Utilisateur:Katharina
Blason de la famille Ruzickovánov
"Écartelé de gueules et d'argent; au 1 à la pensée d’Arbitrio tigée et feuillée d’or posée en bande; au 2 et 3 semé de losanges de gueules; au 4 aux trois épis de blé de l’huramisto tigés et feuillés d'or."
Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.
Katharina est une jeune femme arborant un début de vingtaine le long de son minoi. On la devine fine et élancée derrière ses lourdes robes finement travaillées, ses propres créations le plus souvent.
Perchée du haut de son mètre soixante sept, on la retrouve dans les normes de son époque tandis que son poids s’accorde à ses mesures, alourdie d’un 51 kilos. Katharina arbore les traits d’une jeune Cestovate soignée qui n’a pas peur de s’accaparer beaucoup de temps pour s’occuper d’elle afin de conserver les apparences.
La jeune phalangiste s’efforce de garder une hygiène absolument irréprochable au nom de son culte en prenant plusieurs ablutions par jours au nom d’Arbitrio. Toujours joliment apprêtée, elle ne garde rarement si ce n’est jamais ses cheveux détachés et se débrouille toujours pour prendre le temps d’y attarder une coiffure soignée et complexe parfois couronné de quelques fleurs prônant la vertue qu’elle aimerait mettre à l’honneur aujourd’hui.
De cette façon, le langage des fleurs est omniprésent dans la vie de cette cestovate qui porte souvent des robes dont une véritable histoire florale y est brodée.
Katharina est une femme profondément hura. Attachée aux traditions, à ses valeurs, à son Dieu et à ses terres. Ainsi, vous la verrez presque comme la caricature ou l’idée typique de ce que vous vous faites de la bourgeoisie Cestovate des fières contrées de Steiertal.
Bucolique, c’est une amoureuse des paysages de son pays, particulièrement de l’imagerie des champs et du blé comme orné sur les bannières de la Grande Huratelon. Pas peu fière de ses origines, elle garde cependant cette fière exaltation pour elle ou ne l’affichant totalement qu’auprès de ses frères et soeurs de nation.
Katharina est aussi loin d’être une progressiste et préfère les bonnes vieilles méthodes à d’étranges innovations sociales qui n’ont pas lieu d’être à son goût. Si bien qu’elle s’amourache d’envie de retrouver les débuts de l’Ordre Phalangiste très militarisée comme contés dans les livres d’histoire à l’époque du bon Tancred.
Attachée aux traditions, elle l’est tout autant pour ce qui est de l’ordre établi. Soumise à la hiérarchie, elle s’efforce de toujours faire voeux d’obéissance envers les bonnes gens socialement plus haut qu’elle. De la même façon, elle fait voeux de respecter ses aînés comme dicté dans le corpus X: “Que la femme soit obéissante des commandements de ses aînés, de ses parents et de ses dirigeants.”
Au delà d’être profondément Hura, elle est surtout tellement phalangiste. Amoureuse de la Foi et de son père Arbitrio, elle brûle d’une fervente adoration pour le phalangisme à un point que son quotidien peut parfois être tourné dans un extrémisme religieux de pureté absolu sur chaque détail de sa vie. Consciente que son âme peut être souillée à jamais au moindre faux pas, elle éprouve une pression considérable à l’idée de mal faire les choses tout en se rassurant de savoir son âme pure jusqu’ici.
Bien qu’elle apprécie grandement les Caroggians, elle conserve un certain mal avec leurs drôles de manières amoureuses. D’autant plus quand on parle de celles des Capitalins. Pudique et éduquée à l’amour chevaleresque, elle ne peut jurer que sur le langage des fleurs pour communiquer ce genre de sentiments. Evidemment, elle reste profondément consciente que son avenir amoureux ne l’appartient qu’à moitié étant donné que l’éventuel parti serait à présenter et à valider auprès de ses parents avant toute ambition de fiançailles.
Il serait passer à côté de la nature de cette femme si on ne nommait pas sa passion pour les cultures du monde. Quoi de plus excitant que de découvrir ce que les créations d’Arbitrio ont trouvés comme idée de modèle de communauté pour vivre plus ou moins sous les préceptes du Créateur? Ainsi, vous la verrez curieuse du monde et s’en dégage d’elle une véritable envie d’aventures.
"Il est de ces gens qui profitent de leur absence loin de chez eux pour perdre les valeurs vestimentaires de leur Patrie. Avec l'Héritage, je prouve que je ne suis pas de ceux-là."
✗ Matériaux: Velours, perles, dentelle.
✗ Possesseur: Katharina Ruzickovánov
✗ Date de création: Courant 517 (Loghéans)
✗ Prix: Aucun
L'Héritage a été créé en 517 à Loghéans, Capitale mondiale du textile où Katharina y possède un atelier de couture encore à son nom aujourd'hui. Cette création a vu le jour peu de temps après son arrivée dans cette ville. C'était alors la première fois que Katharina quittait sa patrie pour voyager dans un autre pays. L'Héritage s'inscrit alors pour la jeune femme, dans une démarche de retrouver ses racines Hura et Cestovate. Cela se retrouve clairement dans l'aspect sobre mais élégant de cette tenue mais aussi dans quelques détails comme ce col en fine dentelle ouvragée démontrant le rang social de la Cestovate ainsi que sa jeunesse puisque cette dentelle ne dépasse les 7cm.
“J'ai compris qu'il ne suffisait pas de dénoncer l'injustice, il fallait donner sa vie pour la combattre.”
✗ Matériaux: Cuir de cerf tanné et bouilli, broderies.
✗ Possesseur: Katharina Ruzickovánov
✗ Date de création: Novembre 520
✗ Prix: Aucun
"Muj Bokovnik" ou en bon capitalin "Ma combattante" est une création à usage militaire créée pour avoir une alternative plus efficace face aux dangers que peut avoir l'archipel. Une création effectuée au détriment de ses heures de sommeils puisque l'urgence du contexte fit qu'elle dû se presser pour la concevoir au plus vite avant un drame à venir. Faite de plusieurs couches de cuir de cerf de bonne qualité, tannés et bouillis, cette tenue représente un certain aspect défensif limitant les coupes et absorbant une partie des chocs. Elle représente aussi l'éducation martiale qu'a reçu Katharina auprès de son maître d'arme en maniant l'épée à une main durant des années.
"On dit que Katharina restera à peine un mois ou deux sur l'île et que suite à cela, elle disparaitra sans laisser de traces."
