Utilisateur:Illythia
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Illythia
Description
Prénom: Illythia
Nom: Blackburn
Age: 20 ans
Taille: 1m60
Poids: 50 kg
Instruction: Sait lire et écrire.
Religion: Née et élevée en suivant à la lettre le Kantaisäisme. Elle est très pratiquante et a une foi inébranlable en l'Arbitrio.
Compétences
- Créativité
- Dessin
- Peinture
- Alphabétisation et Calcul
Talents
Illythia a commencé à dessiner dès qu'elle a su tenir un crayon dans sa main. C'était l'un de ses principaux loisirs. A son adolescence, elle se mit à la peinture. Elle eût une véritable passion pour cet art et a décider d'en faire son métier: Vivre de son art...
Qualités
- Loyale
- Aimable
- Studieuse
- Sait écouter
- Créative
Défauts
- Rêveuse
- Gourmande
- Rancunière
- Réservée
- Curieuse
Histoire
Les parents d’Illythia se sont unis sans se connaître, leurs parents respectifs en avaient décidé ainsi car ils voulaient que leurs enfants et les enfants de leurs enfants appartiennent au mouvement religieux qu’ils avaient décidés de suivre : le kantaisänisme. Cela était ainsi depuis plusieurs générations sans doute grâce à des ancêtres originaires de Golvandaar. Deux ans après le mariage, Illythia naquit. Dès son plus jeune âge, elle eut une passion soudaine pour le dessin. Elle passait ses journées à dessiner alors que son père partait travailler à la mine et sa mère bien que la surveillant de temps en temps confectionnait des coussins.
A ses cinq ans, elle entra à l’école où elle apprit les bases de la lecture, de l’écriture, des mathématiques (Comment additionner et soustraire des nombres), un enseignement religieux et quelques autres matières. Elle n’était ni la meilleure élève, ni la pire. Elle restait dans la moyenne et cela lui suffisait. Cela dura jusqu’à ses dix ans, ensuite ses parents décidèrent de confier son éducation à un moine appartenant au même courant qu’eux, sachant qu’eux ne savaient ni lire et écrire. Elle se rendit tous les jours à l’abbaye où elle apprit tous les dogmes, perfectionna sa lecture en lisant plusieurs livres religieux que lui confiait le moine. Elle se lia d’amitié avec d’autres enfants qui suivaient les mêmes cours qu’elle, mais elle ne les voyait qu’à l’abbaye. Étant exagérément réservée, elle hésitait à les voir en dehors de cours préférant comme seul échappatoire ses lectures interdites à la bibliothèque de la cité racontant des aventures épiques, des romans d’amour ou encore des pièces de théâtre à l’humour corrosif ainsi le dessin qui se mua au fil des années en une passion pour la peinture.
A l’aube de sa maturité, Illythia eut comme souhait de faire de sa passion son métier. Bien que son père fût contre dans un premier temps, il céda après que sa mère plaida en faveur de sa fille. Ses affaires marchaient normalement, ce n’était pas encore une peintre aguerrie mais elles fournissaient des efforts pour. Un soir d’été, elle peigna à la fenêtre de sa chambre la vue qui s’offrait à elle. Elle entendit quelques bruits étouffés qui semblaient provenir du rez-de-chaussée. Elle descendit en faisant attention à ne pas faire trop de bruits puis s’approcha sur la pointe des pieds de la porte donnant sur la cuisine. En collant son oreille contre la porte, elle entendit ses parents et le moine qui s’était occupée de son éducation dans sa jeunesse parler d’un mariage proche la concernant. Elle paniqua dans un premier temps puis remonta dans sa chambre en courant. Elle se mit à réfléchir calmement, elle ne pouvait se marier maintenant, elle ne pouvait être emprisonné à vie n’ayant encore rien vécu de bien palpitant. Elle guetta à sa fenêtre le départ du moine puis attendit que ses parents rejoignirent leur chambre à coucher. Elle prit un grand tissu et y rangea son carnet à dessin puis elle prit de quoi se nourrir pour quelques jours dans la cuisine. Elle noua fermement le tissu autour d’un long bâton en bois puis passa son balluchon par-dessus son épaule.
Elle se dirigea vers une charrette à l’arrêt remplit de marchandises puis se glissa à l’arrière, finissant par se trouver une place plus ou moins confortable. Un long tissu recouvrait l’arrière de la charrette donc elle était tranquille, du moins le pensait-t-elle. A l’aube, la charrette se mit en route, elle entendit deux hommes parler de la capitale, c’était donc là où ils se rendaient. Après deux jours de route, elle entendit des cris et l’arrêt soudain du véhicule. Deux hommes aux visages striés de cicatrices soulevèrent le drap et la découvrirent. Ils prirent toute la marchandise, laissèrent les voyageurs sur la route nus comme des vers, ils l’empoignèrent par le bras. Un soir, alors que tous les bandits étaient regroupés autour du feu, elle entendit l’un suggérer de la vendre en tant qu’esclave. Elle entendit ensuite un murmure puis perçut un mot : Esperia.
