Utilisateur:Edwins

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Edwins dit "Le Charcutier"
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Edwins
Pseudo
Edwins


Âge IRL
15 ans



Informations Diverses
Edwins n'a jamais peur :



La peur est pour les faibles, La faiblesse pour les couard, Les couard sont des traitres, les traitres des sans honneurs, Les sans honneur ne sont rien, Et le rien provoque la peur.


Caractéristiques

Description

Lors de son arrivée, il a été vendu comme Esclave à Izengrin.

Edwins est mort le mardi 9 octobre 512 de la main de Mata' Esperanza son plus fidèle ami.

  • Prénom : Edwins dit "Le charcutier"
  • Nom: Edwins a préféré l'oublier depuis sa destitution
  • Age : 20 ans
  • Née dans la province d'Huratelon
  • Taille : 1m90
  • Yeux & Cheveux : Marron noisette
  • Cheveux : Brun tirant sur le noir
  • Aime : La liberté, ses amis, ses rêves
  • Aime pas : Les tortionnaires

Talents

  • Force :

Edwins s'entraine depuis son plus jeune âge, son ancienne appartenance à la garde Esperienne lui a forger muscles et abdominaux.


  • Combat :

Les armes n'ont plus de secret pour Edwins, bien qu'il excelle dans le maniement du fleuret et des haches de guerres son niveau dans la pratique du marteau et de l'arc reste mediocre.


  • Endurance :

La force va avec l'endurance, rien de mieux que de bon entrainement. Les entrainements régulier de Edwins lui permette de courir aisément, et de porter une arme et une armure pendant plusieurs heures d'affilée.


  • Agilité :

Bien que fort Edwins sait se montrer agile et placer certain coup d'épée ou il le faut, mais il sera incapable de sauter de toit en toit, sauter de haut, et faire des pirouettes.


  • Alphabétisation :

Edwins à appris lorsqu'il était encore chevalier à lire et à écrire, bien qu'il ne pratique pas très souvent il lui arrive de temps en temps d'écrire des poèmes.

                        Competence et ce qu'Edwins sait faire

Edwins est un homme de main, souvent employer comme garde du corps il lui est souvent demandé de protéger l'esclave de fabhrus. Grand et fort il ne ressemble pas à Garth, il est moins imposant et ne pourras pas frapper aussi fort lors des combats. Edwins sait parée, esquiver, faire des bottes et des estocs lors d'un combat. Edwins est passionné par les armes mais ne sait manier que : l'épée de bois, fer, diamant; la hache de fer, diamant. Les autres armes il n'est que très moyens avec voire médiocre notamment à l'arc. Edwins sait se battre à main nue et en corps a corps mais ne rivalisera jamais contre un homme de la carrure de Garth ou Eraclys Edwins est incapable d'utiliser d'autre notion d'agilité que citer ci dessus. Edwins sait lire et écrire. Edwins est de part sa carrure endurant et pourra combattre et accomplir des taches durant plusieurs heures.

Ami(e)s

  • Kelmazad : Kelmazad est le dernier ami d'Edwins, il ne le connait pas aussi bien que Darion mais il l’apprécie depuis son arrivée en esperia



Ancien Ami(e)s

  • Darion Stoneshield : Fidèle ami, il n'en manque pas une pour faire une connerie ensemble. Leurs passe temps favoris : Boire et faire la discipline des miliciens. Mais depuis peu cela n'est plus possible, Darion et Edwins sont les deux seul fidèle, ils sont lié dans le sang, seul la mort les sépareras.

Ils ont jurer de se venger des traitres qui les ont trahis. La mort les as en effet séparé... mais darion restera toujours dans le cœur d'Edwins


  • Hurri Cartier : fidèle compagnons, Edwins s'appuie et demande souvent conseil à hurri, bien qu'il trouve qu'il parle trop vite et trop rapidement Edwins le respecte en tant que parole d'arbitrio
  • Tenzo Kemaltar : ami chasseur,ils leurs arrivent souvent d'aller chassé ensemble. C'est aussi avec lui qu'il a inventer le jeu la balle-laine.
  • Eudoxie : Il est fière de s'être fait une amie comme Eudoxie, il l'apprécie autant pour sa force caractère que pour sa vivacité dans les combats. Edwins sait que tous comme Mata, Mors et Darion il peut compté sur elle en cas de problème.


