Utilisateur:Oliver

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
ZePnoS
Pseudo
Oliver
Prénom IRL
Irvin
Âge IRL
16













Fichier:Oliver.jpg

Oliver : L'inconnu

Je m'appelle Oliver, et je n'y suis pour rien, c'est comme ça, c'est mon destin.

  • Prénom : Oliver
  • Nom : Inconnu
  • Taille : 1cube 15
  • Poids : 35 kg
  • Langage Adaarion : Courant/Très utilisé
  • Religion : Kaaosisme
  • Origine : A moyenne distance de Maailmanovi


Description

Physique

Oliver est âgés d'à peine 8 ans, pas plus grand qu'une barrière, il s'élève dans le monde sans issus d'Esperia du haut de ses 1cube15. Vissage au teint pâle, aux yeux bleu turquoise et pourtant vide de toutes expressions du monde, il est triste de vivre. Souvent mal coiffé et légèrement roux, sa coiffure de bonne enfant lui laisse malgré l'expression de son visage, un penchant vers les rêves, la découverte des mondes. Physique plutôt simpliste, pas de gros muscle mais la vue de ses mollet laisse penser qu'il a pendant longtemps fait de la marche à pied malgré ses fines jambes ressemblant, aussi bien à ses bras, a de fine brindille. Sa peau de bébé est toute fois légèrement sensible au soleil brûlant du Thermidor.


Morale

Perturbé, solitaire, vide, dérangé sont les expressions du visage et du comportement de cet enfant. Oliver a vécu un terrible choc qui lui a retourné l'esprit. Au fil du temps, il se perdra dans ses pensées, il s'éloigne un peu plus chaque jour de la réalité et du gouffre entre le bien et le mal aussi bien qu'un jour il se pourrait qu'il n'y fasse plus aucune différence. Solitaire et dérangé, il aime être seul, c'est la pire des choses qu'il puisse s'infliger, être seul dans sa bulle de destruction qu'il referme sur lui, il garde au plus profond de son être des choses monstrueux qui le rongent lentement.

Compétence

/!\ Compétence d'un enfant de 8 ans, que l'on soit bien d'accord !''

Actif Majoritaire

Grille Plume.pngMinutie : Ses petites mains douces et fines sont légère et patiente. Aussi calme qu'un bœuf endormi, cet enfant prendra tout son temps pour faire quelque chose.

Grille Crème de Magma.pngCréativité : La créativité qu'il possède n'est pas celle d'un grand architecte ou encore un grand peintre. Elle se limite simplement à faire des formes, des dessins, soit avec des cailloux, des marques dans la terre, ou avec des fleurs.


Passif

Grille Livre et Plume.pngAlphabétisation et calcul : Oliver sait lire a peu prêt correctement, pour ce qui est de l'écriture et des calcules, cela relève de l’inexistence totale ou limité notamment pour l'écriture assez, brouillon que celui-ci peut réalisé.


Qualités

  • Discret
  • Obéissant
  • Calme
  • Observateur
  • Débrouillard
  • Sincère
  • Brave

Défauts

  • Timide
  • Amnésique
  • Solitaire
  • Écriture brouillons
  • Trop jeune
  • Parle très rarement
  • Impulsif


Relation Social

Familier


Amical


Connaissance


Ennemis


Histoire

I. L'arrivé aux "Marches"

Fuir, loin. Il nous a fallut fuir, alors qu'Oliver n'avait même pas 3 ans, fuir dans le froid de la nivôse, où le vent nous faisant face, nous barrait le passage à coup de bourrasse violente, glaçant le sang. Oliver ne pleurait pas, il dormait, comme un véritable bébé, caché sous les couvertures que Lise s'était recouverte. Il fallait fuir, fuir dans un recoin lointain où personne puisse avoir l'idée de venir nous chercher... Assassina, empoisonnement, meurtrier voila pourquoi nous devions fuir, nous n'avions rien préparer, la maison est encore debout, mais elle sera bientôt fouillé. Voila ce que c'est d'être populaire, la concurrence est toujours derrière vous, et jamais elle ne s'estompe. Il y aura toujours des rapaces qui se jetteront sur tes malheurs pour en ressortir que bien meilleur. Je ne l'explique pas, il s'appelle Oliver, c'est comme ça. Et maintenant je ne sais que faire, nous marchons, encore, le vent commence à s’apaiser et l'on peut voir légèrement cette mers immense qui s'étend sans en voir la fin. C'est une nuit noir, le ciel semble ampli d'un voile sombre, comme une marre d'encre qu'on aurait renversé. Il n'y a aucune étoile, que le bruit sourd du vent qui souffle face à nous.

