Utilisateur:Napow : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
 
(16 révisions intermédiaires par 4 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
{{Fiche Personnage
 
{{Fiche Personnage
 
|Image=
 
|Image=
|Nom= Napow Cubiolli
+
|Nom= La Capuche
|Rang = Inconnu
+
|Sexe= Homme
|Famille= Inconnue
+
|Rang=  
|Quartier= Inconnu
+
|Famille=  
|Métier= Inconnu
+
|Quartier=  
|Métier_Affiché= Inconnu
+
|Métier=  
 +
|Métier_Affiché=  
 
|Ville_Origine= La Capitale
 
|Ville_Origine= La Capitale
|Nation_Origine= Caroggia
+
|Région_Origine= Albunae
 +
|Nation_Origine= Royaume Central
 
|LoginMinecraft= Napow
 
|LoginMinecraft= Napow
 
|Age_IRL= 20
 
|Age_IRL= 20
|Divers= A disparu dans des circonstances inconnues. Aperçu pour la dernière fois près de la forêt.
+
|Divers=
 +
|Personnage_Absent = oui
 
}}
 
}}
  
  
=Napow Cubiolli, alias La Capuche=
+
=''La Capuche''=
  
 
==Description==
 
==Description==
  
Son enfance dans une famille aisée de la capitale a fait de lui un être cultivé, sachant parfaitement lire et écrire. Il est croyant, bien que peu pratiquant, et préfère de loin manier les pièces d'or à la plume. On lui a d'ailleurs toujours trouvé un talent inné pour tout ce qui touchait au maniement des chiffres.
+
<blockquote>
Il manie également l'épée, non pas qu'il ai eu besoin de s'en servir dans sa jeunesse, mais il était de bon goût dans les familles aisées de la Capitale de savoir manier l'épée, par tradition.
+
Rares sont ceux qui en connaissent l'existence, plus rares encore ceux qui l'ont déjà vus, et pas un ne pourrait dire qui se cache derrière ce nom. Néanmoins, il pourra vous arriver de croiser un vieillard délirant, une vieille flasque à la main, vous conter la nuit ou il a aperçu le temps d'une seconde une sombre cape disparaitre dans une ruelle, le pommeau d'un fleuret à sa ceinture, étincelant sous la lueur de la lune.
 
+
</blockquote>
Son récent exil dans les montagnes et la forêt entourant Esperia l'a radicalement transformé (traumatisé, diraient certains), il est maintenant encore plus discret qu'il ne l'était, ne parle plus que pour d'extremes nécessités, observe, entend et voit tout. Il a pris l'habitude de se revêtir intégralement de peaux de bête cousues, qui lui assure une agilité suffisante et une relative protection, tout en dissimulant surtout son visage par une large capuche.  
 
 
 
  
 
==Compétences==
 
==Compétences==
  
*'''Alphabétisation et calcul''' : Son éducation est à la hauteur de ses origines, il sait très bien lire, écrire, et excele dans le calcul.
+
*'''Alphabétisation et calcul'''
 +
**''Son éducation est à la hauteur de ses origines, il sait très bien lire, écrire, et excele dans le calcul.''
 
*'''Combat''' :
 
*'''Combat''' :
**'''Maitrise de l'épée''' : Entrainé toute son enfance durant par les plus fin épéistes de la Capitale, sa maitrise de la lame est exemplaire. Il apprécie particulièrement les lames fines, comme le fleuret ou le sabre.
+
**Maitrise de l'épée : ''Entrainé toute son enfance durant par les plus fin épéistes de la Capitale, sa maitrise de la lame est exemplaire. Il apprécie particulièrement les lames fines, comme le fleuret ou le sabre.''
*'''Agilité''' : Son physique élancé mais musclé lui permet une aisance dans ses mouvements, qui complètement parfaitement sa maitrise de la lame.
+
**Esquive : ''Son allure fine, sa bonne condition physique et ses réflexes aiguisés lui permettent d'éviter nombre de coups et de bouger rapidement.''
*'''Survie''' : Son long exil dans la forêt profonde a développé, bien malgré lui, une capacité à survivre et à s'adapter aux situations les plus difficiles.
+
*'''Agilité'''  
 