  • Mors Westford : Edwins ne connait pas aussi bien Mors qu'Eudoxie, mais il l'aime bien en compagnons d'arme.

Oeuvres artistiques: Poèmes

Edwins a rédigé son Recueil poétique à son arrivée sur Esperia.

Mon histoire, mon passé...

Edwins le commencement, ou comment Edwins fut élevé

Edwins était née, une douce nuit d'été, dans une modeste masure d'Huratelon. Ses parents attendaient depuis un long moment déjà, sa venue : enfin un garçon, l'héritage et l'honneur de la famille était enfin assuré ! En effet, son père ancien garde promue chevalier suite à ses nombreuses années de service, et de loyauté envers la ville, avait fondé une belle famille. Mais malgré les trois mises en couches de sa précieuse femme, Jarina, il n'avait eut que des filles, et cela le dérangé au plus haut point : dans la société actuelle les filles n'étaient bonne qu'à être marié et à faire le ménage.

Edwins fut éduqué de la meilleur manière que les finances de son père le permit. Ainsi avant son entré à l'école des chevaliers, il savait déjà lire et écrire. Mais un point noir se profilé à l'horizon : sa sœur. En dépit des instructions de sa mère et des réprimandes de son père, elle prit goût au maniement des armes et de l'arc. Elle commença, alors, à tenter de concurrencer son frère dans tous les domaines possibles. Lorsque Edwins arriva à l'âge où tous les prétendants au grade de chevaliers devaient aller à l'école, c'est à dire 14 ans, sa sœur lui fit la pire surprise qu'il ne put imaginer : elle s'engagea aussi.



Son éducation

Comment avait-elle put ? Ah la vile mécréante, elle l'avait humilier. 3 mois qu'il s'entraînait dur pour cette évaluation. Le premier ou la première serait présenté au seigneur. Et sa sœur avait gagné... à dix point, soit une flèches. Une seul ! Mais cela avait suffit pour faire tourner la balance en la défaveur de Edwins. Ah oui il exécrée sa sœur. Si elle n'avait pas été là, il aurait gagné et aurait été présenter au seigneur. Sa renommé aurait été assuré : Edwins le grand gagnant de l'évaluation, présentait a 14 ans devants le seigneur. Mais cela ne restera qu'un rêve, qu'un douloureux souvenir. Edwins remonta, d'un pas énergique, dans sa chambre. Après avoir entendue le long et humiliant discourt ventant les mérites de la gagnante, il avait perdu le contrôle de soit et devait se défouler sur quelque chose. Mais arriver devant la porte de celle-ci, il trouva préférable de passer son énergie sur les mannequins de paille du terrain d’entraînement. Rebroussant chemin, il fit un rapide détour dans le réfectoire, où était disposé des petits mets pour le creux des apprentis. Il prit une pomme qu'il dégusta, tous en continuant son trajet. Le terrain d’entraînement était un lieu circulaire, le sol était entièrement en sable et les murs en pierres taillées. Les épouvantails de pailles était disposé dans les extrémités de celle-ci. Edwins saisi une épée en bois et frappa le mannequins de toute ses forces. Ce derniers ne bougea pas d'un poil. Edwins de plus en plus énervé continua de frapper, en serrant les dents. Cette compétition il aurait du la gagner ! Cette pensée se transforma petit à petit en parole, et un cri sortis de sa gorge : J'aurais du mieux tiré, cette fille, qui me sert de sœur n'a rien à faire ici ! La suite fut bien plus douloureuse : Un bâton lui frappa les jambes l'obligeant a tombé à genoux. Par pur réflexe, Edwins fit une roulade latéral mais n'eut pas le temps de se relever : un coup de poing le cueillie en plein dans le ventre et il hurla de douleur. Une voix douce s'éleva alors : « Tu apprendras que, le calme et le respect d’autrui est la base du code des chevaliers. La défaite un constat, et la victoire une félicitation. Ne cherche pas de la reconnaissance nous ne sommes pas là pour ça. Un chevaliers est là pour défendre la cité, non la diriger. »

Edwins avait maintenant reconnue la personne, c'était leurs maître d'arme. Il voulue répondre, ne pas rester étendue là a gémir. Mais aucun son ne sortit de sa gorge noué, il avait bafoué, ce qui était pour lui le saint code. Il avait failli...

