Utilisateur:Simeox : Différence entre versions

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Version du 12 mai 2013 à 15:31


     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
simeox
Pseudo
simeox
Prénom IRL
Simon
Âge IRL
14












Description

Simeox est un jeune homme d'origine nordique. Il as vécu ses 12 premières années de sa vie sur la mer. Il fait 1 mètre 85 pour 75 kg. Ses yeux son légèrement plus brun que ses cheveux. Il se bat rarement personnellement. Il dit "qu'il laisse son instinct faire".

Compétences

  • Combat : En étant guerrier Simeox devait comme même savoir se battre. Il l'a appris auprès du "vieux taciturne "comme il l’appelle.
    • Épée et dague : ses armes de prédilection. Il hérite de son père. Il dévie les lames de sa dague et attaque de son épée. Il s’entraîne avec le plus possible disant "qu'il veut honorer la mémoire de son père"
    • Il n'est pas mauvais à la hache.
    • L'arc n'est pas son fort
    • Le marteau et la masse sont ses talons d’Achille.
  • Force: Ses origines nordiques lui confère une masse musculaire. Sa force lui permet de soutenir les assauts des lames contre sa dague.
  • Survie : Sur la mer parfois les conditions sont dures et survivre n'est pas une mission simple.
  • Agilité: C'est aussi un don du sang manier deux armes n'est pas simples et continuer de sa battre en croisant les bras est exercice !
  • Endurance : C'est le doyen de son groupe qui lui apprit non sans mal mais avec succès !

Talents

Simeox se fait facilement des amis et n'as pas peur de se jeter dans la mêlée.

Défauts

Malheureusement Simeox n'as pas que des qualités sa condition humaine lui impose la jalousie et sa façon de ranger les choses.

Histoire

On était pendant le printemps, j'avais 12 ans. On mouillait dans l'embouchure de l'Auscre, au nord-est de La Capitale. Le contrat qui nous était proposé était juteux. C'est pourquoi nous sommes descendus pour le trouver. Notre beau bateau s’appelait la flèche des mers. C'était un journée plein d'odeur aussi douce que plaisante des fleurs qui commençaient à s'épanouir. De sombre nuages apparaissaient a l'horizon. Mes parents me disaient que le bateau de marchandise avait décidé de partir quand l'horizon sera bleu et que le danger sera écarté. Pourtant ce jour, partir aurait été une meilleure solution.

Le lendemain nous larguions les amarres et le vent remplissant les voiles nous escortions, avec la Noisette blanche, la couronne rouge, qui transportait principalement de l'or jusqu'à Caroggia. Nous voguâmes tranquillement en V inversé, pour défendre la marchandise. Ma mère, Nathalia, dirigeait fièrement le bateau. Mon père,Erdor , quand à lui, entraînait continuellement ses fières guerrier. Il avait posé sa chemise sur un tonneau de pomme. Et se battait avec son sabre , attendant l'attaque de l'homme, la déviant avec sa dague, ou sa garde, et ripostant d'un coup vif. Le voyage continua sans encombre jusqu'à Indubal.

Là, un bande de pirate nous attendait. Ma mère crie «Au canon!» Aussitôt la tension commença a monter. Les canon était près et le navire qui filait sur nous allait mordre la poussière. La noisette blanche se plaça à notre gauche.
N'ayant, aucun de nous, de canon avant, la tension monta à son comble, les mètres qui nous séparait diminuait, le silence régnait, la mer c'était tu, écoutant chaque perle de sueur tombant sur le bois. Le soleil même regardait la scène comptant les mètres: 25m, 20m, 15, 10, 5.
«FEU!»
Nous avions touché! Leur bateau sombrait! Juste un seul petit boulet avait percuté notre bateau: le bastingage était légèrement abîmé; Rien d'autre. Mais de l'autre cotée les pertes était dures, le belle noisette coulait.

Et un autre bateau portait le même signe approchait. Un seul solution restait: l'abordage. Nous montèrent le fanion noir à bande rouge : symbole du combat homme à homme.
Mon père approcha et me dit:

«-Cache toi, mon fils, dit-il pendant que les larmes lui montait au yeux.

-Tes parents seront éternellement avec toi mon fils, soit brave, ajouta-t-il

-Pourquoi? Demandais-je tout en connaissant la réponse

-Il est temps pour nous de remplir le devoir que nous avons»

Dans le tonneau ou je m’étais caché un petit trous me permettais de voir la scène; Je n'avais malheureusement pas le courage. Le combat dura et dura; les secondes semblaient jamais se finir. Je perdit la notion du temps.

Quand le bruit s’atténua je regarda par le trous: des hommes et des femmes était là abattu par la mort. Sur notre bateau je vis mon père et ma mère ligotés et agenouillés devant ce qui semblait être le capitaine. Il tua mon père devant moi d'un coup de la garde de son sabre dans la nuque. Je ne put m’empêcher de crier; Le capitaine m'ayant entendu s’approchât du tonneau et me souleva comme si je n’était rien. Je ne voyais plus que le ciel. Mais j’entendis ma mère le supplier. Je ne compris pas... Puis vint un cris strident de ma mère: il venait de me jeter par dessus bord. Me cognant la tête, je perdis connaissance.

Je repris connaissance dans un lit. Un homme vint a mon chevet. Je lui demandais un peu tout mais ne me répondit pas. Je découvris très vite qu'il était solitaire et taciturne. Il me dit uniquement qu'il connaissait mon histoire. Et m'entraîna a la vie de guerrier.