Nous avions des amis là bas, du moins... un, qui nous accueillerait à bras ouvert si l'on arrivait, le chemin semble toujours plus long, Lise commence peu à peu à être essoufflé, on alterne la garde de l'enfant, que l'épuisement soit réparti, après tout, c'était notre chance, la seul qui avait le pouvoir de nous rendre de l'espoir, un peu d'espoir dans ce voile ténébreux. Où nous allons déjà ? Ah oui, les "Marches", que dire dessus ; pègre, autoritaire, militaire, marché noir, hostile, dangereux et pourtant, tant de bonne raison de ne pas y aller et c'est le seul endroit que personne n'irait fouiller et que nous avions choisi.

Maintenant que je le regarde, il me fait penser à moi, calme, l'enfant parfait, bien qu'il soit capricieux ce n'est qu'un enfant... J'ai peur, oui je peux le dire, j'ai peur pour lui, cela fait 2 fois que nous devons encore fuir, qu'elle est ce mal qui nous pourchasse ? J'ai le pressentiment qu'un jour, un malheur se produira, mais je ne sais plus, je sais pas, je n'ai pas envie de savoir, je marche, encore, et toujours, et d'une certaine manière, le vent nous aide, il efface les quelques trace que l'on laisse. Le chemin commence à changer, peut-être arrivons nous bientôt.


II. Une nouvelle vie

Reconstruire. On dit souvent, que ce qui nous tue pas, nous rend plus fort, peut-être bien, réponde souvent les gens, et pourtant, il n'est jamais précisé qu'il faut avoir été sur le point de mourir pour appliquer ce proverbe. Nous nous fuyons toujours, et cela nous affaiblie plus qu'autre chose, a propos de ça, nous voila enfin arrivé, Charles nous a conseillé une maison abandonné, et je dois l'avouer, qu'elle est vraiment abandonné. Cela me donnera du travail à faire, d'ailleurs, qu'est ce que je vais faire maintenant ? Je n'ai plus d'échoppe, plus de four, plus de patte, plus de levure, et les provisions faite à la va vite s'épuisent de plus en plus.

Quand j'y pense, le terrain est tout de même assez vaste, et le peu de forêt au alentour, il est impossible d'avoir du feu ici ma parole, c'est si humide, je vois déjà arrivé les maladies. Peut-être bien cultiver un peu, ça peut toujours être utile.

Après quelque mois, rien d'anormal en vue, bien que je sois toujours inquiet, je surveille au hublot de la chambre les mouvements au loin, et je dois avouer que pour le moment, je me porte bien, rien à signal, pas le moindre phénomène anormal, bien que ce chat d'eau vient encore rôder vers Oliver, il a 5 ans désormais, je lui enseigne le peu de chose que je sais, la lecture, mais pour ce qui est de l'écriture, cela lui fera défaut bien un jour. D'ailleurs en parlant d'écrire, Charles m'a écris, il a pu trouver un établit pour moi, une sorte de placard à ballait qui traine dans la Forteresse non loin, je pourrais m'y installé oui mais comment savoir pour combien de temps ? Est ce enfin finis ? Ou alors je vais me faire prendre en y allant ? Je tenterais demain d'y aller, charrette bricolé en main, je passerais inaperçu.


III. Le quotidiens d'une enfance

3 Ans plus tard.

Le jour se lève, les rayons du soleil percent le maigre tissu qui fait office de volet. Les oiseaux comment à leurs tours à chantonner dans la chaleur du Thermidor. Alors que le soleil s'élève dans le ciel bleu, ses rayons impriment sur le visage d'un enfant, le désir de découvrir et le plaisir de vivre.

