Utilisateur:Angelina
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Angelina Di Rivera
Nom : Di Rivera
Nom de jeune fille : Castella
Prénom : Angelina
Taille: 1m70
Âge : 24 ans
Religiosité : Monachiste
Métier : Brasseuse & Danseuse
Arbre de compétence : Ethyliste - Art : Piano - Art : Danse - Ingénieur
Angélina est une jeune femme élancée. Elle entretient son physique, adepte de la dance avec son époux. Elle ne possède pas d’atout physiques spectaculaires, étant plutôt fine, ce qui va avec sa profession de danseuse.
Du haut de son mètre soixante-dix, elle possède des cheveux roux et des yeux bleus pâles. La plupart du temps, elle garde une mine sérieuse. Elle ne dispose pas de marques particulière sur le corps.
Fort de caractère, Angélina ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle est plutôt sans gêne, n’hésitant pas à user de ses charmes afin de séduire les hommes. Elle ne dispose pas de la langue dans sa poche, ce qui lui donne un charme certains. C’est une femme très sociable, qui adore les discussion de comptoir, donnant toujours son avis sur tout et n’importe quoi.
Le Solstice de Thermidor était arrivé. La Capitale de la République Sudiste était en fête. Toutes les rues étaient décorées de fleurs et les festivités venaient de commencer depuis déjà une journée.
Angélina et Sébastian se préparaient aux festivités eux aussi. Tous deux vêtus de blanc, ils devaient faire une représentation de danse devant la Brasserie de la famille Di Rivera. La mère de Sébastian, accompagnée de quelques musiciens, devait se charger de la musique. Nombreuses étaient les personnes dans les rues durant ces périodes de fête. La prestation ne pouvait qu’apporter un peu de publicité à la Brasserie.
Sébastian se chargeait des derniers préparatifs. Angélina elle, essayait tant bien que mal de fixer la couronne de fleurs à ses cheveux, devant le miroir.
“Sebastian, ça ne tiendra jamais durant la prestation”, pestait-elle.
L’Homme avait l’habitude d’entendre son épouse râler pour tout et n’importe quoi. Il la fixait alors, tout en ajoutant la ceinture de tissu rouge autour de sa taille. Il souriait alors à sa compagne, à travers le miroir.
“Tu es sublime pourtant.”, disait-il en s’approchant de la jeune Caroggianne.
Sebastian s’approchait alors d’Angélina, déposant ses mains sur ses hanches à son habitude. La jeune femme, elle, toujours les mains dans les cheveux, l’observait alors à travers le miroir. Il avait toujours ce sourire charmeur, ce sourire pour lequel elle lui avait dit “oui”, en cette Nivôse de Décembre 514. La jeune femme semblait anxieuse, comme avant chaque prestation. Sebastian lui, ne le montrait pas, essayant de rester fort pour sa compagne de danse et de vie.
“Lina, tu te fais du soucis, encore ?” ajoutait-il, tout en offrant un coup de main à sa compagne.
Angélina ne refusait pas l’aide de Sebastian. C’est dans un soupire évocateur qu’elle opinait à ses propos.
“C’est la première fois que nous allons offrir une prestation durant le festival aux fleurs, Sebastian. J’espère juste que tout va bien se dérouler.”
Le jeune Caroggian terminait alors de l’aider à se coiffer, ajoutant lui aussi à son tour une fleur dans ses cheveux. Il prenait alors doucement sa compagne par les épaules avant de la tourner vers lui. C’est avec un intérêt tout particulier qu’il regardait sa jeune compagne. Son regard en disait long sur leur relation, il l’aimait, c’était certain.
“Tu es sublime Lina.”, ajoutait-il en plongeant son regard dans celui de la Caroggianne. “Si les gens n'apprécient pas notre prestation, c’est qu’ils te jalousent.”
Il déposait alors un baiser rassurant sur son front, protecteur.
“Qui plus est”, disait-il en détachant lentement l’étreinte sur les épaules de sa femme, “Moi aussi j’ai une fleur dans les cheveux. Comme ça si ta couronne to-”, la jeune femme essayait de lui couper la parole.
“Sébastian tu n’es pas obligé de-”, il la coupait alors à son tour.
“Comme ça si ta couronne tombe, je ferais tomber ma fleur. Ils penseront à un jeu du spectacle.”
Il lui offrait un sourire réconfortant. La jeune femme opinait alors, satisfaite de ses propos.
Le Soleil était à son Zénith, mais un vent agréable parvenait de la mer. Une foule de personnes étaient regroupée devant la Brasserie Di Rivera, alors que d’autre continuaient leur chemin sans se soucier des préparatifs.
La mère de Sébastian était présente au Piano, alors qu’un autre homme lui, accordait sa Mandoline. Sebastian, sans sortir de la Brasserie, sifflait alors sa mère, lui indiquant par ce geste qu’ils étaient prêts. Elle opinait alors, entendu, offrant un signe de tête au propriétaire de la Mandoline.
Laura commençait alors à frapper dans ses mains, dans un rythme soutenu. L’homme ne tardait pas à la suivre dans son geste. Ils tentaient alors d’encourager le public à faire de même. Ce n’était pas vraiment des applaudissements, mais plus une sorte de rythme à garder. Alors que Laura continuait à frapper dans ses mains avec le public, l’homme à la Mandoline commençait alors une mélodie lente, grave.
Sébastian sortait alors de la Brasserie, se présentant seul au milieu de la foule, commençant des pas de danse très lents, chorégraphiés. Il observait la foule avec un regard embrasé, sérieux, charmeur. La danse du jeune homme continuait, alors qu’Angelina sortait de la Brasserie, le pas lent, chorégraphié lui aussi.
Le Piano commençait alors à se faire entendre avec la Mandoline, alors que Sebastian tournait autour de sa femme en frappant des mains, au rythme du public.
Leurs regards se croisaient, intenses. Ils avaient tous les deux une mine sérieuse sur le visage. Ils se cherchaient, offrant alors au public une sorte de parade nuptiale au rythme des instruments. Ils ne tardaient pas à se rejoindre dans la danse, collés l’un à l’autre.
La danse était un style de mixte bâtard entre le Flamenco et le tango, au rythme du piano et de la mandoline.
Leurs mouvements étaient lents, riches de sens, sans pour autant être vulgaires. Le couple semblait alors ailleurs, évadé dans le feu du spectacle. Tous deux montraient une confiance en eux importante, une fusion indescriptible. Ils se complétaient.
C’est dans un mouvement un peu trop acrobatique qu'Angelina perdait alors sa couronne de fleurs. Sébastian, lui, ne tardait pas à rattraper celle-ci, tenant fermement sa compagne d’un bras dans le dos, penché sur elle. Tout en se redressant au rythme lancinant de la Mandoline, le jeune Carrogian balançait la couronne de fleur vers le public, avant d’en faire de même avec la fleur qu’il avait dans les cheveux. Il souriait à sa compagne, ajoutant d’un sourire charmeur durant la danse ;
“Lina, tu es sublime.”
La jeune femme écoutait alors ses paroles avec intérêt, avant de terminer la danse chorégraphiée au rythme des instruments. Les applaudissements se faisaient entendre.
Ce n’était pas la première fois que le couple se présentait devant un public, mais le faire durant La Carrogiade était important pour eux. C’était avec un sourire satisfait qu’ils enchaînent alors une autre danse, sous le soleil puissant de Caroggia.
