Utilisateur:Fëanor

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     Fëanor
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
xMojit0
Pseudo
Fëanor
Prénom IRL
Alban
Âge IRL
22





Description

Profil
Fëanor1.jpg


°Prénom : Fëanor


°Nom : Brock


°Nation d'origine : Maahvitt (Kinemaar)


°Tranche d'âge : 20-25 ans


°Métier : Guerrier


°Poids : 90-95 Kilos


°Taille : 1m90


°Langue : Capitalin


°Religion : Culte des Sept


°Aptitudes : Combat / Escalade / Alphabétisation


Fëanor est grand (1,90 mètre) et musclé (95 kilos). Il a les cheveux assez longs et clairs. Quelques cicatrices sur son visage, mais surtout sur son corps. Ceci témoigne de la dureté de son entraînement au combat. Dans le Kinemaar, il portait une tunique marron, recouvert par un plastron léger, pouvant maintenir une hache dans le dos. Il porte donc une hache dans le dos, mais aussi une dague vers la ceinture pour se défendre pour rapidement.

Enfance

Fëanor Brock est un vaahva vivant dans une tribu au centre du Kinemaar. Il est le fils de Yan Brock, chef d'un clan important dans le tribu et père très croyant. Ainsi, son fils a été rapidement enseigné au culte des Sept, mais aussi à l'écriture et la lecture. De nature curieuse, Fëanor connaît la langue capitaline grâce à son éducation. Rapidement apprécié par son père, il fut le fils destiné comme successeur au poste de chef du clan. Pour cela, son père lui appris à se battre à la hache, une tradition ancienne dans le clan. Sa force s'est trouvée dans un entraînement vigoureux, permettant à Fëanor à apprendre à escalader les collines les plus rudes.

Adulte


Son passage à l'âge adulte s'est fait par une épreuve exigée par son père. Il s'agissait de passer trois jours dans la forêt en se nourrissant tout seul et en survivant comme il le pouvait. Sa capacité à grimper aux arbres a permis à Fëanor de se réfugier contre les animaux dangereux, mais aussi de trouver des fruits pour se nourrir. Fëanor ne sait pas chasser, mis à part quelques petits animaux faciles à attraper. Une fois l'âge adulte passé, Fëanor se montra comme un véritable chef de clan au service de sa tribu. Il lia une amitié assez solide avec plusieurs membres du village et certains personnages importants. Néanmoins, sa prétention fait aussi de lui quelqu'un de très détesté par les plus ambitieux qui le jalousent. Sa violence fait de lui quelqu'un d'imprévisible et il sera capable de tuer quelqu'un qui lui manque de respect ou qui le trompe.

Esclave


Le futur de Fëanor n'est pas encore prévisible, mais son métier se dirige certainement vers la force guerrière. Son esprit fera qu'il préférera toujours rester en compagnie de vaahva pour rester proche de ses valeurs et des traditions du Kinemaar. Néanmoins, il reste quelqu'un de tolérant et de sympathique si on ne l'énerve pas trop.


Aptitudes

Combat :

Depuis son plus jeune âge, il a appris l'art du combat par son père, comme le veut la tradition, pour espérer rentrer dans la garde rapprochée du chef de la tribu.

Hâche : Amateur

Poings : Amateur

Escalade :

Pour parfaire son entraînement au combat, Fëanor choisit l'escalade pour développer sa force due à sa carrure de mastodonte.

Alphabétisation :

Son père lui inculqua également une bonne éducation, pour espérer un jour devenir chef de clan et pourquoi pas chef de tribu selon le désir des Sept.

Qualités

Courage : Fëanor, avec sa carrure imposante, n'a pas eu de mal à développer cette qualité indispensable d'un bon guerrier. Il n'hésitera pas à aller au combat pour une cause juste ou pour défendre sa tribu jusqu'au bout.


Force d'esprit : Les muscles ne font pas tout, un bon mental est primordial pendant un combat. En tant que guerrier, son aguerrissement a été très dur, en survivant dans les Montagnes enneigées du Kinemaar en passant par son escalade aux hauts sommets. On peut dire que Fënaor a un mental hors du commun et qu'il sera difficile à le faire craquer.


