Recueil poétique d'Edwins

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Cet écrit a été rédigé par Edwins et se trouve sur l'ancienne Esperia, inaccessible pour le moment.

Cet oeuvre a été faite sous l'impulsion de Kemelvor Kemaltar. La plume, l'encre et le livre ont été fournis par Kemelvor lui-même et Edwins lui en est énormément redevable.

Préface

Dans l'ancien monde, il était interdit de pratiquer cet art bien doux qu'est la poésie, excepter pour conquérir le cœur d'une dame. Mais n'ayant ni l'un ni l'autre, j'ai bravé les interdits, et commencé mes écrits.
Vous retrouverez dans ce recueil, écrit lors de mon 3 ème jour sur les terres d'Esperia, tous mes poèmes écrit dans l'Ancien Monde, enfin ceux qui me reste en mémoire. Mais aussi les poèmes que j'ai écris.

Page 1: La Liberté

Qui y a t il de plus beau,
que de sentir le vent sur sa peau ?
Courir dans les champs de blé,
sans savoir ou allé,

Mais aujourd'hui,
l'homme libre a des chaine,
l'homme libre ne peut plus courir,
plus sentir se qu'il y a de plus beau sans souffrir,
l'homme libre ne coure plus dans les champs,
il y travaille dedans.

Il ne peut se délivré de ces chaines,
Alors il éprouve une grande haine,
C'est d'ici que viens le danger.
l'homme libre ne peut plus pensé,
Quand il est enchainé.

C'est pourquoi l'homme ne l'ai plus.
Il travail nuit et jour pour la société,
d’ailleurs peut de personne peuvent se vanter.
D'être libre de la société.

Page 2

Le soir,
quel trou noir,
quand j'essaye de m'endormir,
et que je n'y arrive pas,
dois-je en déduire...
que pas a pas,
je suis entrain de vivre,
un rêve auquel je ne m'attendez pas?

Car voyez vous,
je deviens peut être fou...
en écrivant des poèmes
de mes rêve les plus terne...

Page 3

Lorsque je me suis réveillé,
je n'étais pas tous a fait prêt,
on m'a emmener dans une arène,
où je n'y ai vue ni roi, ni reine,
Seulement une troupe de gens,
Qui paraissait de haut rang,

Acclamant le chef,
Huant les esclave,
Ces dernier semblable à des scandinaves
n'avais eu le droit qu'a un combat bref.

Je ne trouve guère d'inspiration...

Page 4

Le matin quand je me lève,
ce n'est pas comme une nuit qui s'achève,
elle recommancera le soir même,
avec ce drole de rêve,
où tu n'est plus la même.
Bien que ton apparition soit breve,
tu m'inspire toujours,
semblable à ma muse,
sans que tes idées ne m'usent,
du haut de ta tour,
tu ne me donne pas le choix,
mais quoi qu'il en soit,
je n'oserais jamais te le dire,
même si tu en mourait de rire,
quand je te l'annoncerait.
je te le dis sans peine :
que je t'aime.

Une note est écrite dans la marge de la page: " Cela reste une ode à mon ancien amour désormais perdu ".

Page 5

Elle est faite d'acier,
Elle est l'ame du guerrier,
Jamais elle ne le laisse,
Et tue sans aucune tendresse,
Elle est faite pour attaquer,
Mais aussi pour se protéger,
De la terre elle fut extraite,
Dans la forge elle fut faite,
Dans le foureau elle repose,
Elle ressemble a la rose,
Si belle,
Mais si cruelle,
C'est l'épée du chevalier,
Faite pour tuer.

Page 6

Je suis tous et rien Un homme et pourtant si jeune Un crie mais que l'on entend pas Une idee si maintenue Un songe un reve Un mensonge un pleonasme Un enfant un ado Un savant un fou Un homme libre mais au main de la société Un philosophe sans barbe Une oreille ouverte et un coeur fermer.