« Relève toi maintenant, et tache de te contrôler, si tu n'y arrive pas sache qu'à la fin d'un combat à mort c'est ta tête qui tombera la première. »

Edwins se releva tant bien que mal et se dirigea enfin vers son objectif principal : sa chambre.


Sa nomination et son declin

4 ans qu'ils s'entraînaient dur, et aujourd'hui était le Grand jour : il allait être nominée. 4 ans de travail, 4 ans d'entraînement, 4 ans d'apprentissage, 4 ans de respect mutuel, 4 ans... et ils sortaient enfin de l'enfer. Le seigneur se tenait devant eux comme si ils les avaient toujours connue. Et il entama enfin son discours :

« Vous qui étiez si nombreux au début, Vous voilà, peux aujourd'hui. Mais sachez que vous êtes maintenant plus que, tous, plus que le paysans, plus que le marchand : vous êtes les défenseurs de la justice »

A ces mots le cœur de Edwins se gonfla et il inspira un grand coup. Son objectif était enfin accomplie.


Peut de temps après sa nomination, Edwins fut convier à de nombreuses patrouille, il prit peut à peut de l'importance au seins de l'armée. Jusqu'au jour, où durant une patrouille, ce qui devait arriva. Les écumeurs de Lig Ocolide menèrent une attaque, dévastatrice, meurtrière. 8 chevaliers tombèrent se jour là, et Edwins ne dénombra pas les nombreux gardes gisant sur le coter des remparts. Il n'avait pas put les sauvés, il n'avait pas put empêcher le massacre... ces hommes étaient sous la responsabilité de leurs chef mais celui-ci avait failli et était tombé au combat. Mais ce chef n'était pas n'importe qui : c'était son père. Edwins dévaster ne put s'en remettre qu'aux dieux, ou plutôt à un dieu : Arbitrio. Il avait suivis d'assez prêt, pour un chevaliers, les fameuses thèse de Thorak Dreamer. Et il se mit à prié. Puis se rappela les raisons principales qui faisait de Abitrio un dieu peu ordinaire: c'est en cherchant l'épanouissement, en utilisant notre libre arbitre, que nous lui faisons grâce. Edwins réfléchit alors, une longue réflexion, très longue... Et lorsque le soleil se leva, il était convaincue d'une chose : Sa vie à Huratelon n'était plus faite pour lui. Il mit un jour pour terminer les préparatifs. Prétextant une mission urgente, à la capital, il put avoir l'autorisation de chevauchée les plus fidèles bêtes d'huratelon : les cochons. Son départ se passa sans encombre, et son destrier : porcorosso, avancer à vive allure. Ainsi dès le quinzième levée de soleil, Edwins atteignit la Capital. Il arriva devant les grandes portes, toujours juché sur sa selle. Mais avec un énorme doute : qu'allait-il faire de sa vie ? Il surprit deux trois jeune femme, le regardant avec un air bizarre : cela ne devait pas être commun de voire quelqu'un en armure à dos de cochon. Au plus grand désespoir de Edwins, il ne put pénétré dans la capital. Les gardes lui refusèrent l'accès, la cause était simple : porcorosso ne pouvait entré. Edwins ne voulant pas se séparé de son fidèle compagnon de voyage hésita longuement. Puis décida de le vendre pour une bière noir et un pain au blé complet, à un marchand en provenance d'Huratelon. Le soleil disparaissait dans le lointain horizon, lorsque Edwins rentra enfin en ville. Son objectif prioritaire était de trouvé un lieu pour dormir. Il se mit alors quête des très renommée taverne de la capital, il compris rapidement que la capital était aussi active le jour que la nuit et que les quartiers les plus actif était ceux où se situait les taverne, ainsi il ne fallut qu'une petite demi-heure et quelque pièce, pour trouver le chemin d'une taverne. La chambre coûta plus cher qu'il ne le pensa, mais le service était de qualité. Edwins fortement curieux de l'activité de la ville, même avec des heures avancées. Décida de déambulé dans le rue. Il erra dans les ruelles des heures durant, jusqu'à ce que l'activité fut de moins en moins importante. Mais durant les heures passé à déambuler dans les rues, il n'avait pas fait attention à son chemin. Il était désormais perdu. Il essaya tant bien que mal à retrouver le chemin de la taverne, mais rien n'y fit. Il marchait d'un pas énergique, quand soudain quelqu'un l'interpella : enfin de l'aide ?

