Utilisateur:Deckard

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
demath103
Pseudo
Deckard
Prénom IRL
Pierre
Âge IRL
17 ans





Description

Nom complet : Deckard Matthias Age : 18 ans Provenance : Deckard est né d'un père nordique et d'une femme caroggienne dans la ville d'Uuroggia. Portrait physique : Deckard est doté d'une musculature correcte due à son travail du bois, il a les cheveux noirs, les yeux marrons, une barbe bien taillée et est de taille moyenne. Portrait Moral : Deckard est plus intelligent que la plupart des amis à son père (race nordique oblige...), il sait lire et écrire et peut réaliser des calculs de difficulté moyenne. Il est aussi très créatif et adore les défis. Mais il est aussi doté d'un caractère explosif.

Compétences

Depuis ses 15 ans, il a développé un certain talent pour l'artisanat de bois, il est donc créatif, a des talents de sculpteur et a une bonne connaissance de la flore. De plus l'enseignement poussé de sa mère lui a donné une bonne alphabétisation et des capacités de calcul poussées.

Talents

  • Créatif, il aime contourner les problèmes de manière peu conventionnelle.
  • Éloquent, il en est capable, mais son caractère prend le dessus la plupart du temps.
  • Réfléchi, tout comme son éloquence, son caractère prend souvent le dessus.

Défauts

  • Inflexible dans ses convictions, même si il sait qu'il est dans le faux, il ne cédera pas aux convictions des autres.
  • Curieux, il ne résiste jamais à mettre son nez dans les affaires des autres.
  • Caractère fort, comme son père, il a le sang chaud.

Intérêts culturels et goûts

Deckard adore la sculpture et tout ce qui touche de près ou de loin au bois, il apprécie donc de belles architectures et de belles charpentes. C'est aussi un grand amateur d'Hydromiel et de la viande en général, mais il n'est pas difficile sur la nourriture.

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Origines :


Mon nom est Deckard Matthias, je suis né en Uuroggia lors de la saison Thermidor en l’an 493 d’une union d’un Nordique et d’une Caroggienne, mon père se nomme Björn(ne le confondez pas avec le célèbre possesseur de tavernes nordiques !), et ma mère Shérime. Vous vous demandez sûrement : « Un nordique et une caroggienne !? Ce n’est pas possible, il y a une erreur ! », et pourtant c’est bien vrai... Lorsque mon père à rencontré pour la première fois ma mère, c’était dans une taverne, « L’Hydropinte » je crois... Bref, mon père revenait d’une séance de bûcheronnage épuisante et était d’une humeur massacrante, après être entré dans la taverne, il s’assit et demanda une pinte de Lugnaroa, tout le monde sait qu’il ne faut jamais déranger un nordique lorsqu’il boit et encore moins lorsqu’il est à peu près aussi aimable qu’un ours réveillé lors de son hibernation. Mais un autre nordique, un rival de mon père décida de se moquer de l’humeur de mon père, ce qui s’ensuivit était prévisible... Pendant que la bataille faisait rage à l’intérieur de la taverne, la gérante se montra et hurla à pleins poumons, du fait que ce fut une femme qui s’imposait, l’incompréhension fut générale et le combat cessa aussi tôt. Mon père, et pratiquement tous les hommes présent dans la taverne eurent aussitôt un grand respect pour cette femme qui n’hésita pas une seule seconde à se mettre au niveau des hommes, cette femme, c’est ma mère. Ainsi donc, la passion que mon père eut pour elle grandit de plus en plus, il voulait absolument l’épouser, mais il devait respecter la tradition du mariage nordique et ce devait être la femme qui demande la main de l’homme à la mère de ce dernier, il décida donc de faire tout ce qui était en son pouvoir pour la séduire. Et c’est ainsi qu’après maintes demandes et tentatives de séduction, ma mère finit par tomber amoureuse de mon père, puis vint le mariage, puis moi, leur enfant : Deckard.

J’ai toujours été plutôt du côté de ma mère en termes d’éducation, la culture nordique ne laissait pas vraiment de place à la lecture ou à l’écriture, mais j’ai tout de même hérité du caractère fort et spontané de mon père. Bien que ma mère ait aussi un caractère plutôt explosif, ce qui laissait place à de nombreuses scènes de ménage assez violentes. Les voisins étaient à deux doigts d’appeler la milice chaque fois que l’ambiance devenait un peu trop bruyante chez nous... Sinon, dû au travail de bûcheron de mon père, j’ai commencé aux alentours de mes 15 ans à sculpter les bûches inutilisées, donnant naissance à de jolies petites œuvres d’art. Puis, au fur et à mesure de mes sculptures, j’ai fini par développer un certain talent d’artisan, je créais certains meubles pour mes parents ou pour des amis, voire pour d’autres personnes à qui je demandais rémunération bien sûr. Ainsi fut ma petite vie tranquille, partagée entre les études, mon travail en indépendant, mes amis et ma famille.


