa musculature relativement discrète. Depuis sa naissance celui-ci vit dans un petit hameau près de la Capitale au bord de l'Auscre. Fils de très modestes fermiers, Yhan vit au jour le jour. Il ne sait pas lire, ni écrire. Cependant il sait faire des calculs simples à force de compter les moutons de ses parents. Depuis la mort de ses parents, Yahn a revendu la ferme familiale et s'est tourné vers une vie solitaire de chasseur. La seule chose qu'il lui reste des habitudes de son enfance, c'est la religion. En effet, Yahn est un fervent croyant en l'Arbitrio et l'invoquera dans chacun de ses gestes. Cependant la solitude a fait de lui un être relativement distant et particulièrement intolérant et peu ouvert d'esprit devant l'inconnu et les non-croyants. Claustrophobe est arachnophobe, Yahn préfère les grands espaces exposés au grand soleil aux petites prisons plongées dans l'obscurité: il a peur du noir. De plus il ne sait ni se servir d'une épée, ni d'une hache et encore moins d'un marteau. Cependant notre cher ami, du dès sa plus petite enfance apprendre à se battre, on peut le considérer aujourd'hui comme un expert du combat à mains nues. Il sait aussi tirer à l'arc juste assez pour revendre son butin et manger.
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==Talents==
 
==Talents==
  
  
 
==Défauts==
 
==Défauts==
 
 
  
 
=Histoire=
 
=Histoire=
==Avant Esperia==
 
===Phobie===
 
"Yahn va me chercher des oeufs !"
 
"Oui, maman ! Combien?!"
 
"10, comme tes mains !"
 
"Tout de suite !"
 
 
Yahn avait 8ans, il menait une vie assez paisible dans son petit hameau malgré les modestes moyens de ses parents. Ses journées étaient simples, il se levait le matin, travaillait à la ferme la journée, jouait le soir et dormait la nuit. Et le train-train recommençait chaque jour.
 
 
Le petit garçon se dirigea vers le poulailler… Enfin… La drôle de boite qui abritait les poulets la nuit. Son père l'avait fait au début de l'année. C'était Yahn qui allait toujours chercher les oeufs : il était le seul à pouvoir rentrer dans la boite. Une fois à l'intérieur, le garçon se mit en quête des oeufs cachés sous la paille et les fiantes de poule.
 
 
Soudain un coup de vent souffla, la petite porte de la boite se ferma.
 
 
Yahn se retrouva dans le noir. Mais il n'était pas comme les garçons de son âge, le noir ne lui faisait pas peur. Sur de lui il se dirigea à quatre pattes vers la porte pour la rouvrir. La boite semblait plus petite dans le noir, Yahn sentait comme une petite boule se former dans son ventre. Il accéléra le rythme. La boite était mal faite, vers la sortie le plafond descendait un peu, ce qui forçait le petit garçon à se coucher. Habituellement cela ne le dérangeait pas, mais ce jour là, il ressentit des frissons, la petite boule devenait peu un peu une grosse boule. À quelques centimètres de la porte le garçon écrasât un oeuf par mégarde.
 
 
Le garçon atteignit la porte de la boite. Il la poussa, mais aucun résultat, il réessaya, toujours pas : la porte restait fermée, le garçon était piégé dans la petite boite. Il ne pouvait pas faire demi-tour, le couloir était trop étroit pour se tourner. Le petit garçon appela ses parents. Rien.
 
 
Prit d'une crise de panique, il tapa dans tout les sens et cria comme un forcené. Aucun résultat.
 
Quelques minutes plus tard, une fois calmé, Yahn toujours plongé dans le noir, sentit une chose bouger le long de son dos. Comme une main, une grosse main qui glissait pour monter sur son cou, puis sa tete. Yahn ne bougea plus, il savait ce que c'était. La main descendais sur son épaule. Le garçon était là, coincé dans un petit couloir aussi sombre que de l'encre de poulpe et avait une énorme araignée qui se baladait sur lui.
 
 
La panique revint, le garçon tenta de se débarrasser du monstre et ce qui devait arriver arriva : l'araignée le mordit. Le Garçon hurla de douleur et écrasa l'araignée d'un coup de coude.
 
C'est un cet instant précis que la porte s'ouvrit, que la main de son père l'attrapa et le sortit de son piege.
 
De sa vie, Yahn ne retourna jamais chercher les oeufs.
 
 
===Chasse===
 
 
TCHAK !
 
 
Encore loupé. La flèche s'était plantée dans l'arbre cette fois. Et le lapin s'était encore enfui. Yahn commençait à désespérer.
 