« eh toi ! Qu'est ce que tu fait ici ? »

Edwins un peut surpris de l'agressivité des paroles se contenta de répondre :

«  Peut de chose, je marche et cherche la taverne des bois dorés. »

Un ricanement sortis de la bouche de son interlocuteur, puis il lâcha quatre mot. Quatre mot qui raisonné comme une sentence, quatre mot qui lui rappela son passé, qui était relativement proche mais qu'il tachait d'oublier :

«Saisissez vous de lui »

Des hommes jusqu'alors placer en retrait s'avancèrent. Il était équiper d'épée courte et on voyait dans leurs yeux une seul envie : le tuer. Edwins d'un geste rapide et souple dégaina son épée, para le premiers coup, riposta, chargea, se défendit. Il recula, montrant un point de faiblesse dans sa garde sur le coter droit. Un bandit en profita, mais ne trouva que du vide lorsqu'il frappa : Edwins s'était décalé et l'avait laisser se faire emporter par le poids de son épée. Il en profita pour frapper, de toute ses forces, avec tous son talent. Puis se fut la stupeur général : La tête du bandit gisait au sol. Soudain une petite cloche se mit à retentir, les bandits se regardèrent puis partirent en courant, excepter leurs chef qui dis : «  on se retrouvera étrangers et je te ferais payé le crime de mon frère ! ». Le petit groupe disparue dans l'ombre. Edwins resta avec le cadavre le regarda, il entendit des cris derrière lui puis sentis une lame dans son dos. Des mots retentir des mots qu'il n'aurait, et ne voulait jamais entendre :

« Baisse ton arme assassin, peste soit ses bandits. Amener le au poste de garde ! Je suis persuader que nous trouverons une geôle suffisamment grande pour lui. »

Réduit à l'état d'assassin, de simple prisonniers, de vermine. Les mains liée, la gorge sèches. Son armure était resté à la taverne et sa bourse venait d'être « réquisitionnait » par les soldats. Edwins ne broncha pas quand la porte de la cellule fut ouverte, il ne dit rien lorsqu'on le poussa sans ménagement dans celle-ci et ne dit rien qu'en au pain sec et moisie qu'il lui servait de nourriture. Le temps s'écoulait, d'ailleurs Edwins en perdis la notion. Le seul moment où il voyait la lumière était lorsque les gardes lui apportèrent à manger. Il se rappela alors des mots anciens :

« Les hommes veulent être plus grand que tout le monde, parce qu'ils ont peur d'aimer. Quand on est a la même hauteur, il faut se regardez dans les yeux. Et ça, ça les dérange »



La fin de son déclin, son entré dans l'arène

Edwins aurait voulue être grand, mais il s’aperçut que lorsque l'ont deviens grand, la chute était terrible. Pendant la longue et interminable semaine, edwins se mit en profonde réflexion, et ne chercha même pas à nier qu'il avait tuer un homme, même si ce derniers était un bandit. Un jour, il ne saurait dire lequel exactement, un homme habillé de manière peut commune rentra dans la geôle, se plaça de l'autre coter des barreaux et le regarda d'un air solennelle. Edwins appris plus tard qu'il faisait partis des plus riche bourgeois de la ville.

« Alors jeune homme, il paraît que tu aimes détruire la vermine de la ville ? »

Edwins, le regarda mais ne répondis pas.

« Tu peux parler, tu sais, je suis là pour te proposer quelque chose. »

Edwins de plus en plus abasourdis, osa demander :

« Vous? Que vous importe la vie d'un misérable tueur de brigand ? Pourquoi maintenant, faite moi rire vous et vos bonne manière, je ne sert personne et plus jamais je ne servirais quelqu'un ! »

Le bourgeois rigola, un rire retentissant, qui résonna longtemps sur les parois.

« Tu ne sert personne ? Pourtant tu as prêté serment au seigneur Huratelon, ta vie ne se résume pas au meurtre que tu as commis, jadis, tu étais un chevalier mais tu as, a priori choisi une autre voie »

Edwins mis du temps à comprendre ces mots. Il avait bien dit : tu étais chevalier. Il avait employé le passé... Edwins fou de rage se releva et se jeta contre les barreaux en criant :

« JE suis toujours un chevalier ! »

Le bourgeois ne tressaillit pas et ne montra aucune faille, il resta calme et posé.