+
**''Son physique élancé mais musclé lui permet une relative souplesse et aisance dans ses mouvements.''
==Talents==
+
*'''Survie'''  
 
+
**''Son long exil dans la forêt profonde a développé, bien malgré lui, une capacité à survivre et à s'adapter aux situations les plus difficiles.''
==Défauts==
+
*'''Crochetage - Niveau moyen'''
 
+
**''Ses sens exacerbés par son exil lui ont été bien utiles lors de son retour à Esperia, ou il a pu les exploiter pour se frayer un chemin dans tout les recoins de la ville.'
Outre son renfermement depuis son exil, et son silence de marbre, Napow, bien qu'extrêmement agile, n'est pas une montagne de muscles. Il se jouera de la plupart des coups, mais aura beaucoup de mal à encaisser le peu qu'il ne parvient à éviter.
 
 
 
==Intérêts culturels et goûts==
 
 
 
Son enfance aisée dans la Capitale et son ascension dans l'une des famille les plus riches d'Esperia font de lui un homme très cultivé, aimant l'art, la musique, et tout particulièrement la littérature. Il a le goût des bonnes choses, même si, depuis son exil, il sait se contenter des conditions de vie les plus spartiates lorsqu'il n'a pas le choix.
 
 
 
==Amis déclarés==
 
 
 
==Ennemis déclarés==
 
  
 
==Histoire==
 
==Histoire==
  
===Chapitre Premier. Les beaux quartiers de la Capitale.===
+
<blockquote>Après maintes recherches, après avoir écumé toutes les bibliothèques, tout les registres et cahiers de consignes que recèle Esperia, vous vous aperçevez que des pages ont été arrachées, ça et là.
 
+
Impossible de savoir vers qui ces pages disparues renvoyait, mais une chose est sûre, l'existence de cette personne semble s'effacer, lentement, mais aussi sûrement que les pas d'une âme errante sur les dunes du Galdyr.</blockquote>
Le bruit des roues s'enfonçant dans la boue commençait à laisser place à un cliquetis familier : les rues pavées indiquait que la Capitale n'était plus très loin désormais.
 
 
 
Napow avait seize ans, et c'était un soir d'été, une brise tiède traversait la cariole et venait mourir sur son visage. Il revenait de Caroggia avec son père, qui avait du y passer trois jours pour affaires.
 
Bien que son père consentait à l'emmener dans l'unique but de parfaire son apprentissage du métier, et de le présenter à tout les riches marchands du Sud-Est dont il aurait surement à gérer la fortune dans queques années, Napow eu souhaité que ces voyages se prolongent indéfiniment.
 
Il adorait tout ce qui faisait Caroggia. Il adorait ces longues rues qui serpentaient au milieu des murs de chaux blanches jusqu'au port, il adorait les boutiques pleine de babioles exotiques, les échoppes qui vendaient des poissons bariolés qui proliféraient dans les mers du Sud.
 
 
 
Alors qu'il se laissait aller à imaginer ces paysages magnifiques qui avait marqués son enfance, il fut interrompu par une voix venant de l'extérieure : c'était le garde qui contrôlait l'entrée dans la Capitale.
 
Après les formalités passées, la cariole s'engagea sous la grande porte principale, et se dirigea vers le centre ville. Ils étaient rentrés, Napow savait que la routine allait reprendre son cours.
 
 
 
Un peu avant d'arriver sur la place principale, le cocher bifurqua dans une rue perpendiculaire, et entama la montée vers les beaux quartiers. Les maisons se faisait de plus en plus hautes, de plus en plus luxueuse.
 
 
 
Au bout de quelques minutes, ils étaient arrivés. La maison des Cubiolli, car c'était son nom, n'avait rien a envier aux autres maisons, toutes appartenant à d'éminents hommes de pouvoirs, à de riches commerçants, banquiers...
 
C'était en effet une grande bâtisse, haute de trois étage, des lanternes aux ornements somptueux éclairaient le porche, ou un esclave les attendait.
 
