Utilisateur:Caliban

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Aiveck
Pseudo
Aiveck
Prénom IRL
Gabriel
Âge IRL
16





Caliban

Border2px.png


  • Prénom : Caliban
  • Nom : Uveir
  • Naissance : 23 decembre 499
  • Âge : 16 ans
  • Taille : 1 mètre 65
  • Poid : 57 kilogrammes
  • Cheveux : Noir Sombre
  • Yeux : Bleu légèrement foncé
  • Religion :Monachiste
  • Langues parlées : Capitalin
  • Ville d'origine : Saillonne
  • Rang social : Esclave
Aptitudes

Grille Bocal Vide.pngVerrier
Grille Argile (objet).pngArt de sculpture
Grille Livre et Plume.pngEducation



Description physique

Caliban mesure 1,65m et pèse aux alentours de 57Kg. Il a les yeux d'une couleur bleu légèrement foncé et les cheveux d'un noir sombre. Il est plutôt mince malgré le fait qu'il adore la nourriture et porte une tache de naissance sur la main droite vers la jointure du milieu.

Traits moraux

Caliban est plutôt sûr de lui face à ses choix malgré le fait qu'il est gêné en présence d'une femme mais il reste quand même fidèle face à ceux qui lui accorde leur confiance. Par contre, il n'oublie jamais ceux qui l'on humilié, battu et même ceux qui se faisait appeler, amis.

Talents

Caliban sait manipuler un tube à souffler et est capable de créer des objets de verre. Il sait aussi inspecter le verre pour en déduire la qualité.

Histoire

Chapitre 1.

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Du haut de mes 7 ans j'étais profondément endormis quand un bruit me réveilla. Croyant encore que c'était Élis (mon chien) j'essayai de me rendormir quand le bruit se manifesta encore. Vif comme l'éclair je m'approcha de la fenêtre et vit Radam, un de mes voisins qui était aussi mon ami à cette époque. Il était entrain de lancer des roches en direction de ma fenêtre de chambre. Celle qui était situé à l'étage du commerce de ma mère. C'était sûrement pour que je sorte dehors et vienne m'amuser avec lui et quelque autre de mes voisins. Malgré la fatigue, je descendis sans bruit les escaliers et me retrouva vite fait par traverser la porte d'entrée et d'être dehors avec les autres.

Radam: Vien avec nous ! Moi: Vous êtes sûr ? Mes parents risquent de ne pas aimer ça. Radam: Ahh, laisse faire tes parents. Un voisin: De toute façon, on sera revenu avant le levé du jour. Moi: Si vous le dites...

C'est alors que nous sommes partit vers la rivière pour essayer de trouver des poissons. Sauf que lorsque nous sommes arrivés, ils étaient tous entrain de se regarder avec un sourire en coin. Avant de pouvoir comprendre à quoi ils jouaient, ils me saisirent par les bras et les jambes et ils me lancèrent jusque dans la rivière. J'ai du me cogner la tête sur une roche car quand je me réveilla, c'était le lendemain matin. J'étais couché sur le sol entre deux roches et j'avais du mal à me relever. Après quelques longues minutes, j'étais enfin debout et je remarqua que j'étais couvert de bleu et que j'avais un peu de sang en arrière de la tête. Comment ai-je pu penser une seule fois qu'il étaient mes amis. Titubant jusque chez moi, je surpris mes parents qui débordaient d'inquiétude à mon sujet.

Mère: Mais où était tu passés !? Père: Ça doit encore être ces ***** de voisins comme d'habitude ! Mère: Mais est-ce que tu t'es regardé ? Tu saigne !

Ma mère s'empressa donc de me prendre dans ses bras et d'aller me nettoyer.

Chapitre 2.

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Mais ma véritable histoire commença en 512. J'avais maintenant 12 ans et je m'occupais de plus a plus de la verrerie à ma mère, situé dans la ville de Saillonne à l'ouest de la région d'Aon, qui était aussi l'endroit de ma naissance. Entre temps, mon père qui était un écrivain fabuleux, à su m'apprendre chaque facette de la langue capitaline. Il en a aussi profité pour me montrer comment dessiner chaque lettre et aussi comment les accordés avec les autres pour composer ce que l'on appelle une phrase. Mais un jour, alors que j'étais entrain d'aider ma mère avec la manipulation d'un nouveau vase de verre dont elle venait tout juste d'inventer le modèle. J'entendis beaucoup de cris successif et regardant par la fenêtre du magasin, je vis quelqu'un se faire empaler par une lance. Mon père arriva à toute vitesse en nous annonçant que l'on devait partir au plus vite parce que notre ville était en danger. Sans plus attendre, ma mère posa ses outils et me prit par la main pour m'amener dans une charrette, pendant ce temps, mon père préparait les chevaux et récupérait de quoi survivre un bout.

Père: Nous allons prendre un raccourcis, la voie principale doit être bloqué, disait-il Moi: Mais qu'est-ce qui se passe !?, assurais-je d'un ton effrayé. Père: Saillonne se fait attaquer par l'ennemi !

C'est la que sur un coup de fouet, les chevaux partirent à toute allure tout en ne laissant aucune trace derrière nous.


Après plusieurs jour, nous étions enfin rendu chez Yraïs, une amie à ma mère qui habitait à Estellaz et qui exerçait aussi le métier de verrier. Mes parents durent me laisser pour aller aider les autres.

