Utilisateur:Daurus

Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

Informations RP

Nom

Daurus Gregin

Genre

Année de naissance

Rang

Esclave

Esclave de

Métier

Métier

Combattant

Compléments

Origines

Ville d'origine

Huratelon

Nation d'origine

Grande Huratelon

Informations HRP

Login Minecraft

pititpanda

Pseudo

pititpanda

Description

• Âge : 30 ans
• Taille : 1 mètre 70
• Yeux : Marron
• Cheveux : Noir avec des tresses de chaque coté du visage
• Religion : Arbitrio selon le rite phalangiste
• Autre : une cicatrice qui part du milieu de la joue jusqu’à la bouche.
• Langue :Langue commune ,Hura

• Qualités : Curieux,protecteur envers les personnes qu'il apprécie,serviable que avec les personne qu'il connaît.

• Défauts : Timide avec les personne qu'il connaît pas, n’aime pas trop parler avec les gens,solitaire,curieux.

Histoire

Daurus et né dans une famille paysanne, et travaillait dans les champs avec sa famille tous les jours de l'année, dès qu'il avait finie de travailler il aimait s’entraîner à tirer avec son arc et son épée sur un arbre qui se trouvait dans les champs de sa famille. De jour comme de nuit il pouvait passer des journées entières sans jamais s’arrêter, et puis les jours passaient plus il devenait meilleur à l'arc il commençait à tirer de plus en plus loin de l'arbre. Puis un jour il coinça une flèche en haut d'un grand arbre, il décida de grimper et à Mie hauteur il glissa et tomba dans un tas de foin sans rien se casser ni se blesser, il leva la tête et regarde l'arbre il vit sa flèche et décida de grimper plus tard. Et là il voit sa mère sortir pour lui dire que le dîner est prêt. Le lendemain matin il se réveilla puis il se dirigeait vers cet arbre, il commence à grimper à l’arbre et il monta jusqu'en haut et récupéra cette flèche et il redescend de l'arbre tout content d'avoir réussi d’avoir monté à cet arbre et depuis ce jour il commençait à grimper partout, sur des arbres, des maisons, des granges. Et il commençait à tirer avec son arc depuis les toits, les arbres. Puis les jours passaient il continuait à s'entraîner. Mais son père n’aime pas trop qu’il apprît à utiliser les armes, il préférait que son fils travaille au champ plutôt que de s'amuser avec c’est arme, car pour lui ça ne lui apportera rien dans la vie de plus tard. Mais Daurus n’est pas à écouter son père et continue alors à s'entraîner, mais un soir vers minuit son père décida de casser en deux l’arque, les flèche, son épée en bois, le lendemain matin, Daurus se rendit vers sa grange pour prendre ses affaires. Mais c’est là qu’il vit l’horreur. Suite à ça Daurus décida de partir le soir même vers minuit avec le reste de ses affaires et en volant tout l’or de ses parents. le lendemain, il se rendit à une forge non loin d’ici. Il connaissait bien le forgeron, qui lui était surpris de la somme qu’il avait sur lui, il a pu alors lui forger une belle épée. Dans la même journée, il rencontra alors un artisan du bois pour lui acheter un arc. La nuit tombée, il se rendit chez un ami à lui, où il a pu facilement dormir contre quelques pièces. Le lendemain matin, il part retrouver les artisans pour récupérer ses commandes comme prévu. Il avait tout ce dont’il avait besoin, des armes et un peu d’or. Il décida alors de ce pas à se rendre dans des villages voisins pour fuir son ancienne vie. Mais petit à petit son or diminuait, il ne faisait que dépenser, heureux de sa nouvelle vie. Très vite, il se retrouva alors complètement fauché. Il ne lui restait qu’une solution, retourner auprès de ses parents. Il avait très peur, peur de ses propres parents. Son père l’attendait tous les jours, devant la maison, assit sur une chaise en noyer, bras croisés. Arrivé chez lui. Il le vit, puis s’écroula au sol.

Il faisait presque nuit, son père se leva de sa chaise sans bruit, avec une démarche lente et faible. Assisté de sa pauvre canne et sa médiocre lanterne il s’approcha de son fils, qui lui était au sol, arrachant des brins d’herbe, complètement désorienté, larmes coulant sur les jours. Il lui donna alors un coup de canne sur le crâne et lui dit que jamais il n’aurait pensé ça de son fils, et que plus jamais il ne le regarderait comme avant. Un mois plus tard, un eut ses 20 ans, sa vie était macabre, vide, sans but. Ses journées se passaient dans le silence, en travaillant dans les champs. Sa mère elle n’était pas comme son père, elle était tendre, mais soumise à son mari, elle ne faisait rien pour l’aider, même si elle en avait tant envie. Son père le maltraitait, lui criait dessus, lui menait la vie très difficile. Quelques jours par mois, il se rendait chez un ami avec qui il s’entraînait un peu, mais il avait changé, il ne parlait presque plus, ne souriait plus, il avait perdu l’envie de vivre.Chaque fois qu'il s’entraînait, il avait la rage, la rage de vaincre, on le voyait dans ses yeux. Son ami commençait lui-même à avoir peur de lui. C’est ainsi que sa vie était tracée. Rester jusqu’à la fin de ses jours à travailler sans but dans la ferme de ses parents.