Un exemple de mon quotidien :


Ma mère m’avait envoyé au marché acheter du bœuf, du poisson, et quelques pommes de terre pour faire le repas du soir, on accueillait des amis et j’avais le pressentiment que mon père allait encore provoquer celui de mon ami Brynjolf, et que cela finirait en une arrivée de la milice pour maîtriser les deux et pour contenir une bonne partie des nordiques d’Uuroggia voulant rejoindre les festivités. Mais bon, ces moments là, c’était une occasion de rire un peu en regardant les deux vieux se lancer des piques, après tout, ce sont des nordiques, ils ont le sang chaud. Mais ce n’était pas le moment de rêver, il fallait que je me débarrasse de cette corvée au plus vite ! Après une ou deux heures à arpenter les différentes échoppes du marché, je me suis mis à penser que ceux qui vendait leurs produits au marché étaient sûrement les hommes les plus riches du pays tellement leurs tarifs étaient exorbitants ! Et dire que ma mère ne m’avait donné que quelques pièces de bronze, j’ai donc réfléchi à une solution simple et efficace pour obtenir ce dont j’avais besoin. Après quelques instants, j’avais mon plan. Tout d’abord je prenais la viande, le plus cher, puis le poisson, et enfin, je m’approchais de l’échoppe à pommes de terre, je repérais les pommes de terre et... Je prenais ces dernières et je courrai à pleine vitesse ! Le plan semblait parfait, jusqu’à ce que la milice fasse son apparition. Pas le temps de ralentir, une cuirasse en fer ça fait très mal je vous le confirme. Puis s’ensuivit la détention au cachot quelques temps et une légère amende, puis vint le moment où je suis revenu à la maison, je pense que depuis le début de la création du Monde, il n’y a jamais eu de tel cataclysme. Le niveau sonore battait des records, tant et si bien que les voisins finirent par réellement appeler la milice. C’est cette ambiance qui rendait ma famille à la fois insupportable mais aussi terriblement attachante...


Comment je me suis retrouvé esclave :


Puis vinrent mes 18 ans, une grande cérémonie, une grande partie des connaissances de mon père et de ma mère, mes amis, le désormais célèbre discours de mon père sur ma future descendance et sur le fait que je n’aie pas encore de douce et belle femme à adorer, tout cela me semblait être la même fête que celle de mes 17 ans... Après la fête, je me suis avachi sur mon lit et je me suis demandé si ma place était réellement ici, je suis majeur, instruit, et je n’ai toujours pas quitté le cocon familial ! Je me suis donc endormi rempli de doutes et de questions. Le lendemain, j’ai parlé à mes parents de ma volonté de voler de mes propres ailes et de partir pour cette terre nouvelle nommée Esperia. Il y eut un silence pesant, moment rare et privilégié dans cette maison, puis mon père éclata de rire, suivi presque de suite de ma mère, voyant mon air abasourdi, il m’expliquèrent qu’ils s’y attendaient et qu’ils allaient m’en parler justement. Puis mon père m’a félicité de cette initiative tout en disant que je ne suis pas comme ces femmelettes de Caroggians qui ne sortaient jamais des jupons de leur mère, il ria encore de plus belle tout en recevant une paire de claques bien senties de ma mère.

Et c’est ainsi que je partis en quête d’aventure vers cette nouvelle contrée... Mais ce qui aurait pû être une aventure se déroulant parfaitement bien s’est plus révélé être un fiasco tonitruant. Après être sorti de mon quartier natal, je sentis que quelque chose ne tournait pas rond, personne n’était dans les rues, les bâtiments étaient fermés, on était pourtant en pleine journée ! Puis s’ensuivit une série d’actions encore floues dans mon esprit : un homme, grand, avec une sorte de bâton, puis je m’enfuis, un autre homme se dresse devant moi, les deux se jettent sur moi, puis... plus rien...

C’est ainsi que je me suis réveillé dans ce qui me semblait être la cale d’un bateau, plusieurs hommes et femmes, jeunes, vieux, d’origines différentes étaient entassés. Je remarquais un vieillard tassé non loin de moi, je lui demanda donc où on se situait, il me répondit : « Jeune homme, vous êtes sur un navire, mais pas n’importe lequel, le navire d’un marchand d’esclaves ! C’est une honte qu’ils vous aient capturés, vous êtes si jeunes, et pourtant, vous passerez le reste de votre pauvre vie à travailler pour une famille que vous ne connaissez même pas... ». La nouvelle était tombée, j’étais parti en quête d’aventures, et je me retrouvais enchaîné comme un chien dans la cale puante d’un navire vendant des esclaves... Je demanda donc au vieillard si il savait où le navire se dirigeait : « A Esperia mon pauvre... Un nouveau monde qui malgré tout n’échappe pas aux lois archaïques de l’esclavage... C’est une honte... Une honte... »

J’ai mis du temps à avaler la nouvelle, mais au final, je me suis dit qu’il y avait un peu de bonheur dans mon malheur, au moins, j’arriverais à Esperia...