Dans son petit lit fait uniquement de paille un jeune enfant, dort paisiblement, malgré le froid et l'humidité présente dans la régions. Alors que la porte s'ouvre doucement, sa mère, comme toute autre mère, se pose sur le bord du lit, ne voulant pas le réveiller, elle admire avec un petit sourire, l'enfant. Après quelque minute de révélation de cette amour maternelle, elle le réveille enfin, et descend en bas, comme un habituel rituel. Remuant dans son lit encore, et les reflets de la vitre l'empêchant de repartir dans les rêves que peut avoir des enfants de son âge, il se lève, d'un pas sur de son lit. Munis d'un simple vêtement de chambre, il descendit.

En bas, une petite salle, mêlant cuisine et salle à manger, devant lui, une table, recouverte d'un petit drap blanc, ternis, tournant presque au gris clair. Dessus, un simple bol en terre cuite, rempli du plus simple lait trouvable, autour du bol, quelque biscuit, et une fine part de brioche. Sans doute fait par son père.

Quelque heure plus tard le soleil était désormais à son zénith, alors qu'Oliver jouait tranquillement dehors avec de simple cailloux accompagné d'un tout petit chats d’eau, aussi jeune que lui, et qui offrait une histoire passionnante à cette amitié entre lui et ce félin. Le félin jouait quand à lui avec le poisson qu'il était aller chasser dans les eaux du Heimild, tout proche d'ici.

La silhouette de son père apparut au loin, accompagné d'une petite charrette qu'il tirait. Oliver avait du mal avec le temps, il ne savait jamais quel jours étions nous, mais il savait très bien que la vue de son père avec sa charrette était signe de jour du marché, nous étions, un Vendredi.


IV. Un vendredi comme les autres

Il était presque 13 heures, le soleil commençait déjà sa route pour laisser sa place à la nuit. Oliver accompagné de ses parents, Marc et Lise, se dirigeaient peu à peu vers la Forteresse de Juldyan. Le petit chemin ne donnait pas une vue des plus magnifique, mêlant marécage et mers de roseaux à perte de vue. A l'approche de la forteresse, on pouvait percevoir que le silence régnait... Il n'était pas bon de faire du commerce dans cette région, mais Marc était un des rares boulanger maintenant à offrir des friandises et des petits pain à des prix raisonnable.

Lise emmena Oliver dans des ruelles sombre, une femme qui faisait du marcher noir n'était pas des plus communs, et encore moins accompagné de son enfant, mais toute fois, ses tours de passe-passe permirent à Oliver de voir et d'analyser les différentes facettes du monde. Elle devait être forte mais à la fois courtoise... le marché noir était assez courant à la Forteresse, c'est d'ailleurs le seul moyen de survis pour certain. Elle savait toujours où était la foule, où elle se tenait, la Forteresse avait beau l'air abandonné, il ne fallait pas si perdre pour autant... Et puis d'un autre côté, la présence de son fils la rassura un peu plus, elle, qui ne pouvait le quitter des yeux.

Il était 15 heures, le soleil descendait toujours comme d'une course effrénée qu'il s'était fixé. Lise et Oliver avaient fini, et son père aussi, il tenait une toute petite boutique dont il vendait des petits trésors de pâtisserie, brioche, petit cookie et même, dans des moments assez rare, du chocolat fourré dans une patate aérée mais il restait toute fois encore la livraison qu'il devait terminer. Oliver décida de rester un peu avec son père, laissant Lise retourner au foyer, ils échangèrent un baisé léger, et se séparèrent doucement.

Ils prirent ensuite la route vers la demeure du Gouverneur de ces terres... Un bandit, depuis toujours "La Marche" a eut des gouverneurs autoritaires au humeur variable d'un claquement de doigt, on pouvait aussi bien mourir demain que personne ne plaindrait. Marc fit signe à Oliver de rester en bas. Il monta et se retrouvait devant les portes du gouverneur "Des Marches", un garde au regard méprisable lança par habitude semblerait, -Vap... Ah... c'est toi, entre vite, le Gouverneur n'a pas que ça à faire.

Marc entra, la charrette faisait du bruit, le son des roues en bois sur le pavé de la Forteresse pouvait en irrité plus d'un. Elle était plutôt peu chargé et durant ce temps Oliver patienté, il regardait d'un œil observé les ruines qu'il avait dessiner comme s'il s'imaginait les grandes bataille, un vrai rêveur en somme. Une fois sortis et la journée terminé pour de bon, il était temps d'y aller repris Marc en sortant, le visage un peu inquiet.


