Utilisateur:Damon
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Sommaire
Description
Damon est un homme de 28 ans blonds aux yeux bleus. Il fait 1m78 pour 68 kilos. Il vient de Caroggia où il a passé sa jeunesse à étudié. Il préfère ne pas parler de sa famille car ses parents sont des gens mauvais pour lui et qui sont la cause de tout ses ennuis. Il compte se forger une nouvelle personnalité sur Esperia.
Compétences
- Minutie
- Minéralogie
- Créativité
- Orfèvrerie
- Alchimie
- Crochetage
Talents
Malin, intelligent, agile, patient, manuel
Défauts
Vicieux, malsain, sans coeur, maître chanteur mais il fait tout pour devenir un homme plus sage c'est pour cela qu'il devient verrier pour aider et éclairer les intérieur des gens.
Intérêts culturels et goûts
Comme la plupart des gens de son peuple il est croyant au culte d'Arbitrio de rite Adaarion mais il n'est pas pratiquant. Il veut se racheter et pour le prouver à Arbitrio, il tient un journal qui est très important pour lui.
Amis déclarés
Ennemis déclarés
Histoire
Extrait de son journal
Cher journal,
Cette nuit, j'ai entendu un bruit sourd venant de l'extérieur de la pièce où je suis enfermé avec toi comme seul compagnon. Puis la poignet a grincé et un homme grand et fort est entré. On ne pouvait distinguer que sa silhouette et l'objet qu'il avait dans la main. Il leva le bras et me frappa à la tête. Tout se passa trop rapidement pour que je te raconte d'autre détails. Ce matin, lorsque je repris conscience, je n'était pas dans la même pièce que pendant mes premiers jours de détention. Je me sentais constamment observé durant les 10 premières minutes de mon réveil. J'aperçu enfin mieux l'homme qui m'avait assommé plus tôt. Et il me semblait familier alors je lui demanda avec courtoisie bien que je n'avais qu'une envie, lui sauter à la figure :
-"Pourrais-je savoir qui vous êtes ?"
Il eu un rire forcé, bref et orgueilleux puis il répondit avec assurance :
-"Tu me connaît déjà très bien et tu va payer pour tout l'argent que tu m'a fait perdre, peut-être indépendamment de ta volonté mais TOUT démarre à partir de tes arnaques qui ne tiennent pas debout dans les tavernes !"
Je réfléchis un instant et je compris :
-" Vous êtes l'homme au long manteau noir qui est venu me demander où habitait le tavernier et que j'avais dit que je vous donnerais la réponse seulement si vous me battez au Tek'Echek. Vous avez perdu et je vous ai volé votre porte-feuille puis lorsque j'ai tourné la tête 1/2 seconde vous aviez déjà disparu."
-"C'était bien moi."
L'homme s'assis et m'expliqua :
-"Le porte-feuille contenait une grosse somme d'argent dans une poche caché que je devais remettre au tavernier. Quand il a appris que je me suis fait volé le porte-feuille, il brûla ma maison et enleva mes deux enfants et ma femme. Si je vous livre à lui, il libérera mes gamins et ma femme que j'aime tant alors désolé mais je vous emmène ce soir à la taverne."
Je profite du peu de temps qu'il me reste avant le rendez-vous pour t'écrire Journal, je te garderais avec moi quoiqu'il arrive.
Cher Journal,
Je suis actuellement détenu dans une pièce à l'arrière de la taverne ou peut-être au sous-sol. Je ne sais plus grand chose j'y vois a peine pour écrire, je sais ni depuis combien de temps je suis la, ni si il fait jour ou nuit mais contrairement à notre ancien "logement", on y mange correctement ici. Le rendez-vous c'est bien passé contrairement à mes attentes. Notre kidnappeur à retrouvé ses enfants et sa femme. Ils sont repartis mais je n'ai rien pus voir à cause du sac sur ma tête. J'entends des pas, un homme arrive vers moi, le bruit de sa démarche est de plus en plus lourd ... ... ... C'était le tavernier. Il vient de m'annoncé que pour rembourser l'argent que je lui est pris, il allait me vendre aux marché aux pires esclavagistes du continent. J'en suis encore choqué mais il faut que je soit prêt psychologiquement à affronter cette nouvelle épreuve. Bien qu'il m'a promis de me vendre aux pires vendeurs d'esclave, je garde une lueur d'espoir que ce fameux esclavagistes ne soit pas si terrible que çà et qu'il m’emmène chez lui comme majordome, cuisinier, ou même jardinier. Décidément, je crois qu'aujourd'hui il sera dur de te parler plus longtemps j'entends le tavernier revenir. J’espère pouvoir te raconter mon voyage jusqu'au marché avant de me faire vendre. ... ... ... J'ai enfin revu la lumière du jour et su soleil ! Le voyage à duré au moins 6 heures et je suis épuisé. Les acheteurs que j'ai pus apercevoir n'ont pas l'air d'être d'une grande bonté. Je crois que le tavernier à tenu sa parole en disant qu'il me vendrait au pires esclavagistes. Les autres esclaves s'achètent facilement sans presque aucune négociation et je redoute le moment où les esclavagistes vont venir me chercher. A coté de moi se trouve, une petite fille, enfermée dans une cage comme moi. Elle pleure très fort et cela me dérange beaucoup pour écrire mais, pour Arbitrio, je me doit de l'aider.
