Utilisateur:Larco

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

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Informations RP
Nom
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Homme
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Métier
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Cowlar
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Cowlar#3022





Portrait de Larco Novak.png


Thème
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Physique

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Larco est un homme de taille moyenne, atteignant les 1m65 lorsqu'il a l'occasion de se redresser tout à fait. Trapu et plutôt ventru, il semble avoir laissé ses belles années derrière lui, ses traits et rides naissantes trahissant sa quarantaine prochaine. Sa tête est aussi large que sa nuque, ce qui achève de lui donner un air râblé. Ses cheveux noir de jais sont toujours coupés courts, Larco ne supportant pas la sensation de ses cheveux collés de sueur sur sa nuque. Son teint est grisâtre, comme s’il ne parvenait plus tout à fait, après tant d’années, à se nettoyer de la crasse issue de son métier. Enfin, ce sont ses mains, épaisses, calleuses, aux paumes durcies par la corne et souvent ponctuées de petites blessures, qui achèvent d'indiquer le caractère purement physique et manuel de l'Ocolidien. Larco adopte souvent une posture maintenue droite, visiblement un peu forcée. Il s’y contraint lui-même, de peur que le travail souterrain ne le rende prématurément courbé, comme un vieillard.

Mais même la saleté la plus noire ne peut arriver à cacher la multitude d’émotions qu’il peut afficher. Larco n’a jamais cherché à dissimuler la moindre de ses émotions, n’ayant tout simplement pas été élevé comme ça. Ainsi, Larco peut facilement s’illuminer d’un sourire franc à la moindre discussion agréable, ou au contraire, grimacer lorsqu’une situation le contrarie. Il a cependant appris à prendre sur lui pour plier face aux puissants, et sait se comporter de manière adéquate. En bon Ocolidien, Larco a l'habitude de ne rien porter de superflu : ses habits sont complètement conçus pour leur usage. Tous ses vêtements, même civils, sont renforcés au niveau des coudes et des genoux, et sa ceinture porte toujours les mêmes attaches pour ses outils, sa gourde, sa poche à bougies et celle à tabac. Passant le plus clair de son temps sous terre, Larco ne se soucie plus vraiment d’adapter sa garde-robe pour l’extérieur. Mais pour l'heure, étant esclave, ses vêtements sont réduits au plus simple ; une paire de bottes, un pantalon et une tunique sombres sont ses seuls apparats.

Larco s'exprime en avalant les syllabes les plus courtes, contractant certains mots, réduisant ses phrases au plus concis. Sa prononciation Ocolidienne est nuancée par un étrange accent sonnant vaguement Hura, et de nombreux mots de patois ponctuent ses phrases.

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