V. Le drame, la fin de toute chose

17 heures, Marc et Oliver étaient encore sur la route, et prenaient tranquillement le temps d'admirer d'une certaine manière le coucher du soleil. De gros nuages commençaient déjà à s'approcher, la pluie n'était pas si loin, cette journée de soleil ne durera pas longtemps disait Marc. Le petit chat d'eau d'Oliver surgit sur la route des roseaux. Il les accompagnèrent malgré un comportement des plus étrange, il n'arrêtait pas de montrer ses crocs, de donner des coups de patte dans le vide, et même de faire des nuages de poussière.

Une fois proche de la maison, les choses semblaient tout à fait normal, Marc posa tranquillement la charrette, tandis que le félin mordit le mollet d'Oliver. Celui-ci lança des jurons mais il était décidé à ne pas lâché, malgré que l'enfant s'écriait, le père s'approcha d'un pas méfiant vers la maison. Il y semblait avoir du mouvement, du monde plus que d'habitude.

Il posa doucement son oreille sur le coin de la porte, et entendit clairement la voix d'hommes, et celle de Lise. Elle ne cessait de répéter la même chose : -Vannon je suis seul ici ! Vannon je vous dis !

Oliver était toujours occupé avec le félin et ne remarqua rien de particulier, toute son attention était rivée sur celui-ci. Marc quand à lui, se munis d'une bûche qu'il trouva prêt de la porte, elle était d'assez bonne taille, assez assommer une personne en tout cas. Il posa doucement sa main, et ouvrit d'un coup sec la porte levant la bûche en l'air, quand il entrouvrir la porte, un homme était là, devant Lise, semble t-il prêt à souiller son corps. Dans un élan de panique, Marc tenta tant bien que mal de fracasser la bûche sur le crâne de celui-ci, n'ayant pas le temps de se dégager, il se retourna à peine, et se prit la bûche en pleine tête, le nez ensanglanté, il s'écroula au coin de la table, et cogna contre le bord pointu de celle-ci.

Les autres n'avaient pas l'intention de rester là à rien faire, ils prirent tous ceux qui leur passaient par la main, et se jetèrent sur Marc, l'autre, qui se relever avec peine se chargea ensuite de lui montrer la gravité de la chose, il cogna sans relâche en proclamant à chaque coup la même chose "Paskaeta ! Paskaeta !" (Paska + eta pourrait signer merdeux en langage Addarions ?) puis s'écroula sur Marc, la tête en sang, la table avait provoqué une commotion. Alors que la mère s'esquiva pour fuir, un des hommes la pris par surprise, et le reste des gardes commencèrent leurs plaisirs de violence et de souillure.

Le félin avait pris la décision de partir, et l'enfant, entendant l'agitation hésita à avancer, puis il se mit à courir vers la maison, devant, se tenait un homme, en armure, entendant les bruits de pas il se retourna, la faible luminosité ne permit pas à Oliver de voir le visage de l'homme. -Vient par là mon mignon ! Tu es vraiment loistava toi ! dit-il en attrapant Oliver par le col. -Vannon ! Vannon ! s'écria Oliver en se débattant dans le vide. -Tu vas nous rapporter de l'or ! Au mine ! son sourire s’éclipsa dans un ricanement grotesque.

Alors qu'Oliver se débattait toujours, le félin sauta sur l'homme et lui mordit à pleine dent le mollet qui n'était pas protéger. Dans la même occasion, l'enfant attrapa le bras de celui-ci, et le mordit dans un élan de rage. Mais ce moment ne dura que très peu de temps, un homme attrapa une des bûches et l’écrasa sur l'enfant. Alors que le félin prenait la fuite, il se prit quand même le coup de pied du garde ce qui le fit valsé dans les aires. L'assommant à coup sûr, lui faisant perdre la mémoire temporairement, Oliver saigné légèrement à la tête, toute fois, il était inconscient.

-Au navire ! Il pourrait faire sauter les renforts des mines ! La-bas, c'est eux qui auront la charge de se débrouiller de lui. Paska ! Il m'a bien mordu le petit, je devrais peut-être me faire soigner, une fois vos petit plaisir remplie avec elle, pavlovammat la maison ! Vous avez vos ordre, obéissez !