Alors je lui demande :
-"Hé, petite, comment t'appelle-tu ? pourquoi tu pleure ?"
Elle s'arrête de pleurer pendant quelques secondes mais elle continue à pleurnicher alors je repose ma question :
-" Petite ! dis-moi qu'est-ce qui te chagrine autant ? je peut t'aider ?"
Elle se retourne je la regarde sans décrocher un mot. Puis elle répond avec un débit trop rapide :
-"Je m'appelle Veali, mes parents viennent d'être vendu et toi, tu est aussi impuissant que moi en ce moment !"
Je ne répond rien pendant une minute mais j'entends qu'un esclavagistes vient me chercher.
Cher Journal,
Je suis à Fort Lointain, plaque tournante entre le nouveau et l'ancien continent me dit-on. Ma vente c'est mieux passée que je l'aurais cru, enfin, je crois. Il y avait deux acheteurs potentiel à mon sujet, un couple Qadjarides ou deux Ocolidiens. Ces derniers n'avaient vraiment pas l'air aimable je suis heureux de ne pas avoir été vendu à ces deux types. Le couple m'a acheté pour une misère. Mais après ma vente, ils m’emmenèrent dans une autre grande salle. Mais cette fois, c'était le couple qui me vendait. Ces gens s'amusaient à me vendre au plus offrant. Cette fois-ci la vente fut plus compliqué et je fut racheter au prix de mon achat ce qui m'a fait sourire une dizaine de seconde car je n'ai pas vraiment eu le temps de me reposer et de t'écrire pendant mon changement de "maître". J'ai embarqué dans les minutes qui suivirent mon interversion d'esclavagistes qui on fait une bonne affaire car je n'estime pas coûté juste une simple poignée de pièce d'or. Nous étions peut-être cinq dans une petite cage de deux mètres sur deux. Mes compagnons de cellule avec qui je suis encore actuellement sont, pour faire vite, un vieillard muet et pratiquement sourd, une jolie demoiselle timide, un homme en pleine force de l'âge trop bavard justement et un marin au courant de tout qui nous raconter son parcours pour finir dans cette cale miteuse. Mais, étant donné que je n'avais parlé à personne depuis plusieurs semaines à part Veali tout à l'heure, je lança la discussion avec ce dernier :
-"Savez-vous où nou..."
Il me coupa la parole et répondit à ma question sur le champ :
-"T'sais gamin, j'sais pas trop où qu'on va mais pour l'instant ch'parie qu'on va à Fort Lointain, un endroit où plein d'esclave s'dirige vers l'nouveau monde, t'sais ?"
Intrigué je répondit :
-"Le nouveau monde ?"
-"Oui, l'endroit où que plein de'sclave vont pour rêtre r'vendu. Pour l'instant, ya qu'une ville sur s'continent Esperia. De c'que j'ai entendu, même un p'tit esclave peut d'venir un type vachement important avec une famille et des gosses."
Puis il se mit à s'endormir puis à ronfler comme si il n'était pas en train de m'expliquer où nous allons alors que j'était particulièrement enthousiasmer par ses explications.
La demoiselle, alors que je ne pensais pas entendre sa voix un jour, me demanda :
-"Croyez-vous qu'il disait la vérité à propos de cette ville de l'espoir ?"
Je répondit avec surprise :
-" Je l’espère... sinon comment vous appelez-vous ?"
-"Je m'appelle Aline et je viens d'Huratelon. J'ai était vendu par mon père qui ne me voyais que comme une bouche à nourrir à ces idiots d'asservisseur.
Elle fut coupé par un de ces asservisseur comme elle les a appelé tout à l'heure. Il nous demanda de nous levait puis on le suivi puis nous remontons sur le pont. Personnes n'avait remarqué que nous étions arrivé. Il nous emmena dans une cellule individuelle avec une pancarte écrit Esperia sans décrocher un mot. Je te raconterais mon arrivé sur Esperia demain.