Les jours, les semaines et les mois passèrent et je ne vit pas mes parents revenir une seule fois en 4 ans. J’espérais toujours de tout mon cœur qu'il ne leur soit rien arrivé malgré l'inquiétude d'Yraïs qui grandissait aussi de jour en jour. Pendant ce temps, pour ne plus penser à tout ça. Elle me montrait ses créations, il y avait des nouvelles choses dont je n'avais encore jamais vu jusqu’à ce jour et dont je voulais tout de suite apprendre la fabrication. Donc nous nous sommes mis au travail et elle m'appris tout plein de trucs que je ne connaissait pas et aussi quelque-uns de ses merveilleux secrets. Je savais maintenant manipuler très bien le verre en fusion malgré les petites gaffes que je provoquait parfois sans le vouloir. Mais au moins cela me permettait de ne plus penser aux problèmes de mes parents.

Quelque jours plus tard, Yraïs me demanda si je pouvais aller chercher de la teinture verte de très bonne qualité pour un client spécial et aussi un nouveau tube à souffler car le sien avait brisé la semaine dernière. Elle me donna un peu d'argent et je partis donc à la recherche de ces objets.

Chapitre 3.

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Arrivé à une boutique je demanda un tube à souffler au marchand et un peu plus loin la fameuse teinture verte et me rendis compte qu'il me manquait plusieurs Royes. Je m'excusas donc auprès du marchand et commença à m'en aller lorsqu'il me rappela vers lui.

Marchand: J'aimerais faire un marché avec toi. Moi: À bon ? Marchand: Je te laisse partir avec la teinture, à conditions que tu reviennes me payer d'ici la fin de la semaine. Ces teintures de qualité sont très dur à obtenir et valent très cher. Je ne tolérait aucun retard.

Étant heureux à l'idée de ne pas repartir les mains vides, j'accepta son offre et me remis en route vers la demeure d'Yraïs. Elle me vit arrivé et s'empressa de venir voir si j'avais pu acheter ce qui lui manquait malgré le fait qu'il m'avais manqué quelque pièces. Heureuse de voir la belle teinture que je lui avait rapporté, elle me donna un généreux baiser sur la joue qui me fit rougir instantanément et s'empressa de commencer son travail.

Quand elle eu fini, elle me demanda de m'occuper de sa boutique le temps qu'elle termine sa livraison et me dit que cela pourrais prendre quelque jours et que je devrais être le meilleur pendant ce temps. La semaine passa et les nombreux clients me firent oublier mon petit arrangement avec le marchand de teinture. C'est à ce moment que des gardes entrèrent dans la boutique.

Moi: Bonjour ! que puis-je pour vous ? Gardes: Êtes-vous Caliban Uveir ? Moi: Oui c'est bien moi. Gardes: Je vous prie de nous suivre sans faire d'histoire.

C'est alors que je me rappela que j'avais oublier de le rembourser. Ils m’emmenèrent donc vers le fameux marchand et partirent ensuite.

Marchand: Tu n'aurais pas oublié quelque chose ? Moi: Je suis désolé, j'ai du m'occuper de notre boutique et je n'ai pas eu le temps de venir vous voir.

Il réfléchit quelques instants et semblant avoir trouvé une idée, il me dit avec un grand sourire.

Marchand: Ne t'inquiète pas ! Je vais te laisser une autre chance. Tu as une autre semaine pour venir me rembourser, mais cette fois c'est la dernière.

Après l'avoir remercié une autre fois, je repartis en direction de de la maison d'Yraïs mais je ne pu m'empêcher de penser à la curieuse expression que le marchand avait sur son visage.


Sur le chemin du retour, 4 hommes sortirent d'un endroit avec un masque aux visages et se mirent devant moi.

Moi: Je...je peux vous aidez ?, dis-je avec la peur au ventre.

En guise de réponse, ils s'avancèrent vers moi et un des hommes me frappa au ventre et un autre m’assomma.

Je repris conscience par un liquide froid venant directement sur mon visage. C'est la que je me rendis compte que j'étais attaché et que le sol bougeait, je semblais être dans une cale de bateau. J'entendais des gens parler d'un endroit, Fort-Lointain ils disaient.

C'est la que je vis le marchand de teinture.

Moi: Qu'est ce que vous faites ! Marchand: Vous vous rappelez le petit marché que j'ai fait avec vous ? Moi: Oui, vous m'avez dit qu'il me restait une autre semaine. Marchand: J'ai menti, lors de notre marché je vous ai dit que je ne tolérait aucun retard. Moi: Mais vous avez pas le droit de me faire ça ! Marchand: C'est pour ça que personne n'en saura jamais rien !, dit-il en riant. Bon voyage !

C'est la dernière fois que je le vit. Je décidas donc de m’adresser aux autres qui étaient eux aussi attaché.

Moi: Mais qu'est-ce qui se passe ? L'inconnu: Ils t'ont eu toi aussi ? Moi: Qui ? L'inconnu: Bahh oublie ça ! De toute façon on est foutu ! Moi: Comment ça ? Où allons-nous ? L'inconnu: Vers Fort-Lointain mon ami ! Moi: Fort-Lointain ? L'inconnu: Demande moi pas plus, j'en ai aucun idée.

Alors c'était où ça, Fort-Lointain...