 
 
Ce dernier, après avoir ouvert la porte à Napow et son père, les emmena jusque dans la salle à manger, ou la table était déjà dressée.
 
Un autre esclave s'affairait en cuisine, et commençait à apporter des plats, tous plus succulents les uns que les autres. On pouvait ainsi voir sur la table des de multiples poissons cuits, des tentacules de pieuvres grillées (dont raffolait Napow), des soupes de potirons et de champignons. Et biensûr, le vin coulait à flot.
 
 
 
Après un long repas, Napow monta dans sa chambre, ses affaires avait déjà été défaites et rangées par un esclave, un feu était allumé dans la cheminée, il eut tout juste la force de s'écrouler sur son lit, puis il s'endormit profondément, le sourire aux lèvres.
 
 
 
 
 
===Chapitre Deuxième. Une vie bascule.===
 
 
 
Deux ans s'étaient écoulés depuis le voyage à Caroggia. Napow venait de fêter ses dix huit ans, et c'est avec une violente migraine que la journée commençait. Il avait sans doute un peu forcé sur l'hydromel la veille.
 
Il devait néanmoins se lever, le maitre d'arme l'attendait derrière la maison pour sa leçon quotidienne. Il maniait l'épée depuis 10 ans maintenant, et se débrouillait fort bien.
 
Ce jour la, la leçon fût brève, car Napow avait un peu de mal à suivre le rythme que son mentor lui imposait. Il se jura d'ailleurs de ne pas retoucher à une goutte d'alcool avant un moment, même s'il savait pertinemment qu'il aurait un verre à la main dès la première occasion.
 
Il fila donc reposer son épée. Elle était splendide, faite d'un alliage inhabituel, qui la rendait très légère, et les gravures dorées sur son flan étaient d'une finesse extrême.
 
Son père lui avait ramené de Golvandaar, dans les montagnes, et lui avait offert le jour de son 16ème anniversaire.
 
Une fois changé et lavé, il monta dans son bureau, la ou il passait le plus clair de son temps à travailler avec son père. Ce dernier n'était cependant pas la, comme souvent depuis quelques temps.
 
 
 
Il avait en effet entrepris de se lancer dans une carrière politique, hors dans la Capitale, on avait coutume de dire que les pièces d'or votaient plus surement que les citoyens. Et il faut ben l'avouer, ce n'était pas les pièces d'or qui manquaient chez les Cubiolli.
 
 
 
Quoiqu'il en soit, il entreprit de faire les comptes de quelques clients, que son père lui laissait maintenant gérer en toute confiance. Il passa ainsi la matinée à travailler, et c'est sur les coup de 13h que son père rentra dans le bureau.
 
 
 
- ''Et bien, fils, toujours en train de travailler ?''
 
- ''Oui père, justement, j'étais en train voir que le teinturier de la grande rue a du retard dans le remboursement de son emprunt. Il vous dois 53 pièces d'or, et le délai est passé depuis 5 jours maintenant !''
 
- ''Il nous doit, le repris son père. Tu sais bien que ma retraite approche, et que tout ceci sera bientôt à toi. Et tu pourrait même prendre ma relève plus tôt que tu ne le pense, car je viens de m'entretenir avec le gouverneur, et il m'a assuré de sa sympathie. Je crois qu'il me nommera Consul de l'économie avant la fin du mois !''
 
- ''C'est formidable, père !''
 
- ''Oui, mais ne nous emballons pas, fils. Il y a ce marchand d'esclave, Tellus, qui vise le poste lui aussi.''
 
- ''Mais enfin, père, vous me dites à l'instant que le Gouverneur lui même vous apprécie !''
 
- ''Aussi surement qu'il ne porte pas Tellus dans son coeur, mais tu sais que le Gouverneur n'est pas le seul à décider, et je sais de source sûre que Tellus distribue ses pièces aussi vite qu'il distribue ses esclaves. Je ne serai pas surpris qu'à force de pot-de-vins, il m'évince du poste. N'oublie pas non plus que c'est le cousin du Consul de la Justice, et ce dernier est au moins aussi fourbe que Tellus.''
 