Tolérant : Tous les guerriers de Kinemaar ne sont pas des brutes sans cœur. Fëanor a beaucoup de compassion pour ses semblables et n'hésitera pas à utiliser son gabarit pour intimider les faiseurs de troubles.


Défauts

Violent : Si quelque chose ne lui convient pas, Fëanor n'hésitera pas à utiliser sa force ( et son mental ) et toute sa rage pour arriver à ses fins, peu importe si ce sont des ennemis ou des amis. Il sera difficile de le contrôler quand il sortira de ses gonds.


Prétentieux : Fëanor est quelqu'un de grand, fort et séduisant et il le sait. Il aime exhiber son corps pour montrer que c'est lui le meilleur et qu'il ne faut pas lui chercher les noises. Il pense également qu'aucune femme ne peut lui résister.


Rabat-Joie : Malgré tout ça, Fëanor n'est pas d'humeur à faire la fête, il aime rester seul quand il a un peu de temps devant lui et prendre le temps de réfléchir. Il n'a évidemment aucun humour et vous le fera savoir très rapidement si vous lui brisez trop longtemps les noix avec votre humour.


Intérêts culturels et goûts

La nature: Grâce à ses entraînements et sa survie en communion avec la nature, Fëanor ne peut se passer de vivre avec. Restez trop longtemps en ville ne l'intéresse pas.

La littérature: Au lieu de faire la fête avec ses amis, Fëanor préfère lire un bon livre pour ce détendre et décompresser après une journée pleine d'embûches.

Le sport: L'entrainement physique est très important pour Fëanor, on ne peut combattre si on ne ce sens pas en forme. " Un mental sain dans un corps sain " dirait-il.

La gastronomie: En complément du sport, l'alimentation est primordial pour Fëanor, il ne refusera jamais un bon repas. Si il a apprécié votre repas et vous le fais savoir, vous ne pouvez qu'être en bon terme avec lui.

La gente féminine: Avec son caractère prétentieux et son corps qui en feraient craqué plus d'une, Fëanor ne crachera pas d'être en très bonne compagnie mais ce laisserai vite distraire par ces demoiselles.


Histoire

15/07/514 : La menace


C'est un jour comme les autres pour nous, les soldats de Nemörr, petite tribu du centre de Kinemaar. Thermidor semble vouloir nous réchauffer légèrement, mais peut être pas assez suffisamment pour certains. Il y a de cela quinze jours, des mineurs de la tribus sont partis un peu plus à l'Est pour découvrir de nouveaux gisements. La tribu a réussi à mettre la main sur des minerais de fer de très bonne qualité pour nous permettre de nous développer encore un peu plus. Pourtant, à ce jour, Farmër, chef d'un clan guerrier de notre tribu et garde de notre premier Doyen au même titre que moi, vient me voir pour me rapporter un drame dans notre mine. Tous les mineurs ont été retrouvés morts de diverses manières. Nos premières enquêtes ont montré qu'il s'agit d'un acte criminel, réalisé avec diverses armes de guerre. Je suis alors parti transmettre l'information en compagnie de Farmër, au premier Doyen pour savoir comment nous devons réagir. Farmër et moi ne sommes sûrement pas les meilleurs amis du monde. Il est le chef du second clan le plus puissant de notre tribu et je suis le chef du premier clan. Je ne devrais pas avoir ce rôle, mais le récent décès de mon père m'a donné ce pouvoir. De ce fait, moi et Farmër, nous nous sommes mis au service du premier Doyen, en lui assurant conseils et protection. Le premier Doyen m'a toujours préféré par rapport à Farmër, car il était ami proche de mon père avant sa mort. A présent, il tente de retrouver cette amitié avec moi. Nous arrivons au grand domaine du premier Doyen, une grande ferme où sa famille élève quelques animaux de toutes sortes pour nourrir la tribu. Nous nous présentons devant sa porte et attendons une réponse pour entrer. Une jeune dame que je connais bien, Zaynia, la fille du premier Doyen, vient nous ouvrir avec un grand sourire. Ce dernier s'efface assez vite devant nos mines assez graves. Comprenant la situation, elle nous laisse entrer sans un mot et nous emmène voir le premier doyen. Il était affalé sur un beau fauteuil en peau, laissant perdre son regard dans les flammes de sa petite cheminée de pierres. Sa petite surdité fait qu'il ne nous entend pas arriver et sa fille doit annoncer notre présence pour qu'il puisse tourner la tête vers notre direction. Il comprend à son tour que la situation est sérieuse et se lève pour nous demander plus de détails en adoptant un visage austère. Je reste sans voix, mais Farmër prend la parole :

