Utilisateur:Baltasar

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Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Seedjaneal
Pseudo
Baltasar
Prénom IRL
Thibault
Âge IRL
21 ans



Informations Diverses
Jeune papa au foyer de Californie



Description

Baltasar est un jeune homme de petit gabarit à la peau foncée par le soleil, ses yeux sont bleus profonds et ses cheveux bruns foncés. Il n'est pas très musclés et est plutôt maigrichon. Il est bien éduqué, poli et serviable. C'est un garçon simple, que le hasard a arraché à une vie de simplicité et de jeux.

Compétences

Agilité : Agile de par sa constitution et le fait que ce soit un peu un chahuteur, les jeux et les bagarres on fait de lui une petite boule de nerfs aux réflexes relativement aiguisés pour jeune adulte.


Alphabétisation et calcul : Il est excellent avec les chiffres, ils l'ont toujours passionné et la découverte des mathématiques ont été une source de plaisir pour lui dès le premier jour de son éducation et même si les lettres ne sont pas aussi amusantes à ses yeux, il les manie également aisément.


Dessin : C'est dans son temps perdu que Baltasar appréciait le dessin, il aimait saisir les moments qu'ils passaient avec sa famille sur le papier et a force d'acharnement, il a developper un certain talent pour le dessin.

Talents

N'ayant jamais été confronté a lui-même, Baltasar ne possède pas vraiment de talents particuliers.

Défauts

Baltasar est un jeune homme simple, il aura parfois du mal à comprendre les réels intentions des gens, certains pourrons le qualifier de naïf. Il est un peu gauche quand il s'adresse a autri et peux parfois blesser dans sa franchise. A tendance a laisse l'excitation prendre le dessus sur sa personalité, ce qui le mène parfois à agir comme un enfant.

Intérêts culturels et goûts

Aime beaucoup le miel et les fruits confits, le saumon et le hareng, est un grand buveur de thé. Il pratique et aime beaucoup la lutte Vellabriaise, mais n'est pas très bon à cette dernière.

Histoire

C'était enfin le grand jour ! Baltasar, son père, sa mère, sa petite soeur et Tomas étaient en route pour le bord de mer et comme à leurs habitudes, il allait concourir pour savoir qui pourrait nager le plus loin ! C'était quelque chose que le père de Baltasar lui avait souvent fait faire, il disait que l'émulation et la compétition entre hommes étaient quelque chose de sain et vivifiant et Baltasar était d'accord, jamais il ne se sentait aussi vivant que lorsque le feu de la compétition l'emportait sur tout le reste. C'était la première fois qu'il emmenait Tomas avec eux, usuellement, Ernaldo les accompagnés, mais il était malade depuis maintenant une semaine et il ne pouvait donc pas participer. Une fois arrivé sur la plage, en bas de la falaise, ils mangèrent un repas bien mérité après les heures de route : hareng sécher et pain un peu trop sec au gout de Baltasar, mais il était bon de se remplir la panse avec la competition. Après le repas, ils jouèrent aux cartes pendant une heure ou deux, principalement des jeux inventer par la cadette du groupe pour ne pas la mettre en colère, car elle ne comprenait rien aux jeux des grands, ce qui provoquait usuellement l'hilarité du groupe. Puis ce fut le moment, Baltasar, son père et Tomas, se devenir pour ne porter que le minimum, pour Baltasar, ce fut un débardeur blanc et un pantalon de jute retenu par une corde. Et après s'être souhaité bonne chance les uns les autres, ils coururent dans l'eau ! Il adorait nager et aujourd'hui, il se sentait encore mieux que d'habitude, l'eau était loin d'être chaude, mais tant pis, ce n'était pas un problème, Baltasar allait vite, il nageait un crawl rapide et discipliné, lorsqu'il relevait la tête de l'eau, il regardait à gauche, il regardait à droit, et il ne voyait personne. Il était devant, et il se sentait vivant, il pensait que son père et Tomas devaient rager de le voir aller si vite, mais s'il avait pris le temps de regarder devant lui et d'écouter les cris de son père, il aurait vu qu'une énorme vague arrivait droit sur lui. Lorsque la vague frappa Baltasar, elle l'engloutit et le visage de son père se tordit d'inquiétude, Baltasar descendit peut-être de quatres ou cinq mètres sous l'eau sous la force du choc, il utilisa toutes ses forces pour remonter à la surface et lorsqu'il réussit, il se rendit compte qu'il était loin, très loin de la plage, trop loin, pensa-t-il. Il n'entendait plus les cris, et il ne distinguait pas les silhouettes de sa famille, il ne pouvait au loin, voir que la falaise disparaitre, petit à petit, alors qu'il était emporté par le courant. Ses forces étaient parties, évanouies dans son effort pour remonter à la surface, il se mit sur le dos, paniqué, pour essayer de récupérer quelques forces, mais l'inquiétude de dériver trop longtemps le gagna et il essaya de nager vers la falaise qui s'en allait petite à petit, seulement le courant était trop fort et la seule chose qu'il fit en essayant aussi dur de revenir à la berge, c'est gâcher ses dernières forces et s'évanouir, épuiser, porter par les flots qui allaient être sa perte... Balatasar ouvrit les yeux doucement, son souffle était court et il avait froid, il était en intérieur, les poutres de bois grinçaient sous le vent : "- père ? - Non mon gars, j'suis par ton père moi, j'suis le capitaine ! - Le capitaine ? Où est-ce que je suis ? - Sur mon navire mon petit gars, on est en direction d'Esperia. - Mais ... Mais je veux rentrer chez moi ! Vous allez me ramener hein ? - Non mon garçon, Esperia sera ton nouveau chez toi, ton nouveau maitre prendra bien soin de toi, et j'espère, me payera correctement pour un petit gars comme toi ! " C'est alors que Baltasar réalisa qu'il était enchainé et qu'il n'était pas le seul dans ce cas, il se mit en boule et sanglota doucement, réalisant qu'une vie d'esclavage l'attendait, il ferma les yeux entre deux sanglots et, encore épuiser de sa lutte contre les vagues, il pensât à sa famille qui lui manquait, il aurait aimé que son père soit là pour le rassurer, mais tout ce qu'il y avait ici, c'était le sourire malsain du capitaine et le bois dur sur lequel il était assis...