«  Non Edwins, tu étais un chevalier. Tu as déserté ton poste, rompue ton serment, ta mère ta destitué, ta sœur t'as renier. Tu n'est plus rien. Juste un homme comme les autres, ou devrais-je dire : un gueux »

Edwins tomba à terre, ce bourgeois mentait il en était certain ! Sa mère n'avait put le destitué et sa sœur... Edwins enragé intérieurement, il était dévasté. Le monde se retourné contre lui... Le bourgeois continua de parler ignorant sa chute.

« Mais j'ai peut être une idée... Vois-tu je m'occupe de l'arène de la Capital et nous sommes en manque de gladiateur. Ce que je te propose est de travaillé pour moi, tu seras payé en fonction de tes victoires dans l’arène. Oh ! Bien sur c'est un métier dangereux, mais la gloire à sourit à plus d'un. »

« Je ne suis pas un esclave et encore moins un pantin payé pour tué !, cria Edwins hors de lui »

Le bourgeois ne parut pas surpris par sa réaction et comme tous bon marchand qui croit avoir trouvé la perle rare, souris.

« je ne voulais pas en arrivé là, mais comme tu ne souhaite pas coopéré... »

Le bourgeois se retira, au plus grand étonnement d'Edwins. Mais revint accompagné des gardes quelque minute après.

« voilà comme conclue, bien-sur cela reste entre nous »

Sortant une bourse fortement remplis, où l'on entendais les pièces s'entre choquer, le bourgeois ou plutôt le marchand venait d'acheter Edwins. Comme si il achetait une tenue pour un dîner, une baguette de pain à la boulangerie, un bière dans la taverne.

On le sortis sans ménagement de la prison et on l’escorta jusqu'à la dite arène. L'arène était un bâtiment très imposant, elle pouvait accueillir une énorme foule. Tous cela pour quoi ? Voire des hommes s'entre tuer ? Quel barbarie humaine...

Il fut amené dans des quartiers, où il fut présenté au autre bretteur de l'arène. Leurs regards n'étaient pas sympathisant, il les voyait l'épier, cherchant ses moindres faiblesses. Mais Edwins ne tressaillit pas. Demain c'était, parait-il, le jour de fête. Toute la capital allait afflué vers l'arène à la recherche de sang et de mort. On lui présentas rapidement les lieux et les salles d'entraînements ainsi que sa « chambre », plus un taudis qu'autre chose : son lit était de paille et de bois, ses murs, enfin ce qu'ils en restaient, menacer de s'effondrait. Sa première nuit, fut la pire de toute... Le lendemain après avoir manger du pain et bue, pour la première fois depuis longtemps, une bière. Edwins se dirigea vers le terrain d'entraînement. Mais l'entraîneur-chef l'en empêcha :

«  Les combats commence dans deux heures, il serais dommage que tu te blesse avant, dit-il en riant puis rajouta, d'ailleurs tu fait partis de la première tournée, tache d'être à la hauteur »

Edwins attendis avec les autres anxieux... il savait que des alliances allées se formait mais lui ne voulait pas de ça. Et puis qui voudrait d'un gars sans expérience dans son équipe ? La cloche retentit, l'équipement fut distribuer les plus anciens avaient des armes en fers, et Edwins une armes en bois renforcé. Les bretteurs furent acclamé lors de leurs entré dans l'arène. Le peuple voulait du sang. Edwins serra de toute ses forces la garde de son épée, le peuple voulait du sang ? Il en aura, mais pas le siens.

La cloche retentis de nouveau et les combats commencèrent... Deux gladiateurs apparemment allier voulais en découdre avec lui, mais leurs désorganisation dans leurs attaques les perdis, quelque coup et feinte après, il était étendue dans une marre de sang... leurs propres sang.

Le public applaudit, et déjà un autre gladiateur arriva sur Edwins, il n'avait plus d'arme mais chargea tellement rapidement qu'il le plaqua au sol et commença à l'étranglé. Edwins se débâtit comme il le put mais aucune occasion ne se présenta l'air lui manquais de plus en plus. Soudain la pression sur sa gorge disparut, Edwins ne compris que quelque seconde après lorsqu'il vit l'épée enfoncé dans le ventre de celui-ci. Il esquissa une roulade sur sa gauche, l'épée de son nouvelle agresseur le rata de peut, il tenta de se relevé mais rien à faire ses jambes étaient bien trop engourdis. Il tenta de récupéré son épée mais en vain. Les coups pleuvaient plus rapidement que l'avait prévue Edwins. Il arriva enfin a se relevé mais le gladiateur le frappa le pommeau de son épée contre sa tête puis se fut le noir... total...