 
 
- ''Vous avez raison, père. Allons manger, je crois qu'il est l'heure.''
 
 
 
Il se dirigèrent alors vers la porte du bureau, lorsqu'un cri retentit au rez de chaussée. Puis des pas montèrent rapidement les escaliers, accompagnés du cliquetis si reconnaissable des armures de la garde intérieure.
 
La porte du bureau s'ouvrit à la volée, et trois soldats firent irruption, suivit du Consul de la justice en personne. Ce dernier s'avança sorti une missive sur laquelle on pouvait voir le sceau du ministère de la justice, et prit la parole :
 
 
 
- ''Messieurs Cubiolli, père et fils, je vous informe par la présente de votre mise en état d'arrestation. Les chefs d'inculpation qui vous sont reprochés sont les suivants : Haute trahison envers le gouvernement de la Capitale, Haute trahison envers la personne du Gouverneur Général de la Capitale, complot contre le gouvernement de la Capitale, tentative de corruption envers un membre du gouvernement de la Capitale, ainsi que pour de nombreux autres chefs d'inculpation mineurs.
 
Vous êtes priés de nous suivre sans opposer de résistance, sans quoi la force sera employé.''
 
 
 
Après un moment d'hébétement, le père de Napow, livide, parvint à balbutier :
 
 
 
- ''Mais enfin, je.. je ne comprends pas, il doit y avoir une erreur ! Pas plus tard que ce matin, je m'entretenait avec Monsieur le Gouverneur, c'est impossible !''
 
 
 
Napow ne put s'empêcher de s'écrier :
 
 
 
- ''Père ! Ne voyez vous pas ? C'est une manipulation, c'est Tellus qui est derrière tout ça !''
 
- ''Allons, ne dit pas n'importe quoi, le coupa son père. Il doit y avoir une erreur, comme je l'ai dis. Suivons ces hommes et réglons cette histoire au plus vite. Je te promet que ce soir nous dineront à la maison.''
 
 
 
Le Consul le coupa :
 
 
 
- ''Voilà de sages paroles. Gardes ! Saisissez vous de ces hommes, et passez leurs les fers !''
 
- ''Les fers ?! s'écria M. Cubiolli, Mais enfin, nous ne sommes pas des assassins, vous ne pouvez pas nous traiter de la sorte !''
 
 
 
Un des gardes s'attelait déjà à refermer les lourdes menottes de fer sur les poignets de son père, et un autre posait déjà la main sur le poignet de Napow. Ce dernier s'écria alors :
 
 
 
- ''Plutôt mourir, serpent !''
 
 
 
C'est alors qu'il attrapa un lourd chandelier en metal sur le bureau, le lança de toute ses forces au visage du garde qui s'avançait, puis tourna les talons, et couru vers la fenêtre.
 
 
 
Ce fut une explosion de verre et de bois, Napow retomba lourdement un étage plus bas, au milieu d'un bosquet, et il entendait le Consul hurler :
 
 
 
-''Rattrapez le ! Il ne doit pas s'échapper !''
 
 
 
Napow s'élança, malgré une horrible douleur à la cheville, dans la rue. Il ne tarda pas à entendre le cliquetis des armures à ses trousses.
 
 
 
 
 
===Chapitre troisième. Une nouvelle vie débute.===
 
 
 
Napow courrait depuis des heures maintenant, et le bruit des armures derrière lui s'était évanoui depuis longtemps. Il s'arrêta, haletant, et releva la tête.
 
 
 
Sans s'en rendre compte, il avait traversé une bonne partie de la ville, et se trouvait maintenant dans les bas quartiers. Jamais de sa vie il n'y avait mis les pieds, et on racontait qu'il fallait mieux ne pas s'y aventurer quand on était de la haute société.
 
Néanmoins, les gardes eux même hésitant à s'aventurer dans ces ruelles sombres et étroites, il se savait dans une relative sécurité pour l'instant.
 