« Nos mineurs ont été attaqués et tués, Doyen. Aucun d'entre-eux n'a survécu. Nous n'avons pas encore déterminé la cause de leur mort, ni par qui ils ont été tués. Néanmoins, les premières preuves laissent à penser qu'une tribu voisine a voulu s'emparer de nos ressources. Le fer récolté ces derniers jours n'étaient plus présent à l'intérieur de la mine. »

Après ces mots, le doyen se masse la barbe, réfléchissant aux actions envisageables. Il commence à faire les cents pas. D'un coup, il s'arrête et interpelle Zaynia du regard pour lui demander d'approcher, ce qu'elle fait sans hésitation. Il lui demande d'aller chercher d'autres chefs de clans, ainsi que les plus anciens de la tribu pour trouver conseils. Pour que le message passe encore plus vite, il demande à Farmër d'accompagner sa fille. Quant à moi, il ne me dit rien et reprend ses cents pas, toujours en se massant la barbe. Soudain, il s'arrête et me fait signe d'approcher à mon tour. Il baisse le ton de sa voix, se penche vers mon oreille et me dit :

« Je veux que ton clan enquête là dessus et je veux que tu me trouves les ordures qui ont profané notre terre par leurs intentions ignobles. J'ai confiance en toi et je t'approuve comme un fils. Dans le cas où je n'ai pas assez de preuves, je vais devoir déclarer une guerre... J'espère que tu ne me décevras pas. »

Dès lors, je hoche la tête pour montrer toute mon approbation et je tourne les talons pour commencer ma nouvelle mission.


16/07/514 : L'enquête


La mine se trouve en hauteur et ce n'est pas facile de la trouver à cause de la forêt dense. Néanmoins, j'ai tout de même réussi à me repérer. Je vois l'entrée au loin et plusieurs cadavres ensanglantés à l'entrée. Je m'approche doucement, la main sur le manche de ma hache en restant en garde constante. Les mineurs morts sont éparpillés un peu partout à l'extérieur, comme s'ils avaient été tués en plein travail. Les impacts des armes sont assez nombreuses, je reconnais des coups de haches, mais surtout des coups d'épée. Aucun message n'est inscrit pour signer le nom de l'attaquant, ni ses revendications. Toujours en garde, je rentre à l'intérieur de la mine, enjambant cadavre après cadavre. La plupart d'entre-eux ont la gorge tranchée, comme s'il avait été exécutés. Pourtant, il ne s'agit pas réellement d'une exécution, sinon les cadavres seraient regroupés et non pas éparpillés un peu partout dans le lieu de travail. La chaleur présente à l'intérieur de la mine et le manque d'air me pousse peu à peu à ressortir pour prendre de l'air et du soleil. Je sors alors, prend une grande bouffée d'air et expire en mettant mes mains sur les genoux. L'odeur des cadavres est insupportable. Soudain, je relève la tête et j’aperçois des traces, ce sont les traces d'un chariot de mine, assez utilisé pour les mines très profondes. Or, cette mine est presque nouvelle et n'a aucune profondeur. Les attaquants ont amené un chariot pour extraire le fer en réserve. Mais ce n'est pas le plus inquiétant, car les traces se dirigent vers notre tribu, ce qui veut dire que la menace ne vient pas de l'extérieur, mais de notre propre tribu. Les mineurs étaient en train de travailler quand ils ont été tués. Leur mort s'est faite dans le silence et la surprise pour ne pas alerter les autres. Ils avaient confiance envers leurs tueurs. Je devais au plus vite prévenir le premier Doyen. J'entame ma route à la hâte pour rentrer au plus vite à la tribu. En même temps, la nuit commence à tomber et la forêt m'encercle de plus en plus avec son obscurité. Seules les Déesses me donnent la lumière suffisante pour me permettre de continuer ma route. Puis, je m'arrête doucement en arrivant à une clairière. Je reprend mon souffle et fais une pause pour évaluer à la distance entre moi et les huttes. Soudain, j'entends une branche se casser derrière moi. Je replace ma main sur le manche de ma hache, prêt à dégainer en cas de danger. Après plusieurs secondes à regarder en direction du bruit, il ne reste que le boucan de la forêt et des animaux du coin. Je me recule doucement et je me tourne pour reprendre ma course. Pourtant, quelques mètres plus tard, quelque chose me saute dessus. C'est un homme qui vient de m'attraper et de me mettre à terre. Je suis coincé par son poids au niveau du ventre. Je le vois sortir une dague, mais je suis impuissant pour dégainer ma hache et je le vois viser mon cœur avec précision. Lorsqu'il essaye de me porter le coup, je l'arrête avec mes mains et puise toute ma force pour retourner son arme contre lui et lui donner le coup qu'il voulait me faire subir. La dague arrive directement dans son cou et déverse tout son sang sur mon visage. Je repousse son cadavre et me relève rapidement pour apercevoir qu'un autre homme me regarde, assez dégoûté. Il dégaine alors son épée et me charge dessus à son tour. Je fais de même avec ma hache et je l'esquive au dernier moment pour, à mon tour, le frapper dans son dos à grand coup de hache. Il s’aplatit au sol après cela, totalement mort. Quelqu'un cherche à me faire taire, mais il est hors de question que je m'arrête ici. Je continue ma marche vers la tribu pour avertir d'un danger évident. Dans cette marche, je nettoie le sang sur mon visage à l'aide d'un petit chiffon que j'ai dans ma poche. Ma haine et ma colère me rongent de plus en plus, non pas parce qu'on a tenté de m'assassiner, mais parce que j'ai reconnu les deux agresseurs. Ils faisaient parti du clan de Farmër.


