Utilisateur:Aymon

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
_Yakiimo
Pseudo
Aymon
Prénom IRL
Nino
Âge IRL
20 ans






Description


Personnage AymonPortrait.png


Mesure dans les 1,70m, peau assez claire et propre, les cheveux plutôt bruns, les yeux bleus, une barbe assez épaisse et entretenue, une musculature très peu dessinée mais présente, les cheveux tombant généralement devant son visage.


Signature-Aymon.png







Choix

Verrier - Art (loisir) - Connaissance




Talents

  -Sculpteur de verre
  -Travailleur
  -Rêveur (concevoir les choses, rendre plus belles)
  -Bonne imagination




Défauts

  -distance remarquable envers les inconnus 
  -joueur 
  -rêveur (idéaliste)
  -corruptible



Intérêts culturels et goûts

  -Bonne nourriture
  -L'esthétique
  -Méthode de pensée nouvelle concernant l'art
  -Une chaleureuse ambiance


Histoire

-485 : Naissance d'Aymon Monvoy au sein de la dite famille dans la Petite République de la Capitale. Né du père Aldebert Monvoy et Christine Monvoy, Aymon est chouchouté est « promus à un bel avenir », disait ainsi son père. Celui-ci était un homme se remémorant le passé glorieux du Royaume central, tout en respectant et priant par moment Adryan II. Sa mère quant à elle était une femme plus politisée, plus maniable et discrète. Elle ne désirait que les bonnes choses pour sa famille, n'hésitant pas à faire de petits larcins dans les temps durs… Il n'était pas rare de constater que la famille crouler sous différentes dettes, de plus, la faim tiraillait par moment. Cet enfant était vu comme une aide certaine pour gagner plus.


-491 : Six années plus tard, Aymon suit son père à son travail de verrier. Il voyait son père comme un véritable meneur d'homme, un élément moteur. Il avait pu avoir quelques sources sûres sur une prétendue arrivée de Carrogians, lesquels semblaient être intéressés par de l'art en verre. Travaillant avec acharnement, le père montra et expliqua plusieurs choses à son fils pour qu'il reprenne la boutique un jour. Aymon semblait être émerveillé devant le crépitement des flammèches et devant le verre fondant et sculpté par les mains rugueuses du père. Cet art semblait déjà émerveiller les yeux du jeune garçon, sous les petits rires des collègues du père, qui regardaient avec amusement l'enfant exprimant très fortement sa joie devant quelque chose de banale pour eux.


-491 → 495 : apprentissage du métier de verrier et de la religion pour qu'il soit un être pieux. De ce fait, chaque jour pendant un mois de l'année 492, il pria la main droite sur le cœur Arbitrio ainsi que le Roi Adryan II. L'apprentissage religieux avait beau être « facile », de par la mère et le père, le contraire fût choquant pour la lecture et l'écriture. Pendant cette période, il se devait de travailler ou être un simple livreur pour son père afin qu'il puisse se payer une forme de tuteur local, qui apprenait petit à petit la lecture et non l'écriture. Ces deux exercices étaient une véritable épreuve pour notre jeune Aymon et il se devait ; du moins c'est ce qu'il pensait ; de terminer ces formations pour qu'il soit un bon fils et un bon capitalards. On peut assez clairement dire qu'il était bercé par des rêves et par des illusions, comme s'il voulait lui-aussi œuvrer grandement pour le Royaume Central.


-496 : La mère d'Aymon se fait embarquer par des gardes de la Capitale alors qu'elle tentait de faire des larcins dans le petit marché, il a alors 11 ans. De plus, la réputation de la famille diminue fortement, les acheteurs se faisant alors très rares. Le père débute une longue et douce descente dans l'alcool, Aymon continuant l'apprentissage du métier tout en livrant par moment. Hué, raillé, les deux Monvoy vivent assez mal cette situation. Eux qui avaient su monter la pente du peuple, ayant assez de revenus pour subvenir aux besoins essentiels en ville, étaient désormais une forme discriminée de la population, à cause de leur mère. Ce qui semblait étrange, c'est que celle-ci avait pris goût aux larcins. Il est certain que depuis quelques temps, elle faisait cela non pas pour la famille, mais bien pour elle, pour éventuellement un sentiment de supériorité dans la malice et l'intellect.