 
Cela faisait plusieurs heures qu'il était parti en chasse, et il venait de rater le 4eme lapin qu'il croisait. Le chasseur soupira et alla récupérer sa fleche. Ce n'était vraiment pas un jour de chance. Yahn se disait qu'il devrait compter un jour de plus sur la générosité du vieux Ahmed, le vieillard du village pour manger. Rien que l'idée de devoir quelque chose à ce cadavre vivant donna la nausée à Yahn : il se remit alors en chasse.
 
 
Le chasseur semblait savoir ce qu'il faisait. Il marchait avec un pas léger et leste, s'arrêtait de temps en temps pour tendre l'oreille ou bien tater le sol. Parfois même, le chasseur grimpait à un arbre et scrutait l'horizon à la recherche de gros gibier. On savait quand Yahn trouvait une piste. Il suffit de regarder ses yeux, ils se mettent à briller d'excitation.
 
 
Et là, ils brillaient. Yahn ne connaissait pas tres bien la faune. Pour lui tout ce qui avait de la fourrure ou des plumes se mangeait. Cependant, il reconnu facilement la trace d'un cochon sauvage : Elles ressemblent beaucoup à celles des cochons que ses parents élevaient.
 
 
Le chasseur entreprit alors de suivre sa piste encore chaude. Le gibier n'était pas loin. Quelques minutes passèrent, Yahn avançait furtivement entre les buissons, la fleche armée prete à être décochée. Il devait se dépêcher, le nuit n'allait pas tarder. L'angoisse d'être piégé en foret la nuit le prit. Mais il s'en défit rapidement, le cochon était tout pres.
 
 
GRUIIIIIIIIK
 
 
Le chasseur leva son arc et décocha. Raté. Le cochon tenta alors de s'enfuir. Le chasseur le prit en poursuite. La course ne dura pas très longtemps, le chasseur, avec ses grandes jambes rattrapa son repas rapidement et lui sauta dessus. Le gibier se débattait. L'homme fit tout son possible pour le neutraliser mais en vain. N'ayant pas le choix, le chasseur saisit alors un caillou et l'abattit à 4 reprises sur le crane du pauvre cochon qui fit un bruit immonde.
 
L'animal ne ressemblait plus à grand chose, Yahn était plein de sang mais il avait gagné sa journée.
 
 
==En route pour Esperia==
 
"Oyé Oyé, le crieur public s'était installé sur les piloris de la place principale. Ceci est un message de notre Roi, la guerre contre le Nord fait toujours rage et nous avons besoin de nombreux soldats pour défendre votre cité ! Que tous les hommes de 15 à 40 printemps se présentent à la caserne du village. Toute personne manquant à son devoir sera considérée comme déserteur et sera exécutée!"
 
Yahn était dans la foule, ni une ni deux, dès que le crieur eut rangé son parchemin, Yahn se fraya un chemin dans la marée de paysans vers sa forêt où se trouvait sa misérable demeure. Pas question de crever la haut, dans ces montagnes froides, c'était du suicide et Yahn le savait bien: un de ses ami s'était volontairement engagé 4 mois plus tôt. Mort le 2e jour… De froid, d'après les soldats venus annoncer la nouvelle à sa famille. Le chasseur prit son arc, un sac de viande séchée et s'enfonça dans la forêt pour essayer d'échapper à son devoir.
 
 
Un matin, après plusieurs semaines de marches Yahn arriva dans une petite bourgade. Il espérait pouvoir trouver un soigneur.
 
 
Trois jours, alors qu'il était en pleine forêt, le chasseur entendit une troupe peu discrète s'approcher. Immédiatement, Yahn se terra derrière un buisson et les laissa passer
 
"Pfeuh, on nous envoie chercher un cadavre, personne ne peut survivre dans cette forêt. Ce gars-là… Boubek… a surement été bouffé par les loups. Maugréa le premier soldat
 
"Ouais bah en attendant, ferme là, je préfère être ici à chercher les déserteurs plutôt que d'être sur le front" répliqua le second.
 
Du sang coulait. En se mettant à couvert, Yahn retenu un cri de douleur : une branche de chêne s'était plantée juste dans son ventre.
 
Les soldats s'approchaient.
 
Yahn avait du mal à rester discret.
 
Ils continuèrent leur chemin, visiblement ils n'avaient rien entendu.
 
Aussitôt, le chasseur déchira sa tunique pour se faire un garrot et se mit en quête d'un soigneur.
 
 
Durant la marche la douleur était insoutenable, l'homme croyait voir la mort derrière chaque branche d'arbre. Chaque soir, à la tombée de la nuit, le chasseur avait l'impression d'entrer en enfer. Sa phobie du noir recommençait. Chaque soir, le chasseur grimpa tant bien que mal de grimper sur un arbre pour pouvoir se reposer en paix.
 