17/07/514 : La chute


J'ai attendu le jour pour parler au premier Doyen, l'arme toujours à côté de moi dans mon sommeil. Une fois réveillé et armé, je marche droit vers la maison de notre chef pour lui informer de la traîtrise de Farmër. Je n'ai presque rien pour prouver que ce soit lui, mise à part l’agression que j'ai subi. Néanmoins, le premier Doyen me fait confiance, il saura m'écouter et accepter mes preuves. Lorsque je traverse la tribu, le village semble silencieux, peut être à cause de l'heure très matinale. J'arrive rapidement devant la maison du chef et je frappe à sa porte plusieurs coups pour être sûr d'être entendu. Je vois Zaynia m'ouvrir, l'air effrayé par ma présence. A peine a-t-elle le temps de me dire un mot qu'elle est poussée par des soldats venant de d'autres clans. Ils dégainent leur épée et me demandent d'avancer doucement à l'intérieur du bâtiment. Je ne comprends pas la situation, mais accepte volontier de rentrer sous la contrainte pour en apprendre un peu plus sur cette arrestation. J'arrive dans le salon, accompagné de Zaynia et des deux autres soldats et j'aperçois avec surprise Farmër et le premier Doyen en train de discuter. Lorsque j'arrive, il me regarde avec un visage noir, comme si je venais de blasphémer contre nos Déesses. Les deux soldats m'obligent à m'installer sur une chaise, me retenant par mes deux épaules pour ne pas que je me lève. Après cela, le premier Doyen s'avance vers moi et se place devant moi pour me parler :

« Tu m'as tellement déçu Fëanor... Je t'ai fait confiance et c'est ainsi que tu me remercies, en me trahissant moi et tous tes frères... »

J'essaye de lui montrer une tête stupéfaite, cherchant des réponses par tous les moyens pour savoir de quoi on m'accuse. Le premier Doyen recommence à se masser la barde et reprend son discours :

« Farmër a enquêté rapidement pour savoir ce qu'il s'était passé à la mine. Nous avons retrouvé une grande quantité d'armes dans votre clan. Ces armes ont été forgées avec le fer dérobé à la mine. Le forgeron de la tribu a avoué que tu lui avais passé cette commande en lui demandant de ne parler de rien, sous peine de devoir le tuer. »