-497 → 510 : Devenant de plus en plus un véritable homme, son père sombrant définitivement dans l'alcool, devenant par ailleurs un alcoolique notoire, Aymon continue d'apprendre le métier avec l'ancien bras-droit de son père : Maël Longbois. Celui-ci semblait plus adroit et vif d'esprit que le père l'était, de plus, son jeune âge favorise grandement l'entente entre les deux compères. Notre protagoniste continuera d'ailleurs les études avec son tuteur, débutant désormais l'écriture. Néanmoins, les « prix » deviennent de plus en plus chers et Aymon ne peut se permettre de dépenser autant d'argent d'un seul coup. Il débutera de plus, sous conseils de Maël, le jeu dans les tavernes, pour gagner de quoi s'acheter des vivres, ou économiser pour le tuteur. Il entretiendra une histoire amoureuse avec une lavandière de la ville, une certaine Aurianne, à la chevelure dorée. Très complices et se retrouvant par moment dans les rares ruelles encore illuminées de la ville, le dit couple sera très joyeux pendant un temps.


BrinLavande.png


-513 : Malgré la mort d'Adryan II, Aldebert et Aymon gardent le cap de l'atelier, cependant, le père devient assez instable mentalement et physiquement parlant. De plus, devenu le gérant de l'atelier de son père, Aymon garde Maël et entreprennent ensemble une totale refonte des équipements de l'atelier. L'esprit attentif d'Aymon intervient à ce moment précis et de plus, l'esprit artistique de notre jeune ami apparaît progressivement, ne voyant plus seulement le verre comme une simple matière, mais comme un support. Cependant, tout ne va pas excellemment bien. Aurianne devait retrouver Aymon proche de chez lui, mais se fît âpper par Aldebert, le père. Très alcoolisé, dans un état secondaire, il agrippa la jeune femme et fît ce dont on se doute. Revenant, très heureux de son travail, Aymon constate que son père descend les marches de la maison, Aurianne criant encore de douleur. Questionnant son père, il avouera la dite chose avec un sourire des plus idiots et seconds. Pris de rage, il frappa plusieurs fois son père au visage et au ventre avant de le traîner dehors. Il ne revînt plus jamais, ainsi qu'Aurianne, énormément blessée par ce qui s'était passée.


-515 : Encore sous le joug de la tristesse, Aymon se réfugie dans son travail et parle très peu. Maël prends de plus en plus d'assurance et s'associe avec différents marchands, doublant les gains de l'atelier. Très distant, Aymon ne s'en rend pas totalement compte. Il entreprendra la création de sa première sculpture, un petit brin de lavande en verre tinté jaune-or comme souvenir de son amour perdu. L'écriture et la lecture prennent de plus en plus le pas, mais restent très abstraits et brouillons.


-517 : Corrompre la garde, prendre des prêts au nom d'Aymon et appeler les Débardeurs rouges contre l'argent obtenu des prêts, Maël dupait définitivement notre protagoniste. En-dehors de l'ancienne entreprise familiale, il se fera capturer par cette pègre locale. Vagabondant, mangeant assez peu, il se verra obliger de participer aux actions de la bande dans les quartiers nord contre son gré. Il croisera d'ailleurs son père qui se fera dépouillé par les compères de la dite bande. De plus, face à lui, ou plutôt haut de lui, il signera la fin de sa relation père-fils en lui crachant au visage. Il se verra aussi obligé de vendre son objet de brin de lavande pour obtenir suffisamment d'argent pour prendre une Capitale et un Rat cuisiné durant l'hiver de la même année. Il se fera vendre comme esclave, voyageant désormais vers un lieu qui ne connaît pas : le dehors de la Capitale.



Biens et possessions

  • Tenue d'hiver : Un manteau en peau d'ours, affublé par une écharpe gardant bien la chaleur, bottes en cuir, pantalon en lin rembourré / doublé.


  • Bourse en cuir : Une bourse en cuir assez banale.


  • Grenacé de 516 : Une bonne bouteille.


  • Chapeau haut-de-forme en cuir noircit : Un chapeau haut-de-forme assez banale, propre.


  • Gilet brun en laine : Pour les jours plus heureux et chaleureux.



Créations artistiques

Les créations d'Aymon, au sein du Verre Chantant de Rivelame :


"Sans doute l'une de ces plus belles créations"


  • Un pendentif ornemental en forme de serpent tourné vers le bas.


  • Un masque mortuaire en verre d'après un modèle.


  • Une colombe aux ailes déployées en verre.


WOLF RED orlinski inception gallery.png


  • Un loup en verre, rouge, hurlant à la lune.


  • Un pendentif en verre assez banale.




Relations

Jusqu'au bout



Ombeline



Melodiaz



Neshan


Le temps paraît favorable



Sonio



Alera


Espérons que l'on se connaisse mieux


Danhae