 
 
Son esprit bouillonnait, milles questions se bousculaient, auxquelles il ne parvenait à trouver une réponse. Il pensait à son père, a l'endroit ou il pouvait bien être maintenant.
 
Il estima qu'il fallait mieux prendre le temps de réfléchir, que se précipiter au palai pour voir le gouverneur ne pouvait pas être une bonne chose.
 
En effet, s'ils étaient victimes d'un complot, sa fuite constituait alors un argument de taille dans les mains de leurs ennemis.
 
Aussitôt, il s'en voulu de s'être emporté, de ne pas avoir suivi les conseils de son père. Après tout, il s'agissait peu être vraiment d'une erreur ?
 
 
 
Il se faisait tard, et il pris alors la décision de prendre contact avec le gouverneur dès le lendemain matin. Ce dernier, s'il avait vraiment de la sympathie pour son père, l'écouterait et le croirait peu être.
 
 
 
Il avisa un écriteau en bas de la ruelle, qui indiquait une auberge. Il s'en approcha, et entra.
 
Il fut frapper par la lourde odeur d'alcool et de fumée qui emplissait l'endroit. Il n'était décidément pas habitué de ce genre d'établissement.
 
 
 
Et d'ailleurs, cela semblait se voir, au vu du silence que son entrée avait provoquée. Le brouhaha ambiant s'était immédiatement tût, et des dizaines de regards étaient braqués vers lui.
 
Il se dirigea vers une table isolé, s'assis, et attendis. Quand l'aubergiste vint à lui, il demanda, machinalement, s'il pouvait avoir des tentacules grillées qu'il appréciait tant.
 
 
 
L'aubergiste éclata alors d'un rire rauque et retentissant :
 
 
 
- ''HAHAHA. Ou est-ce que tu t'crois, jeun' homme ? J'vois bien à tes étof' que t'es d'ces gens qui brassent des cents et des milles. Tu d'vrais pas trainer pas la, nous aut' aimons pas vraiment les gens d'ton espèce...''
 
 
 
Napow ne se sentait même pas de répondre, et il demanda juste :
 
 
 
- ''S'il vous plait, est-ce que je pourrait avoir à manger ? Ce que vous avez, peu m'importe.''
 
- ''Ouai ouai, l'bourgeois, j't'amène ça. Mais pour toi ce sera double tarif.''
 
 
 
La salle explosa alors de rire, et Napow se dit qu'il fallait mieux faire basse figure et ne pas répliquer.
 
Après un repas plus que douteux, et une chope de bière encore plus douteuse, il se leva et s'approcha du comptoir. L'aubergiste le fixa et lui dit :
 
 
 
- ''6 pièces pour l'bourgeois.''
 
 
 
Napow sentit les regards dans son dos, et pouvait presque deviner les mains qui se portait sur les couteaux et dagues à la ceinture.
 
 
 
- ''Mais.. D'accord. Voila.''
 
 
 
Il posa les pièces sur le comptoir et sortit.
 
 
 
Sans doutes n'entendit-il pas qu'il n'était pas le seul à être sortit, et, alors qu'il déambulait à la recherche d'un endroit ou dormir, il entendis soudain un bruissement derrière lui, un choc sourd, puis plus rien.
 
 
 
Lorsqu'il se réveilla, sa tête le faisait horriblement souffrir. Ca devenait presque une habitude, décidément. Il réalisa alors qu'il était enchainé, les mains dans le dos, un sac sur la tête. Il sentait une surface dur, derrière son dos, sans doute du bois.
 
Le sol bougeait également, c'était une sensation étrange. Puis il réalisa : il était à bord d'un navire ! Il pouvait entendre le bruissement de la mer à l'extérieur.
 
 
 
- ''Tiens tiens, celui la est réveillé on dirait ! Toi, va chercher Markus, je m'occupe de lui !''
 
 
 
Le sac sur sa tête fût violemment arraché. Napow fût d'abord ébloui, puis il distingua une silhouette devant lui, et.. Un grand coup. En pleine tempe, on aurait dit qu'une poutre lui était tombée dessus.
 
 
 
- ''Haha, bienvenue à bord, mon gaillard !''
 