 
La forêt de nuit est plus terrifiante que les dessous d'une grand-mère. Les arbres semblent se transformer en titan de bois, chaque bruit, le vent, les oiseaux, les rongeurs font sursauter les plus courageux. Du moins c'est le cas de Yahn Boubek.
 
 
Chaque soir, à défaut de dormir, Yahn pria. Puis, après trois jours d'errance, le chasseur tomba sur ce petit village. Un village relativement petit, 5 ou 6 petites maisons. Mais ce qui attira l'oeil du chasseur, c'est l'immense villa au centre. Yahn s'y dirigea.
 
 
Il traversa le village en direction de la grande demeure, et ne croisa personne sur le chemin. Une fois aux portes, Yahn frappa. Une minute passa. Il refrappa. Une autre, il refrappa. Personne. Yahn décida donc de rebrousser chemin et de fouiller les chaumières afin de trouver quelque chose qui lui serait utile. Mais il fit à peine 3 pas que la porte du manoir s'ouvrit. Un homme apparu, il semblait âgé, Yahn lui donna 70 ans. Le vieillard semblait avoir vécu de nombreuses choses dans sa vie, son visage était balafré. Il paraissait aussi de haute famille, notamment grâce à son monocle et ses habits de haute couture.
 
Le vieillard parla avec un petit rictus amusé
 
"Bienvenu dans mon petit village étranger, vous semblez bien mal en point."
 
"Oui… Un accident idiot, je ne pense pas tenir encore très longtemps comme ça, c'est pourquoi je suis venu chercher hospitalité dans votre demeure."
 
"Oh… Et, bien ce ne sont pas les chambres qui manquent ici, venez ! Arbitrio, je ne me suis pas présenté, où sont mes bonnes manières ?! Je suis Eruth Boubek, artiste peintre, et ce que vous voyez derrière moi, c'est ma dernière création. Une ville magnifique, MA ville, peut-être irez vous un jour...."
 
  
Yahn entra et vit derrière le vieillard un immense tableau. Combien de mètres de hauteur faisait-il ? 10? 15? Yahn n'avait pas la force de compter, mais même blessé il réussit à admirer le tableau.
 
  
Il représentait une grande ville, à l'arrière on voyait des toits rouges, puis des jaunes comme de la pierre de sable, puis un peu plus sur la droite, des toits gris des vieilles pierre qui semble prête à s'écrouler. Au centre on pouvait voir un immense bâtiment, certainement un grand bâtiment administratif, puis une chapelle ou une église et de nombreux autres bâtiments.
+
Vendredi 25 Avril 514.
 +
Ca-y-est ! La dernière pièce d'or a été dépensé. Me revoilà à la case départ.  Comment en suis-je arrivé là  ? Tout ce que j'ai amassé à Esperia s'est volatilisé. Et j'ai fais quoi pendant ces deux ans, à part m’empiffrer et me taper des putes  ? Rien.
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Comment en suis-je arrivé là  ? A Esperia au début je n'étais qu'un simple clochard. Et j'ai réussi à me faire une place  ! J'ai grimpé tout les échelons. Citoyen, propriétaire d'un magasin, noble, chef de famille, maire d'Adobe, Sénateur, Président du sénat, Consul de la justice  ! Ah  ! Il ne me manquait plus que le poste de gouverneur et cette ville m'appartenait  ! Il a fallu que ça foire  ! Foutu gardes et leur sens de la justice  ! J'ai eu le temps de m'enfuir avec toute la fortune que j'ai amassé.
 +
Et voilà quelques semaines après je me suis retrouvé à la Capitale. Je l'avais quitté en clochard et je la retrouvait en homme riche  ! Quoi de mieux  ! Je me suis alors acheté un grand manoir dans le Quartier des Municon, des serviteurs aux Nobles, des putes aux Débardeurs Rouges, de la bouffe et de l'alcool. Puis temps a passé, le coffre s'est vidé. D'abord ce sont les putes qui sont partie, puis les serviteurs ont suivit. Aujourd'hui, j'ai vendu tout les meubles  : il ne me reste que l'alcool et cette grande maison vide.
 +
Me revoilà à la case départ. Moi, Sir Boubek d'Hersatz, constructeur d'Adobe, je me retrouve guère en meilleur position qu'un mendiant. A croire en une punition de l'Arbitrio  !
  
Yahn vit ce tableau et tomba de fatigue devant celui-ci.
+
Et bien soit  ! Tu veux jouer à ça Arbitrio  ? c'est un test c'est ça  ?! J'ai fais fortune une fois  ! Je suis capable de me refaire  ! Il me suffit juste de retourner à Esperia  ! Je me retaperai chacun des échelons de la société s'il le faut, mais je referai fortune  !
Dans son dernier moment de lucidité, le chasseur pensa
 
"Tiens… On a le même nom. Boef… Boubek est un nom courant dans ces contrées."
 