Comment Edwins fut réduit en esclave

Edwins cligna des paupières, plusieurs fois, ses poignées et sa tête le faisait affreusement souffrir. Il fut prit d'un mal et vomi ses entrailles sur le sol en bois... Une voix forte et autoritaire s'éleva : « vous deux nettoyer ça » Edwins voulue s'avancer pour aider les deux pauvres désigné mais ne put bouger ses mains étaient attaché, ou plutôt ferré. Il était enchaîné... et plus est dans un dirigeable, enfin c'est ce qu'il avait crue comprendre. La dernière chose dont il se souvenait été son combat dans l'arène... Le reste, est encore confus et noir. Le voyage dura longtemps, la plus part des autres gémissaient, lui ne se plaignait pas mais se préparé à son avenir. Il le savait, il n'y avait que les esclaves que l'on enchaînait comme cela. Il devait se préparé, physiquement et surtout psychologiquement...

L'esclavagiste se déplacait le long de la colonne, et gueula : "Bientôt, vous serez vendu tachez d'être bon sur l'estrade, que je vous vende plus cher » ils étaient tous enchaînait attendant leurs tour pour monté sur l'estrade. Ce nouveau monde que l'on appelé esperia, n'était pas meilleurs que l'ancien : les riches dirigé toujours et les faibles étaient toujours soumis... et d'autre, comme lui, ne valait guère mieux qu'un meuble ou une tapisserie... La foule s'agitait et ne cesser du surenchérir, Edwins ne savait pas qui était passé devant lui, mais c'était son tour de monté sur l'estrade. Les poignées en feux et les pieds douloureux Edwins se hissa sur la plate-forme, surplombant la foule, puis jeta un regards circulaire. Sa vie était maintenant dans les mains, ou plutôt dans la bourse, de ses humains...

« Crie profonds, Perte de son humanité, Esclavage »


Après la longue nuit

Au fil des jours qui s'ecoulerent edwins compris comment marcher esperia, l'economie, les loies et ce principalement suite au coup de baton de son maitre et de la garde enewia. Il trouva un mecene qui l'aida a publier une partis de ses ecrit, et ce derniers n'était pas n'importe qui : c'était le gouverneur d'esperia.

Le caractere d'edwins s'affirma peut a peut :

Edwins dans la plus part des situations prefere se tenir en retrait, analyser la scene, les actions des personnages. Ils n'aiment pas la foules et les effets de groupe. Il se refuse de plus en plus a appelle izengrin : Maitre et a preter du respect au gens qui le meprise. Edwins ne se sent pas a sa place avec ses chaines et cherche desesperement un moyen de les retirees. Ses connaissances guerriers font de lui un adversaire terrible a l'epee mais ridicule a la hache de guerre, Sa carrure : Taille moyenne : 1m 85 guere plus Ossature : musclee mais peux visible, on le pense faible et fragile, alors que c'est une vrais armoir. Ses yeux et ses cheveux : la couleur de ses cheveux brun se retrouve a la perfection dans ses yeux noisette.


Après une longue semaine de repos et de sommeil, Edwins avait eu le temps de reflechir, beaucoup de temps. Il devait agir ! La situation d'esperia ne faisait que empirer pour les esclaves et la plupart des gens se retrouve dans une routine quotidienne et peu interessante. Kemelvor avait beau etre une personne ambitieuse mais n'agissait que peux. Le senat, bien trop lent pour prendre des decisions et les faire appliquer, devener une assemble futil. Mais Edwins ne pouvait rien faire, ses chaines l'en empecher, il aurait voulu crier, s'arracher les cheveux, montrer la misere et dire son opinion mais personne n'ecouterait un esclave... Il devait s'elever prendre de la hauteur, ou s'echapper... La derniere solution lui était venue plusieurs fois a l'esprit, mais vue l'ampleur de la tache et de la difficulte de cette derniere, il l'abandonna aussi rapidement qu'il fut transformer en esclave. Edwins avait maintenant un objectif : trouver un moyen de s'enlever ses chaines