- ''Eh bien, le coupa une deuxième voix, c'est comme ça qu'on accueille les nouveau venu ?''
 
 
 
Puis les deux hommes éclatèrent de rire.
 
 
 
- ''Relève le. Ordonna alors le deuxième homme, qui devait être Markus. Il m'a l'air en bonne santé.''
 
 
 
Napow fût soulevé de terre, et mis debout. Il tenait à peine sur ses pieds, à cause du coup qu'il avait reçu certes, mais aussi pour une autre raison. Quelque chose qu'il avait rarement ressenti.
 
Il avait peur. Une peur incontrôlable et profonde, qui grondait au plus profond de lui. Il ne savait ni ou il était, ni qui était ces hommes, ni d'ou il venait.
 
Le deuxième homme repris :
 
 
 
- ''Hm. Hm. Il m'a l'air en très bonne santé dis moi ! Il n'est pas malade, il a toute ses dents. Il n'est pas maigre. M'est d'avis qu'il doit venir d'une famille riche !
 
En tout cas, ton contact ne s'est pas moqué de moi, c'est vrai ! Il vaut bien les 100 pièces que j'ai donné. Je pense que j'en tirerai un très bon prix à Esperia !''
 
 
 
==Esperia==
 
 
 
===Etat civil===
 
 
 
Après maintes recherches, après avoir écumé toutes les bibliothèques, tout les registres et cahiers de consignes que recèle Esperia, vous vous rendez à l'évidence : quelqu'un vous a devancé. Et cette personne ne s'est pas contentée de retrouver toute les traces écrites de Napow Cubiolli, mais également de les faire disparaitre.
 
 
 
Comment ? Et surtout, dans quel but ? Peu nombreux sont ceux qui le savent. Mais une chose est sûre, l'existence de ce descendant Cubiolli semble s'effacer lentement mais inexorablement, tel les pas d'une âme errante sur les dunes du Galdyr.
 

Version actuelle datée du 16 janvier 2014 à 12:42


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Veuillez indiquer le rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Napow
Âge IRL
20





La Capuche

Description

Rares sont ceux qui en connaissent l'existence, plus rares encore ceux qui l'ont déjà vus, et pas un ne pourrait dire qui se cache derrière ce nom. Néanmoins, il pourra vous arriver de croiser un vieillard délirant, une vieille flasque à la main, vous conter la nuit ou il a aperçu le temps d'une seconde une sombre cape disparaitre dans une ruelle, le pommeau d'un fleuret à sa ceinture, étincelant sous la lueur de la lune.

Compétences

  • Alphabétisation et calcul
    • Son éducation est à la hauteur de ses origines, il sait très bien lire, écrire, et excele dans le calcul.
  • Combat :
    • Maitrise de l'épée : Entrainé toute son enfance durant par les plus fin épéistes de la Capitale, sa maitrise de la lame est exemplaire. Il apprécie particulièrement les lames fines, comme le fleuret ou le sabre.
    • Esquive : Son allure fine, sa bonne condition physique et ses réflexes aiguisés lui permettent d'éviter nombre de coups et de bouger rapidement.
  • Agilité
    • Son physique élancé mais musclé lui permet une relative souplesse et aisance dans ses mouvements.
  • Survie
    • Son long exil dans la forêt profonde a développé, bien malgré lui, une capacité à survivre et à s'adapter aux situations les plus difficiles.
  • Crochetage - Niveau moyen
    • Ses sens exacerbés par son exil lui ont été bien utiles lors de son retour à Esperia, ou il a pu les exploiter pour se frayer un chemin dans tout les recoins de la ville.'

Histoire

Après maintes recherches, après avoir écumé toutes les bibliothèques, tout les registres et cahiers de consignes que recèle Esperia, vous vous aperçevez que des pages ont été arrachées, ça et là. Impossible de savoir vers qui ces pages disparues renvoyait, mais une chose est sûre, l'existence de cette personne semble s'effacer, lentement, mais aussi sûrement que les pas d'une âme errante sur les dunes du Galdyr.