A ce même moment, je vois le petit sourire qui se dessine sur les lèvres de Farmër, assez discret pour que je sois le seul à le remarquer. La rage prend possession de moi et j'essaye de me lever en fureur pour tenter de tuer cet imposteur. Je réussis à surprendre les deux soldats pour ensuite sauter sur Farmër. J'essaye de l'étrangler de toutes mes forces, de lui faire payer ce qu'il m'a fait à moi et aux mineurs. Je sens les mains des deux soldats qui reprennent possession de mon corps et m'écartent de force de mon adversaire. Je n'ai pas le temps de reprendre conscience, aveuglé par la rage, je me prends plusieurs coups au visage pour me calmer. Je tombe rapidement au sol, sans force avec le visage démolit et en sang. Je ne peux plus bouger, les deux gardes me retiennent avec force au sol, mais j'arrive à entendre la conversation qui commence. Farmër demande au premier Doyen ce qu'ils vont faire de moi à présent. Je ne peux même pas me défendre à l'oral, mais j'essaye, par mon regard, de montrer que je suis innocent dans cette affaire. Je vois les yeux du premier Doyen qui me regardent avec mépris, puis se changent pour me montrer de la pitié. Il se masse à nouveau la barbe et dit :

« Je t'aimais comme mon fils Fëanor... Pourtant tu m'as tellement déçu. Même si je devrais te faire subir mille douleurs pour cela, je n'oublie pas tous les services que tu as rendu à la tribu. Tu vas devenir esclave. Tu as tué des frères et je remets mon jugement à nos Déesses pour savoir si elles doivent te garder. Nous verrons si tu garderas la lumière une fois que tu seras arrivé à Esperia. »

A la fin de son discours, les deux soldats m'emportent de force vers la prison du village. Mon sort est terminé, je ne peux pas tenir tête à Farmër.



La vie à Esperia

Partie I: L'Esclavage

En approche du port d'Esperia, il ne pouvait rester plus longtemps sur le bateau en gardant son calme, ce n'était pas possible pour lui, après tout cette injustice qui la conduit a Esperia. Il profita d'un moment d’inattention de la part des gardes du bateau pour s'échapper et sauter par dessus bord. Créant ainsi la confusion a bord du bateau, Fëanor eu aucun mal à s’échapper et a rejoindre la rive la plus proche.

Arrivé sur la rive, Fëanor s’éloigna le plus vite possible de la ville. Ne voulant à tout prix devenir esclave, il essaya, en vain, de survivre dans la nature, malgré son entrainement très pousser. Car ici, il ne connais pas la région, ce n'est pas Kinemaar avec ses collines enneigées avec sa faune et sa flore bien précises. Il survivra deux jours avant de se rendre à l'évidence que ce n'est qu'une cause perdue et qu'il doit devenir esclave d'Esperia pour pouvoir survivre.

Il tomba nez à nez avec le Banquier d'Esperia aux abord de la ville, en demandant de la nourriture. Il fut donné a la famille Dreher, qui ces derniers lui expliquèrent le fonctionnement d'Esperia. Toujours affamé, il prend part à son premier combat, dans la même journée, contre un membre de la garde, du nom de Josep. Avec l'estomac criant famine et fatigué, mais avec une carrure plus imposante et un style de combat plus poussé, il perdu le combat pour ce ménagé, comme lui a ordonner son Maitre Daviel.

Pour vivre dans le cadre d'Esperia, Fëanor devait se débrouiller seul, laisser à son triste sort par ses Maitres. Il fut obligé de chercher du travail en quémandant au citoyen, car son métier de combattant, ne pouvait être réalisable avec les chaînes qui entourées ses chevilles et avant-bras. Il réussira à trouver du travail grâce à sa carrure massif et imposante, en se faisant quelques Esper d'Or pour se nourrir.

Il rencontra quelque amis esclaves tel que Khoratan, où il lui apprendra la chasse, et Amalrik, où Fëanor lui apprendra à lire et à écrire. Mais il fera sa meilleur rencontre avec une jeune femme rousse du nom de Alrun, membre du clan Skÿrn. Il apprendra que ce clan rassemble tout les Vaahva d'Esperia, et son envie de le rejoindre fut très grande. Mais tant qu'il sera esclave, rien ne sera officiel pour lui et continue sa route vers l'affranchissement.