Vers 26 ans, il était toujours le même homme. Il se rendait parfois à la taverne quand il ne mangeait pas chez ses parents. C’était une petite taverne, il ‘y avait pas beaucoup de monde, et il préférait ça, il n’aimait plus le contact avec les gens. Il avait une triste réputation dans son faubourg, on le voyait comme un être mort, errant sans but. Mais malgré cela, les gens du coin l'appréciaient par le biais de ses bonnes actions. Il aidait la populace contre les voleurs, les agressions. Toujours sans un mot.

Un jour, un jour totalement banal, il se rendait donc à cette petite taverne. Il y avait deux hommes, des voyageurs. Ils étaient armés d’une masse en bois et assis au comptoir. Daurus les regardait dans les moindres gestes, comme s'il savait qu’ils s'apprêtaient à faire quelque chose. Ils discutaient à messe basse, regardant les clients de la boutique. L’un d’eux se leva, décrocha sa masse et donna un gros coup de massue sur un client qui était vers la sortie, le client était assommé sur le coup, couché sur la table. Directement, l’homme se mis à courir hors de la taverne, sans rien prendre sur l’homme, par contre, son ami lui s’approchait doucement de l’homme assommé et lui vola sa bourse dans la foulée. Daurus lui s’était levé, approchant derrière lui, prit son épée et la laisse tomber sur le sol. Il avançait vers lui la rage sur le visage comme à tous ses entraînements. On pouvait même presque entendre ses dents grincer, ce qui n’était pas compliqué car tous les autres clients de la taverne étaient silencieux, apeurés, tous désarmés, gras et fainéants. Il attrapa l’homme par le col avant de le soulever à peine pour mieux le relâcher violemment contre le sol, il posa un genou à terre, et se mis à le frapper, sans s’arrêter. Il ne disait rien, restait impassible. Le sang fusait sous chaque coup de poing dans son visage, la scène était pire qu’une véritable boucherie. Au bout d’une vingtaine de coups de poing il s’arrêta, et tira l’homme par les jambes avant de le jeter dans une merde de cheval non loin de la taverne. Il s’essuya la bouche, se mettant du sang plein le visage et rentra de nouveau dans la taverne, prit son épée et sa place, puis il se remit à manger, en silence, sang sur les mains, sur le visage. Tous les regards étaient rivés sur lui, un silence accablant était présent, puis un client dit tout bas : Merci. C’est ainsi que chaque client et employés de la taverne disent à leur tour un merci tout bas. Daurus ne réagissait pas, ne les remerciait pas, mangeant tout simplement en silence sans les regarder avant de payer et de s’en aller.

30 ans, 30 ans qu’un enfant d’arbitrio a vu le jour dans une petite ferme dans les faubourgs d’Huratelon. Sa vie était la même depuis le jour où il rendit son père fou de rage. Tous les jours il se faisait maltraiter par son père, même s'il devenait bien moins fort que lui. Pendant les derniers jours de Thermidor, il y avait la récolte. Daurus y travaillait bien évidemment. Toujours d'arrache-pied, ce qui lui coûta de casser un outil. Son père s’approcha et commença à l’insulter en lui donnant de violents coups de cannes, et termina par un violent coup de pelle lui offrant une large cicatrice dans le futur sur la joue. Daurus ne disait rien, encaissant en silence. C’est alors qui se leva, et se rendit en silence en direction de la grange. Son père le suivait, énervé, l’insultant, lui demandant ce qu’il faisait. Arrivé dans la grange il prit son épée qu’il avait précieusement cachée. Et pointa la lame contre le torse de son père, le fusillant du regard, la rage dans le regard. Son père commençait à avoir très peur mais tentait de rester sérieux, gardant son sang-froid. Daurus le regarda droit dans les yeux et lui dit : Puisse cette lame tuer l’horreur qui remplit chaque jour ton cœur>>. C’est ainsi qu’il le transperça de son épée, la faisant ressortir de l’autre côté, il lâcha alors son épée, la laissant enfoncée dans le corps de son père puis se mit assis, en tailleur à côté de lui, restant silencieux. Sa mère n’a pas mis beaucoup de temps avant de voir l’horreur et prévenir la garde. En peu de temps, ils étaient sur place, ils l'emmène sans soucis à la caserne, ils n’ont même pas eu besoin de lui mettre des fers, il faisait tout ce qu’on lui disait. Il a été décidé qu’il serait fait esclave en direction d’Esperia. C’est ainsi qu’il rejoignit quelques autres esclaves déjà dans le bateau pour le nouveau monde.

Aptitudes

Combat :

Mains nues : Amateur

Arc : Normal

Escalade : Daurus avait pour habitude de grimper dans les arbres ou au sommet de petits escarpement.