Il s'endormit.
 
  
À son réveil, Yahn se trouvait dans une toute petite pièce. La première chose qu'il remarqua c'est le bandage sur son ventre, sa blessure ne devrait plus le faire souffrir. Mais vite il remarqua aussi qu'il était dans une petite cellule plongée dans la pénombre. Il se leva vite et tenta d'ouvrir la porte. Fermée. Yahn chercha autre issue, mais en vain, il était coincé dans ce piège à rats. Les murs semblaient alors se rapprocher,Yahn se sentit alors peu à peu écrasé par le mur.
+
"Alors, réveillé ?"
+
Samedi 26 Avril 514.
La voix sortit Yahn de sa crise de claustrophobie.
+
Je me suis renseigné au port. Je n'ai pas l'argent pour la traversé. Le seul moyen de rejoindre Esperia, c'est donc via la vente d'esclave. Je n'ai visiblement pas le choix. Etre esclave n'est pas grand chose comparé à la vie de la rue. Je n'aurai qu'a lécher le cul du péquenaud qui m’achètera et il me libérera. Ca sera peut-être un peu long, mais toujours mieux que la rue de la Capitale.  
"J'espère que tu rapporteras un bon prix, le vieux et bon en affaires tu nous as couté une fortune."
+
Il ne me reste plus qu'a convaincre un marchand de me faire esclave...
"J'ai… été vendu?"
 
La voix ria.
 
"Haha bienvenu à fort Lointain ! Ta nouvelle maison jusqu'à qu'un nouveau maitre veuille bien de toi !"
 

Version du 26 avril 2014 à 21:03


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Nom
Année de naissance
Rang
Veuillez indiquer le rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Informations HRP
Login Minecraft
MrBoubek
Prénom IRL
Yanis
Âge IRL
18ans



Informations Diverses
Grumpf !


Ancien personnage d'Esperia, histoire en court réécriture.

Caractéristiques

Description

Talents

Défauts

Histoire

Vendredi 25 Avril 514. Ca-y-est ! La dernière pièce d'or a été dépensé. Me revoilà à la case départ.  Comment en suis-je arrivé là  ? Tout ce que j'ai amassé à Esperia s'est volatilisé. Et j'ai fais quoi pendant ces deux ans, à part m’empiffrer et me taper des putes  ? Rien. Comment en suis-je arrivé là  ? A Esperia au début je n'étais qu'un simple clochard. Et j'ai réussi à me faire une place  ! J'ai grimpé tout les échelons. Citoyen, propriétaire d'un magasin, noble, chef de famille, maire d'Adobe, Sénateur, Président du sénat, Consul de la justice  ! Ah  ! Il ne me manquait plus que le poste de gouverneur et cette ville m'appartenait  ! Il a fallu que ça foire  ! Foutu gardes et leur sens de la justice  ! J'ai eu le temps de m'enfuir avec toute la fortune que j'ai amassé. Et voilà quelques semaines après je me suis retrouvé à la Capitale. Je l'avais quitté en clochard et je la retrouvait en homme riche  ! Quoi de mieux  ! Je me suis alors acheté un grand manoir dans le Quartier des Municon, des serviteurs aux Nobles, des putes aux Débardeurs Rouges, de la bouffe et de l'alcool. Puis temps a passé, le coffre s'est vidé. D'abord ce sont les putes qui sont partie, puis les serviteurs ont suivit. Aujourd'hui, j'ai vendu tout les meubles  : il ne me reste que l'alcool et cette grande maison vide. Me revoilà à la case départ. Moi, Sir Boubek d'Hersatz, constructeur d'Adobe, je me retrouve guère en meilleur position qu'un mendiant. A croire en une punition de l'Arbitrio  !

Et bien soit  ! Tu veux jouer à ça Arbitrio  ? c'est un test c'est ça  ?! J'ai fais fortune une fois  ! Je suis capable de me refaire  ! Il me suffit juste de retourner à Esperia  ! Je me retaperai chacun des échelons de la société s'il le faut, mais je referai fortune  !


Samedi 26 Avril 514. Je me suis renseigné au port. Je n'ai pas l'argent pour la traversé. Le seul moyen de rejoindre Esperia, c'est donc via la vente d'esclave. Je n'ai visiblement pas le choix. Etre esclave n'est pas grand chose comparé à la vie de la rue. Je n'aurai qu'a lécher le cul du péquenaud qui m’achètera et il me libérera. Ca sera peut-être un peu long, mais toujours mieux que la rue de la Capitale. Il ne me reste plus qu'a convaincre un marchand de me faire esclave...